Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 895

  • «Escondidos» (Cachés): l’histoire de l’Opus Dei sous l’Espagne républicaine (1936-1939)

    IMPRIMER

    «Escondidos» (Cachés): l’histoire de l’Opus Dei sous l’Espagne républicaine (1936-1939)

    Le livre Escondidos, (Cachés), raconte ce que vécurent les premiers fidèles de l’Opus Dei sous le régime de l’Espagne républicaine, durant la Guerre Civile (1936-1939). L’auteur, José Luis González Gullón, parle de son contenu sur cette vidéo où il nous fait visiter l’ancienne légation du Honduras, un des refuges où se cacha saint Josémaria.

     
  • Paul VI applaudissait-il la réforme liturgique ?

    IMPRIMER

    De Sandro Magister traduit sur le site diakonos.be :

    Paul VI et la réforme liturgique. Il l’a approuvée mais elle ne lui plaisait guère

    « C’est le Pape qui le veut ». C’est ainsi que Mgr Annibale Bugnini (1912-1982), l’artisan de la réforme liturgique qui suivit le Concile Vatican II, réduisait systématiquement au silence les experts qui contestaient l’une ou l’autre de ses innovations les plus inconsidérées.

    Le pape en question, c’était Paul VI qui avait en effet confié à Bugnini le rôle de secrétaire et de factotum du conseil pour la réforme de la liturgie présidé par le cardinal Giacomo Lercaro.

    Bugnini jouissait d’une mauvaise réputation auprès de certains membres du conseil. « Scélérat et mielleux », « manipulateur », « dépourvu de culture comme d’honnêteté » : c’est ainsi que le grand théologien et liturgiste Louis Bouyer (1913-2004), que Paul VI estimait énormément, l’a décrit dans ses « Mémoires ».

    En fin de compte, ce pape fut sur le point de créer Bouyer cardinal et punit Bugnini en l’exilant comme nonce à Téhéran après s’être rendu compte des dégâts qu’il avait causés et de la fausseté de ce « c’est le Pape qui le veut » derrière lequel cette canaille s’abritait.

    Pourtant, au cours des décennies qui suivirent, les héritiers de Bugnini menèrent le jeu. Son secrétaire personnel Piero Marini fut l’organisateur des cérémonies pontificales de 1983 à 2007.  Et des livres viennent de sortir qui mettent en évidence le rôle de Bugnini.

    Mais revenons à Paul VI, comment a-t-il vécu l’affaire de la réforme liturgique ? Les défenseurs de la liturgie préconciliaire l’accusent d’être le responsable ultime de toutes les innovations.

    En réalité, entre Paul VI et la réforme qui prenait forme peu à peu, il n’y avait rien de cette harmonie que les critiques lui reprochèrent.

    Au contraire, Paul VI a souffert à de nombreuses reprises de ce qu’il voyait se dérouler et qui était aux antipodes de sa culture liturgique, de sa sensibilité et de l’esprit avec lequel il célébrait.

    Un petit livre qui vient de sortir dernièrement apporte une nouvelle lumière précisément sur cette souffrance personnelle causée au Pape Jean-Baptiste Montini par une réforme liturgique avec laquelle il ne partageait pas grand-chose.

    lire la suite sur diakonos.be
  • Accès de non-catholiques à l'Eucharistie : le cardinal Marx convoqué à Rome

    IMPRIMER

    De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :

    Le cardinal Marx à Rome pour discuter d’un document contesté sur l’eucharistie

    Une partie des évêques allemands rejette un texte de la conférence épiscopale autorisant, dans certaines circonstances, l’accès de non-catholiques à l’eucharistie.

    Le pape François a invité à Rome le cardinal Reinhard Marx, archevêque de Munich et président de l’épiscopat allemand, pour discuter de la décision des évêques allemands d’autoriser, dans certaines circonstances, l’accès de non-catholiques à l’eucharistie, a annoncé jeudi 19 avril la Conférence des évêques allemands (DBK).

    Le cardinal Marx « salue le souhait du pape François, qui a proposé une discussion à Rome sur le sujet », a-t-elle ajouté dans un communiqué.

    « Éclaircissements »

    Le 22 février dernier, au terme de leur Assemblée plénière de printemps, les évêques allemands avaient annoncé la publication d’un texte facilitant, dans certains cas, la communion pour le conjoint de confession protestante.

    Le texte avait été adopté à une large majorité des trois quarts après « d’intenses débats », avait reconnu le cardinal Marx.

    Néanmoins, le 22 mars dernier, sept évêques, dont le cardinal Rainer Woelki, archevêque de Cologne, avait écrit à Mgr Luis Ladaria, et au cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens pour leur demander leur « aide » et « des éclaircissements » autour de ce texte dont ils estiment qu’il outrepasse les compétences d’une conférence épiscopale.

