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Politique - Page 507

  • Quand le Parlement européen va voter sur le "droit à l'avortement", je fais entendre ma voix

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    Le Parlement européen va voter sur le "droit à l'avortement

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    145.445 personnes ont signé. Aidez-nous à augmenter ce nombre jusqu'à 200.000 signatures.

    Cette campagne est la suite de la campagne ouverte le 15 janvier contre le rapport Tarabella, qui a déjà récolté 60 413 signatures.

    Le Parlement européen s’apprête à se prononcer et à voter sur deux rapports qui contiennent des paragraphes favorisant un prétendu « droit à l'avortement ». Si ces paragraphes sont adoptés, le Parlement européen pourrait à la fois exprimer son soutien à l'avortement au nom de l'UE et outrepasser les compétences de l'UE, piétinant ainsi le principe de subsidiarité.

    Le 10 Décembre 2013, le Parlement européen a rejeté le rapport Estrela sur la « santé sexuelle et reproductive et les droits génésiques » (SDSR). A sa place, les membres du Parlement européen ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et clairement déclaré que « la formulation et la mise en œuvre des politiques sur la SDSR et sur l'éducation sexuelle dans les écoles est une compétence des États membres ».

    Le message est clair : l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement ou l'éducation sexuelle dans les écoles. Ce sont des compétences nationales et, en aucun cas, des questions qui doivent être arrêtées à Bruxelles.

    Des centaines de milliers de citoyens se sont opposés au Rapport Estrela en 2013 ! Une victoire importante en faveur de la dignité humaine, de la subsidiarité et de l'expression populaire !

    Un pas important a été remporté par cette victoire : grâce à la mobilisation des citoyens à travers le continent européen, le Parlement européen a rejeté une tentative majeure de promotion d’un « droit à l'avortement » au niveau de l'UE.

    Cependant, deux rapports contestent actuellement le principe de subsidiarité en ce qui concerne « la SDSR » en poussant l'un des principaux points du rapport Estrela, à savoir un « droit à l'avortement ».

    Le « Rapport Tarabella » : M. Tarabella est le rapporteur du rapport annuel du Parlement européen sur l'égalité entre les femmes et les hommes dans l'Union européenne. Un rapport annuel similaire a été rejeté en 2014, alors connu comme le « rapport Zuber ». Ce rapport : « Maintient que les femmes doivent avoir le contrôle sur leur santé et les droits sexuels et reproductifs, notamment en ayant un accès facile à la contraception et à l'avortement » (paragraphe 45).

    Le geste de M. Tarabella est incohérent car le Parlement européen a déjà statué qu'il n’y a pas compétence de l'UE sur la question de l'avortement. Néanmoins, au cours des réunions du Parlement européen sur les droits de la femme et de l'égalité entre les sexes, il a déclaré sa détermination à promouvoir un « droit à l'avortement ». Il est donc nécessaire de réaffirmer ce que le Parlement européen a déclaré le 10 Décembre 2013.

    Le « Rapport Panzeri » : le rapport annuel sur les droits humains et la démocratie dans le monde en 2013 et la politique de l'Union européenne sur la question, présenté par l'eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri du groupe S & D, « demande à l'UE et ses États membres de reconnaître (...) le droit d'accéder à laplanification familiale volontaire et à l'avortement sans risque et légal » (paragraphe 136).

    Une fois de plus les citoyens de l'UE doivent faire entendre leur voix pour sauvegarder le principe de subsidiarité et empêcher le Parlement européen nouvellement élu d'adopter non pas un, mais deux rapports qui incluraient un « droit à l'avortement ».

    Ne laissez pas l'UE  soutenir l'avortement !

    La FAFCE vous invite à signer cette pétition pour envoyer un signal fort et uni des citoyens au Parlement européen avant les votes qui auront lieu au cours de la plénière du Parlement européen à Strasbourg les 10 et 12 Mars.

    Le texte intégral du rapport Tarabella

    Le texte intégral du rapport Panzeri

    Consultez notre première campagne contre le rapport Tarabella

     

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  • Quand on voudrait interdire aux parents d'administrer la fessée

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    Une opinion de Joseph Junker, ingénieur civil, père de trois enfants, publiée sur le site de laLibre.be : 

    Interdire la fessée: Est-il encore permis d’éduquer ses enfants en paix?

