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Foi - Page 611

  • Chrétiens crétins ? « Comment croire les fariboles de ces gens-là ? »

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    Les éditions Mols annoncent :

    Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie du nouveau livre de François-Xavier Nève :

    Chrétiens crétins ?
    « Comment croire les fariboles de ces gens-là ? »

    François-Xavier Nève,

    Philippe SOLLERS a déclaré début 2016 lors d’un entretien au Point : « Dieu […] n’existe pas, sauf pour des abrutis fanatiques… » Autrement dit : il resterait quelques débiles pour croire à leur illusion.

    Aujourd’hui, autour de nous, il est de bon ton de donner le coup de pied de l’âne aux chrétiens. Le dernier carré de « crétins », assommés par le renoncement des clercs et le triomphe des sciences et des techniques, semble incapable de réagir. À bon compte, on passe pour un esprit fort, libre et scientifique.

    François-Xavier Nève démontre ici qu’il ne faut pas identifier foi chrétienne et inculture scientifique.

    Souvent l’espérance chrétienne grince ou coince parce qu’on n’en connaît pas le contenu ou qu’on le comprend de travers. L’auteur éclaircit le problème de la souffrance et l’horreur de la mort, trous noirs les plus fréquents. Il montre que le big bang et l’Évolution rendent l’Histoire naturelle chaque jour plus compatible avec l’Histoire sainte. Il explique le Credo, les fameux dogmes chrétiens, ridiculisés parce que méconnus, la trinité, l’immaculée conception, la naissance virginale de Jésus, les miracles et la Résurrection dans le cadre de l’ensemble de nos connaissances en ce début du XXIe siècle.

    L’auteur, très documenté, argumente avec force et virtuosité, sans oublier chaleur et joie de vivre, humour et originalité.

    Éditions Mols : Collection Autres Regards • 155 x 240 cm • 384 pages • 26 € • ISBN 978-2-87402-199-2 • En librairie : 15 octobre 2016 (France : 27 octobre 2016)

    François-Xavier NÈVE est un scientifique. Spécialiste de phonologie et de linguistique, il a publié des centaines d’écrits de recherche et de vulgarisation scientifique, y compris en astrophysique et en biologie.

    www.editions-mols.eu

  • Jésus a-t-il eu des frères ?

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    De l'abbé Patrick Pégourier sur le site de l'Opus Dei (France) :

    La fratrie de Jésus (1)

    Jésus a-t-il eu des petits frères, des demi-frères ou seulement des cousins ? Question qui alimente régulièrement de nombreux débats et des interprétations diverses, souvent erronées. La première partie de cet article traite de la réponse aux deux premières questions.

    Depuis les origines, c’est un thème qui a alimenté de nombreux débats et des interprétations diverses souvent erronées qui s’inscrivent en faux contre la foi de l’Église [1].

    1. le Christ a-t-il eu des frères de sang ? Autrement dit, Marie sa mère a-t-elle donné naissance après la sienne, à d’autres enfants, des enfants biologiques de Joseph ? Diverses citations du Nouveau Testament pourraient le faire croire :

    a) à Bethléem, Marie mit au monde son fils premier-né [2]. Cela sous-entend-il qu’il y en eut d’autres par la suite ? 

    Non, car :

    - souvent, dans la Sainte Écriture, le premier homme qui naît est ainsi désigné, qu’il soit suivi ou non d’autres enfants [3].

    - néanmoins, ce sens est passé dans le langage profane, comme le prouve une épitaphe sépulcrale du Ve siècle avant notre ère, découverte en1922 dans la nécropole juive de Tell-el-Jeduieh (Égypte), qui indique que la défunte, une certaine Arsinoé, mourut dans les douleurs de l’enfantement de son fils premier né.

    - la Loi conférait des droits spécifiques au premier-né mais ordonnait son rachat au cours du mois suivant sa naissance [4]: ce serait un commandement absurde si ceux-ci ne pouvaient lui être attribués tant que ses frères ne seraient pas nés [5].

