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Foi - Page 610

  • Liege : le Festival « Venite adoremus » du 10 au 18 novembre 2016

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    Sous le label du Festival international « Venite adoremus » un nombre toujours plus important d’églises organisent chaque année à pareille époque des rassemblements de fidèles dédiés à l’adoration eucharistique. Six lieux de culte de l’agglomération liégeoise se sont ouverts à l’édition 2016. Hier 15 novembre, entre 17h00 et 20h00, une soixante de fidèles et plus ont franchi la porte de l'église du Saint-Sacrement au Boulevard d'Avroy où ils ont été accueillis par un groupe de jeunes chargés de conduire la prière.  Ce mercredi 16 novembre, une adoration est encore prévue à la cathédrale de 09h00 à 16h00 et le  vendredi 18 novembre à la crypte de la Basilique de Chèvremont pour une adoration nocturne (22h00-06h00).

    Tous renseignements sur ce "festival" de prière : www.veniteadoremus.be

    Affiche-festival venite adoremus2.jpg

    JPSC 

  • Le prêtre doit-il rester célibataire?

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    Voici ce que répondait à cette question, il y a une quinzaine d'années, notre ami regretté, le chanoine Michel Dangoisse (en "opinion" , dans La Libre) :

    Le prêtre doit-il rester célibataire?

    Contrairement aux idées reçues, le célibat n'a rien d'anormal ni d'ahurissant: en ce moment dans le monde, des millions de gens vivent dans le célibat, soit ordinaire, soit religieux (pensons aux moines bouddhistes!). Chez nous, même si le Christ ne l'a pas imposé, dès le début le célibat fut en honneur, librement, chez ceux qui devenaient prêtres; ou bien les hommes mariés renonçaient aux relations charnelles une fois ordonnés. Il devint une règle obligatoire dans le rite latin partir du XIIe iècle. A la différence de l'indissolubilité du mariage (qui est une `loi divine´), c'est donc une `loi ecclésiastique´ que, théoriquement, l'Eglise pourrait rendre facultative (comme c'est le cas chez les catholique de rite oriental).Mais Jean XXIII lui-même disait: `Nous ne le pouvons pas: le célibat est un sacrifice que l'Eglise s'est imposé librement.´ Et Vatican II `approuve et confirme´ cette loi à 95,98 pc des voix en 1965. D'autre part, il est faux de prétendre qu'il serait la cause principale de la rareté des vocations: la même crise se retrouve chez les pasteurs protestants, pourtant mariés pour la plupart; c'est une question de foi, comme le mariage religieux. Faux aussi d'affirmer qu'il inclinerait à la pédophilie: assurément ces faits, s'ils sont réels dans une frange minime du clergé, sont particulièrement graves: mais oublie-t-on que l'immense majorité des pédophiles vivent en couples?

    Pourquoi donc cette `obstination´, malgré les échecs qu'on ne nie pas (même si `un seul pont qui craque fait plus de bruit que 100 ponts qui tiennent´ )? En fait, nonobstant les pressions de ceux que Joseph Folliet appelait déjà en 1964 `les marieurs de curés´, il existe `une haute convenance´ entre sacerdoce et célibat pour plusieurs raisons.1) D'abord, il est possible, car il ne rend pas les gens ni névrosés, ni frustrés. L'histoire abonde en exemples de célibataires équilibrés et joyeux. `Le Christ ne pouvait pas proposer aux hommes une voie qui les diminuerait´, pensait Mgr Ancel. Mais le célibat consacré appelle bien sûr en complément une certaine forme de vie fraternelle et une solide vie de prière.2) Surtout, c'est un soutien spirituel pour les gens mariés, qui, au fond, tiennent beaucoup plus qu'on ne le pense à notre célibat. Vécu dans la joie, le célibat est un puissant soutien pour leur chasteté et leur fidélité conjugales. `Si les laïcs peuvent pratiquer sans effort héroïque la chasteté prénuptiale, la chasteté et la fidélité conjugales, affirmait Jean Guitton, c'est en fait parce qu'ils voient vivre hors des cloîtres des êtres jeunes, forts, virils, radieux et radiants, qui sont chastes avec joie, avec aisance: les prêtres. L'abnégation de quelques-uns élève et assainit l'atmosphère pour tous.´ 3) Dans une société comme la nôtre, hyperérotisée, obsédée par le sexe, le témoignage du célibat consacré apparaît beaucoup plus indispensable qu'au XIXe iècle: ce n'est vraiment pas le moment de le remettre en cause! Car dans un monde qui tire de gras bénéfices du commerce des revues et des cassettes pornographiques, qui invente à la TV `l'île de la tentation´, qui encourage les moeurs les plus libres presque avec fierté, voilà précisément de quoi faire réfléchir: quel témoignage contestataire et révolutionnaire!