    Il serait inexact de dire que l’évocation des fessées que j’ai reçues dans ma jeunesse soit un souvenir ému de piété filiale… pas plus d’ailleurs qu’elle n’est un cuisant et douloureux épisode de mon enfance. J’ai le souvenir de mon vénérable papa qui, suite à une bonne douzaine de « derniers avertissements » et au succès indéniable de mes efforts frénétiques à trouver une limite et de m’empresser de la franchir, finissait à contrecœur par se lever pour m’administrer le juste châtiment que je n’attendais plus à force d’en entendre la promesse. S’ensuivait une scène digne de Pagnol, une course-poursuite à travers les 3 étages de notre maison et un petit combat de catch où mon pauvre papa sacrifiait les restes de sa 4ème lombaire pour maîtriser son petit galopin et gratifier son séant de la correction que son inconduite exigeait.

    Bien entendu, je hurlais de douleur pour la forme à ces tapes inoffensives, mais surtout à la perspective terrifiante du pontifiant et lénifiant discours paternel que je n’allais pas manquer de subir ; exposé moral et eschatologique du plus bel effet sur ma conscience mais que je tenais pour une punition bien plus atroce que la plus acérée des taloches. Comble de l’horreur, il était souvent assorti d’une vraie punition m’obligeant à méditer sur les conséquences de mes actes et parfois même (ô rage, ô désespoir !) à présenter mes excuses. Traumatisme dont je ne me suis jamais remis et dont je porte encore aujourd’hui les stigmates en me comportant de manière civilisée avec le reste de l’humanité.

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  • Le rapport Panzeri: violation de la subsidiarité, critique de référendums nationaux & promotion du "mariage pour tous" au Parlement européen

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    Communiqué de Presse de la FAFCE

     

    Rapport Panzeri:
    Violation de la subsidiarité,
    critique de référendums nationaux
    & promotion du "mariage pour tous"
    au Parlement européen 

     

    Bruxelles, le 5 mars 2015
     
    Dans une semaine le Parlement européen sera réuni à Strasbourg pour sa session plénière de mars. Il votera sur le Rapport annuel sur les droits de l'homme et la démocratie dans le monde en 2013 et la politique de l'Union européenne en la matière

     

     présenté par l’eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri, du Groupe des Socialistes et Démocrates, un rapport très contradictoire pour ce qui concerne la subsidiarité et la démocratie. 
     
    Ce rapport contient beaucoup de points positifs, tels que la protection de la liberté de pensée, de conscience et de religion. Néanmoins, le rapport dépasse aussi les compétences de l’UE et viole le principe de subsidiarité puisqu’il critique des référendums nationaux en plusieurs Etats membres de l’UE, notamment la Croatie et la Slovaquie, et la législation nationale en Lituanie (par. 165). Un criticisme qui viole à la fois le mandat des institutions européennes et celui de la Commission du Parlement européen pour les Affaires étrangères… 

    Le rapport « encourage les institutions de l'Union et les États membres à contribuer davantage à la réflexion sur la reconnaissance du mariage homosexuel ou de l'union civile homosexuel » (par. 162), en dépit du fait que l’UE ne soit pas compétente sur cette question sensible.
     
    Sur un autre régistre très sensible, la FAFCE a déjà attiré l’attention sur l’article 136 du rapport qui promeut un « droit à l’avortement ». Plus de 65 000 citoyens ont déjà exprimé leur opposition à ce paragraphe à travers une pétition qui demande à l’UE de ne pas soutenir l’avortement qui relève uniquement de la compétence nationale des Etats-membres.

    Ces paragraphes rendent le rapport très contradictoire, étant donné que le texte demande aussi « à l'Union européenne de respecter, de promouvoir et de défendre les principes de l'appropriation démocratique » et « la participation de la société civile et de la transparence de l'aide au développement » dans les Pays tiers (par. 6), et critique les referendums démocratiques et la légitime expression de citoyens à l’intérieur de l’UE même. Des sujets par ailleurs très sensibles dans des pays qui ont souffert de décennies de régimes antidémocratiques.
     
    La FAFCE demande aux Membres du Parlement européen d’être cohérents et de respecter le principe de Subsidiarité et l’expression populaire des citoyens des Etats Membres, notamment en retirant les paragraphes suivants : 

    • 136 – droit à l’avortement
    • 162 -promotion du mariage pour personnes du même sexe ; 
    • 165 critique des référendums et législation d’Etats membres.