    La question est en effet de savoir si ce texte est de nature pastorale, comme l’avait présenté le cardinal Marx, ou doctrinal, auquel cas il nécessiterait une adoption à l’unanimité et une approbation romaine.

    Le 6 avril dernier, le pape avait d’ailleurs reçu Mgr Ladaria accompagné de Mgr Juan Ignacio Arrieta, secrétaire du Conseil pontifical pour l’interprétation des textes législatifs, soit les deux dicastères compétents pour trancher ce type de litige.

    Le cardinal Marx également membre du C9

    Le vaticaniste Edward Pentin, de l’hebdomadaire conservateur américain National Catholic Register, affirmait sur son blog que la Congrégation pour la doctrine de la foi avait rejeté la proposition des évêques allemands « avec l’approbation du pape François » qui aurait toutefois demandé que la décision demeure secrète.

    Une affirmation démentie jeudi par la Conférence des évêques allemands qui a toutefois confirmé que son président, le cardinal Marx, par ailleurs membre du « C9 », le conseil de cardinaux chargé de conseiller le pape sur la réforme de la Curie et le gouvernement de l’Église, se rendra à Rome pour discuter avec François du texte des évêques allemands.

    Le C9 doit justement se réunir au Vatican à partir de lundi prochain 23 avril. Il devrait s’agir de sa dernière rencontre sous son format actuel, ses membres ayant été nommés il y a tout juste cinq ans par le pape François.

    D'après i.media : 

    LE VATICAN AURAIT REFUSÉ LA PROPOSITION DES ÉVÊQUES ALLEMANDS D’OUVRIR LA COMMUNION AUX PROTESTANTS MARIÉS À UN CATHOLIQUE 

    Vatican - le 19/04/2018 | Par Agence I.Media

    La Congrégation pour la doctrine de la foi aurait refusé la proposition des évêques allemands d’ouvrir l’accès à la communion pour des protestants mariés avec un catholique, a rapporté le site catholique autrichien kath.net le 18 avril 2018. Cette proposition avait suscité des oppositions au sein de l'épiscopat allemand.

  • Le pape a reçu le père du petit Alfie Evans en audience privée

    IMPRIMER

    De Matteo Matzuzzi sur le site du quotidien Il Foglio :

    Le Pape a reçu en audience le père d'Alfie Evans

    Vingt minutes d'entretien à Sainte Marthe durant lesquelles il a été question de l'intervention de François pour éviter que le petit soit débranché du ventilateur qui le maintient en vie.

    Rome. Ce matin, avant l'audience générale sur la place Saint-Pierre, le Pape a rerçu en audience privée Thomas Evans, le père du petit Alfie, hospitalisé à l'Alder Hey Hospital de Liverpool. Accompagné par Benedetta Frigerio, journaliste à la Nuova Bussola Quotidiana qui a suivi jour après jour le fil des évènements qui a pris désormais les traits d'une bataille judiciaireentre la famille et l'hôpital britannique. Thomas Evans a retracé pour le Pontife les contours de l'affaire, lui demandant d'intervenir afin quele ventilateur qui maintient le bébé en vie ne soit pas débranché. L'entretien a duré vingt minutes, en présence d'un interprète.

    Le père du petit Alfie Evans avec le Pape François à Sainte Marthe

    Il y a deux jours, pour la xième fois, la Cour d'Appel de Londres avait rejeté la demande des parents de transférer Alfie à l'étranger, au Bambino Gesù de Rome ou (à défaut) à Münich. Trop risqué, avaient décrété les juges, réaffirmant que le meilleur parti pour le petit – qui souffre d'une maladie neurodégénérative dont la nature est mystérieuse pour les médecins eux-mêmes – consiste à mourir sans souffrances supplémentaires. La famille a une dernère possibilité : recourir à la Cour Suprême. L'espoir que cette instance les écoute est toutefois très mince.

    Durant l'audience générale, le Papa est revenu sur les évènements : " J'attire à nouveau l’attention sur Vincent Lambert et sur le petit Alfie Evans. Je voudrais réaffirmer et confirmer fortement que le seul maître de la vie du début à la fin naturelle est Dieu, et que notre devoir est de faire tout notre possible pour protéger la vie. Pensons en silence et prions pour que la vie de toutes les personnes soit respectée, specialement celle de nos deux frères ". François était déjà intervenu à deux reprises sur ce cas. La première fois avec un tweet publié sur son compte officiel le 4 avril dernier: « J’espère sincèrement que tout le possible sera fait pour continuer à accompagner avec compassion le petit Alfie Evans, et que la profonde souffrance de ses parents pourra être écoutée. Je prie pour Alfie, pour sa famille, et pour tous ceux qui sont concernés. ». La seconde, dimanche dernier à la fin du Regina Coeli: “ Je confie à votre prière les personnes, comme Vincent Lambert, en France, le petit Alfie Evans, en Angleterre, et d'autres dans divers pays, qui vivent, parfois depuis longtemps, dans une situation de grave infirmité, assistées medicalemente pour leurs besoins élémentaires. Ce sont des situations délicates, très douloureuses et complexes. Prions pour que chaque malade soit toujours respecté dans sa dignité et soigné de façon adaptée à sa condition, avec le soutien concordant des proches de la famille, des médecins et des autres intervenants sanitaires, avec un grand respect pour la vie”.