    4) Ah! Je rêve d'un saint Paul passant à la TV pour souligner cette extraordinaire et joyeuse unité de vie qui est la nôtre!... Cessons de laisser croire que les séminaires regorgeraient d'adolescents prolongés, impubères et innocents: pendant 6 ou 7 ans, les responsables veillent à ce que les candidats aient, avec la grâce de Dieu, l'équilibre nécessaire. C'est donc en ne donnant son corps à personne que le prêtre peut donner son âme à tous. Il n'y a pas de plus grand amour que de donner toute sa vie pour ceux qu'on aime...5) Mais au-delà de l'étonnante disponibilité qu'il procure, le célibat se justifie avant tout - on ne le dit presque jamais - parce qu'il est rappel lumineux de la primauté du spirituel et anticipation eschatologique, si pauvre soit-elle, de la vie céleste `où on ne prend plus ni femme ni mari´ (Mt 22,30). Les valeurs charnelles de la sexualité, bénies par le Créateur, restent terrestres et provisoires. Ainsi, sans foyer humain sur cette terre, nous misons tout sur Dieu. Vatican II (dont on fait souvent une lecture curieusement sélective) l'a souligné fortement. Et c'est précisément parce qu'il est cette solennelle profession de foi en la vie éternelle que les forces du mal, pratiquement chaque semaine, s'attaquent à ce célibat. Il dérange: c'est le dernier verrou que l'on entend faire sauter! Le philosophe Marcuse, vers mai 68, pensait que le moyen le plus efficace de déclencher la subversion dans la société était de la bouleverser dans le domaine sexuel en général, et, en particulier, d'ébranler le célibat sacerdotal, considéré comme une citadelle: la capitulation générale s'ensuivrait immanquablement. Autant savoir...

    En fait, ce que cherchent `les marieurs de curés´ , ce n'est pas tant des prêtres mariés, disait férocement le Père Manaranche, que des `prêtres divorcés´ . Ce serait tellement rassurant: `Voyez, ils sont comme nous´ ... Il est bien vrai qu'on peut s'égarer dans le célibat; tout comme d'ailleurs dans le mariage. D'où parfois le sourire des gens mariés devant la naïveté des prêtres `hors-les-murs´ qui s'imaginent que le mariage - idéalisé - va résoudre leur difficulté à vivre: or, on voit déjà apparaître des prêtres mariés qui sont séparés ou qui divorcent.

    Guy Gilbert - pas suspect, pas `célibataire endurci´ ... - témoigne avec joie: `Aucune recette de cuisine pour ça. La prière quotidienne, patiente, laborieuse, aimante demeure le suprême aliment qui fortifiera un célibat qui reste et restera aux yeux du monde folie, question, étonnement, contestation.´ C'est pourquoi les prêtres, qui se trouvent heureux dans leur célibat, qui sont sans aucun complexe et sans infantilisme, qui ne ruminent aucun ressentiment contre l'`institution´ Eglise, qui sont psychologiquement sains, sexués comme tous les hommes, sensibles à la beauté, sereinement et respectueusement à l'aise devant une femme, sont pourtant sans regret de n'être pas mariés, tout en éprouvant une grande admiration pour le mariage. Et le complément irremplaçable de leur célibat, c'est une étonnante paternité spirituelle.

    Oui, il importe que le prêtre de rite latin, aujourd'hui plus que jamais, reste célibataire. Il est appelé par pure grâce à manifester que le Seigneur est encore meilleur que les plus belles de ses créatures, et qu'il peut suffire, à lui seul, à combler de bonheur, à pleins bords et dès cette terre, le coeur d'un être humain. Avez-vous déjà assisté à une ordination sacerdotale? C'est prophétique, à contre-courant des slogans païens. Ces jeunes hommes peuvent dire en vérité au peuple chrétien, transposant les paroles de la Consécration: `Voici mon corps, livré pour vous.´ Quand on les voit étendus sur le pavé de la cathédrale, tandis que déferlent sur eux les superbes litanies des saints de tous les temps, que le sol tremble et que les anges du ciel les regardent en frémissant, ce spectacle, comme dirait Bernanos, `a de quoi faire réfléchir ceux qui baîllent à la grand-messe du dimanche´ . Moi, chaque année, il m'arrache des larmes de joie.