    Contact: Maria Hildingsson, Secrétaire général
    +32 4 70 20 39 18

    info@fafce.org

    Fondée en 1997 la Fédération des Associations familiales catholiques en Europe (FAFCE) a un statut participatif auprès du Conseil de l'Europe et est un membre de la Plateforme de l'Agence des Droits fondamentaux de l'Union européenne. La FAFCE représente des associations familiales de 15 pays européens.
  • Euthanasie des mineurs : une loi pour rien

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    Un an après la promulgation de la loi du 28 février 2014 ouvrant, sous certaines conditions, l'euthanasie aux mineurs en Belgique, aucun cas n'a été enregistré. La Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie n'a en effet reçu aucun document de déclaration concernant un mineur jusqu'à présent, révèle L'Avenir jeudi.

    source

  • Louvain-la-Neuve, 14 mars : 3ème Forum chrétien de la vie sociale

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    9 15 Accueil - Café
    9 45 Temps de méditation
    10 00 La terre vue du Ciel
    Introduction au Forum par Xavier Muller 
    10 30 L'Eglise vue du Ciel :
    "Allez vous aussi à ma vigne"

    Conférence d'Eric de Beukelaer (présentation ici)
    11 15 L'économie vue du Ciel :
    "Pour une économie du Jubilé"

    Conférence de Bruno Roche (présentation ici)
    12 00 Débat avec les conférenciers
    12 30 Lunch
    14 00 L'écologie vue du Ciel :
    "Pour une écologie humaine"
    Conférence de Dominique Vermersch (présentation ici)
    14 45 La société vue du Ciel :
    "Les pierres d'angles"
    Conférence de Chantal Delsol (présentation ici)
    Débat avec les conférenciers
    16 00 Pause-café
    16 30 Table ronde
    17 30 Conclusions du Forum
    18 00 Eucharistie à la chapelle de La Source

    Informations et inscriptions : http://www.forumsocialchretien.be/

  • Google Baby - Bébés en kit (français) : la réalité de la GPA (2009)

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    Au moment où le travail de légalisation de la GPA a commencé au Sénat belge avec la consultation des experts en commission, ce film peut contribuer à la réflexion :

    Prestations rémunérées, commandes par Internet, mondialisation des échanges : la production de bébés est-elle devenue un business comme un autre ? 'Google baby' présente la gestation pour autrui comme un commerce mondialisé, dont les ramifications s'étendent sur trois continents. Quel est le point commun entre Nayna Patel, une femme médecin en Inde, Doron, un homme d'affaires israélien, et Katerine, une mère de famille du Tennessee ? La fabrication de bébés ! Ainsi, Doron décrit le négoce assez particulier auquel il se livre. D'abord, le matériel génétique est acheté aux États-Unis - par exemple à Katerine qui, pour rénover sa maison, vend régulièrement ses ovules. Une fois les œufs fécondés, les clients de Doron sélectionnent les embryons qui les intéressent. Ceux-ci sont alors envoyés en Inde à la clinique du docteur Patel, qui insémine les mères porteuses. Neuf mois plus tard, les "parents" viennent récupérer l'enfant. Les femmes enceintes sont logées à l'hôtel, à l'écart de leur famille et de la réprobation sociale. Elles portent les bébés occidentaux contre rémunération et espèrent ainsi améliorer leur situation. Chez Doron, on explique que l'externalisation vers un pays en développement permet tout simplement de baisser les coûts…

  • Là où il n'y a pas d'honneur pour les anciens, il n'y a pas de futur pour les jeunes

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    De Radio Vatican :

    Le Pape a poursuivi le cycle de ses catéchèses sur la famille. Après avoir rendu hommage durant les semaines précédentes au rôle des mères et à celui des pères de famille, il s'est attaché cette fois à souligner le rôle essentiel des personnes âgées et des grands-parents. Avant de revenir la semaine prochaine sur « la vocation spécifique contenue dans cet âge de la vie », il a évoqué cette semaine la condition problématique des personnes âgées dans la société actuelle.

    « Grâce aux progrès de la médecine, la vie s'est allongée, mais la société ne s'est pas élargie à la vie ! » s'est indigné le Pape François. « Le nombre des personnes âgées s'est multiplié, mais nos sociétés ne se sont pas assez organisées pour leur donner une place, avec un juste respect et une considération concrète pour leur fragilité et leur dignité. » Il a dénoncé « une société programmée sur l'efficience, qui ignore les anciens, alors qu'ils sont une richesse ».

