Cristeros un combat pour la liberté (voir ICI)
Un film de Dean Wright
SORTIE DU DVD LE 17 NOVEMBRE 2014.
Pré-commande possible.
Envoi prioritaire à la sortie du DVD.
Prix spécial DVD : 19.45 €
A commander à "Livres en Famille" : http://www.livresenfamille.fr/p10059-un_film_de_dean_wright_cristeros_....._pre_commande_possible..._envoi_prioritaire.html
Films - Page 20
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Bientôt disponible : le DVD de Cristeros, un combat pour la liberté
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L'Apôtre, un film à découvrir
Rencontre avec la réalisatrice sur le site du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron :Cheyenne Carron est une jeune réalisatrice, productrice et scénariste française. A l'occasion de la parution prochaine de son nouveau film, l'Apôtre, nous avons souhaité l'interviewer, ce qu'elle a gracieusement accepté de faire pour le site www.diocese64.org.
Ce qui anime cette femme? la charité. Cette charité pousse le héros de son film à se convertir à la suite d'un événement bouleversant qu'elle même a réellement vécu ; et la mène aussi sur le chemin de son baptême qui aura lieu à Pâques.
Silence...on tourne!propos recueillis par Thibault Luret pour le site www.diocese64.org
Cheyenne, pourriez-vous présenter le film "l'Apôtre" dont vous êtes la réalisatrice?
L'Apôtre est mon cinquième long métrage. Ce film raconte le récit d'un jeune musulman appelé à devenir imam, mais qui voit son identité bouleversée alors qu'il est touché par l'amour du Christ. Dans un chaos familial qui l'oppose à son frère, Akim tentera de se faire accepter par les siens. Lire l'interview complète réalisée sur le site officiel de Cheyenne Carron
Pour les chrétiens, l'évangélisation est une mission fondamentale: étiez-vous, à l'origine du projet, animée par cette volonté de témoigner?
L'origine du projet est marqué par un événement bouleversant que j'ai vécu lorsque j'avais 19 ans et dont j'ai voulu, par ce film, conserver la trace. La sœur du prêtre de mon village a été tuée. Étranglée par le fils de ses voisins. Je connaissais cette femme, elle était d’une bonté rare. Après le meurtre, le prêtre a dit qu’il souhaitait rester vivre auprès des parents du meurtrier de sa soeur, car sa présence les aiderait à vivre. C’était une famille musulmane d’origine marocaine. Ces paroles et ces actes m’ont profondément marquée.
Cet acte de Charité si beau est, dans le film, le point de départ du désir de conversion de mon héros, Akim. Touché par ce message, il décide d’aller sur le chemin de la conversion.
Le film l'Apôtre c'est avant tout pour moi une volonté de laisser le souvenir d'un saint homme anonyme que j'ai connu dans ma jeunesse. Il s'agit de ce prêtre. Des saints anonymes catholiques, il en existe beaucoup en France!
Par ce film, j'ai voulu que le geste de ce prêtre à la mort de sa soeur soit pour toujours gravé quelque part, et qu'on ne l'oublie jamais.
Pour vous, qu'est-ce-qu'un apôtre?
Un héros. Car aujourd'hui, l'Eglise et les chrétiens sont régulièrement malmenés. Y compris en France!
Un apôtre est quelqu'un qui témoigne de sa foi, au risque de ne pas suivre l'air du temps, la mode, ou la "bien-pensance".
Comment être apôtre aujourd'hui?
Je n'ai pas de "marche à suivre". Selon moi, chacun doit trouver sa voie. Ce qui est sûr, par contre, c'est que notre Église a besoin de fidèles courageux !
Les relations avec les chrétiens sont régulièrement entachées par des actes de violence. Condamnez-vous ces actes anti-chrétiens?
Les actes de violence contre les chrétiens sont le fait d'une minorité d'extrémistes qui ne sont réellement combattus par personne. Si tel était le cas, les massacres auraient déjà cessé ou tout du moins diminué.
Étonnamment, en France, on a trop souvent tendance à défendre les "rebelles" syriens ou libyens alors que ce sont ceux-là même qui persécutent les chrétiens.
Par ce film vous montrez malgré cela que le "pardon" coûte, mais qu'il sauve et guérit les blessures. Pardonnez-vous facilement? Acceptez-vous que Dieu puisse aussi vous pardonner?