    Doyen du Chapitre cathédral de Namur Directeur de la Revue `Pâque Nouvelle´
  • 50 paroissiens et amis de Sainte-Catherine et de la Fraternité des Saints Apôtres interpellent Mgr De Kesel

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    Dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres (FSA) …et de l’Eglise de Belgique ?

    Lettre ouverte à notre prochain Cardinal De Kesel *

    Eminence,

    La messe est-elle vraiment dite ? Le rideau est-il définitivement tombé ? Point de notre côté.  Rappelons brièvement les faits. En pleine période de vacances, alors que tous les séminaristes, les prêtres de la Fraternité et les paroissiens de Sainte-Catherine étaient dispersés, le couperet est tombé dans la discrétion la plus totale : un décret de dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres, à dater du 15 juillet, que vous avez signé avec votre évêque auxiliaire Mgr Kockerols, fait suite à votre décision communiquée le 15 juin, de ne plus accueillir cette Fraternité en Belgique.

    Consternation et scandale pour de nombreux catholiques. Entre « ne plus vouloir accueillir » (tout en vous disant prêt à aider la transplantation en France) et « dissoudre », n’y a-t-il pas une marge ?  Si les évêques de Belgique semblaient si prompts à remettre cette Fraternité entre les mains d’un évêque français, par « solidarité épiscopale », c’est qu’ils devaient sans doute en penser beaucoup de bien… Qui aurait en effet l’intention de refiler à ses amis un cadeau empoisonné ? Mais alors pourquoi se priver soi-même de ce grand bien ? D’autre part, la FSA compterait « trop de Français » parmi ses membres, privant ainsi d’effectifs des diocèses français qui en auraient plus besoin. Cet argument, étonnant au cœur de l’Europe, ne fait-il pas fi du droit de chaque candidat au sacerdoce à s’adresser à l’évêque de son choix ? Ne faudrait-il alors pas renvoyer également les 42 séminaristes étrangers à Namur pour ne garder que les 20 Belges (chiffres de la rentrée 2016) ?

    La raison est « de nature structurelle » ? : mais, s’il en était ainsi, pourquoi ne pas modifier tel ou tel point des statuts qui ferait problème ? Dissoudre au lieu d’ajuster n’est-ce pas jeter le bébé avec l’eau du bain ? Il y a peut-être, qui sait, « de gros dossiers à l’encontre des membres » ? Rien de cela, nous assure- t-on en haut lieu. La personnalité du père Zanotti-Sorkine aurait-elle une « emprise exagérée sur ces jeunes » ? A voir chacune de ces personnalités bien affirmées s’épanouir si librement, on a du mal à le croire. « L’encadrement pédagogique qui serait insuffisant » ? Renforçons-le ! Mgr Léonard s’attachait au « nombre des vocations, plutôt qu’à leur qualité » ? Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage… En créant la FSA, « Mgr Léonard aurait joué cavalier seul »? Et si, dans son intuition prophétique, il avait tout simplement obéi à l’Esprit-Saint ? 

    Vous avez bien discerné, nous assure-t-on. Mais comment peut-on bien discerner le chemin de personnes qu’on n’a jamais souhaité rencontrer ? Un pasteur ne devrait-il pas prendre le temps de faire personnellement la connaissance de ses séminaristes et visiter les prêtres dans leur environnement pastoral ? Le fait que les allocations encore dues aux séminaristes aient été coupées près d’un an avant la dissolution de la Fraternité semble d’autre part indiquer que la décision avait été programmée bien avant votre nomination.

    Les accusations portées insidieusement contre la FSA, on le voit, sont soit infondées, soit contestables, soit aisément remédiables. Mais alors, pourquoi tant d’acharnement destructeur contre des jeunes qui ont tout quitté – pays, famille, travail et études, amis et parfois amour – pour se mettre à la suite du Christ (Mt 19,29) ? Pourquoi vouloir éliminer une Fraternité qui suscite un si grand nombre de vocations à l’heure où les fidèles prient tant pour en avoir ? Pourquoi ne pas scruter davantage la clé de cette attraction ? Ne sait-on plus reconnaître l’arbre à ses fruits (Lc 6,44) ? Pourquoi s’en prendre à une Fraternité qui redonne vie à une église menacée de désacralisation, pleine chaque dimanche, que ce soit durant les vacances d’été, les attentats du printemps ou les froids de l’hiver ? Pourquoi vouloir affaiblir des prêtres en les privant du terreau, d’où ils tirent la force pour leur ministère ? 