    Une prise de position nette, celle du Pape, qui contraste avec le silence de l'Eglise catholique anglaise et en particulier celle du diocèse de Liverpool qui dans les jours qui précèdent a publié une lettre déclarant qu'il n'est pas opportun d'intervenir considérant que la famille Evans “n'est pas catholique". Une prise de position qui outre le fait qu'elle constitue une fake news (le père, Thomas, est catholique) constitue l'opposé non seulement de l'esprit chrétien, mais aussi de celui dont Francesco a témoigné à plusieurs reprises.

    LE PAPE A DEMANDÉ À LA DIRECTRICE DU BAMBINO GESÙ DE FAIRE “LE POSSIBLE ET L’IMPOSSIBLE” POUR QU’ALFIE EVANS REJOIGNE L’HÔPITAL PONTIFICAL 

    Vatican - le 19/04/2018 | Par Agence I.Media

    Mariella Enoc, directrice de l’hôpital pontifical pédiatrique du Bambino Gesù, a accompli des démarches depuis plusieurs mois pour permettre au petit Alfie Evans d’intégrer l’hôpital romain, a rapporté  Vatican News  en italien le  19 avril 2018.  Une initiative soutenue de très près par le Souverain pontife.

  • Des bonnes nouvelles du site "Docteur Angélique"

    IMPRIMER

    Deux bonnes nouvelles communiquées par Arnaud Dumouch :

    1° La publication ce jour sur Internet, en version gratuite et téléchargeable, de l'immense oeuvre de jeunesse de saint Thomas d'Aquin : "Le Commentaire des Sentences de Pierre Lombard". Cette oeuvre est à votre disposition ici :

    http://docteurangelique.free.fr/sai…/oeuvres_completes.html…

    Il s'agit du travail de fin de doctorat de saint Thomas, cinq fois plus volumineux que la Somme de théologie qu'il écrira plus tard. Le premier livre manquait. Le professeur Serge Pronovost vient de la traduire pour notre projet. Les trois autres livres de cette oeuvre avait été traduits par le professeur Jacques Ménard. Merci à ces deux éminents québécois.

    Deuxième bonne nouvelle : l'Institut Docteur angélique se développe.

    Il y a quelques années, avec le vicaire épiscopal de l'enseignement de Namur l'Abbé Henri Ganty, nous avons créés un institut de formation philosophique et théologique sur Internet, l'Institut Docteur Angélique : http://docteurangelique.free.fr/institut_docteur_angelique.…

    Près de 3000 cours gratuits, en ligne et en vidéos sont déjà réalisés et je vous mets les liens ci-dessous. La ligne de ces cours est, au plan philosophique, dans le réalisme inspiré du père Marie-Dominique Philippe, et en théologie, à l'école de saint Thomas d'Aquin, de sainte Thérèse d'Avila et dans l'esprit de continuité demandé par Benoît XVI. Il existe même un cours complet de pastorale, dans la ligne du pape François. 

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_1Z8m6ovDDyG0-y746RS0jL

    Cet institut se développe et enseigne à 197 étudiants inscrits, dont quelques prieurés religieux en France, en Belgique et en Afrique et des séminaristes en Afrique et en Haïti. Cette formation diplômante très peu chère (100 Euros par année scolaire) se fait entièrement par correspondance grâce à l'outil Internet.

    Dans les années à venir, je voudrais le développer et lui donner un vrai statut ecclésial. Je voudrais en particulier que des séminaristes plus nombreux puissent s'y inscrire sans risque pour leur ordination, de toute la francophonie, à une époque où il reste difficile de trouver une formation dans certains pays.

    La liste de tous les cours qui existent sur Internet avec leurs liens numériques : 
    http://docteurangelique.free.fr/…/ListeDesCoursAvecLiens.htm

    Et la liste de vidéos plus courtes, les « premiers pas catholiques », qui visent à répondre à toutes les questions : 
    https://premierspascatholiques.wordpress.com/ 

    A conseiller, en premier, ce cours : Sur l'eschatologie catholique L'heure de la mort, fin du monde : Il donne sens à tout car celui qui connaît le but de cette vie comprend cette vie : 
    http://eschatologie.free.fr/cours/02_les_fins_dernieres.html

     

  • Connaissez vous l'application "Prie en Chemin" ?

