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Foi - Page 798

  • BXL, 18 octobre : conférence de Lytta Basset sur la compassion

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    Communiqué de Presse : 

    Conférence Lytta Basset 18 oct. 2013 à Bruxelles 

    Valeur cardinale de bien des religions, la compassion est aujourd’hui mal comprise : on a en effet tendance à la confondre avec l’amour, la charité, la pitié ou l’empathie… Selon Lytta Basset, on ne décide pas d'être "pris de compassion" ou "pris aux entrailles", selon l'expression des évangiles. Cela peut arriver face à un "ennemi" ou une personne très dysfonctionnante! Sans préavis, on se met à com-pâtir: à vibrer/sentir/souffrir-avec autrui, pas à sa place,... et c'est par le corps que cela se passe. Désormais, on verra l'autre avec des yeux neufs: on aura partagé avec lui la plus grande vulnérabilité de la condition humaine ... jusque dans cette profondeur du cœur et du corps où se tient le Tout-Autre en Sa compassion.

    Philosophe et théologienne protestante, Lytta Basset est l’auteure d’une douzaine d’ouvrages. Elle s'est fait connaître du grand public par son approche renouvelée des thèmes bibliques. Parallèlement à son activité de professeure à l'Université de Neuchâtel (Suisse), elle donne de nombreuses conférences et anime des sessions de formation dans les pays francophones. Elle dirige la revue internationale de théologie et de spiritualité La Chair et le Souffle

    Thème :

    « La fragilité … tous concernés ?

    S’ouvrir à la compassion.»

    Venue : 18 oct. 2013 à 20h à l’ICHEC Montgomery rue du Duc, 132 à 1150 Bruxelles

    Prix : 8 € 

    Organisateurs : L’Arche, OCH, Foi et Lumière, avec le soutien de : Média Catholiques, Bayard, Rive Dieu

    Info : www.larche.be – 02/772 79 54

  • La Lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (sept. 2013)

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    logo letter.jpgC'est la rentrée ! La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon revient, gonflée à bloc, la Mouche du Coche ayant chanté tout l'été ! Tous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    JOUIR SANS ENTRAVES

    Par P. Louis-Marie Guitton, responsable de l'OSP

    LA POSTMODERNITé, UN POSTCHRISTIANISME ?

    Par Falk van Gaver, délégué de l'OSP

    SVT : UNE SCIENCE LIBRE AU SERVICE DE LA VIE

    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable "bioéthique" de l'OSP

    REPORT DE L'éCOTAXE

    Par Philippe Conte, responsable "environnement" de l'OSP

    JOHN RUSKIN, AT LAST !

    Par Falk van Gaver, délégué de l'OSP

    "J'ai été à la Manif, alors je voudrais faire de la politique..."
    Par Jérôme Le Montréer

    Par la Mouche du Coche
  • Maroc : un chrétien en prison pour avoir témoigné de ses convictions

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    De Portes Ouvertes :

    Maroc : prison ferme pour avoir parlé de ses convictions chrétiennes

    Dans le nord du Maroc, Mohammed El-Baldi a été arrêté et condamné à cause de sa foi chrétienne. Il est actuellement détenu dans la prison d’Ain Aicha.

    La petite communauté chrétienne locale du Maroc est sous le choc de l’arrestation et de la condamnation d’un de ses membres, Mohammed El-Baldi. En moins d’une semaine, ce chrétien de 34 ans a été arrêté, jugé et condamné pour évangélisation par le tribunal à une peine de prison ferme et une amende.

    Le 28 août, Mohammed, converti au christianisme depuis sept ans, était chez lui quand la police est arrivée, a fouillé sa maison et l’a arrêté. Il a été accusé d’inciter ses compatriotes à adopter la foi chrétienne, ce qui signifie donc quitter l’islam et se rendre coupable du crime d’apostasie.