    - en outre, cette indication de Luc revêt un profond sens théologique : elle prépare la présentation de Jésus au Temple où, uni au sacrifice prescrit par Moïse, il va être racheté pour être consacré au Seigneur [6] et ainsi, lui, le premier-né par la grâce, va assumer le rôle de chef de file de l’humanité dans la nouvelle économie du Salut [7]. Saint Paul donne de l’amplitude à cette pensée : premier selon la dignité, le Christ est, depuis qu’il est ressuscité, premier-né de façon nouvelle ; « le concept de la primogéniture acquiert une dimension cosmique. Fils incarné, il est, pour ainsi dire, la première idée de Dieu et précède toute création, laquelle est ordonnée en vue de lui et à partir de lui. Avec cela, il est aussi principe et fin de la nouvelle création qui a commencé avec la Résurrection » [8].

    - enfin, ce caractère de premier-né du Christ souligne la virginité perpétuelle de Marie, comme l’affirment la Tradition chrétienne, le Magistère de l’Église [9], … et la Vierge elle-même [10] : la conception et la naissance de Jésus ont été miraculeuses et Marie est restée vierge dans le prolongement de son fiat, pour signifier qu’elle est la parfaite complice de Dieu dans son dessein de Salut. Elle est l’épouse du Saint-Esprit, un jardin bien clos, ma sœur, ma fiancée, un jardin bien clos, une source scellée [11]. Que Marie soit la Toujours-vierge est un dogme de foi [12] et saint Augustin le résume dans une formule concise devenue classique : Virgo concepit, virgo peperit, virgo permansit. 

    Lire la suite sur le site de l'Opus Dei (France)

     
     
  • Les insuffisances du rituel du baptême

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    Du Père Jean-Régis Fropo sur le site du bimensuel L'Homme Nouveau

    Nouveau Rituel du baptême : le cri d’alarme d’un exorciste

    Dans son ministère de prêtre exorciste le Père Jean-Régis Fropo a fait un double constat : le Rituel du baptême des petits enfants de 1970 a été tant expurgé qu’il ne combat pas l’influence démoniaque pouvant opérer dès la naissance et même dans la vie intra-utérine, comme les sept exemples qu’il donne le montrent.

    J’ai été prêtre exorciste dans le diocèse de Fréjus-Toulon (Mgr Dominique Rey) de 2005 à 2014 et j’ai reçu des centaines de personnes en souffrances diverses et pour des causes souvent mélangées, psychologiques et maléfiques. Plusieurs cas rencontrés dans mon ministère en France et à l’étranger m’ont alerté sur la question du Rituel utilisé lors du baptême des petits enfants. Ces cas sont les suivants.

    Lire la suite sur le site de l'Homme Nouveau

  • Les morts ressusciteront; homélie pour le 32e dimanche du temps ordinaire

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    Fonctionnaires de Dieu : les sadducéens (Lc 20, 27-38) / Michel-Marie Zanotti-Sorkine

    Prédication pour le 32e dimanche du temps ordinaire (archive du 10 novembre 2013) par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Lc 20, 27-38) en lien avec celle du 6 novembre 2016.

     
  • La Communauté Saint-Martin : 40 ans d’existence dans l’autre périphérie

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     La Communauté Saint-Martin est une association de prêtres et de diacres séculiers vivant leur apostolat en commun au service des diocèses. Elle compte aujourd’hui 94 prêtres et diacres, et plus de 100 séminaristes (2016). Elle fut fondée par l’abbé Jean-François Guérin en 1976.. Elle fête aujourd’hui ses 40 ans d’existence. Malgré plusieurs demandes de  groupes de fidèles, les portes des diocèses belges leur restent fermées.

     

    JPSC

  • Lourdes : les évêques de France se penchent sur le déclin des vocations

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    D'Isabelle Demangeat et Claire Lesegretain sur le site web du journal La Croix :

    Comment favoriser les vocations sacerdotales diocésaines

    L’Assemblée plénière de novembre des évêques s’ouvre vendredi 4 novembre, à Lourdes, par une journée d’étude et de travail autour des vocations sacerdotales diocésaines.

    Ils tenteront de trouver des solutions pour changer l’image du prêtre diocésain, perçu comme isolé et écrasé par les tâches administratives.