    IMPRIMER

    Une première bougie soufflée pour l’application « Prie en Chemin » !

    L’aventure de « Prie en Chemin » a débuté il y a un peu plus d'un an. A l’origine du projet une expérience heureuse, un objectif et un désir.

    Une expérience heureuse et contagieuse qui s’appelle « Pray as you go ».
    Cette proposition est née il y a plus de 10 ans dans la Province jésuite de Grande Bretagne. L’idée était d’offrir une méditation guidée de la Parole de Dieu du jour dans n’importe quel lieu. Le concept s’est rapidement structuré autour de 3 principes : de la musique, une lecture issue de la liturgie du jour et des pistes pour s’en nourrir. La musique est là pour introduire au temps de prière, et soutenir l’attention ; le passage biblique est choisi parmi les textes de la liturgie du jour ; les pistes enfin, sont rédigées par des jésuites, des religieuses ignatiennes ou des laïcs formés aux Exercices Spirituels.

    A partir  de ces ‘briques’ de bases, les pistes et passages bibliques sont enregistrés, alternant voix d’hommes et voix de femmes, puis le tout est mixé pour obtenir un support de prière guidée audio de 12-14 minutes disponible sur un site ou une application smartphone.

    Quelques temps ont suffi pour que d’autres provinces jésuites prennent le relais dans leurs langues maternelles et c’est aujourd’hui en portugais (Passo-a-rezar), vietnamien (Phút cãu nguyên), espagnol (Rezandovoy), polonais (Modlitwa w drodze), en hongrois (Napi-útra-való) et Flamand (Bidden Onderweg) que l’aventure « Pray as you go » se déploie. Pour chaque langue, une équipe locale fait l’ensemble du travail de sélection des musiques, du suivi d’écriture des pistes et du mixage. En effet le génie de la langue et des cultures oblige à créer du neuf, destiné à des populations bien particulières.

    Mais c’est seulement il y a un an que les Français se sont mis dans la danse. Nous avions pu expérimenter le concept à l’occasion d’une retraite de Carême de Notre-Dame du Web. Les retours furent enthousiastes !

    Un objectif : donner goût à la Parole de Dieu.
    Fils de saint Ignace, les jésuites, comme tous les ignatiens, sont profondément marqués par l’expérience des Exercices Spirituels : découvrir qu’à travers la méditation de la Parole de Dieu, le croyant peut faire l’expérience de Dieu. Or trop souvent cette Parole est seulement entendue, et non pas réellement écoutée. Nous ressemblons alors à des canards : Heureux de nous baigner dans la Parole de Dieu, mais sans lui laisser la chance de nous rejoindre. Celle-ci aura tendance à glisser comme l’eau sur des plumes. Or Prie en Chemin offre justement la possibilité de s’arrêter, d’écouter à deux reprises le passage biblique, de voir comment il rejoint nos vie, à quelle conversion il nous invite. C’est faire l’expérience que la Parole de Dieu s’est incarnée en Jésus et qu’elle s’incarne à nouveau en chacun de nous, quand on se met à son écoute.

    Enfin un désir : faire connaître notre moteur intérieur.
    Le troisième point qui a fait pencher la balance pour se lancer dans l’aventure, aussi étrange qu’il puisse paraître, est celui des vocations… En effet quand on demande à un ignatien ce qui fait la spécificité des jésuites ou de telle ou telle congrégation ignatienne ou de la Communauté de Vie Chrétienne, il faut bien avouer qu’on revient un moment ou l’autre sur ce qui structure profondément notre vie : les Exercices Spirituels. On peut faire des vidéos pour présenter ce que nous faisons au quotidien ; on peut écrire des articles sur notre manière de contempler le monde, d’y être acteur aussi ; mais expliquer ce qui est à la source de nos vies semble plus compliqué : certes un attachement au Christ, certes un regard bienveillant, certes un goût des périphéries… Mais cela dit, au cœur de nos vies sont et resteront les Exercices Spirituels. Et Prie en Chemin a aussi pour but de permettre au plus grand nombre de s’en approcher, de découvrir la joie de suivre le Christ de cette manière, de le contempler dans sa Parole, d’entendre cette parole prendre un sens particulier dans son quotidien.

    Alors concrètement…
    une équipe de 3 personnes œuvre pour « Prie en Chemin » : une laïque responsable à mi-temps pour trouver des partenariats musicaux et des lecteurs, d’enregistrer les pistes et de mixer le tout ; deux jésuites pour coordonner la rédaction des pistes et la relecture de l’ensemble. Nous allons dans quelques jours fêter notre première bougie, lancer une campagne de communication et organiser une soirée avec nos lecteurs et rédacteurs pour faire une relecture de l’aventure !