    Sans respect des anciens, la société se meurt

    François a repris les propos de Benoît XVI en 2012 lors de sa visite d'une maison de retraite : « La qualité d'une société, je voudrai dire d'une civilisation, se juge aussi à la façon dont sont traités les anciens et à la place qui leur est réservée dans le vivre ensemble. » Pour François, la société ne peut avancer que si elle sait respecter la sagesse des anciens. « Une société dans laquelle il n'y a pas de place pour les anciens porte en elle le virus de la mort. »

    Evoquant la crise démographique de l'Occident, qui particulièrement en Italie, voit sa population vieillir, le Pape l'a évoquée comme « un grand défi pour la société contemporaine » mais il a dénoncé « la peur de la faiblesse et de la vulnérabilité » trés répandues dans une société valorisant la jeunesse et la compétitivité, qui augmente « l'angoisse chez les personnes âgées de ne plus être supportés, d'être abandonnés ».

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  • L'archevêque d'Asuncion préoccupé par la visite du Secrétaire général de l'ONU au Paraguay

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    L’archevêque d’Asuncion demande à Ban Ki-moon de ne pas promouvoir l’avortement, l’euthanasie et le mariage homosexuel (source)

    L’archevêque du Paraguay a déclaré que « la force morale d’une nation est dans ses croyances et valeurs, et prend en compte toutes les dimensions de la personne, ne peut rejeter la foi qui est une dimension fondamentale de la structure psychosociale et spirituelle de l’être humain. Malheureusement, diverses recommandation de l’ONU sur les droits de l’homme pour le Paraguay et d’autres pays comprennent de nouveaux droits proclamés par des groupes radicaux, incorporés dans l’organisation et qui plaident pour la légalisation de l’avortement, l’euthanasie et les unions homosexuelles et d’autres «genres», avec la possibilité de l’adoption d’enfants par ces couples ». Mgr Valenzuela a souligné que le rôle de l’Eglise est de se battre « pour les enfants, spécialement ceux sans défense, handicapés ou encore dans l’utérus, et qui courent le risque sérieux d’être rejeté par la société, si les idées de la culture de la mort sont acceptées, et où le mal se fait légalement, avec le soutien de l’État, promu par les agents internationaux à l’échelle mondiale. L’Église parle au nom des familles qui vivent dans des situations structurellement injustes. Ce sont elles qui devraient être résolues par des politiques publiques sérieux et soutenues. Nous partageons plusieurs objectifs sociétaux proposés par l’ONU et, en tant qu’Eglise, nous travaillons avec l’État paraguayen pour les poursuivre, néanmoins, nous sommes vigilants pour préserver les valeurs humaines et chrétiennes de notre peuple, pour promouvoir le développement et la vie pleine et digne pour tous ceux qui vivent dans notre patrie » .

  • Le pape souhaite que les Nations Unies soient plus audacieuses

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    Devant la directrice de l’UNESCO, le pape appelle les Nations unies à être “plus audacieuses“ (source : I.Media)

    La directrice générale de l’UNESCO, la Bulgare Irina Bokova, a été reçue en audience par le pape François le 2 mars 2015. Lors de cette rencontre, a-t-elle confié par la suite à I.MEDIA, le pape a souhaité que les Nations unies soient “plus audacieuses“ pour prévenir les conflits. Irina Bokova, qui a parlé avec le pape François des violences au Moyen-Orient et de l’importance de l’éducation, l’a également invité fin 2015 au siège de l’organisation, à Paris (France).

    Après son audience avec le pape François, la directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, a ainsi confié avoir été “très impressionnée par son attachement à l’éducation“. “Il a une passion particulière pour les jeunes et l’éducation, afin que nul ne soit laissé en arrière, notamment dans les pays les plus pauvres“, a affirmé Irina Bokova.

    Au cours de cet entretien privé, a-t-elle rapporté, le pape a soutenu “la responsabilité particulière des Nations unies, de l’UNESCO“. Selon Irina Bokova, il s’est ainsi montré “très attaché au multilatéralisme, au rôle des Nations unies pour la prévention des conflits“ et “il a souhaité que les Nations unies soient plus audacieuses“. Dès lors, la directrice générale de l’UNESCO a estimé “très important“ que le pape François prenne la parole devant les Nations unies en septembre prochain lors de son déplacement à New York (Etats-Unis).

