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Foi - Page 827

  • 21 avril : Dimanche des Vocations

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    Du Centre National des Vocations :

    Le Christ t’appelle à être source d’espérance

    Le prêtre, le diacre, le moine ou la moniale, le missionnaire ou le religieux apostolique sont des visages relativement bien connus dans l’Eglise. Mais il existe bien d’autres manières de vivre la grâce du baptême. A chaque époque, l’Esprit Saint suscite des réponses neuves aux questions des hommes.

    Après avoir mis à l’honneur la vocation à la sainteté de tous les baptisés (2009), du prêtre (2010), de la vie consacrée (2011) et du diaconat permanent (2012), le Centre national des vocations se penche cette année sur des vocations qui sortent parfois des sentiers battus mais n’en sont pas moins précieuses à l’Eglise : les vocations laïques. Signe de leur vitalité, une grande diversité les caractérise. Regroupés souvent dans des associations de fidèles, certains membres restent laïcs, d’autres deviennent des laïcs consacrés. Les uns habitent dans nos villes avec discrétion, les autres travaillent publiquement au service de leurs frères à l’annonce de l’Evangile. Certains groupes sont nés au début du XX° siècle, d’autres plus récemment. En solitude ou dans la vie communautaire, tous conjuguent vie spirituelle et engagement apostolique.

    En son message pour la 50ème Journée mondiale de prière pour les vocations, le pape Benoît XVI nous exhorte tous, quelle que soit notre vocation, à la prière pour « les vocations, signe de l’espérance fondée sur la foi… Dieu ne nous laisse jamais seuls… Dans le Seigneur ressuscité, nous avons la certitude de notre espérance… ».

    Quand le Christ appelle, il envoie. Que tous ceux qui l’entendent consentent à devenir signes d’espérance pour les hommes de ce temps !

    > Télécharger la brochure « Le Christ t'appelle à être source d'espérance »

    > Prière 2013 « Tu portes un regard d'amour »

    > Commander la brochure, l’affiche ou le signet de prière

     

    Voir aussi : http://blog.jeunes-cathos.fr/2013/04/prier-et-appeler-aux-vocations/

  • Un témoin du Christ, mort à 24 ans à Mauthausen

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    Fêté aujourdhui : le bienheureux Marcel Callo

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen. Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre.

    Source : Rubrique Prière inXL6

    Marcel Callo, un jeune ouvrier de Rennes, avait 24 ans quand il est mort en camp de concentration à Mauthausen.

    Sa vie de foi, son amour du Seigneur, sa passion pour la vie et la dignité de ses frères, l'ont conduit au martyre. Jugé « trop catholique », il sera arrêté par la Gestapo et déporté.
    Au milieu des combats de son temps, et de ses combats personnels, il s'est laissé façonner par la grâce, jusqu'à l'ultime témoignage.
    Avec lui, nous pouvons apprendre à faire de notre humanité, de nos énergies propres un lieu offert au Seigneur, jusqu'au bout, une vie offerte aux frères et exposée à l'amour.

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  • Le pontificat de François bientôt confié à Notre-Dame de Fatima

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    Le pape François a adressé au cardinal portugais José Policarpo une requête spéciale. Le pape a demandé au patriarche de Lisbonne de consacrer son pontificat à Notre-Dame de Fatima.

    Durant ce mois d'avril, les évêques Portugais ont tenu leur réunion annuelle; ilsont tous accepté de procèder ensemble à la cérémonie de consécration.
     
    Cette célébration aura lieu le 13 mai (date anniversaire de la première apparition de la Vierge à Fatima); elle sera présidée par le Cardinal Policarpo, qui est également le Président de la Conférence épiscopale du Portugal. Les évêques ont également invité les pèlerins à prendre part à la cérémonie en l'honneur du « service pastoral du pape ».

