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International - Page 283

  • La Manif Pour Tous se mobilise contre la GPA (RDV le 8 mars à Paris)

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    La Manif Pour Tous
    URGENCE !
    Mères porteuses, achat d'enfants :
    la CEDH et la France accélèrent la cadence ☹
    Inscrivez-vous dès maintenant pour agir avec nous :
    RDV dimanche 8 mars à 15h à la Bourse de Paris !
    (Palais Brongniart - Bourse de Paris)
    Form internationale pour l'abolition de la GPA
     
    (avec la participation de Philopolis)
    FORUM INTERNATIONAL
    POUR L'ABOLITION DE LA GPA

    Ne laissons pas les juges de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) décider à notre place !

    Paris - Palais Brongniart (Bourse de Paris)
    Dimanche 8 MARS 2015 / 15h - 18h

    Les décisions de la CEDH en faveur de la GPA se succèdent (dernier arrêt en date : 27 janvier 2015, condamnant l'Italie. Et 3 nouveaux arrêts attendus prochainement qui concernent la France !

    Agissez avec nous en vous inscrivant dès aujourd'hui au 1er Forum international pour l'abolition de la GPA !

    La Manif Pour Tous comptent sur votre participation à l'événement : RDV dimanche 8 mars 2015, de 15h à 18h, à la Bourse de Paris (Palais Brongniart).

    RESERVEZ VOTRE PLACE DES AUJOURD'HUI
    Ensemble, mettons la GPA au c½ur du débat public
    pour faire stopper au plus vite cette pratique
    qui utilise la femme et chosifie l'enfant !
    Et, dès maintenant,
    signez la pétition au Conseil de l'Europe sur :
    www.nomaternitytraffic.eu
     
    No Maternity Traffic
  • L'ONU et la guerre contre la vie et la famille

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    De Stefano Fontana sur la Nuova Bussola Quotidiana (2/9/2015) traduit sur le site "Benoît-et-moi"

    LA GUERRE CONTRE LA FAMILLE ET LA VIE COMMENCE À L'ONU

    Quand nous constatons que l'idéologie de genre entre dans la classe de notre fils, ou que l'on fait pression pour distribuer à nos filles la pilule du lendemain, ou que telle association de volontariat pour le développement s'est prononcée en faveur de l'avortement, habituellement, nous ne pensons pas que nous sommes en face de faits qui ont leur origine beaucoup plus en amont, qui ont été planifiés bien avant et pour lesquels ont été dépensées d'énormes sommes d'argent. Et pourtant, c'est le cas.

    En 2014 s'est conclu le vingtième anniversaire du programme établi au Caire en 1994 sur «les droits à la santé sexuelle et reproductive». Parmi ces droits, il y en a quelques-uns de bons, comme l'accès au traitement anti-sida ou la promotion de l'allaitement maternel, mais il y en a d'autres mauvais comme la contraception, la stérilisation, l'avortement et l'inclusion des «nouveaux droits» LGBT. 
    Selon l'ONU, les objectifs du Caire n'ont pas été entièrement satisfaits, l'Assemblée générale a donc approuvé le programme 'Cairo Beyond 2014', et les a liés aux Objectifs du Millénaire pour le développement (Millennium Development Goals) qui arrivent à échéance en 2015. Le tout est relancé jusqu'en 2030.

    Le lien entre les objectifs du Caire et les Objectifs du Millénaire pour le développement est un chef-d'œuvre stratégique des partisans des «droits à la santé sexuelle et reproductive». Pour une fille d'un pays pauvre, avoir accès à la pilule du lendemain ou à l'avortement sera considéré comme un droit au même titre que fréquenter l'école ou l'accès à l'eau potable. Les soi-disant droits sexuels et reproductifs seront assimilés aux droits de l'homme liés au développement.

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  • La défense des chrétiens d'Orient : une question d'humanité, de justice mais aussi de stratégie

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    Lu sur le site du Monde, par Bernard Emont

    Défendre les Chrétiens d’Orient : question d’humanité, de justice et… de stratégie

    Par Bernard Emont, Professeur de l’enseignement supérieur, spécialiste des minorités linguistiques et culturelles et Jean Samat, co-fondateur de l’Association d'apprentissage la Langue Araméenne(AALA, Val d’Oise) et conseiller municipal à Gonesse.

