Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 657

  • A deux mois de la visite du pape au pays des cèdres : l’imboglio syrien s’exporte au Liban

    IMPRIMER

    D’Annie Laurent, une des meilleures spécialistes chrétiennes du monde arabe, ce billet sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    Le conflit qui oppose le président Bachar El-Assad à une partie de son peuple, et plus largement au monde arabo-sunnite, se prolonge en effet sur le territoire libanais, aggravant les divisions au sein de sa population, notamment entre sunnites et chiites et leurs alliés respectifs (des chrétiens se trouvent dans les deux camps). Sur le terrain, c’est surtout le nord (Tripoli et l’Akkar) qui subit les retombées de la tourmente. Les habitants sunnites de cette région, où ils sont majoritaires, cohabitent difficilement avec leurs compatriotes alaouites, lesquels affichent nettement leur solidarité avec Assad dont ils partagent les croyances religieuses. Depuis le mois de juin 2011, des affrontements armés opposent par intermittence les deux communautés. Il y a déjà eu plusieurs dizaines de victimes. En outre, le Liban, séparé de son voisin par une frontière au tracé non défini, voit arriver chez lui de nombreux Syriens (ils seraient actuellement 24 000). Certains y viennent en famille pour fuir les violences, des blessés se font soigner dans ses hôpitaux ; d’autres s’y installent avec des armes pour aider la rébellion, profitant pour ­cela de complicités locales et arabes, sunnites pour la plupart. Pour sa part, le régime de Damas dépêche sur place des agents chargés de traquer, voire de tuer, les opposants, soldats dissidents et militants salafistes, tandis que l’armée syrienne a entrepris de miner certains points de passage frontaliers.

    Car il n’est pas question pour Assad d’accepter que le pays du Cèdre devienne un sanctuaire pour ses opposants. Mais il ne peut pas compter sur la coopération du chef de l’État libanais, Michel Sleiman, et de son Premier ministre, Najib Mikati, qui ont opté pour une « neutralité positive » en vue de préserver un minimum d’unité nationale, attitude que le pouvoir syrien ne cesse de fustiger. Damas s’appuie donc sur le Hezbollah, le parti chiite pro-iranien qui lui est inféodé. Or ce dernier, qui dispose d’une milice surarmée, domine largement le gouvernement libanais et exerce une réelle influence sur une partie de l’armée, dont la troupe est à majorité chiite. Plusieurs initiatives récentes prises par des militaires pourraient avoir été suscitées par le Hezbollah : dans le port de Tripoli, saisie de trois conteneurs d’armes destinées à la rébellion syrienne à bord d’un navire en provenance de Libye (28 avril) ; dans cette ville, arrestation sans mandat par la Sûreté générale d’un salafiste connu pour son soutien à la révolution syrienne (12 mai) ; à Halba, deux dignitaires religieux sunnites notoirement anti-syriens abattus dans leur voiture à un barrage de l’armée (20 mai). Depuis lors, les rapts à base confessionnelle se multiplient au Liban.

    Les chiites paient cependant le prix de leur engagement pro-syrien. Le 22 mai, onze de leurs membres ont été enlevés près d’Alep, en Syrie, vraisemblablement par des insurgés sunnites, alors qu’ils revenaient d’un pèlerinage en Iran.

    « La situation est effrayante », a déclaré le 11 juin dernier le Président Michel Sleiman en accueillant dans son palais présidentiel les participants à la conférence de dialogue national qu’il avait convoquée en vue de susciter un consensus par rapport à la crise syrienne. Mais en l’absence du principal représentant du sunnisme politique, Saad Hariri, et de son allié maronite Samir Geagea, qui refusent de cautionner l’hégémonie du Hezbollah, la rencontre n’a débouché que sur des résolutions inconsistantes.

    Ce billet est extrait du dernier numéro de L'Homme Nouveau que vous pouvez commander en ses bureaux (10 rue Rosenwald, 75015 Paris. Tél. : 01 53 68 99 77, au prix de 4 euros), ou télécharger directement sur ce site en cliquant sur le lien ci-dessous.

    Retour

    Disponible dans la boutique :
    Journal n°1521 du 30-06-2012

  • Mensuel La Nef juillet-août 2012

    IMPRIMER

     

    SOMMAIRE DU N°239 DE JUILLET-AOÛT 2012

    ÉDITORIAUX
    Abandonner le politique ?, par Christophe Geffroy
    La pornographie, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Rome recadre la théologie, par l’abbé Christian Gouyaud
    Développement durable : Rio ne répond plus, par Falk van Gaver
    « Vatileaks » : esquisse de bilan, par Pierre Mayrant
    Milan, capitale de la famille, par Robert Chermignac
    Vie de l’Église : Un pape serein, par Loïc Mérian
    Syrie et Égypte : vers le chaos ?, par Annie Laurent
    Série Vatican II (7) : Le concile et les clercs, par l’abbé Laurent Spriet
    Chronique : Lady Gaga et l’islam, par Marc Fromager
    Chronique Vie : Dieu et la bioéthique, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    « La foi doit être fortifiée »,
    entretien avec le Père Dominique-M. de Saint Laumer

    DOSSIER : RÉFLEXIONS POST-ÉLECTORALES
    L’impuissance du politique, par Jacques de Guillebon
    Une classe politique usée, par Thomas Hude
    Un cœur intelligent, par François-Xavier Bellamy
    Une forme supérieure de la charité, par Falk van Gaver
    Chrétiens et postmodernité, entretien avec le P. Thierry-D. Humbrecht, op
    La droite fantôme, par Michel Toda

