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Films - Page 19

  • Benoît Mariage ou quand un cinéaste va à la messe...

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    Des Echos Sainte-Julienne (Salzinnes) - Dimanche n°2, mars-avril 2014 (version papier)

    Benoît Mariage, un cinéaste à la messe

    En pleine campagne promotionnelle de son film Les rayures du zèbre, Benoît Mariage évoque l'origine de son retour à la foi.

    Benoît Mariage, vous allez à la messe ?

    Benoît Mariage. Ça fait très longtemps que je n'y allais plus surtout. Plus de trente ans ! Pourtant, j'ai eu une éducation chrétienne, j'ai été enfant de chœur à la paroisse de Jambes Montagne, puis à l'adolescence, j'ai quitté l'église pour y retourner à cinquante ans...

    Qu'est-ce qui s'est passé ?

    En fait, j'ai très souvent ressenti une entrave profonde au bonheur, comme des blessures, des freins qui m'empêchaient d'être pleinement présent et d'avoir une vraie joie. Et je me suis dit : comment guérir de ces blessures ? Longtemps, j'ai consulté et ai été voir des thérapeutes. J'ai fait tout un travail psychologique où j'ai nommé les choses pour aller vers la vérité de mon histoire. Souvent, je me suis dit : «J'ai un cœur de pierre et qui va me guérir de ce cœur de pierre ?» Et je me suis tout doucement rapproché, par des lectures et des rencontres du spirituel, comme outil de guérison. Pour sauver, en quelque sorte ma peau... Aujourd'hui, très modestement, je prie et... je vais à la messe, malgré une vraie réticence de départ liée à un fort penchant à l'autonomie et l'individualité. Un ami m'a dit un jour : «Attends, être chrétien, ce n'est pas être seul dans son coin». Titillé par ces propos, je suis allé une première fois à la messe, et puis si j'y retourne aujourd'hui, c'est parce que l'office dégage beauté et profondeur. J'aime tout particulièrement la chorale, je suis sensible à la sensualité de cette messe...

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  • Quand deux films mettent l'Eglise en cause sur les écrans

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    De Frédérique de Watrigant sur France Catholique :

    Beaucoup comptent sur le pape François pour réconcilier l’Eglise avec ceux qui ne l’aiment pas et au regard de deux films sortis en tout début de cette nouvelle année, ce n’est pas gagné. Chacun aborde un épisode très contemporain de l’histoire de l’Eglise, et si l’un des deux est totalement romancé, l’autre relate une histoire réelle. Tous les deux ont en commun cependant de scruter avec plus ou moins de bonheur l’incompréhension que suscite l’Eglise dans les positions qu’on lui prête sur la sexualité.

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  • BXL, 9 décembre : soirée ciné-débat consacrée à la détention des étrangers

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    A loccasion du 65ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de lHomme,

    le Jesuit Refugee Service Belgium vous invite à une soirée ciné-débat sur la détention des étrangers comme instrument de la politique migratoire.

     

    5 centres fermés pour étrangers en Belgique :

    le saviez-vous ?

     

    Chaque année, 7000 personnes sont détenues en Belgique en vue de leur expulsion.

    Est-ce une nécessité ?  A quel prix ?

     

    Lundi 9 décembre au Cinéma des Galeries

    Galerie de la Reine, 26 à 1000 Bruxelles

     

    18h30 Film « The Visitor » de Thomas Mc Carthy

    20h30 Sandwich-bar

    21h00 Témoignage - Débat

     

    Merci de diffuser cette invitation via votre mailing-list ou votre page facebook (lien : 7000 étrangers en détention)

     

      

    PAF libre - Réservation souhaitée avant le 4 décembre : barbara@jrsbelgium.org

  • Un incontournable pour les adeptes du 7e art

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    CouvDictionnaireCinemaweb.JpgDictionnaire passionné du cinéma

    Laurent Dandrieu. 1408 p.

    Comment s’y retrouver dans une production cinématographique surabondante, et de plus en plus accessible au gré des rééditions vidéo, mais aussi de la multiplication des chaînes de télévision ? Comment distinguer ce qui vaut la peine d’être vu de ce qui est une simple perte de temps, les films qui élèvent de ceux qui dégradent, ceux qui ouvrent au spectateur de nouveaux horizons de ceux qui l’enferment dans une vision négative de l’existence ?
    Offrant une sélection très large du cinéma récent, mais aussi des grands classiques, chefs-d’œuvre, curiosités ou fausses valeurs que le septième art a produits depuis l’origine, Laurent Dandrieu présente 6000 films à regarder ou à éviter. Par rapport aux autres dictionnaires existants, son Dictionnaire passionné du cinéma offre la singularité de voir un même et unique critique analyser un très large éventail de films, en toute indépendance de jugement, sans égard pour les notoriétés établies et les admirations obligatoires.
    Au passage, ces pages sont l’occasion de décrypter le monde tel qu’il va ou tel qu’il ne va pas ; à travers le miroir qu’en fournit la production cinématographique du monde entier, c’est ainsi un état des lieux de la modernité, de l’esprit du siècle et de sa conception de l’homme qui se dessine.