    Pourquoi ne pas reconnaître la source de cette fécondité apostolique ? Il y a certes la grâce d’une église chargée de prière. Il y a surtout le rayonnement de ces jeunes, servant et célébrant la messe avec ferveur, selon les indications de l’Eglise, unis par un esprit de fraternité qui se communique à une assemblée qui en devient, à son tour, toute fraternelle.

    Ces jeunes appartiennent à une génération de prêtres qui assument leur paternité spirituelle (avant d’être des frères et des amis), refusent de cacher la lumière sous le boisseau (Lc 11,33), portent sans complexe soutane ou clergyman, et témoignent le plus naturellement du monde de l’amour et de la miséricorde de Dieu : ils se font proches des hommes, partageant leur vie, leur table, leurs joies et peines au quotidien (et ce, sans trop s‘encombrer de planifications et de réunions). Et parce qu’ils acceptent d’être pères, ils ont des fils, comme l’attestent les nombreux témoignages de conversion et de vocation que leur apostolat suscite.

    Mais finalement, cette « affaire de la FSA » n’agit-elle pas comme révélateur du problème de fond de notre Eglise belge, où certains veulent une Eglise petite, enfouie, discrète, tandis que d’autres prônent sa présence, sa visibilité et sa croissance (Mt 13,31-32) ? Les uns parlent davantage en termes d’humanisation, les autres d’évangélisation. Les uns plaident pour un pluralisme religieux, les autres veulent prêcher le salut des âmes par le Christ. Les uns établissent des plans de fermeture d’églises, les autres s’engagent à les remplir. Là est la clé de la fracture…, ou peut-être le germe d’une réelle et inquiétante dissolution de l’Eglise belge.

    Certes, les prêtres de la Fraternité dissoute ont été confirmés ensemble, dans les églises Sainte-Catherine et Saint-Joseph à Bruxelles. Nous en sommes heureux et vous en sommes reconnaissants. Ils ont repris peu à peu leur envol, leurs ailes ayant été coupées, privés (temporairement, nous l’espérons) du dynamisme et de l’amitié de leurs frères séminaristes exilés en France, et de leur structure associative.

    Mais les nombreux sympathisants de ces paroisses et de la Fraternité dissoute restent mobilisés. Dans l’attente des suites juridiques aux recours canoniques introduits à Rome pour suspendre et révoquer le décret de dissolution, un appel vibrant s’élève vers vous : puissiez-vous poser un premier acte de justice, de dialogue et de miséricorde, en tant que nouveau cardinal, en réhabilitant au plus vite cette Fraternité au sein de l’Eglise de Belgique comme nous l’avons demandé aussi au Pape, et en invitant tous les séminaristes dispersés à revenir en Belgique, quand ils le voudront, si telle est la volonté de Dieu : et que tous ensemble, après cette année de la Miséricorde, nous reprenions le chemin de l’unité et de l’évangélisation. Que le rideau puisse enfin se relever après cette douloureuse épreuve d’Eglise et que la messe puisse encore et toujours être dite, dans chacune de nos églises !

    *Pardonnez-nous le principe de lettre ouverte mais nous y sommes contraints, n’ayant reçu aucune réponse de votre part suite à nos quelque 320 recours canoniques et 3400 pétitions de l’été.

    Pour les nombreux fidèles, amis de Sainte-Catherine et de la Fraternité des Saints Apôtres :

    Philippe Bègue, Marie-Ange Braconnier, Gérard Cuchet, Anne d’Udekem d’acoz, Mireille Decré, François de Coster, Anne De Lee, Frédéric de Limburg Stirum, René Michel de Looz Corswarem, Catherine et Benoit de Looz Corswarem, Rodolphe de Looz Corswarem, Marie-Ange de Preter, Baudouin de Sonis, , Soline et Nicolas du Chastel, Isabelle et Stéphane de Lovinfosse, Philippe et Pilar Etienne, Maqui et François Fierens, Jacques Franchomme, Véronique et Pierre Hargot, Fabienne et Damien Hennequart , Isabelle et Lambert Isebaert, Leo Kienler, G Kleinerman, Danièle Lardinois, César Lesage, Edith et Marc Moreau, Stéphane Mercier, Julie Milquet, Danièle Paeps, Isabelle et Thomas Parias, Véronique Pascal, Aude et Christophe Plumier, Lucie Retailleau, Geneviève Tsterstevens, Valentina Vallegot, Jean Vandenbrande, Charlotte van den Driessche, Maria et Paul Van Houtte, Marie-Christine Vercauteren.