    Pour conclure, avec Prie en Chemin, nous désirons aider nos contemporains à entrer dans un réelle écoute de la Parole de Dieu, d’avoir des oreilles pour entendre… bref à cheminer toujours davantage avec le Christ. Si vous désirez nous rejoindre, comme lecteur/lectrice, pour rédiger les pistes ou nous faire des retours pour améliorer l’ensemble, vous êtes les bienvenus.

    Plus d’informations :

    •  mail : info@prieenchemin.org

    • Page Facebook : https://www.facebook.com/prieenchemin/

    •  https://prieenchemin.org/accueil/ ou sur Android/iOS

  • RDC : l’Eglise et l’Etat en chiens de faïence 8 mois avant l’échéance électorale présumée.

    IMPRIMER

    la cenco rdc 000_JI9H6.jpgVendredi 13 avril, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) a exprimé sa préoccupation quant à la situation qui prévaut en RD-Congo. À 8 mois des élections, la Cenco s’est inquiétée des tensions entre le gouvernement congolais et la communauté internationale et a demandé des garanties sur la « machine à voter ». Lu sur le site de la Croix-Africa :

    « Vendredi 13 avril, en marge de l’Assemblée générale ordinaire de leur institution financière, les évêques congolais ont fait le point sur le processus électoral et ses enjeux sociopolitiques actuels de la RD-Congo. L’épiscopat congolais s’est dit « peiné » de constater les tensions entre l’État congolais et la communauté internationale.

    À lire aussi : Cardinal Laurent Monsengwo : « On ne peut refuser de l’aide quand on a les mains vides »

    Les divergences entre la communauté internationale et le gouvernement de RD-Congo se sont cristallisées autour de deux crises diplomatiques : la fermeture fin janvier de la Maison Schengen et le refus l’État congolais de participer à la conférence des donateurs en faveur de la RD-Congo qui a eu le 13 avril.

    Fermeture de la Maison Schengen

    La Maison Schengen, représentation consulaire en RD-Congo commune à dix-sept pays de l’Union Européenne et à la Norvège, est gérée par la Belgique. Elle a été fermée par les autorités congolaises après la décision de la Belgique de confier ses 25 millions d’aide en RD-Congo à des organismes humanitaires et acteurs de développement. Cette décision de la Belgique était intervenue en guise de protestation contre la répression des manifestations organisées par l’Église catholique et les mouvements citoyens entre décembre 2017 et février 2018.

    La déclaration des évêques congolais a été faite le jour où avait lieu à Genève la conférence des donateurs en faveur de la RD-Congo. Cette rencontre, qui avait pour but de collecter 1,7 milliard d’euros en vue d’aider la RD-Congo, a été boudée par le gouvernement congolais. La situation humanitaire est jugée particulièrement dramatique dans trois provinces de ce pays d’Afrique centrale : Tanganyika, Sud-Kivu et Kasaï. Cette conférence a été boudée par le gouvernement congolais.

    Le refus de Kinshasa de participer à la conférence des donateurs fait suite au classement de la RD-Congo au niveau L3, le plus haut degré de crise humanitaire. Dans le monde, seuls trois pays sont classés à ce niveau maximum d’alerte humanitaire : la Syrie, le Yémen et l’Irak.

    « On ne peut pas assister quelqu’un contre son gré »

    « Ce classement projette une image de catastrophe extrême et généralisée assimilant la situation en RD-Congo à certains pays du monde où se déroulent des guerres à haute intensité, a réagi le ministre congolais des Affaires étrangères, Léonard She Okitundu, mardi 3 avril. Ce n’est absolument pas le cas de la RDC qui fait plutôt face à des attaques non conventionnelles et asymétriques de groupuscules terroristes et groupes armés criminels ».

    La RD-Congo estime, en outre, n’avoir pas été associée à l’organisation de cette conférence des donateurs de Genève. « Nous ne permettrons pas à des gens de faire un travail si nous n’avons pas participé au programme, a déclaré Lambert Mendé, ministre de la communication, à RFI. On ne peut pas assister quelqu’un contre son gré ».

    Dans sa déclaration du 13 avril, la Cenco a plaidé pour que le « soulagement de la souffrance du peuple congolais soit mis au-dessus des revendications politiques que peuvent avoir les uns et les autres ». Elle a déploré que les citoyens congolais soient les victimes collatérales des tensions entre Kinshasa et la communauté internationale.

    À lire aussi :Joseph Kabila : « Nulle part, dans la Bible, Jésus-Christ n’a jamais présidé une commission électorale »

    Machines à voter

    Les évêques congolais se sont aussi prononcés sur la controverse liée aux machines à voter. La Commission électorale nationale indépendante de la RD-Congo (Céni) ambitionne d’introduire un système de vote par écran tactile lors des élections du 23 décembre 2018. La fiabilité de ces machines est remise en cause par les États-Unis et l’opposition congolaise qui craignent qu’elles ne soient des instruments de tricherie massive.