    C’est un peu le leitmotiv ecclésial qui pique le cœur de l’Église française et inquiète les fidèles. Comme le montre la baisse, constante, du nombre d’ordinands – ils étaient une centaine en 2016, 120 en 2015, 140 en 2014 –, il y a de moins en moins de prêtres en France. Et de moins en moins de candidats au sacerdoce. Alors qu’en 2000, 976 séminaristes se préparaient à la prêtrise, ils n’étaient ainsi plus que 756 en 2007 et 653 en 2015 (1).

    À elle seule, cette situation ne justifie-t-elle pas que les évêques, réunis à Lourdes à partir de ce matin pour leur Assemblée plénière, se penchent, une journée durant, sur les vocations sacerdotales diocésaines ? Trois ans après avoir abordé « de manière franche » la question sensible des séminaires…

    Une baisse corrélée à l’effondrement de la pratique

    Pourtant, certains relativisent d’emblée ce tableau qui peut paraître bien sombre. Car cette baisse est corrélée à l’effondrement de la pratique en France. « Il y a largement assez de prêtres en regard du nombre de communautés, relève le P. Nicolas de Brémond d’Ars, prêtre du diocèse de Paris, sociologue et chercheur associé au Centre d’études interdisciplinaires des faits religieux. C’est Dieu qui envoie les prêtres dont on a besoin. S’il n’y en a pas, c’est peut-être que Dieu n’en envoie pas. »

    Or, des appels, il y en a. C’est ce que montrait l’enquête menée, en décembre 2015, par OpinionWay pour la Conférence des religieux et religieuses de France (Corref). Elle révélait ainsi que 10 % des Français ont déjà pensé à la vie religieuse. Un chiffre qui s’élève à 15 % chez les 18-24 ans et à 14 % chez les 25-34 ans. Même s’ils ne concernent pas directement les vocations sacerdotales, ces chiffres conduisent Sœur Nathalie Becquart, directrice du Service national pour l’évangélisation des jeunes et pour les vocations (Snejv), à dire que la crise que traverse l’Église en France n’est pas « une crise de l’appel ni même des vocations » mais bien une « crise de la réponse ».

    Mais alors pourquoi cette crise de la réponse ? Quels sont les obstacles, les réticences, les peurs, qui paralyseraient les candidats à s’engager dans la voie de la prêtrise ? Et, surtout, que faire pour encourager ces derniers et les conforter dans un tel engagement ?

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  • La jeunesse a besoin d’exemples auxquels s’identifier avec force; offrons-lui ceux des saints

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    Une opinion de Martin Van Breusegem, jeune enseignant, sur le site de LaLibre.be :

    Pourquoi il faut parler des saints aux jeunes

    Hanouna, Benzema ou mère Teresa ? A côté des stars de la télé ou du ballon rond, l’Eglise propose des figures inspirantes et des modèles de vie pour chacun : les saints.

    Coincée entre Halloween, le 31 octobre, et le jour des Morts, le 2 novembre, la Toussaint est souvent éclipsée par ces deux fêtes. Tandis que la première occupe une grande partie de l’espace médiatique et commercial disponible, la seconde paraît se confondre confusément avec celle qui la précède. De nombreux Belges profitent en effet du jour férié qui leur est accordé le 1er novembre pour aller se recueillir sur les tombes des défunts de leur famille. Ils posent là un bel acte de fidélité envers leurs proches, inconnus du monde mais chers à leur cœur, qui sont peut-être pour eux, par certains aspects, des modèles de vie.

    A côté de ces familiers, ces personnes qui ne sont des exemples que pour nous seuls et que nous célébrons en fait le 2 novembre, l’Eglise nous propose d’autres modèles à la vie édifiante que nous fêtons la veille : les saints. Qu’est-ce que la sainteté ? "La sainteté, écrit sainte Thérèse de Lisieux, consiste à faire [la] volonté [de Dieu], à être ce qu’Il veut que nous soyons." Chacun est appelé à devenir saint, c’est-à-dire ce pour quoi Dieu l’a créé. La Toussaint ne célèbre pas des hommes et des femmes parfaits mais fait mémoire de personnes qui ont répondu positivement à cette invitation. Elles sont, de cette manière, devenues pleinement elles-mêmes.