    Laurent Dandrieu suit l’actualité cinématographique pour "Valeurs actuelles", où il est également rédacteur en chef adjoint Société. Il a publié en 2010 un essai remarqué : "Woody Allen, portrait d’un antimoderne".

    Aux Editions de l'Homme Nouveau / 1408 pages / 6000 films / Index par réalisateur / 34,90 €
  • The Way, un film ostracisé ?

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    Ce film serait-il distribué sur nos écrans ? Allez savoir pourquoi...

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  • La vie d'Adèle

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    La Vie d'Adèle, le zèle du désir

    A lire sur le Figaro, LA CHRONIQUE D'ÉRIC NEUHOFF:

    Palme d'or à Cannes, le film d'Abdellatif Kechiche raconte une histoire passionnelle entre deux filles. Les scènes d'amour s'étirent et se répètent.

    Il faudrait vraiment que quelqu'un offre une montre à Abdellatif ­Kechiche. Son film dure trois heures. Tout ça pour raconter quoi? La guerre de Sécession? La révolution russe? Vous n'y êtes pas: juste l'histoire d'amour entre deux filles dans le nord de la France.

    Soupçonnant la fragilité de son sujet, Kechiche l'étire, l'étale, confond ampleur et redondance. L'absence d'un producteur à la Selznick se fait cruellement sentir. Déçue par son expérience avec un garçon, une lycéenne jette son dévolu sur une demoiselle aux cheveux bleus. Ce détail prouve que cette dernière est une artiste. Elle sirote du lait fraise, parle de Sartre. La cadette l'écoute bouche bée. Elles se plaisent, se rapprochent. Leurs corps se découvrent dans des étreintes sonores, ponctuées de bruits d'évier. Elles s'épuisent dans des gymnastiques pas encore homologuées aux Jeux olympiques. Ces séquences n'en finissent pas. Au bout d'un moment, cela ressemble à un combat de catch de Borat. Ça n'était visiblement pas le but recherché.

    Lire la suite sur le Figaro

  • Ce soir sur Arte : l'horreur du génocide perpétré par les Khmers Rouges

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    "L'Image manquante": retour sur le drame cambodgien; de François Forestier sur TéléObs

    Film de  Rithy Panh, ce mercredi à 20h50 sur Arte.

    L'image manquante

    Le cinéaste du massacre : Rithy Panh, enfant du drame cambodgien, a consacré son oeuvre à son pays. Depuis "Cambodia, entre guerre et paix" (1991) jusqu'à "l'Image manquante" (2013), en passant par "Un soir après la guerre" (1997) et "S21, la machine de mort khmère rouge" (2002), tous ses films se réfèrent à la période de la dictature communiste (1975-1979), qui a fait plus de deux millions de morts (soit un quart de la population), période qui n'a rien à envier à la bestialité nazie. Le mystère demeure sur l'aveuglement des grandes puissances, sur la complicité des partis maoïstes, sur la raison profonde de ce sang versé.

    Ce qui demeure, en revanche, c'est l'extraordinaire traumatisme dont Rithy Panh se fait le témoin : fils d'une famille de paysans (mais son père fut aussi instituteur), le cinéaste a, dans sa jeunesse, été interné dans un camp de concentration : ses parents, ses proches, ses amis, eux, ne s'en sont pas sortis. Rithy Panh, par miracle, a survécu. Destiné à être menuisier, il a choisi de suivre des cours de cinéma à son arrivée en France, dans les années 1980. Et dès ses débuts de cinéaste, il a consacré ses films au Cambodge. "Les Gens de la rizière" (1994) est l'histoire d'une famille de cultivateurs dont le destin est celui du malheur : c'est la préfiguration des autres oeuvres de Panh. Où est passé ce pays qu'il a connu dans son enfance ? Disparu, balayé par l'ouragan de la dictature. Seul le cinéma pourra (peut-être) faire retrouver l'identité de la tradition khmère : désormais, Rithy Panh se consacre à la collation des images datant de l'ère communiste, images rassemblées au Centre des Ressources audiovisuelles du Cambodge.

    Dans son dernier film, "l'Image manquante", prix de la section "Un certain regard" du Festival de Cannes 2013, le cinéaste constate, cependant, que les images, justement, manquent. De cette absence il tire des passionnantes questions sur l'Histoire et l'oubli. Que sommes- nous sans images ? Qui sommes-nous sans le cinéma ? Rithy Panh est un artiste de la mémoire.

    François Forestier

  • Sur les écrans... (5/10/2013)

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    Dernières sorties cinéma - http://www.lecran.fr/
    Diana
    Vous vouliez du protocole ? De l’allure ? De la diplomatie, de la négociation … Vous vouliez par exemple voir comment Lady Di a réussi son retour après son divorce et d’autres engrenages politiques encore ? Allez voir ailleurs ! Retournez...
     
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    Il est de retour et ça va encore saigner ! Suite au succès du premier opus en 2010, issu d’une fausse bande-annonce Grindhouse, la suite (qui avait été annoncée) arrive enfin et reste dans lignée du précédent film. Gore, fusillades,...
     