    Ils étaient 1 400 000 sous Saddam Hussein. Ils ne sont plus que 350 000, à occuper leurs terres ancestrales, entre le Tigre et l’Euphrate (l’ancienne Mésopotamie). Plus 120 000, parqués dans le camp d’Erbil, au Kurdistan irakien, dépourvus de tout, et surtout de soutiens officiels, de quelque autorité que ce soit : hormis de la part des chefs de leur propre Eglise, en tête desquels leurs trois évêques qui ont reflué avec eux. Ce qui leur a valu quelques tentes, couvertures et caravanes…

    Leur inconfort, certes, remonte à la nuit des temps. Ils descendent de cette poignée de résistants aux invasions du sud, dont ils ont jadis été victimes, préférant souvent payer tribut que de se convertir. L’équilibre fragile dont ils ont pu bénéficier à certaines époques, - où les familles des divers groupes religieux ont su vivre, sinon en harmonie, du moins en coexistence pacifique - a été souvent balayé par les vagues fondamentalistes, ou nationalistes, qui ont ébranlé le Proche Orient : en 1915, en Turquie ; en Irak, depuis, au rythme des différentes guerres du golfe. La pression pour les forcer au départ a été particulièrement forte au début des années 1980, en 1995, en 2005...

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  • Malala appelle à la mobilisation pour libérer les lycéennes enlevées il y a 300 jours par Boko Haram

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    Lu ICI :

    LE CRI D’URGENCE DE MALALA POUR LIBÉRER LES LYCÉENNES NIGÉRIANES ENLEVÉES PAR BOKO HARAM

    Trois cents jours de détention. Trois cents jours que les familles sont sans nouvelles. Pour que les 276 adolescentes nigérianes enlevées par la secte islamiste Boko Haram ne soient pas oubliées, Malala Yousafzai a appelé les dirigeants de la communauté internationale à agir rapidement pour demander leur libération.

    La jeune Pakistanaise, prix Nobel de la paix, s’est exprimée dans un communiqué publié sur son site : « Les dirigeants nigérians et la communauté internationale peuvent et doivent faire beaucoup plus pour résoudre cette crise. Si ces filles avaient été les enfants de parents puissants, politiquement ou économiquement, on aurait fait beaucoup plus pour les libérer. »

    L’essoufflement de la mobilisation ?

    Malala appelle les candidats à l'élection présidentielle nigériane à « prendre leurs responsabilités face à cette tragédie ». D'après elle, « les leaders nigérians devraient s’engager à travailler ensemble et faire du cas des filles de Chibok une priorité au cours des cent premiers jours de leur mandat ». Les élections présidentielles et parlementaires qui devaient se tenir le samedi 14 février ont été repoussées au 28 mars, « en raison de risques d'attentats orchestrés par Boko Haram devant les bureaux de vote », a annoncé la commission électorale nigériane le 7 février.

    La jeune femme de 17 ans exprime également sa déception suite à l’emballement médiatique qui avait suivi l’enlèvement des lycéennes de Chibok, retombé depuis. Début mai 2014, soit une quinzaine de jours après le rapt par Boko Haram, le mouvement #BringBackOurGirls avait envahi les réseaux sociaux pour mobiliser l'opinion publique sur le sort des adolescentes. Fortement relayé par les médias du monde entier, l'opération avait notamment été soutenue par Michelle Obama, et en France, par Valérie Trierweiler et Carla Bruni. Les gouvernements américains et français avaient quant à eux envoyé des équipes spécialisées au Nigeria pour aider à la recherche et à la libération des jeunes filles.

  • 8 février : Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains

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    Lutter contre la traite des êtres humains (source : VIS)

    Le Cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, Président du Conseil pontifical Iustitia et Pax, a présenté la première Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains. Fixée au 8 février, fête de sainte Joséphine Bakhita, elle organisée avec le concours de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, le Conseil pontifical pour la pastorale des migrations et les Unions des supérieurs et supérieures. Y ont assisté le Cardinal Joao Braz de Aviz, Préfet de la Congrégation pour les instituts de vide consacrée et les sociétés de vie apostolique, le Cardinal Antonio Maria Vegliò, Président du Conseil pontifical pour la pastorale des migrations, Soeur Carmen Sammut, MSOLA, Président de l'Union internationale des supérieures générales, Soeur Gabriella Bottani, SMC, Coordinatrice de Talitha Kum, le réseau international de la vie consacrée contre la traite des êtres humains, et Soeur Imelda Poole, IBVM, Coordinatrice europénne de Talitha Kum.

