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Eglise - Page 1360

  • Le rapport au père souvent problématique

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    Le pape, lors de l'audience générale de ce mercredi, a évoqué cette réalité :

    (Vatican Information Service - VIS) Le Saint-Père a consacré la catéchèse de la l'audience générale à la définition fondamentale que le Credo donne de Dieu: Père Tout Puissant. Il n'est pas toujours facile, a-t-il dit, "de parler aujourd'hui de paternité". Le rapport avec la figure paternelle peut devenir problématique, ainsi que "la perception de Dieu comme père, par défaut d'un modèle correct. Qui a connu un père trop autoritaire, indifférent, peu affectueux, voire absent, a du mal à envisager sereinement Dieu comme un père, à s'abandonner à lui et à lui faire confiance.

    Or la Bible nous permet déjà de dépasser la difficulté lorsqu'elle décrit un Dieu qui démontre ce qu'être père signifie. Mais c'est surtout l'Evangile qui révèle la paternité de Dieu, de ce Dieu qui aime au point d'offrir son propre Fils pour le salut de l'humanité... Dieu est notre père parce qu'il nous a bénis et choisis dès avant la création du monde. Ils nous a fait ses fils véritables en Jésus, et nous accompagne comme un père au long de notre existence, nous offrant sa Parole, sa grâce et son Esprit... Il est bon au point de faire briller le soleil sur les mauvais comme sur les bons, sur les injustes comme sur les justes, de manière que nous pourrons toujours nous en remettre à son pardon paternel chaque fois que nous prenons le mauvais chemin". L'amour de Dieu est pour toujours, "et il ne fait jamais défaut, ne se fatigue jamais de nous... La foi nous donne la certitude qu'il est un rocher sûr dans la construction de notre existence. A tout moment nous pouvons faire face au danger et aux difficultés, faire l'expérience du doute et de la souffrance, mais nous serons soutenus par le fait certain que Dieu est proche et qu'il ne nous abandonne pas. Il est là pour nous conduire à la vie éternelle".

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  • L'argent du pape pour combattre le nazisme

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    On se souvient aujourd'hui d'un 30 janvier sinistre qui vit Hitler accéder à la chancellerie. Certains médias, comme le Guardian s'acharnent, au mépris de la réalité historique, à alimenter la "légende noire" selon laquelle le Vatican se serait compromis avec les dictatures fasciste ou nazie. Le moment n'est pas mal choisi pour souligner l'engagement du pape Pie XII dans la lutte contre le régime nazi. Un article, paru en anglais sur le site de l'Osservatore Romano développe cette nouvelle information :

    Une étude réalisée par Patricia M. McGoldrick publiés dans "The Historical Journal» retrace les détails sur les finances du Vatican lors de la Seconde Guerre mondiale

    Les dollars du Pape contre Hitler

    De nouveaux documents provenant des archives anglaises nationales révélent comment Pie XII a également combattu le nazisme par des investissements aux États-Unis

    ... Il s'agit d'une histoire d'espionnage, de contacts secrets, de documents très sensibles - qui sont restés ensevelis pendant 70 ans et c'est seulement maintenant qu'ils surgissent des archives. Au coeur de cette histoire : Bernardino Nogara, un membre du conseil d'administration de la Banca Commerciale Italiana, ami de la famille Ratti (famille du pape Pie XI), qui, en 1929, a été nommé conseiller financier auprès du Saint-Siège. C'est lui qui, en concertation avec la Curie, sera le protagoniste de la stratégie financière du Vatican qui se révéla être d'une importance capitale pour la victoire des Alliés sur les nazis et les fascistes lors de la Seconde Guerre mondiale.

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  • Philippines : le président prié de prendre au sérieux la doctrine sociale de l'Eglise

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    (EDA) Les évêques demandent au président Aquino de prendre au sérieux la doctrine sociale de l’Eglise

    Mardi 29 janvier, à l’issue d’une assemblée plénière de trois jours, les évêques de l’Eglise catholique des Philippines ont publié une « Déclaration pastorale au sujet de certains problèmes sociaux actuels ». Dans ce texte de cinq pages, ils interpellent le président Aquino et l’ensemble des responsables politiques du pays. S’appuyant sur l’Evangile et la doctrine sociale de l’Eglise, ils appellent à la mise en place de véritables réformes afin de lutter contre des maux connus de longue date mais auxquels les différentes administrations qui se sont succédé à la tête du pays n’apportent pas de réponse satisfaisante. « Nous prenons la parole à la place de ceux qui souffrent », expliquent les évêques.