    Sainte Thérèse ajoute que "les grands saints peuvent être comparés au lys et aux roses" mais que, dans le même jardin, il en existe aussi de plus petits, tels des "pâquerettes ou des violettes", sans lesquels "la nature perdrait sa parure printanière"ou sa diversité. La sainteté est donc bien l’affaire de tous. Cette vocation à la sainteté a des implications concrètes, non seulement dans la vie de ceux qui souhaitent y répondre mais, plus largement, dans leur entourage qu’elles sont appelées à illuminer.

    Dans la conduite de sa propre vie, il est bon de disposer de modèles. Le fils prendra exemple sur le père, l’élève sur le maître, la société tout entière sur ceux qui ont marqué son Histoire, parmi lesquels les saints, présentés en exemple par l’Eglise. En tant qu’enseignant, je côtoie des jeunes chaque jour. L’exercice de mon métier m’apprend que brandir abstraitement valeurs et idéaux, dans l’espoir de contribuer à la construction d’hommes et de femmes accomplis, est insuffisant. J’aurai beau répéter à mes élèves qu’il faut, par exemple, qu’ils s’engagent, qu’ils soient dévoués : rien n’y fera ou presque. Ces mots peuvent même susciter l’ennui, voire le mépris, dès lors qu’ils sont assénés à longueur de temps. Je pense que le don de soi et l’engagement, entre autres valeurs, n’auront vraiment de sens pour eux que si elles sont incarnées.

    Aussi, parlons-leur du père Damien qui a œuvré jusqu’à sa mort pour les lépreux. Canonisé en 2009, ce "martyr de la charité" ira jusqu’à donner sa vie pour les exclus parmi lesquels il vivait. Evoquons avec eux la figure de sœur Emmanuelle qui, partie de Belgique, passa sa vie entière au milieu des déshérités du Caire, s’engageant pour plus de solidarité. Comme l’écrit le philosophe français François-Xavier Bellamy, "à travers chacune de ces figures particulières, […] nous sommes conduits vers un enseignement dont la portée est universelle".

    Les saints sont des modèles parce qu’ils offrent un exemple de vie vécue pour les autres. Or, pour grandir, la jeunesse a besoin d’exemples auxquels s’identifier avec force, de figures inspirantes et de références solides. Offrons-leur ! La Toussaint n’est pas la fête de la mort mais bien un appel à la vie adressé à tous ! Pas une demi-vie ou une vie boiteuse, mais une vie pleinement vécue. Celles d’hommes et de femmes accomplis, prenant appui sur les modèles de sainteté proposés par l’Eglise.

  • Le pape salue la mémoire de l'empereur Charles de Habsbourg

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    Du site web de Radio Vatican :

    Le Pape rencontre les Habsbourg et salue la mémoire de Charles

    Le Pape François et la famille des Habsbourg - OSS_ROM

    (RV) La mémoire de Charles de Habsbourg, dernier empereur d’Autriche-Hongrie (1916-1918), a été au coeur de l’audience que le Pape François a accordé aux membres de la famille des Habsbourg ce samedi 5 novembre 2016 dans la matinée, salle Clémentine. Charles, bienheureux de l’Église, montait sur le trône d’une des plus vieilles monarchies d’Europe il y a cent ans, en pleine Première Guerre mondiale. Il avait abdiqué et était mort en exil quelques années plus tard en 1922.

    « Charles fut d’abord et avant tout un bon père de famille, et comme tel, un serviteur de la vie et de la paix. Il avait connu la guerre, ayant été simple soldat au début de la Première Guerre mondiale. Parvenu au trône en 1916, et sensible à la parole du pape Benoît XV, il s’est engagé de toutes ses forces en faveur de la paix, au risque d’être incompris et raillé. En cela également, il nous offre un exemple très actuel, et nous pouvons l’invoquer comme intercesseur pour obtenir de Dieu la paix pour l’humanité » a ainsi déclaré le Pape aux descendants du dernier empereur d’Autriche-Hongrie.