    Le Cardinal Turkson a rappelé que des millions de personnes de par le monde, de tout âge, sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage. Pour ces hommes et ces femmes sainte Joséphine Bakhita est un modèle d'espérance. Il a encouragé les fidèles à suivre les pas de cette sainte, de s'en inspirer et à demander son intercession. Le Pape, a souligné le Cardinal, désire que les fidèles prennent conscience d'un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il est besoin d'une véritable mobilisation contre ce fléau: Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences: De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l'action, afin que la traite et les nouvelles formes d'esclavage disparaissent.

    En vue de cette première journée, les diocèses et les paroisses, les associations et les familles sont invités à réfléchir et prier, individuellement comme en groupe communauté sur ce crime contre l'humanité. Les réunions et veillées de prière du 8 février auront pour point d'orgue l'angélus dominical du Saint-Père.

    Voici la prière proposée à l'occasion de cette journée:

    "Quand nous entendons parler d’enfants, hommes et femmes trompés et emmenés en des lieux inconnus dans le but d’exploitation sexuelle, de travail forcé et de vente d’organes, nos cœurs s’indignent et notre esprit est affligé car leur dignité et leurs droits sont piétinés par les menaces, les mensonges et la violence.

    Dieu, aide-nous à contrecarrer par notre vie toute forme d’esclavage. Nous te prions, avec sainte Joséphine Bakhita afin que la traite des personnes cesse. Donne-nous sagesse et courage pour nous rendre proches de tous ceux et celles qui ont été blessé/ées dans le corps, le cœur et l’esprit, afin qu’ensemble nous puissions réaliser ta promesse de vie et d’amour tendre et infini pour nos frères et sœurs exploité/ées.

    Touche le cœur de celles et ceux qui sont responsables de ce crime horrible et soutiens notre engagement pour la liberté, ton don pour tous tes fils et filles. Amen".

  • Le témoignage du curé de Maaloula

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    Source – Entretien avec Père Toufic Eïd : « Contre la barbarie, je n’entends pas la voix des musulmans s’élever… »

    Curé de Maaloula, village chrétien martyr, le père Toufik est en France jusqu’au 12 février. Pour témoigner de la catastrophe actuellement en cours.

    Pouvez-vous nous raconter le drame qu’a vécu Maaloula ?

    Avant Noël 2012, l’armée syrienne s’est retirée du village. Maaloula est devenu une sorte de no man’s land entre les terroristes islamistes et les forces gouvernementales. En février 2013, pour la première fois, des gens de Maaloula ont commencé à manifester contre l’État. Ils étaient armés. Ils n’étaient pas encore franchement pro-islamistes même si on sentait quelle était leur motivation. Ils ont fini par prendre la partie haute du village où se situait le monastère dans lequel je suis également moine. Je n’y suis pas retourné. Et puis des personnes ont été enlevées, on basculait dans autre chose. Néanmoins, je percevais que, dans le camp terroriste, il n’y avait pas vraiment de chef.

    Comment a réagi la population ?

    Nous espérions une médiation, un retour au calme. Le leader des musulmans locaux (1/3 de la population, NDLR) a tenté de dialoguer avec les terroristes, mais ils n’ont rien voulu entendre. Le 4 septembre, ils ont attaqué, avec un kamikaze dans un pick-up, un barrage de l’armée à l’entrée de Maaloula. Plusieurs militaires ont été tués. Le lendemain, j’ai pris la décision de faire évacuer la population, mais les gens m’avaient devancé. Lors de l’attaque finale, trois de nos jeunes paroissiens, dont mon sacristain, ont été tués lors d’un affrontement avec les rebelles… Il a fallu attendre le mois d’avril pour que l’armée reprenne le village. C’est un combat purement idéologique, car Maaloula n’a pas d’intérêt stratégique ou militaire. Les islamistes ont clairement voulu détruire ce village symbole, où l’on parle encore l’araméen, la langue du Christ !