Le plus bel exemple de pardon, je l'ai eu en exemple par le prêtre de ma jeunesse. Ce prêtre m'a montré la grandeur de l'Amour qui anime les chrétiens, il est mon exemple.
Il y a deux ans, j'ai commencé mon chemin vers le baptême. Je suis Catéchumène, et serai baptisée à la Veillée pascale 2014. Et pourtant je me sens encore bien loin d'atteindre un bon niveau de piété!
Effectivement le pardon guérit de tout. Mais il y a des "pardons" que j'ai encore bien du mal à donner..
Pour vous, un évêque doit-il, en pasteur, être à la tête des catholiques pour annoncer au monde ce qu'ils ont à lui dire?
Absolument.
Vous appartenez à l'univers du cinéma, de l'art et de la culture. Alors que beaucoup de vos confrères ont tendance à avoir un regard idéologique sur l'Eglise, vous apparaissez comme une exception. Le revendiquez-vous?
Je ne "revendique" rien. Il en est ainsi et c'est tout. Moi j'aime l'Eglise, et je le dis, peu importe l'univers culturel qui m'entoure.
Quelle est votre saint(e) préféré(e)?
Sainte Clothilde ! Elle était l'épouse de Clovis, premier roi des Francs, qui s'est converti au christianisme. C'est elle qui l'a aidé dans son chemin de conversion. Elle était très pieuse. C'était une bonne reine, une bonne mère et la première reine catholique canonisée!
Un petit mot pour les catholiques du Sud-Ouest?
Pour les catholique du Sud-ouest, comme pour tous les autres: Soyons tous solidaires où que nous soyons. Et affirmons notre foi avec fierté, douceur et joie!
Se procurer le DVD du film qui risque peu de passer sur vos écrans...
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KTO: débat sur le film "Cristeros"
JPSC
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L'Europe unie pour bénéficier du porno sans frontière
Lu sur lefigaro.fr :
"L'Europe unie, c'est le porno sans frontières"
Joseph Daul, le président du Parti conservateur européen, a vanté mardi les avantages d'une Europe unie en expliquant que voir des films pornographiques était beaucoup plus compliqué du temps des frontières et des monnaies nationales.
Dans une interview au quotidien Les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA), le président du Parti populaire européen (PPE, qui regroupe notamment la CDU allemande et l'UMP française) revient sur les grands moments de son engagement politique, en évoquant notamment ses rencontres avec les présidents Barack Obama et Vladimir Poutine.
Au détour d'une question sur la manière de convaincre les électeurs de voter aux élections européennes du 25 mai, M. Daul - qui a grandi en Alsace à quelques kilomètres de la frontière allemande - évoque ses souvenirs de jeunesse, à une époque où les Européens étaient encore soumis à des contrôles aux frontières et ne disposaient pas d'une monnaie unique.
"Quand j'ai des groupes de jeunes visiteurs (au parlement européen) qui me disent que l'Europe ne sert à rien, je leur parle de la protection de l'environnement, de la sécurité alimentaire", explique le député de 67 ans.
"Et puis je leur dis qu'à leur âge, à 18 ans, quand je voulais aller à Kehl", ville frontalière de Strasbourg, "pour voir les films pornos qui étaient interdits en France, il fallait parfois deux heures et demie pour passer la douane! On arrivait au cinéma et le film était terminé!".
"Et puis une fois sur deux, j'avais oublié le porte-monnaie avec les marks! Quand on leur explique des choses comme ça, aux jeunes, ils voient tout de suite à quoi sert l'Europe", conclut M. Daul.
Le député français, qui préside depuis 2007 le principal groupe politique du Parlement européen, ne sera pas candidat à un nouveau mandat en mai prochain.
Il entend se consacrer pleinement à la présidence du Parti populaire européen (PPE), à laquelle il a été élu en novembre.
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Benoît Mariage ou quand un cinéaste va à la messe...
Des Echos Sainte-Julienne (Salzinnes) - Dimanche n°2, mars-avril 2014 (version papier)
Benoît Mariage, un cinéaste à la messe
En pleine campagne promotionnelle de son film Les rayures du zèbre, Benoît Mariage évoque l'origine de son retour à la foi.
Benoît Mariage, vous allez à la messe ?
Benoît Mariage. Ça fait très longtemps que je n'y allais plus surtout. Plus de trente ans ! Pourtant, j'ai eu une éducation chrétienne, j'ai été enfant de chœur à la paroisse de Jambes Montagne, puis à l'adolescence, j'ai quitté l'église pour y retourner à cinquante ans...
