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Enseignement - Education - Page 64

  • L’évolution, théorie scientifique ou dogme scientiste ? Bruxelles, conférence de Stéphane Mercier le 19 février

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    image.jpg« L’évolution » | Conférence de Stéphane Mercier : 19 février

    Bienvenue à la prochaine conférence de Stéphane Mercier :

    L’évolution, théorie scientifique ou dogme scientiste ?

    Platon déjà notait que ceux qui emploient les mêmes mots en leur donnant un sens différent s’engagent inéluctablement dans un dialogue de sourds.
    De quoi parle-t-on quand on évoque l’évolution ? L’évolution est-elle l’antithèse de la création ? Et d’ailleurs, croire en la Création et être « créationniste », est-ce la même chose ?
    Le plus intriguant, philosophiquement parlant, est le dogmatisme passionné qui semble interdire tout débat en la matière, comme s’il était dangereux de seulement poser des questions et d’attendre des réponses convaincantes…


    Inscriptions ici : http://bit.ly/philoBXL-in 
    ENTRÉE LIBRE - Parking gratuit

    ADRESSE
    Maison du Roy d’Espagne - Grand-Place 1, 1000 Bruxelles - Salle à l’étage

    Prochaines dates :
    - 19 février: L’évolution
    - 12 mars : Moïse ou Platon ?
    - 23 avril : Les goûts et les couleurs
    - 21 mai : Mauvais genre
    - 18 juin : «  Vous serez comme des dieux »
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  • L'enseignement de la religion catholique en Flandre va davantage se concentrer sur les fondements théoriques du christianisme

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    Dans une Flandre hypersécularisée, l'épiscopat tente de recentrer le cours de religion sur les fondamentaux... Il semble que dans le Sud du pays on n'ait pas les mêmes priorités. Quoiqu'il en soit, on peut s'interroger sur l'impact du cours de religion sur les convictions des jeunes qui désertent massivement les églises alors qu'ils suivent encore en grand nombre les cours de religion catholique. Quand le sel a perdu sa saveur...

    Du site du Vif :

    En Flandre, le cours de religion catholique se concentrera davantage sur la Bible

    Les petits Flamands qui suivent un cours de religion catholique devront à l'avenir mieux connaître les principes théoriques du christianisme. Ainsi en ont décidé les évêques flamands, rapporte lundi De Morgen. Du côté francophone du pays, rien de tel n'est prévu, assure le Segec, le Secrétariat général de l'enseignement catholique en communautés française et germanophone. "L'approche est loin d'être identique."

    Sacrement de l'eucharistie, parabole de l'enfant prodigue, livre de Job... L'enseignement catholique en Flandre va davantage se concentrer sur les fondements théoriques du christianisme. Les évêques ont élaboré une sorte de "canon" de 349 principes et symboles catholiques à apprendre.

    Jusqu'ici, la priorité était donnée à l'interprétation contemporaine des valeurs chères à la religion catholique plutôt qu'aux fondamentaux bibliques. Un changement de cap alors que le précédent programme de religion catholique en Flandre datait de 1999 déjà. Une telle réflexion n'est pas menée du côté francophone de la Belgique.

    "L'approche est loin d'être identique", souligne Conrad Vandewerve, porte-parole du Segec. En 2013, un référentiel pour le cours de religion catholique a été élaboré par un groupe de travail, rassemblant "l'ensemble des chefs des religions reconnues et de la laïcité", explique-t-il.

    "Ce référentiel donne droit à des compétences transversales comme le questionnement philosophique, l'éducation à la citoyenneté ou encore le dialogue interconvictionnel", poursuit-il. "Elles sont intégrées au cours de religion sans s'y substituer." Si le texte a subi quelques adaptations depuis 2013, il n'existe nullement l'intention de se focaliser sur l'apprentissage des fondamentaux bibliques, assure le porte-parole.

  • Supercherie électorale congolaise : le chat a bien piégé la souris.