    Qu’avez-vous trouvé à votre retour au village ?

    Je suis revenu le 20 avril. C’était un village fantôme… Des ruines, une immense tristesse. Plus de 300 maisons avaient été détruites, incendiées. Quelques personnes se sont réinstallées dans les bâtiments habitables. Nous avons dû attendre plusieurs jours avant de reprendre le culte. Mais il a repris !

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  • Belgique : le 12e Festival de Chant Grégorien de Watou aura lieu du 8 au 17 mai 2015.

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    « Au cours de cette douzième édition du Festival international de chant grégorien de Watou, près de quatre-cent-cinquante voix, pour la plupart jeunes et professionnelles redonneront vie de façon grandiose à une musique et à des textes très anciens. Watou est le plus grand festival de chant grégorien au monde. Il est devenu un lieu de pèlerinage, une étape indispensable pour les amateurs de silence et de chant grégorien. L’enthousiasme est à son comble et le public en est fasciné.

    Avec tous les collaborateurs, je suis fier de pouvoir vous présenter ce festival triennal de grande qualité et de vous inviter à venir découvrir cette icône de notre culture occidentale.

    Bernard Deheegher »

    31 scholae ou ensembles grégoriens venus du monde entier seront présents pendant 10 jours à Watou ou dans l'une de ses 9 villes partenaires pour proposer 24 événements:11 concerts , 4 auditions, 8 célébrations liturgiques, 1 atelier

    Pour connaître le programme détaillé, cliquer ici.

    JPSC

  • Des enfants torturés, crucifiés ou réduits en esclavage par l'Etat Islamique

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    Lu ICI :

    Irak: des enfants torturés, crucifiés et esclaves de l'Etat islamique

    Selon un rapport de l'ONU publié mercredi, le groupe Etat islamique procède à l'asservissement et au massacre de nombreux enfants, notamment issus des minorités yazidi et chrétienne, en Irak. 

    Toujours plus loin dans la barbarie. Le Comité des droits de l'enfant des Nations unies (CRC) dénonce, dans un rapport publié mercredi, le traitement réservé par l'Etat islamique (EI) à des enfants irakiens. Selon l'ONU, le groupe jihadiste recrute dans le pays "un grand nombre d'enfants", y compris handicapés, pour en faire des combattants, des kamikazes et des boucliers humains.

    De nombreux mineurs seraient également vendus comme esclaves sexuels, quand d'autres sont crucifiés ou enterrés vivants, selon ce rapport. 

    Boucliers humaines, kamikazes, esclaves

    Des Irakiens mineurs sont de plus en plus souvent utilisés par Daesh (l'acronyme arabe de l'EI, NDLR) pour commettre des attentats suicides, jouer le rôle d'informateurs ou servir de boucliers humains chargés de protéger des installations des bombardements de la coalition emmenée par les Etats-Unis, détaille le rapport.

    Les experts ont également expliqué comment certains sont forcés à travailler à des postes de contrôle ou employés à la fabrication de bombes pour les jihadistes.

    Selon le CRC, une vidéo diffusée sur Internet montre de très jeunes enfants, âgés d'environ huit ans et moins, entraînés pour devenir des enfants soldats. Le comité a exhorté Bagdad à explicitement criminaliser le recrutement d'une personne de moins de 18 ans dans les conflits armés.   

    Les jeunes Yazidis et Chrétiens en première ligne

    Dans ce document, le comité des Nations unies dénonce par ailleurs l'"assassinat systématique" d'enfants appartenant à des minorités religieuses ou ethniques. Il relate plusieurs cas d'exécutions de masse de garçons, ainsi que des décapitations, des crucifixions et des ensevelissements d'enfants vivants. Il ajoute qu'un grand nombre ont été tués ou grièvement blessés dans des frappes aériennes ou des bombardements imputés à l'armée irakienne, et que d'autres ont succombé à la déshydratation, à la faim ou à la chaleur.

    "Nous sommes vraiment très préoccupés par la torture et le meurtre de ces enfants, tout particulièrement ceux qui appartiennent à des minorités, mais pas seulement", a déclaré Renate Winter, l'un des 18 experts indépendants membres du CRC.