    Dès le lundi suivant, 2 septembre, il a comparu devant le tribunal de Taounate, dans le nord du Maroc qui l’a condamné à deux ans et demi de prison ferme et à une amende de 5000 dirhams (450 euros).

    Une peine sévère

    Or, si la loi marocaine (article 220 du Code pénal) punit le fait d’ébranler un musulman dans sa foi, la peine de prison qu’a reçu Mohammed est cinq fois supérieure au maximum prévu par la loi et la somme d’argent qu’il doit verser est dix fois supérieure à ce que prévoit le code pénal. (Sources : Hesspress, Le 360, Assabah, Yabiladi)

    « Une telle rapidité est mauvais signe pour les chrétiens marocains et nous laisse penser que l’on n’a pas laissé à Mohammed la possibilité d’organiser correctement sa défense », s’inquiète un spécialiste de Portes Ouvertes pour la région.

    Au Maroc, parler publiquement de la foi chrétienne est interdit et la conversion au christianisme fermement découragée. Si les chrétiens étrangers bénéficient de la liberté de culte, les chrétiens locaux sont contraints de cacher leur croyance.

  • Croire en Dieu mais pas dans l'Eglise ?

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    De la Rédaction de l'Homme Nouveau :

    Ce matin, lors de l'audience générale du mercredi, place Saint-Pierre, en présence d'une foule évaluée à 50 000 personnes, le Pape François a axé sa catéchèse sur l'Église, notre mère dans la foi.

    « Parmi les images choisies par le concile Vatican II pour mieux exprimer la nature de l'Eglise, il y a celle de la mère... L'Eglise est notre mère dans la foi et la vie surnaturelle... Mais comment l'est elle ? Partons de la maternité humaine. La mère génère la vie et porte à la vie son enfant. L'Eglise nous engendre dans la foi par l'action de l'Esprit qui la rend féconde. Si la foi est un acte personnel...nous la recevons des autres, d'une famille, d'une communauté qui nous enseignent à dire oui au Credo. Le chrétien n'est pas une île et on ne devient pas chrétien par nous-mêmes.

    La foi est un don de Dieu offert dans l'Eglise et à travers elle. Elle l'offre dans le baptême, qui nous fait naître en tant que fils de Dieu, lorsque l'Eglise mère nous engendre... Cela doit nous faire comprendre que notre appartenance à l'Eglise n'est pas quelque chose de superficiel et décoratif mais intérieure et vitale. On n'appartient pas à l'Eglise comme on adhère à un parti et le lien avec elle est celui de l'enfant et de sa mère. Comme l'a dit saint Augustin, l'Eglise est la mère des chrétiens... Et une mère ne se limite pas à donner la vie... Elle sait aussi corriger, pardonner, comprendre, être proche dans les difficultés. En somme, une bonne mère aide ses enfants à sortir du cocon maternel et à marcher par eux mêmes...

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  • Le pape répond aux interpellations d'un journaliste athée dans la Repubblica

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    Lu ICI : 

    Le pape François a entamé un dialogue direct avec ses fidèles en répondant personnellement à certains courriers. Plus surprenant encore : il a répondu par une lettre ouverte publiée sur le quotidien italien La Repubblica à un édito du journaliste et écrivain Eugenio Scalfari qui lui était adressé posant la question de la foi et de la laïcité. Une lettre inédite du "Papa Francesco" qui marque son désir d'ouvrir "un dialogue avec les non croyants".

    "Honorable Docteur Scalfari, c'est avec une vive cordialité, même si seulement dans les grande lignes, que je voudrais chercher par la présente à répondre à la lettre…" commence François surnommé le pape "des pauvres".

    L'édito d'Eugenio Scalfari intitulé "Les questions d'un non croyant au pape jésuite appelé François" avait été publié le 7 août 2013 dans le quotidien. Mêlée de politique, de foi, de questions d'ordre théologique et sociétale, la lettre était incisive, dans un pays où l'église et l’État marchent main dans la main.