    La Cenco, dans sa déclaration du 13 avril, a exigé la certification de ces machines à voter par des « experts nationaux et internationaux afin de trouver un consensus capable de rassurer toutes les parties prenantes sur le volet technique et sur le volet juridique. »

    Ref. En RD-Congo, l’Église s’inquiète des tensions entre le gouvernement et la communauté internationale

    Et comme d’habitude, d’une dictature à l’autre,  la Belgique se trouve dans le rôle du bouc émissaire du pouvoir en place : un vieux fantasme post-colonial qui peut toujours servir.

    JPSC

  • Les chrétiens du Moyen-Orient voués à disparaître, même au Liban ?

    IMPRIMER

    De Patricia Khoder sur le site du quotidien L'Orient-le Jour :

    « Les chrétiens du Moyen-Orient pourraient disparaître dans une dizaine d’années, même du Liban »

    ENTRETIEN

    L’évêque syriaque-orthodoxe du Mont-Liban et de Tripoli, George Saliba, estime que « les chrétiens disparaîtront inévitablement du Moyen-Orient, même du Liban ». 

    Georges Saliba, évêque syriaque-orthodoxe du Mont-Liban et de Tripoli, n’est pas optimiste concernant l’avenir des chrétiens du Moyen-Orient. « Si la situation reste telle qu’elle est actuellement, les chrétiens du Moyen-Orient disparaîtront dans une dizaine d’années, même du Liban », dit-il dans un entretien à L’Orient-Le Jour.

    Le prélat, pourtant, n’est pas un pessimiste. C’est un homme tenace qui a la force et la foi. Originaire de Syrie, appartenant à une communauté victime de massacres et de déplacements, il est plus conscient que d’autres de la fragilité des chrétiens du Moyen-Orient. « 70 % des chrétiens de Syrie ont quitté leur pays depuis le début de la guerre en 2011. Le pays comptait plus de deux millions de chrétiens, toutes communautés confondues. Ils habitaient principalement Alep, Damas, Wadi el-Nassara et Hassaka (région connue sous le mandat français par al-Jazira, et qui regroupait une kyrielle de minorités). 85 % des chrétiens d’Irak, qui étaient environ un million et demi en 2003 à la chute de Saddam Hussein, ne vivent plus dans leur pays. Leur exode s’est accéléré avec l’arrivée du groupe État islamique en 2014. Ils étaient originaires de Bagdad, de Mossoul, de la plaine de Ninive, de Zakho et de Dohuk », explique-t-il.

    Ces chrétiens déplacés du Moyen-Orient se sont établis notamment au Canada, en Australie et en Europe dans des pays comme l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique. « Les chrétiens qui ont quitté la région ne reviendront plus chez jamais dans leur pays natal. Ils se regrouperont auprès de leurs églises, et leurs enfants perdront petit à petit leur appartenance au Moyen-Orient. Il y a 1 400 ans, nous avions perdu l’usage de notre langue araméenne à cause des conquêtes musulmanes. Aujourd’hui, à cause du fondamentalisme musulman, nous finirons par perdre la langue arabe que nous avons maîtrisée à merveille », s’insurge Mgr Saliba, un érudit qui connaît par cœur des milliers de poèmes dans les langues araméenne et arabe.

    « Au Liban, de nombreux chrétiens de la communauté syriaque, qui compte actuellement 80 000 âmes, sont partis avec le début de la guerre civile en 1975. La plupart d’entre eux, des descendants des rescapés des massacres de Seifo en 1916 sous l’Empire ottoman, ne détenaient pas la nationalité libanaise. C’est l’une des raisons qui les a poussés à partir », poursuit-il. 

    (Lire aussi : L’éreintant chemin de croix des chrétiens de Bagdad)

    « L’avenir appartient à l’islam » 

    Pour la majorité des chrétiens d’Orient, le Liban, avec son président maronite, son administration mixte, sa liberté de culte et son pluralisme, reste le pays idéal, dont ils rêvent en tant que refuge.

    « Le seul chef d’État libanais qui avait saisi l’importance du Liban pour les chrétiens d’Orient était Camille Chamoun. Il avait œuvré concrètement lors de son mandat (1952-1958) à faire du Liban un pays refuge pour tous les chrétiens d’Orient. Depuis, personne n’a vraiment été sensible au dossier des chrétiens de Turquie, de Palestine, de Syrie, d’Irak et de Jordanie », note-t-il. Camille Chamoun avait aidé de nombreux chrétiens de la région établis au Liban à avoir accès à la nationalité libanaise, sachant que cette nationalité ne s’acquiert pas par le droit du sol mais par le droit du sang. Mgr Saliba déclare en réponse à une question : « Il faut voir les choses en face, il est nécessaire que les dirigeants politiques chrétiens libanais se réveillent, estiment véritablement le danger et qu’ils agissent en conséquence. Mais vu la façon dont les choses se présentent, je ne suis pas du tout optimiste sur ce plan. »