  • Bruxelles, Sainte-Catherine : Ecole d'Oraison

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    Ecole d’oraison à Ste Catherine – 16, 23, 30 novembre et les 14 et 21 décembre 2016

    Les mercredis 16, 23, 30 novembre et les 14 et 21 décembre 2016                                                                                      

    L’oraison c’est un coeur à coeur avec Dieu mais…comment faire oraison ?
    Thérèse d’Avila : « L’oraison mentale n’est à mon avis rien d’autre qu’un échange intime d’amitié où l’on s’entretient seul à seul avec ce Dieu dont on se sait aimé ».

    Jésus : « Si quelqu’un a soif,qu’il vienne à Moi… » (Jn7,37)
    « Venez à Moi, vous tous qui peinez…Je vous soulagerai. »(Mt11,28)

    Le Père plein de tendresse, le Dieu de qui vient tout réconfort (2Co1,3)

    « Plus de gens qu’on ne le croit seraient capables de faire oraison, mais personne ne leur a appris. Or, sans cette intériorité, les baptisés s’essoufflent, leur action devient cymbale sonore et même leur pratique religieuse, quand elle existe, se dessèche. »

    Jean-Paul II, 29 septembre 1982

    Une école d’oraison en 5 soirées

    A la Paroisse Sainte-Catherine
    Rue du Vieux Marché aux Grains, 21
    1000 Bruxelles

    Quand ? les mercredis 16, 23, 30 novembre et les 14 et 21 décembre 2016
    de 20H00 à 21H30

    Programme des soirées
    enseignement – témoignage – questions/réponses- oraison

    Animation

    par une équipe de prêtres et de laïcs
    sous la direction de l’abbé Jean Simonart,
    d’après la pédagogie du père Henri Cafarel

    Il est recommandé de suivre les 5 étapes

     Renseignements : www.oraison.net

  • 18-19 mars : Marche des pères centrée sur "saint Joseph, guide pour l'homme d'aujourd'hui"

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    Marche des Pères des 18 et 19 mars 2017

    La prochaine marche des pères de famille aura lieu les 18 et 19 mars 2017. Cette date est symbolique car elle correspond à la fête de St Joseph le 19 mars. C’est la raison pour laquelle nous souhaitons lui donner un éclat particulier. Le thème de cette année est en lien avec la date : « saint Joseph, guide pour l’homme d’aujourd’hui. » Notre objectif est de rassembler au moins 200 pères de famille à cette occasion !! Mobilisons-nous tous.

    Le Père Dominique Janthial sera notre prédicateur.

    Il est : Membre de la Communauté de l’Emmanuel et prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles, Docteur en théologie, Curé de la paroisse universitaire S. François de Louvain-la-Neuve, Président de la Commission Nationale Catholique de contact avec le monde Juif (CNCJ), et il enseigne l’exégèse et la théologie biblique à l’IÉT. (Thèse de doctorat : L’oracle de Nathan et l’unité du livre d’Isaïe, Berlin-New-York, de Gruyter, 2004.) Il a publié, entre autres : L’Apocalypse : ce qui doit être engendré bientôt, Paris, Emmanuel, 2012; « Saint Paul, apôtre du Gender ? » in Gender, qui es-tu ?, coll. IUPG, Paris, Ed. de l’Emmanuel, 2012, pp. 259-268; « Le livre d’Isaïe ou la fidélité de Dieu à la maison de David », Cahiers Evangile 142, Paris, Cerf, 2007.

    Informations pratiques pour les pères de famille

    PROGRAMME (susceptible de modifications)

    Samedi 18/03/2017 :

    • 9h30 maximum : Rendez-vous au prieuré des frères de Saint Jean à Banneux (Rue de l’esplanade – 4141 Banneux) pour déposer les grands sacs.*
    • 10h00 : Déplacement vers le départ de la marche.
    • 10h30 :Messe d’envoi à Haute Desnié (4910).
    • 11h30 : Départ de la marche en chapitres.
    • Marche en alternance avec temps de méditation, prière et enseignement (environ 20 km).
    • 18h00-18h30: Arrivée au prieuré des frères de St Jean à Banneux. Installation dans les chambres du prieuré et de l’hospitalité du sanctuaire.
    • 19h00 : Apéritif.
    • 20h00 : Dîner.
    • 21h30 : Veillée, adoration et sacrement de réconciliation.