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  • 14 repères sur la Foi

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    14 repère sur la Foi - Ces Vérités qui sauvent (Abbé Alphonse Vidal)

    Le Laurier (2012)

    128 pages - ISBN : 9 782864 953418 - 10 €

    Quelle est notre foi ? Quelles sont ses implications dans la vie quotidienne ? Comment approcher de cette porte qui ouvre sur la vie éternelle ? Voici des questions auxquelles l'auteur, Alphonse Vidal, ingénieur, docteur en théologie et prêtre, a voulu répondre. L'objectif principal du livre est de faire grandir en nous la foi et de nous aider ainsi à tirer le plus grand profit de l'Année de la Foi promulguée par Benoît XVI. S'appuyant sur des textes de la Sainte Écriture, et du Catéchisme de l'église catholique, ces méditations pratiques et concrètes s'attachent à montrer l'impact de la foi sur la vie quotidienne du chrétien.

    L'abbé Vidal exerce son ministère à Paris. Il prêche notamment des retraites et assure l'accompagnement spirituel de nombreuses personnes.

  • Croire, est-ce bien raisonnable ?

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    La foi est-elle raisonnable? André-Joseph Léonard 

    source : Pastoralia (janvier 2013); mis en ligne ICI

    En cette année de la foi, il est bon de se demander s’il est vraiment raisonnable de croire.

    S’agit-il d’un acte digne de l’intelligence humaine. C’est d’ailleurs l’une des principales objections que font les athées et les agnostiques : « vous affirmez des choses que vous ne pouvez pas prouver, vous transgressez la raison, donc votre foi est déraisonnable ».

    (Version en néerlandais)

     

    La foi va-t-elle nécessairement au-delà de la raison ?

    Il est vrai que la foi va au-delà de la raison si l’on entend par celle-ci la capacité de « mesurer » les choses et d’en « juger » en parfaite connaissance de cause. Étymologiquement, d’ailleurs, le mot « raison » vient d’un verbe latin (reor, ratus), qui signifie « compter », « calculer » et que nous retrouvons plus explicitement dans le substantif « ration », où l’idée de mesure est plus évidente que dans « raison ».

     

    Or il est clair que les affirmations de la foi dépassent ce que nous pouvons mesurer par notre raison, même dans son exercice le plus large. Ainsi l’affirmation que Dieu est Trinité ou que la résurrection de Jésus contient le salut du monde transcende, à coup sûr, la raison scientifique. Comment ces vérités pourraient-elles être vérifiées expérimentalement, selon les critères de la science ? Mais elle déborde aussi le champ de la raison philosophique, beaucoup plus large cependant que celui de la raison scientifique. Seule une parole venue de plus loin que notre raison et reçue dans la « foi » peut dévoiler le mystère intime de Dieu ou révéler la portée ultime de l’événement pascal.

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  • La Matinale de La Vie, une précieuse ressource

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    Natalia Trouiller fait vraiment un travail intéressant. Chaque jour (ou presque), la Matinale de la Vie rend compte d'évènements dont on ne trouve guère d'échos ailleurs. En témoignent ces informations de ce jour :

  • Un regard catholique sur la foi chrétienne

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    CHRISTUS, un excellent site que nous vous recommandons : http://christus-web.com/

    "À la suite de l'appel de la première lettre de Pierre invitant le chrétien à rendre compte de l'espérance qui est en lui,Christus, website chrétien catholique, cherche à donner des éléments de réponse aux interrogations que toute personne peut se poser sur la foi chrétienne sans toujours savoir où chercher."

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  • Résister, oui; se replier, non

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    L’éditorial de Monseigneur Dominique Rey publié dans le mensuel diocésain Eglise de Fréjus-Toulon n° 170 - février 2013 :


    « On doit considérer comme désormais dépassé, même dans les pays d’ancienne évangélisation, la situation d’une société chrétienne qui se réfèrerait explicitement aux valeurs évangéliques », disait déjà Jean-Paul II. L’Eglise ne se trouve plus dans une posture englobante de la société. On assiste à l’effacement programmé du christianisme et à la multiplication des transgressions éthiques et anthropologiques qui fissurent le socle sociétal hérité du judéo christianisme. 