  • Maroc : la peine de mort recommandée pour les apostats

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    Selon Natalia Trouiller (Matinale de La Vie) :

    Maroc: le conseil des oulémas soutient la peine de mort pour apostasie

    Selon le quotidien Akhbar al-Youm, le Conseil des oulémas présidé par le roi Mohammed VI, Commandeur des Croyants, a rendu son avis à la demande de la Délégation ministérielle des droits de l'homme, "dans le cadre de la préparation du rapport périodique relatif aux droits civiques et politiques". Cet avis (fatwa) consiste à recommander l'usage de la peine de mort en cas d'apostasie de l'islam. Au Fait Maroc relate: "Tout à commencé lorsque la DIDH a adressé un courrier au ministère des Habous et des Affaires islamiques, qui l’avait fait suivre au CSO, pour se prononcer sur un certain nombre de points. L’objectif étant d’élaborer la réponse qui devra être intégrée dans le rapport pour les travaux du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui se tiendront en Suisse.  C’est donc dans ce cadre que le Conseil Supérieurs des Oulémas a émis sa fatwa qui dit que concernant les non musulmans mais croyants dans un monothéisme reconnu, l’islam n’a rien prévu pour les contraindre à changer de religion.  Il en va autrement cependant pour les musulmans : le CSO a en effet rappelé que 'l’islam ne permet en aucun cas à ces personnes (nées de parents musulmans, ou uniquement de père musulman), de quitter leur religion ou de renoncer au pacte social qui les lie'. Pour le CSO, il s'agit là d'un acte d’apostasie et de déloyauté qui expose son auteur à des peines spéciales".

    Mais... : http://www.yabiladi.com/articles/details/16802/liberte-conscience-maroc-presence-imam.html

  • Horion-Hozémont, 12 mai : procession paroissiale

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    Affiche Procession 2013.JPG

  • Banneux, 1er mai : les diocèses de Liège et de Hasselt consacrés à Marie

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    Renouvellement de la consécration des diocèses de Liège et de Hasselt à Marie

    Le mercredi 1er mai, ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux, les évêques de Liège et de Hasselt renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres

    Chaque année, le 1er mai marque l’ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux. Et pour cause : le mois de mai est celui de Marie et les pèlerins affluent en grand nombre. Cela n’empêche évidemment pas que le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres reste accessible toute l’année, 365 jours sur 365. Car, la « belle dame » est là, chaque fois que nous nous rendons à la petite chapelle ou à la source.

    En 2013, le 1er mai est le jour où les évêques de Liège et de Hasselt nous donnent rendez-vous pour un moment intense et solennel : ensemble, ils renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres.
    Au moment des apparitions, en 1933, le diocèse de Liège recouvre encore les provinces de Liège et de Hasselt. C’est d’ailleurs un Limbourgeois qui est le bon pasteur de ce troupeau où l’on parle les trois langues nationales, le flamand, le français et l’allemand. Après la reconnaissance officielle des huit apparitions, l’évêque a voulu consacrer son diocèse solennellement à Marie. Ce qui fut fait le 15 août 1953.

    Quel peut être le sens d’une telle consécration ?
    J’y vois d’abord l’expression d’une profonde gratitude : Marie a visité ce coin de terre à une époque d’énormes bouleversements politiques et sociaux. De grandes épreuves se dessinent –malheureusement– à l’horizon. Je viens soulager la souffrance promet-elle. Ceux qui se sont confiés à elle avec leur vie telle qu’elle est, ont pu faire l’expérience du secours maternel de Marie.


    La seconde guerre mondiale est passée par là et, après 1945, l’immense défi de la reconstruction et de la réconciliation a dû être relevé. Lorsque Mgr Kerkhofs décide de consacrer son diocèse à la Vierge des Pauvres, il sait que la dimension spirituelle ne peut pas être absente d’une telle aventure. Marie n’avait-elle pas affirmé que la source, réservée pour elle, était pour toutes les nations ?


    Après vingt ans, Banneux a fait ses preuves et l’évêque a bien compris que le ciel lui a fait un immense cadeau : il le reconnaît par cette consécration. Mais il souhaite surtout que toute l’Église qui est à Liège accueille joyeusement ce cadeau et trouve son secours auprès de Marie.


    Depuis le 31 mai 1967, le Limbourg est devenu un diocèse à part, réforme institutionnelle oblige, même à l’intérieur de l’Église de Belgique. Mais les habitants du Limbourg sont encore bien « chez eux » quand ils viennent à Banneux. C’est ainsi que les anciens mineurs de cette province ont gardé un merveilleux attachement à Notre-Dame : dans les heures tellement sombres de la fermeture de leurs mines, la Vierge des Pauvres a été un réel soutien pour eux. D’ailleurs quand le diocèse de Hasselt a fêté ses 40 ans d’existence, c’est à Banneux que l’évêque a donné rendez-vous à ses diocésains.


    Heureuse celle qui a cru ! est-il dit de Marie dans les évangiles. L’Année de la Foi voulue par le pape émérite Benoît XVI pour 2013 ne se prête-t-elle pas parfaitement à un renouvellement solennel de la consécration des deux diocèses à la Vierge des Pauvres ?