    Dimanche 19/03/2017

    • 06h45 : oraison
    • 07h30 : laudes
    • 08h00 : petit déjeuner, rangement
    • 09h00 : départ de la marche vers Tancrémont. Marche en alternance avec temps de partage en chapitre et prière (environ 10 km). Enseignement à mi-parcours.
    • 12h00 : Arrivée au Sanctuaire de Banneux
    • 12h30 : Messe avec les familles
    • 13h45 : Bénédiction des familles à la source
    • 14h15 : Repas tiré du sac avec toutes les familles au prieuré St Jean
    • 16h00 : Fin de la Marche des Pères de Famille 2017. Retour dans les foyers.

    EQUIPEMENT ET SAC DU MARCHEUR

    Le climat dans cette région est très changeant en cette époque de l’année. Il neigeait début mars 2016 !!

    Prévoir de bonnes chaussures de marche (pas de tennis, ni de chaussures « bateau ») et de bonnes chaussettes; le petit sac (à dos) pour la marche du samedi avec le pique-nique et boisson pour le samedi midi et pour la marche, de quoi écrire et tout autre document vous aidant à méditer ou à prier. Un carnet d’accompagnement vous sera fourni, un vêtement de pluie, poncho ou autre; gants, écharpe, vêtement chaud sont recommandés;

    Le ‘grand’ sac à dos pour le soir : celui ci sera déposé le samedi matin au prieuré. Vous ne marcherez pas avec. pour le samedi soir : le dîner nous sera préparé chez les frères; de quoi dormir : duvet, affaires de nuit et de toilette; de quoi se changer à l’arrivée de la marche samedi soir (inclure chaussures); repas du dimanche : le petit déjeuner est servi chez les frères. Il est prévu que le repas de dimanche midi sera apporté par les familles et partagé avec les participants. Pour les « célibataires », les frères de saint Jean y pourvoiront.

    Informations pratiques pour les familles

    Les familles qui le veulent rejoignent les pères le dimanche en fin de matinée

    • 12h00 : Arrivée au prieuré saint Jean (rue de l’esplanade). Vaste Parking.
    • 12h30 : Messe au sanctuaire de Banneux.
    • 13h45 : Bénédiction des familles à la source.
    • 14h15 : Repas tiré du sac au prieuré Saint Jean.
    • 16h00 : Départ de Banneux.

    http://marchedesperes.be/marche-des-peres-2107/

     

  • L'unité des catholiques en péril ?

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    De Guillaume Bernard sur aleteia.org

    L’unité perdue des catholiques ?

    Certains, dans l’Église catholique, ne semblent pas avoir saisi la véritable nature du phénomène traditionaliste.

    L’incompréhension des prélats de l’Église face au phénomène traditionaliste conduit à des conflits où s’entremêlent enjeux de pouvoir, incompréhensions doctrinales et faux-semblants pastoraux. Cette division entre catholiques est d’autant plus troublante qu’elle vient, non de la base, mais de la tête supposée assurer la concorde. Elle rejoint une situation généralisée dans la société de distorsion entre le peuple et les élites dirigeantes.

    De récentes affaires, toujours en cours, montrent qu’il existe en France des prélats pour essayer de tourmenter les catholiques attachés à la célébration traditionnelle des sacrements et, en premier lieu, de la messe. Les textes pontificaux de 1988 et de 2007 ne laissent pourtant aucun doute sur l’obligation (et non la simple possibilité) des institutions catholiques d’accéder à la demande des fidèles réclamant la forme dite « extraordinaire » du rite romain, la messe « tridentine » n’ayant jamais été abrogée. Et pourtant, il semble que – par des moyens directs (intention, envisagée au moins un temps, de vendre un lieu de culte appartenant au diocèse) ou détournés (acceptation de la fermeture par la mairie propriétaire pour y réaliser des travaux) –, certains hauts dignitaires de l’Église soient prêts à semer la division et à prendre l’initiative d’ouvrir les hostilités.