Qu'est-ce qui s'est passé ?
En fait, j'ai très souvent ressenti une entrave profonde au bonheur, comme des blessures, des freins qui m'empêchaient d'être pleinement présent et d'avoir une vraie joie. Et je me suis dit : comment guérir de ces blessures ? Longtemps, j'ai consulté et ai été voir des thérapeutes. J'ai fait tout un travail psychologique où j'ai nommé les choses pour aller vers la vérité de mon histoire. Souvent, je me suis dit : «J'ai un cœur de pierre et qui va me guérir de ce cœur de pierre ?» Et je me suis tout doucement rapproché, par des lectures et des rencontres du spirituel, comme outil de guérison. Pour sauver, en quelque sorte ma peau... Aujourd'hui, très modestement, je prie et... je vais à la messe, malgré une vraie réticence de départ liée à un fort penchant à l'autonomie et l'individualité. Un ami m'a dit un jour : «Attends, être chrétien, ce n'est pas être seul dans son coin». Titillé par ces propos, je suis allé une première fois à la messe, et puis si j'y retourne aujourd'hui, c'est parce que l'office dégage beauté et profondeur. J'aime tout particulièrement la chorale, je suis sensible à la sensualité de cette messe...
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Quand deux films mettent l'Eglise en cause sur les écrans
De Frédérique de Watrigant sur France Catholique :
Beaucoup comptent sur le pape François pour réconcilier l’Eglise avec ceux qui ne l’aiment pas et au regard de deux films sortis en tout début de cette nouvelle année, ce n’est pas gagné. Chacun aborde un épisode très contemporain de l’histoire de l’Eglise, et si l’un des deux est totalement romancé, l’autre relate une histoire réelle. Tous les deux ont en commun cependant de scruter avec plus ou moins de bonheur l’incompréhension que suscite l’Eglise dans les positions qu’on lui prête sur la sexualité.
Lire la suite sur France Catholique
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BXL, 9 décembre : soirée ciné-débat consacrée à la détention des étrangers
A l’occasion du 65ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme,
le Jesuit Refugee Service Belgium vous invite à une soirée ciné-débat sur la détention des étrangers comme instrument de la politique migratoire.
5 centres fermés pour étrangers en Belgique :
le saviez-vous ?
Chaque année, 7000 personnes sont détenues en Belgique en vue de leur expulsion.
Est-ce une nécessité ? A quel prix ?
Lundi 9 décembre au Cinéma des Galeries
Galerie de la Reine, 26 à 1000 Bruxelles
18h30 Film « The Visitor » de Thomas Mc Carthy
20h30 Sandwich-bar
21h00 Témoignage - Débat
Merci de diffuser cette invitation via votre mailing-list ou votre page facebook (lien : 7000 étrangers en détention)
PAF libre - Réservation souhaitée avant le 4 décembre : barbara@jrsbelgium.org
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Un incontournable pour les adeptes du 7e art
Dictionnaire passionné du cinéma
Laurent Dandrieu. 1408 p.
Comment s’y retrouver dans une production cinématographique surabondante, et de plus en plus accessible au gré des rééditions vidéo, mais aussi de la multiplication des chaînes de télévision ? Comment distinguer ce qui vaut la peine d’être vu de ce qui est une simple perte de temps, les films qui élèvent de ceux qui dégradent, ceux qui ouvrent au spectateur de nouveaux horizons de ceux qui l’enferment dans une vision négative de l’existence ?
Offrant une sélection très large du cinéma récent, mais aussi des grands classiques, chefs-d’œuvre, curiosités ou fausses valeurs que le septième art a produits depuis l’origine, Laurent Dandrieu présente 6000 films à regarder ou à éviter. Par rapport aux autres dictionnaires existants, son Dictionnaire passionné du cinéma offre la singularité de voir un même et unique critique analyser un très large éventail de films, en toute indépendance de jugement, sans égard pour les notoriétés établies et les admirations obligatoires.
Au passage, ces pages sont l’occasion de décrypter le monde tel qu’il va ou tel qu’il ne va pas ; à travers le miroir qu’en fournit la production cinématographique du monde entier, c’est ainsi un état des lieux de la modernité, de l’esprit du siècle et de sa conception de l’homme qui se dessine.