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    Excellent résumé de l'impasse actuelle par Hubert Leclerq sur le site de « La Libre Afrique » :

    farine e0c2b829fcfd7eb128f82f967eb8b357.jpg« Deux semaines après le passage par les urnes, cinq jours après l’annonce du verdict provisoire de la présidentielle et deux jours après celle du résultat des législatives, le processus congolais mis sur pied par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) ne convainc plus grand monde

    Le président zambien, Chagwa Lungu, qui préside actuellement l’organe chargé de la politique, de la défense et de la sécurité de la SADC (communauté des Etats de l’Afrique australe) n’a pas chômé ces derniers jours. C’est que toute la sous-région est suspendue aux évolutions du processus électoral en République démocratique du Congo. Et ce processus est loin de faire l’unanimité. Il fait craindre la résurgence d’une période d’instabilité et de violence dans ce pays de plus de 80 millions d’âmes.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, sur le coup de 3 heures du matin, la Ceni a annoncé les résultats provisoires de l’élection présidentielle. Des résultats qui ont donné la victoire à l’opposant Félx Tshisekedi, d’une tête devant l’autre opposant, Martin Fayulu. Le dauphin de Joseph Kabila devant se contenter d’une troisième place, loin des deux autres.

    Un résultat immédiatement rejeté par Martin Fayulu qui annonce, ses chiffres de compilation à la main, avoir décroché plus de 60% des suffrages. L’Église catholique, à travers la commission épiscopale nationale congolaise (Cenco), a répété son incompréhension face à ces chiffres officiels. Pour la Cenco, ce résultat ne correspond pas du tout aux chiffres qu’elle a obtenus en compilant les procès-verbaux des bureaux de vote.

    Le malaise est évident. Aucun pays africain, jusqu’ici, n’a d’ailleurs félicité publiquement les gagnants, quoi que disent leurs QG. Tous les voisins ont félicité les Congolais pour leur détermination à faire entendre leur voix mais personne n’a félicité le lauréat. Tous se sont contentés de prendre acte.

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  • Un professeur d'Oxford dans le colimateur des LGBT

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Des étudiants d’Oxford veulent la peau d’un professeur : John Finnis, catholique, a critiqué l’homosexualité

    A 77 ans, John Finnis, professeur émérite de droit et de philosophie du droit dans l’une des plus prestigieuses universités au monde n’a plus rien à prouver sur le plan de l’érudition et du savoir. Mais des étudiants d’Oxford réclament son licenciement – il enseigne toujours – en raison de propos « discriminatoires » qu’il aurait tenus à l’égard de l’homosexualité. Cet enseignant catholique, assurent ces étudiants de la génération « flocon de neige », constitue par sa présence sur le campus une menace pour les gays. John Finnis est « particulièrement connu », paraît-il, pour son « homophobie » et sa « transphobie ». Il « a même conseillé au gouvernement des Etats-Unis de ne pas offrir de protection légale aux personnes LGBTQ+ qui souffrent de discrimination ».

    Près de 500 étudiants ont à ce jour signé la pétition demandant le départ de John Finnis, accusé pour le simple fait d’avoir affirmé – en 1994 et 2011 notamment – la loi naturelle dans des écrits universitaires. Loi naturelle conforme à la doctrine catholique, forcément. Etant donné, donc, qu’il affirme simplement la loi naturelle et la morale catholique, cela veut bien dire que ce sont elles qui sont en réalité dans le viseur des nouveaux censeurs.

    La bonne nouvelle, c’est que les autorités académiques ont décidé de soutenir le professeur – et ce n’était pas gagné par les temps qui courent – au nom de la liberté propre à la recherche universitaire. « Le débat académique vigoureux ne constitue pas du harcèlement dès lors qu’il est mené de manière respectueuse et sans violation de la dignité d’autrui », selon les autorités d’Oxford.

    La pétition sur change.org donne quelques exemples des déclarations « haineuses » de John Finnis : on lui reproche d’avoir comparé les relations homosexuelles à la bestialité, de qualifier le fait d’être gay de « mauvais » et « destructeur », entre autres affirmations certes vigoureuses. Mais il est également dans le collimateur pour avoir dénoncé les malheurs à venir liés à la « diversité culturelle » et qualifié l’immigration moderne à une sorte de « colonisation à l’envers ».

    Choses d’autant plus graves, selon les pétitionnaires, que Finnis assure des séminaires obligatoires pour les étudiants en droit de troisième cycle – il serait grand temps que l’université d’Oxford révise et étende ses mesures de protection des minorités et de politique d’égalité.