    L'argumentation de ce célèbre éditorialiste athée italien est précise, documentée et ouverte à la discussion. La question de fond est posée : l'église est-elle soluble dans la société moderne ?

    Le pape a saisi l'opportunité pour ouvrir un dialogue "précieux et dû" répondant que "La culture moderne fondée sur le siècle des lumières" a souvent accusé "l’Eglise et la culture d’inspiration chrétienne" de représenter "l’obscurantisme de la superstition qui s’oppose à la lumière de la raison. Le temps est désormais arrivé (...) pour un dialogue ouvert et sans préjugé qui peut rouvrir la porte à une rencontre sérieuse et féconde".

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  • BXL, 22-27 septembre : Famille, deviens ce que tu es, avec Mgr Léonard et Mgr Anatrella

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    « L’avenir de l’humanité passe  par  la famille! Il est donc indispensable et urgent que tout homme de bonne volonté s’emploie de toutes ses forces à sauvegarder et à promouvoir les valeurs et les exigences de la famille. Je me sens poussé à demander à ce sujet un effort particulier aux fils de l’Eglise. Dans la foi, ils ont une pleine connaissance des merveilleux desseins de Dieu, ils ont donc une raison de plus de prendre à cœur la réalité de la famille, dans ce temps d’épreuve et de grâce qui est le nôtre. » (Familiaris Consortio)

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    « FAMILLE, DEVIENS CE QUE TU ES » (Jean-Paul II)

    EGLISE DES PÈRES CARMES

    45 Avenue de la Toison d’Or - Métro ligne 1 ou 6 : LOUISE

    Pout tout renseignement, contacter le 02 502 05 89

  • Le journaliste Domenico Quirico, libéré de Syrie : "J'ai rencontré le pays du Mal"

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    Domenico Quirico, journaliste à La Stampa détenu en Syrie pendant cinq mois avec le Belge Pierre Piccinin, a regagné l'Italie lundi. Il a livré à son journal le récit de sa captivité. Cliquez ici, sur le blog du "Monde" : Le journaliste Domenico Quirico, libéré de Syrie : "J'ai rencontré le pays du Mal"

    En conclusion de son récit, il y a cette profession de foi : "Cette expérience est remplie de Dieu. Pierre Piccinin [le compagnon de captivité de Domenico Quirico] est croyant. Je le suis aussi. Ma foi est très simple, c'est celle de mes prières d'enfant, des prêtres que je croisais alors, pédalant vers leurs petites paroisses chaussés comme des ouvriers, leur sacoche attachée à leur vélo. Ils allaient porter l'extrême onction, bénir les maisons, avec la foi de Bernanos, simple mais profonde. Ma foi, c'est de me donner, je ne crois pas que Dieu soit un supermarché, où on va demander à peu de frais la grâce, le pardon, un service. Avoir la foi m'a aidé à résister.

    Notre histoire, c'est celle de deux chrétiens dans le monde de Mahomet et de la comparaison entre deux fois différentes : la mienne, simple, faite de don de soi et d'amour, et la leur, qui est faite de rituels. J'avais aussi avec moi un de mes carnets où j'écrivais chaque jour ce qui s'était passé. Je l'avais presque fini, il ne restait que deux pages. Le dernier jour, ils me l'ont pris. Il m'a surtout servi à tenir le compte des mois, des jours, parce que si on perd le sens du temps, on sombre dans un puits d'où on ne ressort pas. 

    Domenico Quirico (traduit de l'italien par Florence Djibedjian)"

    A méditer. Pierre Piccinin est, en effet, aussi un croyant sincère, à ce que je crois savoir par ailleurs. JPSC

  • Enfin, la révision de la traduction du Pater

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    Lu sur le site « Riposte catholique » :

    "La réforme de la réforme suit son cours. Je dirai même qu’elle avance !  A partir du 22 novembre, sera publiée une nouvelle traduction officielle de la Bible pour la liturgie francophone. Dans cette nouvelle traduction se trouve notamment une révision de la traduction du Pater, dont la très controversée sixième demande ne sera plus « Et ne nous soumets pas à la tentation » mais « Et ne nous laisse pas entrer en tentation ».