Laurent Dandrieu suit l’actualité cinématographique pour "Valeurs actuelles", où il est également rédacteur en chef adjoint Société. Il a publié en 2010 un essai remarqué : "Woody Allen, portrait d’un antimoderne". -
The Way, un film ostracisé ?
Ce film serait-il distribué sur nos écrans ? Allez savoir pourquoi...
De Présent :
![Scan0051[2].jpg](http://www.belgicatho.be/media/01/01/2524090286.jpg)

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La vie d'Adèle
La Vie d'Adèle, le zèle du désir
A lire sur le Figaro, LA CHRONIQUE D'ÉRIC NEUHOFF:
Palme d'or à Cannes, le film d'Abdellatif Kechiche raconte une histoire passionnelle entre deux filles. Les scènes d'amour s'étirent et se répètent.
Il faudrait vraiment que quelqu'un offre une montre à Abdellatif Kechiche. Son film dure trois heures. Tout ça pour raconter quoi? La guerre de Sécession? La révolution russe? Vous n'y êtes pas: juste l'histoire d'amour entre deux filles dans le nord de la France.
Soupçonnant la fragilité de son sujet, Kechiche l'étire, l'étale, confond ampleur et redondance. L'absence d'un producteur à la Selznick se fait cruellement sentir. Déçue par son expérience avec un garçon, une lycéenne jette son dévolu sur une demoiselle aux cheveux bleus. Ce détail prouve que cette dernière est une artiste. Elle sirote du lait fraise, parle de Sartre. La cadette l'écoute bouche bée. Elles se plaisent, se rapprochent. Leurs corps se découvrent dans des étreintes sonores, ponctuées de bruits d'évier. Elles s'épuisent dans des gymnastiques pas encore homologuées aux Jeux olympiques. Ces séquences n'en finissent pas. Au bout d'un moment, cela ressemble à un combat de catch de Borat. Ça n'était visiblement pas le but recherché.
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Ce soir sur Arte : l'horreur du génocide perpétré par les Khmers Rouges
"L'Image manquante": retour sur le drame cambodgien; de François Forestier sur TéléObs
Film de Rithy Panh, ce mercredi à 20h50 sur Arte.
L'image manquante
Le cinéaste du massacre : Rithy Panh, enfant du drame cambodgien, a consacré son oeuvre à son pays. Depuis "Cambodia, entre guerre et paix" (1991) jusqu'à "l'Image manquante" (2013), en passant par "Un soir après la guerre" (1997) et "S21, la machine de mort khmère rouge" (2002), tous ses films se réfèrent à la période de la dictature communiste (1975-1979), qui a fait plus de deux millions de morts (soit un quart de la population), période qui n'a rien à envier à la bestialité nazie. Le mystère demeure sur l'aveuglement des grandes puissances, sur la complicité des partis maoïstes, sur la raison profonde de ce sang versé.
Ce qui demeure, en revanche, c'est l'extraordinaire traumatisme dont Rithy Panh se fait le témoin : fils d'une famille de paysans (mais son père fut aussi instituteur), le cinéaste a, dans sa jeunesse, été interné dans un camp de concentration : ses parents, ses proches, ses amis, eux, ne s'en sont pas sortis. Rithy Panh, par miracle, a survécu. Destiné à être menuisier, il a choisi de suivre des cours de cinéma à son arrivée en France, dans les années 1980. Et dès ses débuts de cinéaste, il a consacré ses films au Cambodge. "Les Gens de la rizière" (1994) est l'histoire d'une famille de cultivateurs dont le destin est celui du malheur : c'est la préfiguration des autres oeuvres de Panh. Où est passé ce pays qu'il a connu dans son enfance ? Disparu, balayé par l'ouragan de la dictature. Seul le cinéma pourra (peut-être) faire retrouver l'identité de la tradition khmère : désormais, Rithy Panh se consacre à la collation des images datant de l'ère communiste, images rassemblées au Centre des Ressources audiovisuelles du Cambodge.
Dans son dernier film, "l'Image manquante", prix de la section "Un certain regard" du Festival de Cannes 2013, le cinéaste constate, cependant, que les images, justement, manquent. De cette absence il tire des passionnantes questions sur l'Histoire et l'oubli. Que sommes- nous sans images ? Qui sommes-nous sans le cinéma ? Rithy Panh est un artiste de la mémoire.
François Forestier
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Sur les écrans... (5/10/2013)
Dernières sorties cinéma - http://www.lecran.fr/