    Des enfants de la communauté Yazidi ou de la communauté chrétienne, sont en effet nombreux à faire partie des victimes, selon elle. De jeunes handicapés seraient aussi pris pour cible par les jihadistes. "Nous avons des informations sur des enfants, en particulier des enfants déficients mentaux, qui sont utilisés comme kamikazes, très probablement sans leur propre consentement", a ainsi dit Renate Winter.    

    Sévices sexuels

    Le CRC a en outre dénoncé les nombreux cas d'enfants auxquels l'EI a fait subir des violences sexuelles, ainsi que les enlèvements et l'asservissement sexuel d'enfants. "Les enfants des minorités ont été capturés dans beaucoup d'endroits, vendus sur des marchés avec sur eux des étiquettes portant des prix, ils ont été vendus comme esclaves", explique le rapport à ce sujet. 

    Les dix-huit experts indépendants qui ont contribué à la rédaction de ce rapport demandent aux autorités irakiennes de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les enfants qui vivent sous le joug de l'Etat islamique et de poursuivre les auteurs des crimes.

    Bien que le gouvernement irakien soit tenu pour responsable de la protection de ses administrés, Renate Winter a toutefois reconnu qu'il est actuellement difficile de poursuivre les membres des "groupes armés non étatiques" pour de tels actes. Selon elle, le gouvernement irakien devrait s'efforcer de faire tout son possible pour protéger les enfants dans les zones qu'il contrôle et pour les extraire des lieux contrôlés par l'EI.

  • Le roi et la reine seront reçus par le pape le 9 mars prochain

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    de lalibre.be (Belga)

    Le couple royal reçu par le pape en mars

    Le roi Philippe et la reine Mathilde seront reçus par le pape François le lundi 9 mars au Vatican, a annoncé jeudi le Palais Royal. Il s'agit de la première rencontre entre le couple royal et le pape. Le couple royal aurait dû rencontrer le pape le 12 décembre dernier. 

    Or les funérailles de la reine Fabiola décédée une semaine plus tôt étaient célébrées ce jour-là. La visite avait donc été repoussée, a-t-on encore appris auprès du Palais.

  • L'Inde, terre d'intolérance ?

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    Lu sur le site de La Croix (Claire Lesegretain) :

    En Inde, la police arrête 200 chrétiens

    Alors qu’ils manifestaient pacifiquement à New Delhi, jeudi 5 février, pour protester contre les attaques d’églises, plus de 200 catholiques ont été retenus dans un commissariat.

    « Ils n’avaient aucune permission de protester là », a justifié Mukesh Kumar Meena, officier de police à New Delhi, pour expliquer l’arrestation, jeudi 5 février, de 200 chrétiens. Ceux-ci venaient de commencer une « marche pacifique de protestation » dans les rues de la capitale indienne, au départ de la cathédrale catholique du Sacré Cœur vers la résidence du ministre de l’intérieur, Rajnath Singh.

    LES HOSTIES À TERRE

    Cette manifestation avait été convoquée par le diocèse de New Delhi après l’attaque, lundi 2 février, de la paroisse Sainte-Alphonse, dans le quartier Vasant-Kunj, au sud de Delhi, au cours de laquelle des individus avaient vandalisé l’église et profané le tabernacle, en répandant les hosties à terre. Cette attaque d’une église catholique, aggravée d’une profanation, était la cinquième dans la capitale de l’Inde depuis deux mois. « Le gouvernement fédéral doit prendre immédiatement toutes les mesures appropriées pour empêcher le renouvellement de tels actes contre les minorités religieuses », avait demandé dès le 2 février Mgr Kuriakose Bharnikulanagara, archevêque de l’éparchie syro-malabare de Faridabad.

    Le 4 janvier, c’était l’église catholique de la Résurrection dans le Secteur 6 de Rohini, au nord-ouest de New Delhi. Et le 1er décembre 2014, la paroisse Saint-Sébastien avait été victime d’un incendie, soupçonné d’être criminel. Pour protester contre l’augmentation de ces violences et contre la passivité de la police, le diocèse a donc appelé, jeudi 5 février, les fidèles à manifester « pour exiger du gouvernement que tous les lieux de culte soient sécurisés et que les enquêtes de justice soient menées jusqu’au bout afin d’arrêter les coupables », comme l’indique le communiqué diocésain.