    La citation complète concernant la bestialité est celle-ci, issue de Loi, moralité et orientation sexuelle, un essai publié en 1994 : « La copulation d’êtres humains avec des animaux est rejetée parce qu’elle traite l’activité de la sexualité humaine et de sa satisfaction comme recherchée d’une manière appropriée alors qu’à l’instar de l’accouplement des animaux, elle est séparée de l’expression d’un bien commun intelligible – et traite de la sorte la vie humaine corporelle, dans l’une de ses activités les plus intenses, comme simplement animale. L’accouplement génital délibéré de personnes du même sexe est rejetée pour une raison très similaire. »

    Le Pr Finnis a réagi à la pétition dans les colonnes de The Oxford Student en déclarant :
    « La pétition travestit ma position ainsi que mon témoignage dans le cadre du litige constitutionnel américain. Quiconque consulte le site internet de la faculté de droit ou suite les liens fournis par la pétition peut constater les nombreuses erreurs de celle-ci. J’assume tous ces écrits. Ils ne contiennent pas l’ombre d’une phrase “phobique”. L’essai de 1994 met en avant une critique classique et strictement philosophique de tout acte sexuel non marital et il a été republié à de nombreuses reprises. »
    Mais pourquoi essayer de réfléchir lorsque la pensée unique est de votre côté ?
  • L'archevêché de Montréal incite les parents à retirer leurs enfants des cours d'éducation sexuelle

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    L’archevêché de Montréal a relayé hier (10 janvier) une invitation à retirer les enfants de leurs classes d’éducation sexuelle afin de confier aux parents le soin de donner eux-mêmes le nouveau cours obligatoire en respectant « la pudeur naturelle » des jeunes.

    Les autorités ecclésiastiques font la promotion d’un manuel [portant sur le cours d’éducation sexuelle imposé aux enfants de maternelles en 3e année du primaire, il faudrait le dire ici] destiné aux parents catholiques, qui compare le nouveau programme à une agression.  

    à découvrir ICI

  • 15 janvier, "Philo à Bruxelles" : "Couper le cordon freudien" avec Stéphane Mercier

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  • Jésus : les récits évangéliques de l’enfance

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    Une émission de "la foi prise au mot"(KTO) pour le temps de Noël

    Pendant le temps de Noël, entre la naissance de Jésus et le début de sa vie publique, la liturgie propose de méditer sur l'enfance du Sauveur. C'est pour approfondir les textes de Luc et Matthieu que KTO a choisi de se pencher sur ces textes bibliques qui traitent, de manière assez surprenante pour l´Antiquité, de l´Enfance de Jésus, de sa famille et de quelques événements. Pour répondre à ces questions et découvrir l´Enfance de Jésus, Régis Burnet est entouré de Sylvie Barnay, maître de conférences à l´Université Paul Verlaine-Metz, chargée d´enseignement à l´Institut Catholique de Paris, et du père Gérard Billon, enseignant à l´Institut catholique de Paris, président de l´Alliance biblique française, directeur du Service biblique Évangile et Vie et de la revue Cahiers Évangile.

    JPSC

  • "Filiation sans père" : un psychanalyste prend position

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    UN PSYCHANALYSTE PREND POSITION À PROPOS DE LA "FILIATION SANS PÈRE"

     

    Le psychanalyste Jean-Pierre Winter, auteur du livre L’avenir des pères[1], s’étend sur les raisons objectives qui lui font craindre la mise en place d’une filiation sans père.

    « Comme clinicien d’enfants notamment, je suis confronté depuis bientôt quarante ans aux dégâts imputables à l’effacement du père », déclare-t-il. « Ces dégâts se manifestent particulièrement à l’adolescence, parce que c’est l’âge du retour de ce qui avait été mal métabolisé dans la petite enfance ».

    Citant le psychanalyste Pierre Legendre, il explique que « l’humain se construit sur la prise en compte de l’altérité », aussi, les enfants privés accidentellement de père ne peuvent être assimilés à ceux qui en sont privés par la loi parce que « la décision légale agit directement au niveau symbolique, elle supprime non un être, mais une place ». Pour lui, cette situation engendre un risque de « ségrégation » entre ceux nés de parents de sexes opposés et ceux nés d’une femme et de « personne ». Car « ce n’est pas la même chose que d’être né de deux personnes différentes par nature », dit-il. « Avoir affaire à l’autre sexe occasionnellement et de l’extérieur n’a certainement pas les mêmes effets que d’être  toujours au contact de leur différence. » Et de « telles répercussions se mesurent sur plusieurs générations. » Avançant le principe de précaution,  Jean-Pierre Winter alerte sur l’importance de prendre connaissance des effets, avant d’ériger légalement la famille sans père au rang de la famille traditionnelle. 