    (Lire aussi : Quand seul un cimetière relie encore les réfugiés chrétiens à leur village natal)

    « Les Syriaques (comme les Arméniens, les Assyriens et les Grecs de Constantinople) sont des descendants de rescapés de massacres. Oui, il nous reste de nombreuses églises en Turquie, que ce soit à Tour Abdine, à Diarbakir, à Ourfa ou à Mardine… Oui, elles sont belles et vieilles et témoignent de l’ancienne appartenance chrétienne de la région. Mais à quoi servent-elles si elles sont vides et fermées, s’il n’y a plus de paroissiens ? » martèle l’évêque syriaque-orthodoxe, avant de poursuivre : « Ils disent que la superficie du Liban est de 10 452 km². À quoi servira-t-elle si ce pays se vide de ses chrétiens ? »

    Pour Mgr Saliba, un homme ouvert et tolérant et dont la porte est ouverte à tous, « l’avenir appartient à l’islam ». « Regardez ce qui se passe actuellement en Europe. L’Occident est athée, avec les changements démographiques et le déplacement des populations qui s’opèrent aujourd’hui, il finira par s’islamiser. Cette islamisation ne touchera pas uniquement le Moyen-Orient d’où les chrétiens auront disparu, mais toute l’Europe qui deviendra non seulement athée mais musulmane aussi », souligne-t-il en conclusion.

  • Les déclarations du cardinal Tauran au siège de la Ligue Islamique Mondiale à Ryad

    IMPRIMER

    De Sandro Magister, traduit sur le site diakonos.be :

    Ce qu’on avait encore jamais dit en Arabie Saoudite. La première fois de Tauran

    Le cardinal Jean-Louis Tauran, qui est président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, se trouve depuis le 13 avril dans la capitale d’Arabie Saoudite où il restera jusqu’au 20 avril pour rendre la visite faite au Vatican, le 20 septembre 2017, par le Secrétaire général de la Ligue Islamique Mondiale, le Sheikh Mohammed Abdul Karim Al-Issa.

    Accueilli par le principe Mohammed ben Abderrahmane ben Abdelaziz, vice-gouverneur de Ryad, le cardinal Tauran a tenu au siège de la Ligue Musulmane, pendant sa rencontre avec le Sheikh Al-Issa, un discours sans précédent dans l’histoire des rapports entre le christianisme et l’islam, non pas pour les choses qu’il a dites mais bien pour le lieu dans lesquelles il les a dites.

    C’est en effet la première fois qu’en Arabie Saoudite, dans la patrie du wahhabisme, c’est-à-dire de l’un des courants les plus radicaux de l’islam, un haut représentant de l’Eglise catholique s’exprime publiquement et avec netteté sur des questions cruciales telles que la liberté de religion et l’égalité des droits entre les croyants de toutes confessions.

    Voici une brève anthologie des déclarations que le cardinal Tauran a faites à Ryad, reprises par « l’Osservatore Romano » du 17 avril.

    Lire la suite sur diakonos.be

  • L’enseignement catholique et la francophonie au Moyen-Orient

    IMPRIMER

    "Savez-vous qu’il y a 329 écoles catholiques au Liban, 170 en Egypte, et 35 en Terre Sainte ? Implantées avant la fin de l’Empire ottoman, ces écoles restent un des principaux leviers de la francophonie aujourd’hui. Certaines écoles enregistrent même une nette augmentation des élèves qui choisissent le français comme première ou seconde langue.

    Organisé par l’Œuvre d’Orient et le Secrétariat Général des écoles Catholiques au Liban se tient aujourd’hui et demain à Beyrouth un colloque sur la Francophonie au Moyen-Orient."

    Reportage sur ces écoles au Moyen-Orient publié par le site web « France Catholique » :

     

    Ref. L’enseignement catholique et la francophonie au Moyen-Orient

    JPSC

  • Le pape Benoît XVI fête ses 91 ans

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Pro Liturgia » de Denis Crouan :

    « Le pape émérite Benoît XVI fête ses 91 ans. Très bon anniversaire et meilleurs vœux, Saint Père !
    Cliquer ici pour voir quelques images retraçant le parcours de Joseph Ratzinger.
    Et quand la Bavière s'invite au Vatican, ça donne cela... »


    Ref. Pro Liturgia

    JPSC

  • Vincent Lambert et Alfie Evans : le pape plaide pour que tout patient soit toujours respecté dans sa dignité et soigné de manière adaptée à son état

    IMPRIMER

    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Le pape François plaide pour Vincent Lambert et Alfie Evans

    « Que tout patient soit toujours respecté dans sa dignité et soigné de manière adaptée à son état »

    Le pape François plaide pour le petit Anglais Alfie Evans et pour Vincent Lambert et il appelle à prier pour eux et leurs familles en disant notamment: « Prions pour que tout patient soit toujours respecté dans sa dignité et soigné de manière adaptée à son état ».