    Les évêques français ont eu en leurs mains un volumineux document de travail, dont Monseigneur Hervé Giraud, évêque de Soissons, Laon et Saint-Quentin, avait fait un résumé publié sur le site de son diocèse en juin 2011.

    L’histoire de la traduction erratique de cette formule est à retranscrire.

    Le 29 décembre 1965, le président la Conférence des Evêques de France, Mgr Maurice Feltin, archevêque de Paris, annonce l’adoption d’une nouvelle traduction. Le 4 janvier 1966, dans un communiqué commun avec les représentants des chrétiens orthodoxes et réformés, cette nouvelle traduction est annoncée comme étant commune aux trois confessions chrétiennes. Cette nouvelle traduction se rapproche beaucoup de la version utilisée jusqu’alors par les réformés et implique une modification importante de la sixième demande qui était formulée ainsi : « ne nous laisse pas succomber à la tentation ».

    En 1969, l’abbé Jean Carmignac publie sa thèse « Recherches sur le Notre Père », qui reste une référence majeure. Lors qu’il tente de s’opposer à certains points de la traduction du nouveau lectionnaire français, son analyse de la sixième demande du Pater sera la première à faire suspecter un caractère blasphématoire dans la traduction œcuménique de 1966. Les évêques français, plutôt que de céder à l’idée de l’abbé Carmignac, car cette idée a été reprise par le mouvement traditionaliste; se sont appuyés sur le travail de l’exégète Jean Delorme , qui cherchait un consensus, pour réconcilier tout le monde. « Ne nous laisse pas entrer en tentation. » n’est ni impératif (« ne nous introduis pas ») ni permissif («ne permets pas… »). Et cette formule laisse entière la possibilité de l’interprétation traditionnelle : « ne nous laissez pas succomber à la tentation. »

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  • BXL, 18 octobre : messe pour le personnel médical et para-médical

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    Messe pour le personnel

    médical et para-médical

    à l'occasion de la fête de saint Luc

    Vendredi 18 octobre à 19h

    Notre-Dame du Finistère (rue Neuve - Métro De Brouckère, Rogier - Parking: rue du marais 117 (Institut Saint-Louis)

    Contact: Carine De Geeter - 02 533 29 51

    À l'invitation de Mgr Kockerols évêque auxiliaire pour Bruxelles

    À l’issue de la célébration, rencontre avec collation

  • «Le risque de l'athéisme anonyme menace aussi les chrétiens»

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    Le cardinal Scola demande de regarder le monde positivement, en abandonnant les jugements et les lamentations. Il annonce aussi l’assouplissement/le désengorgement de la Curie de Milan.  

    ANDREA TORNIELLI (merci à EW pour sa traduction)

    http://vaticaninsider.lastampa.it/vaticano/dettaglio-articolo/articolo/27706/

    La lettre pastorale s’intitule  « Le champ, c’est le monde. Chemins à parcourir à la rencontre de l’humain», elle est caractérisée par un regard positif sur le monde et sur ses changements et représente jusqu’à aujourd’hui la tentative la plus significative de syntonie avec le nouveau pontificat de la part de l’un des plus grands diocèses italiens. 

    Dans la lettre pastorale du cardinal de Milan Angelo Scola, publiée ce lundi, les critiques réalistes sur l’état de fatigue des Eglises européennes ne manquent pas : «  La situation sociale, politique et religieuse de l’Europe montre toutes les rides du visage d’une mère qui a porté pendant des siècles, parfois avec arrogance, le poids de la complexité toujours croissante de l’histoire. Les chrétiens eux-mêmes en partagent la responsabilité. » Et nonobstant quelques signes encourageants de résistance « Il faut l’admettre avec franchise – écrit Scola –, même parmi les chrétiens de Milan, le risque existe, d’une sorte d’ « athéisme anonyme », c’est-à-dire de vivre dans les faits comme si Dieu n’existait pas. Une lassitude qui se perçoit particulièrement dans la « condition des générations intermédiaires. » 