    [1] Jean-Pierre Winter, L’avenir des pères, Albin Michel, 140 pages, 18 €.

     

    Sources: Valeurs Actuelles (3/01/18)

  • Marie est un remède à la solitude et à la décomposition

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    Lu sur le site « aleteia » :

    Mater Dei Le-pape-encense-la-Vierge-Marie.jpeg« Au jour de l’an, le 1er janvier 2019, le pape François a exhorté la famille humaine à se tourner vers la Vierge Marie pour venir à bout d'un monde “désuni“, lors de la messe de Sainte Marie Mère de Dieu à la basilique Saint-Pierre au Vatican.

    Cliquez ici pour ouvrir le diaporama

    Dans la vie “dispersée“ d’aujourd’hui, “où nous risquons de perdre le fil“, l’étreinte de la Mère de Dieu est “essentielle“, a estimé le successeur de Pierre. Le monde est peut-être “entièrement connecté“, mais il semble être de plus en plus “désuni“. Tout particulièrement aujourd’hui où règne selon lui “partout éparpillement et solitude“.

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    Guadalupe, Lourdes, Fatima… la Vierge Marie rayonne à travers le monde

    Un monde qui regarde l’avenir sans regard maternel est “myope“, a-t-il affirmé. C’est pourquoi “nous avons besoin de nous confier à la “Mère de la consolation“, qui “con-sole“ : elle est avec celui qui est seul. Etant présente telle une mère, elle est “un remède à la solitude et à la décomposition“.

    Un monde dans lequel la tendresse maternelle est “reléguée à un pur sentiment pourra être riche de choses“, mais pas de lendemains, a prévenu le chef de l’Eglise catholique. Car tandis que les profits augmenteront, l’humanité “ne saura plus voir, dans les hommes, des enfants“.

    Les mères “introduisent avec amour dans la vie“

    Et combien d’enfants aujourd’hui se croient forts et s’égarent. De libres ils deviennent esclaves, a déploré l’évêque de Rome. Il a ainsi exhorté à appuyer toutes sociétés sur les mères car elles seules “prennent par la main les enfants et les introduisent avec amour dans la vie“.

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    Oui, la Vierge Marie est aussi une maman « normale »

    Le regard maternel de la Vierge aide à se voir “comme des enfants aimés“ dans le peuple croyant de Dieu, car elle ne voit pas des pécheurs mais des fils. Elle permet ainsi à “nous aimer entre nous, au-delà des limites et des orientations de chacun“, a considéré le Souverain pontife.

    La foi également, pour être conservée, a besoin de la Mère de Dieu : son regard rappelle que la “tendresse, qui remédie à la tiédeur, est essentielle pour la foi“. Et quand, dans la foi, il y a de la place pour la Mère de Dieu, “on ne perd jamais le centre, le Seigneur“, a déclaré le pape.

    Au début de l’année, il convient donc selon lui de demander à la sainte Vierge la “grâce de l’étonnement“ devant le “Dieu des surprises“. La foi, comme la vie tout entière “devient grise, routinière“ sans étonnement. Le pontife a ainsi encouragé à renouveler “l’étonnement des origines“, par la Mère de Dieu qui peut “engendrer au Seigneur“ comme elle a engendré le Seigneur.

    Ref. Marie est un remède à la solitude et à la décomposition

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  • Elections à la congolaise : mode d’emploi pour embourber la voiture au milieu de la route

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    La suite annoncée dans notre précédent billet (voir ici : élections chaotiques au Congo : et maintenant on fait quoi ?) se profile sans surprise :

    Suite au prochain numéro.

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  • Elections chaotiques au Congo : et maintenant on fait quoi ?

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    élections congolaises 438983-partisans-opposant-etienne-tshisekedi-manifestent.jpgCe pays n’a plus connu aucune élection crédible depuis les élections nationales et provinciales organisées par l’administration coloniale belge. C'était du 11 au 22 mai 1960 : voici plus d’un demi-siècle...  

    Réaction à chaud ce 30 décembre 2018 sur RT France. La politologue Leslie Varenne n’y va pas par quatre chemins 

    Bref l’éternel retour du cycle : un potopoto propice à une palabre ajoutant à la confusion en attendant que le plus fort rafle la mise. S’est-il jamais passé autre chose depuis le 30 juin 1960 ?

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  • PMA/GPA : l’archevêque de Paris met ses interlocuteurs échec et mat en trois minutes.

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