    Le pape a en effet lancé un appel, en italien, après la prière mariale du Regina Caeli de ce dimanche 15 avril 2018, place Saint-Pierre, devant quelque 30 000  personnes.

    Le pape a mobilisé la prière des chrétiens en disant: « Je confie à votre prière les personnes comme Vincent Lambert, en France, petit Alfie Evans, en Angleterre, et d’autres dans plusieurs pays, vivant, parfois depuis longtemps, dans un état de sérieux infirmité, médicalement assistée pour les besoins primaires. »

    « Ce sont des situations délicates, très douloureuses et complexes », a reconnu le pape qui a confié aux baptisés cette intention de prière: « Prions pour que tout patient soit toujours respecté dans sa dignité et soigné de manière adaptée à son état, avec la contribution concordante des membres de la famille, des médecins et des autres agents de santé. »

    Le pape François avait publié ce tweet déjà à propos du petit Alfie Evans, sur son compte @Pontifex_fr, le mercredi 4 avril 2018: « J’espère sincèrement que tout le possible sera fait pour continuer à accompagner avec compassion le petit Alfie Evans, et que la profonde souffrance de ses parents pourra être écoutée. Je prie pour Alfie, pour sa famille, et pour tous ceux qui sont concernés. »

    Ce bébé britannique de 22 mois se trouve dans un « état semi-végétatif », pour lequel la justice du pays a statué sur l’arrêt du traitement : une décision à laquelle s’opposent les parents de l’enfant, Kate James et Tom Evans. Le président de l’Académie pour la Vie, Mgr Vincenzo Paglia publie également ce dimanche 15 avril un communiqué, en italien, où il lance un appel et affirme: « Alfie ne peut pas être abandonné, Alfie doit être aimé et de même ses parents, jusqu’au bout. »

    Il souhaite que le « dialogue » soit renoué et une « collaboration » entre les parents « bouleversés par la douleur, cela se comprend », et les autorités de l’hôpital, de façon à chercher « le bien intégral d’Alfie », et que « le soin de sa vie ne soit pas réduit à une controverse légale ».

    Quant à Vincent Lambert, 41 ans, l’hôpital où il se trouve, le CHU de Reims, en France, a décidé de la suspension de l’alimentation et de l’hydratation, alors qu’il n’est pas en fin de vie mais en état de grand handicap, comme l’atteste sa mère, Viviane Lambert – qui a publié, chez Plon, « Pour la vie de mon fils » -, et des médecins, et ceci depuis une dizaine d’années. L’enjeu c’est, avec lui, le sort de plus de 1 500 personnes dans la même situation en France.

    À la suite d’un accident de la route survenu en 2008, Vincent Lambert, né le 20 septembre 1976, plonge dans un état de conscience minimal, dit « pauci-relationnel », ou plus encore de « conscience minimale plus ». Le 10 avril 2013, après plusieurs années passées à essayer sans succès d’améliorer cet état, l’équipe médicale chargée de son cas décide – après avoir consulté sa femme mais sans avis de ses parents ni de ses frères et sœurs – de cesser de l’alimenter et de l’hydrater.

    L’absence de consultation du reste de la famille aboutit à une annulation de la décision par un tribunal. De nouveau un médecin vient de décider de l’arrêt de ces deux éléments indispensables à la vie.

    La Fondation Jérôme Lejeune (Jean-Marie Le Méné) résume ainsi la situation médicale: « Tétraplégique, Vincent Lambert n’est ni sans conscience (même s’il est dans un état de conscience altérée) ni sans relation (même s’il est dans un état pauci-relationnel). On ne peut donc absolument pas dire de sa vie qu’elle est végétative. Un enfant de trois ans comprend tout seul que ce jeune homme est vivant. Il bouge, il tourne la tête, il regarde. Vincent n’est pas en fin de vie, il n’est pas malade, il ne souffre pas. Il respire normalement. Il a juste une sonde gastrique, ce qui, jusqu’à preuve du contraire ne relève pas d’un acharnement thérapeutique ni d’une obstination déraisonnable. Son cas est comparable à celui de milliers de personnes victimes, comme lui, d’un accident de la route. Tel est le témoignage de ses parents qui lui rendent visite tous les jours, de ses proches, des avocats qui l’ont défendu avec détermination, mais aussi des 23 spécialistes qui ont récemment adressé un courrier à l’hôpital de Reims.  »

    Voilà deux situations, bien différentes, sauf par leur aspect tragique, pour laquelle le pape François appelle à la prière.