    Face à ces dérives mortifères, les chrétiens ne peuvent pas appliquer leur raison d’être, renier « l’abrupt de la foi » (Guy Coq), perdre la conscience de la différence chrétienne. Mais comment assumer aujourd’hui la rupture évangélique sans s’isoler du monde ? Comment être chrétien « dans le monde » sans être « du monde » ? Comment ne pas sombrer, d’un côté dans le repli identitaire et communautariste en s’érigeant en contre culture et d’un autre côté, subir la dévitalisation du christianisme, parfois jusqu’à son éradication, quand il veut se coller aux attentes du monde ?

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  • L'idéologie du genre, une nouvelle forme de colonialisme

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    L'alarme pour la diffusion de l'idéologie du genre dans le rapport sur la doctrine sociale de l'Eglise

    C'est la colonisation de la nature humaine (Osservatore Romano)

    Trieste, le 28 janvier.

    « L'idéologie du genre » représente « un nouveau colonialisme de l'Occident sur le reste du monde ». Telle est la donnée alarmante la plus significative présente dans le quatrième rapport de l'Observatoire international cardinal Van Thuân sur la doctrine sociale de l'Eglise, présenté le samedi 26 janvier dans le chef lieu du Frioul par son président, l'archevêque-évêque de Trieste Giampaolo Crepaldi.

    En effet, au cours d'une seule année, 2011 – période à laquelle se réfère l'étude – « est apparu dans toute sa force subversive le phénomène de la "colonisation de la nature humaine" », c'est-à-dire un ensemble d'immenses pressions internationales afin que les gouvernements changent leur législation traditionnelle sur la procréation, sur la famille et sur la vie. Ce sont surtout les pays d'Amérique latine qui sont visés. En particulier, le cas emblématique de l'Argentine est cité, où, comme l'a souligné Mgr Crepaldi, au cours d'une brève période de douze mois, « ce grand pays de tradition chrétienne a eu une loi sur la procréation artificielle qui a dénaturalisé la procréation, une loi sur la reconnaissance de l' "identité du genre" qui a dénaturalisé la famille et une modification du Code civil pour permettre la "location d'utérus" qui a dénaturalisé la parentalité ».

    L'idéologie du genre, souligne-t-on, « s'est diffusée, sans rencontrer de véritable opposition, dans les pays développés et est désormais également enseignée dans les manuels scolaires des écoles publiques sans que cela suscite de grandes contestations ». La donnée nouvelle est qu'« elle est à présent exportée de façon systématique dans les pays émergents et pauvres ». Il s'agit d'« une idéologie subtile et envahissante, qui fait appel aux "droits individuels", dont l'Occident a fait son dogme, et à une prétendue égalité entre personnes asexuées, c'est-à-dire abstraites, pour conduire à une déconstruction de tout l'ordre social ».

  • Vous avez dit : "carpe diem" ?

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    LE SENS CHRETIEN DU CARPE DIEM

    Cité du Vatican, 27 janvier 2013 (VIS). "Chaque moment peut devenir un aujourd'hui propice à notre conversion. Chaque jour peut devenir l'aujourd'hui salvifique, parce que le salut est une histoire qui continue pour l'Eglise et pour chaque disciple du Christ. Voilà le sens chrétien du Carpe Diem: cueille l'aujourd'hui où Dieu t'appelle pour te donner le salut!". Voici les paroles adressées par le Pape aux fidèles rassemblés Place St.Pierre pour l'angélus domincal. Comme de coutume, Benoît XVI a commenté les lectures du jour, notamment l'évangile dans lequel saint Luc évoque la présence de Jésus un samedi dans la synagogue de Nazareth. "En bon observateur, le Seigneur ne se soustrait pas au rythme liturgique hebdomadaire et s'unit à l'assemblée de ses compagnons dans la prière et à l'écoute de l'Ecriture. Le rite prévoit la lecture d'un texte de la Torah ou des prophètes, suivie d'un commentaire. Ce jour-là, Jésus se lève pour lire et trouve un passage du prophète Isaïe qui commence ainsi: L'esprit du Seigneur Dieu est sur moi, parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction; il m'a envoyé pour porter la bonne nouvelle aux malheureux... La lecture finie, Jésus, dans un silence plein d'attention, dit: Aujourd'hui s'est accomplie cette Ecriture que vous venez d'entendre. Saint Cyrille d'Alexandrie affirme que l'aujourd'hui, placé entre la première et la dernière venue du Christ, est lié à la capacité du croyant d'écouter et de reconnaître ses torts. Mais, dans un sens encore plus radical, c'est Jésus lui-même l'aujourd'hui du salut dans l'histoire, parce qu'il porte à son accomplissement la plénitude de la rédemption". Ce passage de l'Evangile nous interpelle encore aujourd'hui. Il nous fait penser avant tout à notre mode de vivre le dimanche: jour de repos et de la famille, mais avant tout, journée consacrée au Seigneur, participant à l'Eucharistie, dans laquelle nous nous nourrissons du Corps et du Sang du Christ et de sa Parole de vie. En deuxième lieu, dans notre temps dispersé et distrait, cet Evangile nous invite à nous questionner sur notre capacité d'écoute. Avant de pouvoir parler de Dieu et avec Dieu, encore faut-il l'écouter, et la liturgie de l'Eglise est l'école de cette écoute du Seigneur qui nous parle". Après l'Angélus, le Pape a lâché deux colombes depuis sa fenêtre, Celles-ci lui ont été remises par un petit garçon et une petite fille appartenant à l'Action catholique italienne qui concluait, avec la Caravane de la Paix, ce mois de janvier traditionnellement consacré à ce thème.