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  • Pakistan : les minorités religieuses sans protection

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    Lu sur le site de La Vie :

    La situation délicate des minorités religieuses

    Selon l'ONG Human Rights Watch (HRW), le gouvernement du Pakistan doit assurer la sécurité des minorités religieuses du pays. C’est ce qu’affirme un nouveau rapport international de l’ONG, rapporte l'agence Fides ce samedi 31 janvier.

    En ligne de mire de ce rapport : les attaques contre les minorités religieuses au Pakistan, qui ont augmenté de manière significative en 2014. « Le gouvernement du Pakistan a fait bien peu de choses en 2014 pour arrêter le nombre croissant d’homicides et la campagne de répression des groupes extrémistes qui frappent les minorités religieuses »déclare à Fides Phelim Kine, vice-directeur de Human Rights Watch pour l’Asie. Et d'ajouter : « Le gouvernement ne parvient pas à respecter son devoir fondamental, qui est de protéger la sécurité de ses ressortissants et de faire respecter l’Etat de droit ».

    Disparitions forcées et exécutions sommaires

    D'après les données du rapport, à Karachi – plus grande ville du pays – la violence sectaire a causé « au moins 750 homicides ciblés l’an dernier ». La province du Baloutchistan représente une « zone chaude » dans laquelle ont été enregistrées des « disparitions forcées, des exécutions sommaires et des tortures qui demeurent impunies », note également le rapport.

    Le rapport met aussi en évidence des « abus notables » envers les femmes, « alors même que les femmes des minorités religieuses sont particulièrement vulnérables », complète Fides« Chaque année, rappelle le rapport, au moins 1.000 jeunes filles appartenant aux communautés chrétiennes et hindoues sont contraintes à se marier avec des musulmans. »

    Une école chrétienne « saccagée »

    Ce lundi 2 février, dans la foulée de la publication de ce rapport, leCatholic Herald relate (en anglais) qu’une école chrétienne du nord du Pakistan a été « saccagée » mercredi 28 janvier par « des centaines d'étudiants musulmans », en signe de protestation aux caricatures de Charlie Hebdo.

    Les manifestants, qui demandent la fermeture de l'établissement, « auraient blessé quatre étudiants », précise le Catholic Herald« Il est très triste de voir les musulmans radicaux attaquer les chrétiens pakistanais à cause de Charlie Hebdo, confie (en anglais) Nasir Saeed, directeur de l'ONG chrétienne Centre for Legal Aid Assistance and Settlement (CLAAS). Les chrétiens condamnent les caricatures blasphématoires. 67 ans après la naissance du Pakistan, c'est une honte que les chrétiens ne soient toujours pas considérés comme des citoyens pakistanais, mais comme des “alliés occidentaux” ».

  • Djihadisme : la Belgique se retrouve en première ligne

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    Le fait de voir la Belgique désignée comme cible numéro 1 du terrorisme islamiste de l'EI ne constitue pas le moindre des paradoxes de la situation actuelle :

    "L'Etat islamique va conquérir l'Europe depuis la Belgique"

    Le Vif (Belga)

    La rédaction du quotidien Het Laatste Nieuws a reçu une lettre anonyme de menaces rappelant qu'aux yeux de l'organisation Etat islamique (EI), notre pays est la cible d'"attentats à la voiture piégée et aux explosifs".

    La lettre, tapée à la machine, est arrivée par voie postale mardi. Rédigée en français, le courrier témoigne, selon des spécialistes, d'"une logique de l'EI certaine". Le(s) auteur(s) s'adresse à la population belge, à Bart De Wever et au roi Philippe. La lettre renvoie également à une vidéo diffusée sur internet la semaine passée par l'EI et dans laquelle notre pays, la France et les Etats-Unis sont menacés.

    "Ce qui s'est passé en France va se répéter en Belgique", promet l'auteur du courrier. Que ce soit dans les grandes villes ou à la campagne. "L'EI va conquérir l'Europe depuis la Belgique", ajoute-t-il. "Car vous tenez un procès contre Sharia4Belgium et retenez plusieurs de nos frères prisonniers." La lettre a été saisie par la police.