    Rendez-vous donc le 1er mai 2013 pour ce temps fort, tant pour les Limbourgeois que pour les Liégeois !


    Abbé Leo Palm, 
    Recteur du Sanctuaire de Banneux

    source : liege.diocese.be

  • Le mystère du Pain de Vie

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    Homélie du jour (homelies.fr - archive 2004)

    Jésus se présente comme la nourriture essentielle, le pain qui donne la vie. Le lieu par excellence où se partage le pain est la table familiale : le père rompt le pain, fruit de la terre et de son travail, il rend grâce à Dieu de lui permettre de subvenir aux besoins des siens, puis il le distribue à ses enfants pour qu’ils s’en rassasient. Dans ce partage du même pain, ce ne sont pas seulement les corps qui se nourrissent, mais c’est aussi l’unité familiale qui se construit. La commensalité est au service de la convivialité, de l’épanouissement intégral de la vie, qui inclut la relation aux autres et ultimement à Dieu.

    « Moi je suis le Pain de la vie », le pain qui nourrit chacun de nous selon ses besoins personnels et en même temps nous établit dans l’unité d’une même famille : « la famille de Dieu » (Eph 2, 19). C’est le Père lui-même qui « rompt le Pain », qui nous le livre pour qu’en lui nous ayons la vie en plénitude : celui qui, s’approchant de la table, « vient à Jésus », « n’aura plus jamais faim », car dans la foi, il pourra se rassasier sans cesse de sa présence.

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  • Liège, 19 avril : action de grâce pour l'épiscopat de Mgr Jousten

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    Action de grâce pour l’épiscopat de Mgr Jousten

    Le vendredi 19 avril à 18h à la Cathédrale Saint-Paul

     

    "Étant bientôt arrivé à la fin de ma mission d’évêque diocésain, je souhaite rendre grâce au Seigneur avec vous pour tout ce qu’il m’a donné de vivre au milieu de vous. C’est pourquoi je vous invite à une célébration de l’eucharistie le vendredi 19 avril à 18 heures à la Cathédrale. Nous prierons aussi pour le futur évêque et pour notre diocèse."

     

    Les prêtres et les diacres apporteront aube et étole blanche.

  • Cet Amour que le monde oublie

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    Les Soeurs de Bethléem sont des femmes retirées au désert pour y vivre, dans l'esprit de saint Bruno, la rencontre avec l'Absolu et l'adoration. Inès de Warren nous parle de son livre Cet amour que le monde oublie paru aux éditions Salvator et préfacé par Chantal Delsol.


    Inès de Warren [Jeudi La Procure 28/02/13] par Librairie-La-Procure

    Quatrième de Couverture :

    Cet Amour que le monde oublie

    En quelques semaines, la vie de la soeur de l'auteur bascule. Artiste, elle a 35 ans quand elle annonce aux siens son entrée au monastère, chez les Soeurs de Bethléem. Personne dans son entourage n'avait jamais envisagé qu'une telle chose puisse arriver dans sa famille.

    Les commerçants, les gens du quartier où elle habitait remarquent sa disparition. Ils veulent savoir où est partie « la petite brune », comprendre ce qui peut se passer dans le coeur d'une femme qui lâche tout pour consacrer sa vie à Dieu.

    Les moniales de Bethléem sont des femmes qui se retirent du monde pour adorer Dieu au coeur de la Sainte Trinité. Inès de Warren est partie à leur rencontre avec une besace remplie de questions. Pourquoi elle ? Pourquoi cet ordre monastique ? Peut-elle être heureuse dans cette vie-là ?

    En visitant plusieurs monastères, en France et en Terre Sainte, l'auteur enquête et rencontre des moniales venues des autres coins du monde, aux histoires variées parfois rocambolesques, et des amis de la congrégation, des anciens de l'Assistance Publique bâtisseurs de monastères, une jeune fille aux mains tatouées, un cheikh palestinien, un pasteur suédois, des fils et des filles d'Israël, un ancien mannequin, un cardinal, un homme d'affaires mexicain. Peu à peu viennent les réponses, parfois inattendues mais toujours sincères et authentiques. Et surtout, l'auteur découvre cet Amour que le monde oublie et pour lequel les moniales ont tout quitté.

  • Le cardinal de Paris : …haut et fort !