  • Le pape, le mariage et la foi

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    Le pape a prononcé un discours important sur le sacrement du mariage et sur son lien avec la foi. On en trouvera la traduction sur le site "Benoît-et-moi". Dans sa Matinale (La Vie), Natalia Trouiller y fait écho et reprend un commentaire d'Andrea Tornielli; elle intitule hardiment sa note : "le pape veut réfléchir aux critères de nullité du mariage". Toujours est-il que l'enjeu est important puisqu'il s'agit de savoir si "l'intention générale et vraiment sacramentelle (...) est présente ou non, et si le mariage est contracté validement ou non».

    Question combien cruciale à une époque où de nombreux couples se marient à l'église sans convictions bien tranchées, pour faire plaisir aux parents ou pour bénéficier d'un cadre et d'un accompagnement musical "plus romantiques". D'autres questions mériteraient d'être posées relatives à la simple détermination de chacun des deux contractants à sceller une union indissoluble et ouverte à la fécondité - chose qui n'est pas toujours acquise - ainsi qu'au sujet des mariages mixtes.

  • Les extrémistes musulmans malais menaçaient de brûler des bibles ce dimanche. (mise à jour 27/01)

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    Des extrémistes musulmans prévoyaient un autodafé de bibles ce dimanche

    source : EDA - MEP

    L’Etat de Penang situé dans le nord-ouest du pays, se prépare à grands renforts policiers à empêcher un autodafé de bibles annoncé pour dimanche 27 janvier à Butterworth, chef-lieu du district de Seberang Perai. La nouvelle, qui n’est connue que depuis mardi dernier, a été relayée rapidement, provoquant l’indignation des chrétiens et l’inquiétude des autorités, à quelques mois des élections générales, qui se préparent déjà dans un contexte de grande tension religieuse. En quelques heures le web s’est enflammé, tandis que se multipliaient les condamnations (ou approbations) de l’autodafé ainsi que les déclarations des différents mouvements religieux ou politiques, le grand absent de ces débats restant le gouvernement central resté étrangement silencieux.

    C’est le Rév. John Kennady, pasteur de l’Eglise anglicane St Mark à Butterworth qui a découvert mardi 22 janvier dans sa boite aux lettre un tract invitant « tous les musulmans de Malaisie » à participer à « une grande fête » pour brûler des bibles en malais, dimanche 27 janvier à 10 heures devant le Dewan Ahmad Badawi de Butterworth.

    Les organisateurs, un certain « Groupe d’action contre les bibles en malais » inconnu jusqu’à présent, expliquent avoir choisi le dimanche en raison de son caractère sacré pour les chrétiens, et concluent par cette incitation « Donnons leur une leçon ! ».

    Lire la suite sur le site Eglises d'Asie

    Mise à jour (27.1.) Selon le Malaysia Insider, cette mobilisation a fait flop : Le prétendu autodafé de bibles prévu pour 10h aujourd'hui n'a pas réussi à attirer un seul participant. Le champ en face de Dewan Ahmad Badawi sur Jalan Bagan Luar est resté vide jusqu à 11h malgré la large publicité faite à l'événement au cours de la semaine. Au lieu de cela, seuls les policiers et les journalistes ont été vus en attente de l'événement. Cet événement a été créé par l'appel de Datuk Ibrahim Ali invitant à brûler des versions de la Bible qui contiennent le mot Allah et d'autres mots religieux venant de l'arabe.