    Les membres de cette famille autrichienne sont venus à Rome pour effectuer le pèlerinage jubilaire. Parmi eux, certains sont engagés dans des organisations de solidarité et de promotion de la personne humaine et de la culture, ainsi que dans la promotion de l’Europe comme « maison commune fondée sur des valeurs humaines et chrétiennes ». D’autres membres ont choisi d’entrée dans la vie religieuse, soit comme prêtres soit dans des instituts de vie consacrée. (XS)

  • Liège : une messe des artistes chaque premier dimanche du mois à l’église du Saint-Sacrement

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    En la Solennité de la fête de saint Hubert ce dimanche 6 novembre, à la messe dominicale de 10h à l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy, 132) la musique dédiée au culte sera une fois de plus mise à l’honneur: avec la messe grégorienne de saint-Hubert (schola ), des improvisations à l’orgue sur le plain-chant (Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers) et plusieurs duos pour violons de Vivaldi, Dancla et Haydn (interprétés par Anne Sylvie Primo et Frédéric Vandendunghen, membres de l’Ensemble Darius et de l’Orchestre de Chambre de Liège).

    Affiche-messe prem dimanche.jpg

     

    JPSC

  • Liège, 24 novembre : NightFever "Que veux-tu que je fasse pour toi ?"

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    Le grand rendez-vous des jeunes liégeois en quête de sens

    NightFeverLiege ce jeudi 24 novembre

    Le rendez-vous des jeunes liégeois en quête de sens

    Seconde NightFever de l'année, à l'église saint-Jean.
    La question t'es posée: "Que veux-tu que je fasse pour toi?"
    C'est aussi la demande de Jésus à l'aveugle Barthimée.
    L'eucharistie sera présidée par notre ami Thomas Sabbadini, récemment ordonné.

    Le thème de cette nouvelle année : "NightFever Meets Jesus", ou comment Jésus a t'il rencontré ses contemporains ?

    Rejoignez sur Facebook l'évènement de ce jeudi 24 novembre

    Venez aussi allumer une bougie et prier pour la paix. Elle symbolise aussi votre intention, peu importe si c’est de la joie ou un remerciement, si vous êtes en deuil, si vous êtes soucieux, ou tout simplement bouleversé. De la bonne musique, adoration, ambiance feutrée, un vrai coeur à coeur avec Jésus.

    • 19h30: messe festive animée par les jeunes
    • 20h00: accueil et partage
    • 20h15: veillée NightFever (ambiance feutrée, adoration, chants, réconciliation)
    • 21h00: début de l'accueil & talk au "42"
    • 22h00: fin de la veillée

    Eglise Saint-Jean, Place Xavier Neujean, 4000 Liege

    Invitez vos amis et vrais amis à l'évènement de ce jeudi 24 novembre


    - Jasmine (21) : Beautiful! Nous reviendrons certainement. Je suis heureuse que vous apportiez Jésus et Dieu si proche.
    - Bexxi (19) : Je suis entrée pour la première fois dans l’église. La lumière dégage une puissance qui m’interpelle.
    - Stefanie (20): Une merveilleuse surprise, je viens de la gare … Le Night Fever était exactement ce que je cherchais depuis des semaines … comme un signe de Dieu. Je vous remercie!
    - Jose (44) : Je vous remercie de tout mon cœur, très impressionnant.

    Prochaines NightFever à St-Jean Liège:

    • Jeu 23/2, avec le père Rodney Barlathier, jeune prêtre salésien, rencontre du bon larron, "Jésus, souviens-toi de moi", Lc 23,39 
    • Jeu 27/4, avec l'abbé Vincent Jemine, Curé de Liège à Neupré-Sart-Tilman, rencontre de la samaritaine, "Donne moi à boire", Jn 4, 3
    • Jeu 15/6, Fête-Dieu, à la Cathédrale, depuis 1246... !!

    Nightfever 21h30-23h00

    A Liège, le projet NigthFever est porté par la plupart des groupes et communautés qui s’impliquent dans la pastorale des jeunes et des étudiants: SDJ, Emmanuel, Chemin Neuf, Dominicains, Salésiens, Jésuites, MEJ, Renouveau, Jesus Trip, Frères de Saint-Jean, etc.. Le team de Liège collabore avec les teams de NightFever Bruxelles, Leuven et à l'international. A Liège, la cité Ardente, nous avons souhaité combiner un module « causeries et rencontres » dans la cadre du pub le "42″ afin de favoriser et développer un réseau d’amitiés.

    Plus d'infos:

  • Qui êtes-vous, Jean-Frédéric Poisson ?

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    Jean-Frédéric Poisson - Avant, j'aimais pas la politique