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    Jasmine est probablement un des meilleurs films de Woody Allen, rien que ça...
    En premier lieu il porte bien la signature de son auteur (à la fois scénariste et réalisateur). On y retrouve les introspections nerveuses (quoique bien moins insupportables que dans...
     
    2 Guns (libre accès)
    N'écoutez pas les mauvaises langues et, particulièrement, la presse française. Ce film est loin, très loin d'être un navet.
    Bien sûr, il est vrai que l'idée d'un duo de flics dépareillé (un rigolo, et un noir sérieux,...
     
    Rush
    Deux machines humaines, dans des machines à rouler. La fascination pour le sport automobile ne pouvait que se repaître du long duel qui opposa Niki Lauda et James Hunt dans les années 80.
    Mais ce genre de film est très délicat. On se souvient de la grosse...
     
    Players
    Richie, étudiant de Princeton, se fait enrôler par Ivan, mafieux gérant de sites de jeux de hasard. Dès leur rencontre, une sorte de partie se lance, où leur vie et leur argent sont en jeu. Il n’y a pas assez de place pour tous les requins qui pullulent au...
     

  • "Profilage" ou une mauvaise série au service de l'éthiquement correct

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    C'est Pierre Vallinat sur le blog "La Table Ronde" qui relève la chose :

    Quand TF1 promeut la GPA…

    Il m’est arrivé, la semaine dernière, de regarder TF1, un soir d’oisiveté. Je tombai sur une série policière française du nom de Profilage. Passons sur la médiocrité générale du scénario, du jeu des acteurs et de l’intérêt des personnages.  Mais ce sur quoi on ne peut passer, c’est l’abjection des messages idéologiques qui s’y trouvent, clichés sociaux et autres victimisations militantes.  Je vous le donne en mille : dans le premier épisode, un transsexuel, ancienne victime de persécutions homophobes qui s’est caché grâce à son changement de sexe.

    Et ce n’est qu’un avant-goût : dans le deuxième épisode, c’est carrément un couple pris en flagrant délit de GPA qu’on excuse bien volontiers ! Emouvante scène qui fait appel à l’humanité de chacun, quand le flic, découvrant que la femme enceinte victime d’une agression était une mère porteuse, va trouver le mari :

    « – La gestation pour autrui est interdite en France, vous le savez bien.

    - Je le sais, répond le mari. Mais vous savez, même si ça nous  rapporte de l’argent, on a fait ça avant tout pour aider ces gens. Pour leur donner la chance d’avoir un enfant.

    - Je comprends, conclut le flic. »

    Et à partir de là, ni les clients, ni les « fournisseurs » ne seront plus inquiétés. Inutile de raconter l’histoire dans le détail, mais tous sont bien sûr les victimes. Et c’est ainsi que l’épisode, une fois la mère porteuse rétablie et l’agresseur arrêté, s’achève sur la magnifique scène de la passation du bébé. Sur fond de musique émouvante, le nouveau-né passe de mains en mains, et les clients rayonnant quittent l’hôpital avec le bébé sous le bras. Le tout sous le regard bienveillant des policiers. Et rassurez-vous, on épargne au téléspectateur attendri la scène dans laquelle la mère porteuse et son mari palpent les vingt mille euros convenus au départ. À peine est-ce évoqué en début d’épisode, de sorte qu’on en vient à penser qu’il s’agit là d’un don gratuit et altruiste. On ne va pas casser tout ça en rappelant aux gens que le mouflet fait l’objet d’une transaction financière !

    Ce qu’il faut retenir de cette histoire (qui, convenons-en, ne change pas la face du monde), c’est que même si c’est malsain, crétinisant et, en plus, mal joué, il peut être bon d’avoir la curiosité de regarder TF1 de temps en temps. Histoire d’avoir bien conscience de la m**** devant laquelle le Français moyen s’abrutit plus de trois heures par jour.

    Profilage, saison 4, épisode 7 « Juste avant l’oubli »

    Profilage, saison 4, épisode 8 « De père en fils »

    Pour les visionner et laisser un commentaire à TF1, c’est ici.

  • Sur les écrans... (29/9/2013)

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    Blue Jasmine
    Jasmine est probablement un des meilleurs films de Woody Allen, rien que ça...
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  • Sur les écrans...

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    Riddick... La légende, les phrases mytho, le gros-guerrier-de-la-mort-qui-tue-qui-n'a-jamais-peur-des-gros-méchants-parce-que-c'est-le-meilleur...
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    Sur quel aspect de sa vie passionnante le film...
     
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    Encore une comédie française, cette fois sur fond de pétanque et de Provence. Un sujet plutôt original, sur l’idée de l’acteur principal Atmen Kelif, un casting sympathique et un cadre appréciable, le film avait a priori tout pour être un...
     

  • Les films qui sortent sur les écrans

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    Dernières sorties cinéma (l'Ecran)
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    Il s’agit de l’adaptation de l’ouvrage scientifique du même nom du psychanalyste et anthropologue Georges Devereux publié en 1951 et qui relatait l’expérience de l’auteur dans son traitement du traumatisme psychologique d’un indien Blackfoot...

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