    Le pape au siège de l’UNESCO ?

    Irina Bokova en a profité pour inviter le pape François à se rendre au siège de l’organisation à Paris (France) en fin d’année. En novembre prochain, l’organisation internationale fêtera en effet son 70e anniversaire. Avant cela, le 3 juin prochain, le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin participera au siège de l’UNESCO à une conférence sur l’éducation, les valeurs et le dialogue interculturel.

    “Nous avons exprimé notre inquiétude devant l’augmentation de l’intolérance, de la violence, de l’extrémisme, particulièrement parmi les jeunes“, et “spécialement face à ce qui se passe en Syrie et en Irak“, a également confié Irina Bokova. Avec le pape, la directrice générale de l’UNESCO a également parlé de la persécution des minorités et de la destruction du patrimoine par les membres du groupe Etat islamique. Quelques jours plus tôt, Irina Bokova avait dénoncé les récentes exactions commises par les djihadistes dans un musée d’antiquités préislamiques à Mossoul (Irak).

    Lors de son entretien avec le pape François, Irina Bokova a également abordé la question du changement climatique. Il lui a alors parlé de sa prochaine encyclique sur le sujet, souhaitant “que le monde entier“ s’intéresse à cette question cruciale. AMI

  • BXL, 31 mars : conférence-débat "La liberté d'expression et les religions"

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    Conférence-Débat 
    Panel Discussion 

     

     
    La liberté d`expression
    et les religions
      

    Freedom of Speech
    and Religions 



    Mardi/Tuesday 31.03.2015, 19:00 



    Participants :
    M. Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles / Chief Rabbi of Brussels

    M. Mohammed Jamouchi, Secrétaire Général - Religions for Peace /
    Secretary General - Religions for Peace

    Mgr Léon Lemmens, Evêque auxiliaire de Malines-Bruxelles/Brabant Flamand / Auxiliary bishop of Mechelen-Brussels/Flemish Brabant

    M. Roland Genson,
    Directeur SG Conseil de l`UE, Spécialiste des politiques UE relatives à la Liberté, la Sécurité et la Justice / Director SG Council of the EU, specialist in EU Policy on liberty, security and justice.

    Modérateur / Moderated by:
    M. Christian Laporte, Journaliste - La Libre Belgique, Responsable des pages Opinions-Debats-Ripostes / Journalist - La Libre Belgique, in charge of "Opinions - Débats - Ripostes"

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    La liberté d’expression est considérée comme un des fondements de la démocratie, elle fait partie des droits fondamentaux de l’homme. Cependant ses limites sont l’objet de controverses, particulièrement suite aux événements survenus à Paris le 7 janvier 2015.

    Les uns favorisent la liberté d’expression comme l’antidote contre toutes les formes de totalitarisme. Les autres veulent protéger la liberté de religion et assurer le respect de tout ce qui peut être le plus intime et le plus sacré pour l’homme. Ce qui pour les uns est un blasphème, n’est pour les autres qu’un sain exercice de la liberté d’expression.

    La position de la Cour européenne des droits de l’homme s’inscrit dans une logique d’équilibre entre ces deux pôles. Mais comment trouver cet équilibre ? Une conciliation est-elle possible? Un large débat social est nécessaire pour trouver et assurer l’équilibre entre la liberté d’expression et le respect de la croyance d’autrui.

    Les conférenciers invités vont nous aider à réfléchir sur cette question.

    ________________________


    Freedom of expression is a fundamental human right and is considered to be one of the pillars of democracy. However its limits are a matter of controversy especially in the wake of the Paris events of January 7th 2015.

     

    Some see freedom of expression as the antidote to all forms of totalitarianism; others want to protect freedom of religion and to ensure respect for all that is most intimate and sacred to the human person. What is blasphemy for some is for others no more than a healthy exercise of freedom of expression.


    The position taken by the European Court of Human Rights is based on an equilibrium between these two poles. But how to find that equilibrium? Is a reconciliation possible?  A wide-ranging social debate is necessary to find and guarantee an equilibrium between freedom of expression and respect for the beliefs held by others.

     

    The invited speakers will help us to reflect on this question.