    Lire la suite sur aleteia.org

  • Liège : adoration eucharistique dans le cadre du Festival « Venite adoremus » 2016

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    Du 10 au 18 novembre prochains à Liège, les adorations se succéderont à la cathédrale Saint-Paul, à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy), à la basilique de Chèvremont (crypte Corpus Christi) à l’église du Sacré-Cœur (Robermont) et à l’église des sts Victor et Léonard (Thier à Liège) :

    Affiche-festival venite adoremus2.jpg

    Affiche-festival venite adoremus.jpg

    Plus d’informations :

    www.veniteadoremus.be

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/

    sursumcorda@skynet.be

    tel. 04.344.10.89

    JPSC

     

  • Bruxelles (UOPC), 17 novembre : présentation de "Mourir, c'est naître" par le Père Henri Boulad

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    Jeudi 17 novembre à 18H30

    à la Librairie UOPC

    Avenue Gustave Demey 14-16 - 1160 Bruxelles

    le Père Henri Boulad s.j.

    Philosophe, écrivain, éducateur

    Actuellement directeur du centre culturel jésuite d’Alexandrie 

    viendra présenter son livre

    « Mourir c’est naître »

    L’amour, la mort et l’au-delà

    Editions Médiaspaul 

    A la question : Pourquoi mourons-nous ?

    Henri Boulad offre une réponse apaisante et lumineuse: « Nous mourons parce que nous ne sommes pas encore advenus à nous-mêmes, aux autres, au monde, et à Dieu. Ces quatre aspects de la mort cachent quatre visages de la naissance »
    L’auteur traite aussi des questions qui intriguent la sensibilité moderne, comme la réincarnation, le jugement, la sexualité dans l’au-delà. Sa réflexion longuement mûrie nous convainc que nous n’avons pas à redouter la mort. Au contraire, nous pourrons dire avec Thérèse de Lisieux : 

    « je ne meurs pas, j’entre dans la Vie ».

     entrée gratuite  -  réservation souhaitée  -  event@uopc.be  -   02/663 00 40

  • Pape François : « Trump ? Je ne juge pas. Je me soucie seulement qu’il ne fasse pas souffrir les pauvres »

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    Le « Vatican Insider » a rendu compte du nouvel entretien que le pape François a accordé à l’ancien député socialiste italien Eugenio Scalfari, fondateur du quotidien de gauche « La Reppublica ». Isabelle Cousturié l’a traduit pour le site « Aleteia ». Extraits :   

     « Donald Trump ? « Je ne porte pas de jugement sur les personnes et sur les hommes politiques, je veux seulement comprendre si leurs manières de faire font souffrir les pauvres et les exclus », a déclaré le pape François dans un nouvel entretien avec Eugenio Scalfari, dans Repubblica, qui lui demandait son avis, à la veille des élections américaines, le 7 novembre dernier.

    Le Pape, rapporte le journaliste italien, a réaffirmé sa préoccupation majeure en ce moment : la situation des réfugiés et des migrants. « Parmi eux, il n’y a  « qu’une poignée de chrétiens », a-t-il dit, « mais cela ne change rien car c’est la souffrance de tous qui nous intéresse, leur détresse. Les causes sont nombreuses et nous faisons notre possible pour les éliminer ».

    Abattre les inégalités, une urgence

    Malheureusement, a poursuivi le Saint-Père, ces causes viennent souvent des populations mêmes qui « craignent de perdre leur emploi ou de voir leurs salaires diminuer ». L’argent est non seulement contre les immigrés et les réfugiés mais contre les pauvres, présents aussi dans les pays riches, et qui ont peur d’accueillir d’autres pauvres venant de l’extérieur. « C’est un cercle vicieux et ce cercle doit être brisé », estime le Pape, « nous devons abattre les murs qui nous divisent: tenter d’accroître le bien-être et le répandre ». Mais pour cela, a-t-il ajouté, « nous devons abattre des murs et jeter des ponts qui fassent diminuer ces inégalités, au profit de plus de liberté et plus de droits ». L’Eglise veut que ces inégalités – « le plus grand des maux de ce monde », a commenté le Saint-Père – soit combattues. Et d’insister : « C’est l’argent qui est responsable, qui crée ces inégalités, et il se dresse contre les mesures qui tentent d’aplanir le bien-être et de favoriser l’égalité ».