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    Président de la Conférence des évêques de France, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, a prononcé un discours sans équivoque à l'ouverture de l'Assemblée plénière des évêques de France à Paris mardi 16 avril 2013 (extraits) :

    (…) L'insistance du pape pour appeler l'Église à se porter à la « périphérie » de notre monde est sans doute beaucoup plus riche de sens que ne le laisserait supposer une écoute rapide. Il est clair qu'il vise bien les périphéries sociales de nos sociétés et qu'il nous invite à rejoindre tous ceux que la vie malmène. Mais, et cela est moins entendu et souligné, il parle aussi beaucoup des « périphéries existentielles » qui ne visent pas seulement la marginalité sociale, mais aussi les drames intérieurs de la liberté humaine et le désespoir qui résultent d'un monde qui prodigue des jugements sévères sans annoncer l'espérance de la miséricorde. Ne voyons-nous pas que, sous les apparences d'un libéralisme moral ou, pour mieux dire, d'un libertarisme moral, nos sociétés secrètent une avidité pour dénoncer les coupables qui ne se soumettent pas à la loi commune ?

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  • Université de Liège, mercredi 24 avril 2013 : « les Dix Commandements et les Droits de l’Homme »

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    Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège.   

         Mercredi 24 avril 2013 à 18h00 

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    à l'Université de Liège

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    Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)  

    Les Dix Commandements et les Droits de l’Homme

     

    Un entretien entre 

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    Mgr André-Joseph LEONARD

     archevêque de Malines-Bruxelles

    et M. Albert GUIGUI

    grand rabbin de Belgique 

    Les racines spirituelles communes aux juifs et aux chrétiens ne les invitent-elles pas à un témoignage commun pour relever les défis de notre temps ? Plus fondamentalement que toutes les déclarations des droits de l’homme, le Décalogue n’est-il pas le message éthique commun d'une valeur permanente pour Israël, pour l'Eglise, pour les non-croyants et pour toute l'humanité ? En quoi les « Dix Commandements » fondent-ils une juste vision de l’écologie de la nature dans toutes ses dimensions, en particulier celle de la famille humaine ? Le drame  bouleversant de la Shoah n’est-il pas, pour ainsi dire, l’archétype de tous les drames contemporains où l’humanité s’est engagée, depuis le XXe siècle plus que jamais, sur  la voie de la haine mortifère enracinée dans l'idolâtrie de l'homme, de la race ou de l'État, une haine qui commence lorsque l'homme  se place au centre de l'univers ?

     

     Le débat sera modéré par M. Paul VAUTE , chef d'édition de la Libre Belgique-Gazette de Liège 

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    La rencontre aura lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

    Inscription obligatoire avant le 19 avril 2013, par téléphone : 04.344.10.89   ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €,  à régler sur place. L'accès à la salle (cent places disponibles) ne peut être garanti  aux personnes qui ne s'inscrivent pas au préalable 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/

     

     

    Les droits de l’homme : enjeu et impasses

    3175451760.jpgLe 21 septembre 2000, une controverse (au sens de la disputatio médiévale) fut organisée, au théâtre Quirino à Rome le 21 septembre 2000, entre le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, et un professeur à l’Université romaine de la Sapienza, le philosophe libertaire Paolo Flores d’Arcais, pour explorer des voies de convergence possibles sur quelques principes absolus relatifs à toute société humaine digne de ce nom. Au moment décisif du dialogue, le modérateur – Gad Lerner, un juif, journaliste à la  Repubblica – s’est demandé si des principes aussi fondamentaux que ceux du Décalogue ne pourraient pas être retenus comme base éthique commune, même par des athées (qui y souscriraient seulement « velut si [comme si] Deus daretur »). Mais cette proposition fut aussitôt rejetée par le philosophe laïc. 

    Ce dernier nia que certaines règles morales ou de droit naturel  puissent constituer des postulats, ou des acquis irréversibles, pour l’humanité : le contrat social est toujours relatif, contingent, renégociable. Ainsi, certains revendiquent-ils maintenant à l’ONU l’insertion de nouveaux « droits » (à l’avortement, à l’euthanasie, au choix du « genre » etc.) dans une Déclaration universelle des droits de l’homme vieille de 50 ans à peine (1948) !

    Tout s’écoule, disait déjà le vieil Héraclite. Pareille impasse montre à quel point une définition véritablement universelle (selon la formule « ubique, semper et ab omnibus » de Vincent de Lérins, Ve s.) des droits et donc des devoirs humains sans Dieu semble aléatoire.

    JPS