    La conférence aura lieu en français avec l`interprétation simultanée vers l`anglais.
    The conference will be held in French with simultaneous translation into English. 

     

    address is:

    Chapel for Europe - Chapelle de la Résurrection

    Rue Van Maerlant 22-24

    Bruxelles 1040

    Belgium

  • Des menaces sur le Vatican ?

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    La Gendarmerie du Vatican relativise l'existence de menace de l'EI

    (source : Radio Vatican) Le Pape François est toujours protégé par les gendarmes lors de ses apparitions publiques - L'Osservatore RomanoRV) Un manuel de propagande de 64 pages en italien a été publié sur des sites internet djihadistes par l’Etat islamique sous le titre « l’Etat islamique, une réalité qui voudrait te parler ». C’est la première fois que les djihadistes mènent une opération de communication en langue italienne. Cette publication dont rendent compte les journaux italiens ce dimanche, intervient après les menaces proférées dans des vidéos mises en ligne par des hommes cagoulés se réclamant d’EI contre l’Italie et affirmant que le drapeau noir des islamistes flotterait sur la basilique Saint-Pierre. Une menace claire à l’encontre du Vatican.

    Dans une interview donnée au site italien www.poliziamoderna.it, le commandant de la Gendarmerie vaticane, Domenico Giani, a reconnu que « la menace existe ». « C’est ce qui émerge des entretiens que j’ai avec les collègues italiens et étrangers » explique-t-il avant de relativiser : « l’existence d’une menace est une chose, la planification d’une attaque en est une autre ». Par conséquent, « le niveau de vigilance est constamment haut, et toujours adapté aux circonstances. Il n’y a pas que les menaces de l’EI mais aussi les risques d’actions solitaires qui sont plus dangereuses parce qu’imprévisibles. Je pense aux fanatiques, aux dérangés mentaux, aux mythomanes, ou simplement à des individus qui pourraient décider d’agir au Vatican en raison de la couverture médiatique qu’ils pourraient en retirer ».

    Le Pape François est bien conscient de ces menaces mais « son unique préoccupation est pour les fidèles » précise le commandant Giani. « Le Saint Père n’entend pas abandonner le style de son pontificat, fondé sur la proximité, c’est-à-dire sur la rencontre directe avec le plus grand nombre possible de personnes. Même en tant que pape, il est resté le prêtre qui ne veut pas perdre le contact avec son troupeau. » Cette attitude du Pape conduit donc les gendarmes du Vatican à s’adapter à lui et non le contraire.

    Le commandant de la gendarmerie vaticane révèle aussi que ses services collaborent avec ceux de pays musulmans d’où lui arrivent « de précieuses informations, mais aussi des preuves d’estime et d’admiration pour le Saint Père. Je peux dire qu’aujourd’hui le Saint Père est vu et respecté par l’islam comme l’autorité morale la plus influente au monde. Et cela, soit de la part des autorités religieuses que des autorités civiles ».

  • Belgique : un nouveau dossier de l'Institut Européen de Bioéthique consacré à l'euthanasie des enfants

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    Belgique : euthanasie des enfants : nouveau dossier de l'IEB

     

    Il y a un an était promulguée la loi du 28 février 2014 « modifiant la loi du 28 mai 2002 relative à l'euthanasie, en vue de l'étendre aux mineurs ». La Belgique devenait ainsi le premier et seul pays au monde à autoriser l’euthanasie de mineurs sans qu’aucune condition relative à l’âge de ceux-ci ne doive être rencontrée.
    Certains s’en sont félicités, rappelant le rôle « pionnier » joué par la Belgique dans la mise en place d’un cadre légal pour l'euthanasie, présentée comme ultime « acte d’humanité » dont tout patient, majeur ou mineur, devrait pouvoir bénéficier. D’autres, en revanche, au Parlement et au sein de la société civile, se sont opposés à l’extension de la loi. Parmi ceux-ci, près de deux cents pédiatres et spécialistes de soins palliatifs pédiatriques.

    De toute évidence, les questions éthiques, juridiques et médicales que suscite l’euthanasie ne sont pas moindres lorsqu’il s’agit d’accéder à une demande provenant d’un patient mineur. Un nouveau dossier de l'IEB en offre un aperçu et, après avoir dressé les contours des nouvelles dispositions légales, propose quelques considérations critiques.

    NOUVEAU DOSSIER de l'IEB : ICI