    Pour François, poursuit le journaliste italien, ces inégalités encouragent « les déplacements de tant de peuples d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre ». Et ces peuples, relève-t-il, après deux, trois, ou quatre générations, « s’intègrent et leur diversité tend à disparaître totalement ». Le Pape est d’accord pour définir un tel processus « un processus de métissage », mais loin de lui l’idée d’une société de type marxiste: « Au contraire, j’ai toujours dit que ces sont les communistes qui pensent comme les chrétiens. Le Seigneur a toujours parlé d’une société où les décideurs seraient les pauvres, les vulnérables, les exclus. Pas les démagogues, pas les Barrabas, mais le peuple, les pauvres, qu’ils croient en Dieu et en sa transcendance ou pas. C’est eux que nous devons aider pour obtenir cette égalité et cette liberté » […]

    Lire l’article complet ici :  Pape François : « Trump ? Je ne juge pas. Je me soucie seulement qu’il ne fasse pas souffrir les pauvres »

    Pour une vision beaucoup plus profonde et religieuse des drames du monde d'aujourd'hui, il peut être très utile de (re) écouter la magistrale conférence donnée par le Cardinal Ratzinger à Notre-Dame de Paris en 2001   Cliquer ici.

    JPSC

     

  • Des prêtres pour les diocèses de demain

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    JPSC

  • De mystérieux phénomènes auraient accompagné l'ouverture du tombeau du Christ

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    De Sylvain Dorient sur aleteia.org :

    Mystère autour de l’ouverture du tombeau du Christ

    "Odeur suave" et "perturbations électromagnétiques" ont étonné les observateurs de cet événement historique.

    Les 26, 27 et 28 octobre 2016 la dalle de marbre qui couvre le tombeau du Christ a été repoussée. Une poignée de scientifiques et de religieux a eu accès au lieu, et plusieurs rumeurs ont immédiatement couru. Premièrement, une « odeur suave » aurait été sentie, émanant du tombeau, rappelant les manifestations olfactives associées à certains saints. Deuxièmement, des instruments de mesure employés par des scientifiques aurait été troublés par des perturbations électromagnétiques. Ils cessaient de fonctionner, ou fonctionnaient mal, aussitôt qu’ils étaient placés à la verticale de la pierre sur laquelle aurait reposé le corps du Christ.

    Marie Armelle Beaulieu, rédactrice en chef de Terre Sainte Magazine, a elle-même bénéficié de l’autorisation de se rendre sur les lieux, et se montre circonspecte quant à la rumeur associée à « l’odeur suave ». Relevant qu’une odeur est facile à suggérer, elle constate qu’elle n’a rien senti de particulier pour sa part. Par ailleurs, lors de la dernière ouverture, partielle, réalisée par l’architecte Nikolaos Komnenos en 1809, le chroniqueur de l’époque fait lui aussi mention d’une « odeur suave ». Les personnes qui s’intéressent au tombeau du Saint Sépulcre connaissent ce texte, et elles ont pu s’auto-suggérer le parfum.

    Perturbations électromagnétiques

    La journaliste se montre, en revanche, bien moins dubitative en ce qui concerne les perturbations électromagnétiques enregistrées par les instruments des scientifiques. Ce phénomène lui a été confirmé par l’un des scientifiques qui a été autorisé à accéder au tombeau. Il a ensuite été signalé par la directrice des travaux, Antonia Moropoulou elle-même, que l’on imagine mal mettre en péril sa réputation pour un « coup de pub ». Plus troublant encore, la journaliste relève la surprise des scientifiques lors de l’ouverture de la dalle : ils s’attendaient à ce que le tombeau soit bien plus bas qu’il ne l’est. En cause, les sondages réalisés précédemment aux instruments… qui semblent avoir été faussés par une perturbation électromagnétique.

    Lire la suite sur aleteia.org

  • Quelques principes fondamentaux de l’œcuménisme catholique

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    Du Père Simon Noël, sur son blog :

    Œcuménisme catholique

    Dans cet article, je voudrais vous présenter quelques principes fondamentaux de l’œcuménisme catholique. Le Christ a prié pour l'unité de tous ceux qui croiraient en lui en faisant dépendre d'une certaine manière la conversion du monde de cette unité:  Ce n'est pas seulement pour eux que je prie, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole, pour que tous soient un. De même que toi, Père, tu es en moi et moi en toi, qu'eux aussi soient en nous, afin que le monde croie que tu m'as envoyé (Jn 17, 20-21).

    La Sainte Trinité est le modèle et la source de l'unité de l'Eglise. Soloviev disait que tant que dure la division de l'Eglise, les âmes sont certes sauvées, car la grâce ne cesse d'agir. Mais le monde n'est pas sauvé, car la division des chrétiens est un scandale pour la foi et empêche la conversion du monde.