    Mais la nouveauté la plus remarquable de cette lettre réside dans le regard positif sur le monde qu’elle propose. Le monde, c’est le « champ de Dieu », à l’origine de la réalité, il y a l’ « initiative bonne d’un Autre » et, par conséquent – explique le cardinal en paraphrasant le Pape François - , il faut « se laisser surprendre par Dieu. » Le « « monde » a une dimension positive irréductible : il est le fruit de la grâce » de l’amour de Dieu. Un amour qui « nous précède toujours et ne peut être vaincu par aucun mal ! ».

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  • Richard de Sainte-Anne, un franciscain hennuyer martyrisé au pays du soleil levant

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    De la Belgique au Japon: la trajectoire d'un bienheureux franciscain (Zenit.org - Anita Bourdin)

    Le martyrologe romain fait aujour'hui mémoire, entre autres, du bienheureux Richard de Sainte-Anne, prêtre, franciscain et martyr (1585-1622).

    Il est particulièrement fêté aujourd'hui en Belgique, à Tournai, car il était né à Beignée, un hameau de Ham-sur-Heure. A 19 ans, il entra chez les franciscains de Nivelles. Puis, ayant rencontré à Rome un missionnaire du Japon, il désira aller y annoncer le Christ.

    L'évangélisation du pays avait débuté en décembre 1547, au moment où saint François-Xavier avait rencontré à Malacca trois Japonais, dont le Samouraï Yajiro, qui fut baptisé à la Pentecôte 1548. Lorsque le saint mourut aux portes de la Chine en 1552, il y avait au Japon 800 chrétiens, et deux jésuites, un prêtre et un frère.

    C'est en 1593 qu'arrivèrent les franciscains, leur mission se développa en dépit de persécutions sanglantes. En 1614, le christianisme fut interdit et les missionnaires expulsés.

    Richard rejoignit la mission de Nagasaki, où il déploya tout son zèle apostolique. Mais il fut arrêté et mourut martyr, avec 54 compagnons, le 10 septembre 1622: 33 chrétiens furent attachés et brûlés vif et 22 autres décapités.

  • Timo Aytaç Güzelmansur, un musulman conquis par Jésus

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    (Source) Il s’appelle Timo Aytaç Güzelmansur. Il est né en 1977 à Antakya, l'Antioche de l’antiquité, où – selon les Actes des apôtres – les disciples de Jésus de Nazareth ont été appelés chrétiens pour la première fois.

    Après s’être converti et avoir reçu le baptême il a étudié la théologie de 2000 à 2005 à Augsbourg, en Allemagne, puis à l’Université Pontificale Grégorienne, à Rome. Il a obtenu un doctorat de recherche à la Hochschule Sankt Georgen de Francfort, la faculté de théologie où Jorge Mario Bergoglio, quand il était encore un jeune jésuite, souhaitait compléter ses études.

    Son “mentor” a été un autre jésuite, Christoph Tröll, grand expert de l’islam, très apprécié en raison de cette compétence par la conférence des évêques d’Allemagne et par Joseph Ratzinger lui-même qui fit appel à lui, en 2005, alors qu’il venait d’être élu pape, pour faire l’introduction de la session d’études annuelle destinée à ses anciens étudiants en théologie qui a lieu à Castel Gandolfo.

    Dans cette interview, qui est reproduite ci-dessous, Timo Aytaç Güzelmansur ne nie pas la "dangerosité" d’une conversion dans un pays tel que la Turquie et à plus forte raison dans d’autres pays musulmans encore plus intolérants.

    Mais il souligne que les conversions ne manquent pas, y compris celles qui ont lieu pour un motif très semblable au sien : la découverte que "Jésus nous a aimés au point de se donner pour nous sur la croix".

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