    VIE CHRÉTIENNE
    « Tu ne voleras pas », par Guillaume de Lacoste Lareymondie
    Proclamer l’Évangile, par le Père Pavel Syssoev, op
    Question de foi : « Combinazioni », par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Gustave Thibon, mystique et réaliste, par Jacques de Guillebon
    Au fil des livres : P.D. James, par Philippe Maxence
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir
    Internet, livres jeunes
    Un livre, un auteur : abbé Gérald de Servigny

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

     

  • Israël: Yad Vashem nuance son portrait de Pie XII

    IMPRIMER

    imagesCA0NN4PO.jpgEtape importante pour la réhabilitation de Pie XII pour les uns, lâcheté d'Israël face aux pressions du Vatican pour les autres: la déclaration publiée ce week-end par le Mémorial Yad Vashem, créé en 1953 par la Knesset israélienne pour faire mémoire des martyrs de la Shoah, fait débat. Le sanctuaire mondiale de la mémoire de l'Holocauste vient en effet de modifier de façon substantielle le panneau qu'elle consacre au rôle de Pie XII, pape de 1939 à 1958, durant le nazisme. 

    Jusque-là, le panneau historique en question expliquait que le pape n'avait rien fait pour défendre les Juifs face à la persécution hitlérienne; dorénavant, le mémorial laisse la question ouverte, disant que le rôle de Pie XII durant la Seconde Guerre Mondiale est "un sujet de controverses": "Les détracteurs du pape affirment que sa décision de s'abstenir de condamner l'assassiner des Juifs par l'Allemagne nazie constitue un échec moral: que l'absence de directives claires ont permis à un grand nombre de collaborer avec l'Allemagne nazie, rassurés par la pensée que cela ne contredisait pas les enseignements moraux de l'Eglise. [...] Ses défenseurs soutiennent que cette neutralité empêché des mesures plus sévères contre le Vatican et les institutions de l'Eglise dans toute l'Europe, permettant ainsi un nombre considérable d'activités de secours secrètes qui auraient eu lieu à différents niveaux de l'Église. En outre, ils soulignent les cas dans lesquels le Souverain Pontife a offert des encouragement aux activités dans lesquelles des Juifs ont été sauvés. Jusqu'à ce que tous les documents pertinents sont disponibles pour les chercheurs, ce sujet restera ouvert et soumis à de futures enquêtes".


     Le Mémorial affirme n'avoir subi aucune pression du Vatican en ce qui concerne cette modification, bien que plusieurs journaux titrent sur d'éventuelles pressions. A noter que le travail le plus important de ces dernières années concernant le positionnement et le rôle de Pie XII durant les années sombres a été effectué par la fondation juive américaine Pave the Way, qui a sérieusement ébranlé l'image d'un pape indifférent au martyre juif. Le mémorial Yad Vashem souligne enfin sa hâte de voir "le jour où les archives secrètes du Vatican seront ouvertes aux historiens afin qu'une meilleure compréhension des évènements puisse se faire". Source ici:  ISRAEL: YAD VASHEM NUANCE SON PORTRAIT DE PIE XII

    En 1958, Golda Meir, alors ministre des affaires étrangères d'Israël, avait pleuré la mort de Pie XII comme celle d’ «un grand serviteur de la paix, une voix qui a enrichi notre temps parce qu'elle rappelait des vérités morales au dessus du tumulte des conflits quotidiens». Il avait ensuite suffi d'une pièce de théâtre, jouée en 1963 sur une scène de Berlin, appelée Le Vicaire (Der Stellvertreter), écrite par un jeune dramaturge allemand, Rolf Hochhuth, d'origine protestante, pour que commence la légende noire de ce pape calomnié. Avec cet injuste procès, c’était aussi l’image traditionnelle de l’Eglise qu’on voulait salir.

    A quand la béatification de ce grand mainteneur de la foi aux temps des totalitarismes du siècle passé ?

  • Et l'Enfant Jésus dans tout cela ?

    IMPRIMER

    L'Unesco a accepté la demande palestinienne de classement en urgence de la basilique de la Nativité à Bethléem au patrimoine mondial de l'humanité. Le vote du comité du patrimoine, vendredi à Saint-Pétersbourg en Russie, a été déploré par Israël et les États-Unis, qui voient la démarche palestinienne obéir à des motivations plus politiques que culturelles. L'Autorité palestinienne s'est félicitée de ce vote, première victoire diplomatique depuis son admission l'an dernier à l'Unesco, la première organisation onusienne à avoir accepté la Palestine en son sein. «C'est une victoire pour notre cause et la justice, a déclaré le porte-parole de Mahmoud Abbas. Cela prouve que l'ensemble de la communauté internationale a l'intention de protéger la Palestine (…) et de s'assurer que l'État Palestinien soit créé dans ses frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale.»

    Israël, qui ne contestait pas la demande­ de classement, s'opposait en revanche au recours à une mesure d'urgence, d'habitude utilisée pour des sites menacés, au lieu de la procédure classique, longue de 18 mois. Les Palestiniens avaient justifié leur demande par «l'état de délabrement et la dégradation de l'ensemble architectural», notamment du fait des «forces d'occupation israéliennes».

    Les experts du Conseil international des monuments et des sites, chargés d'examiner le dossier, avaient émis un avis défavorable. Selon eux, le dossier palestinien n'avait pas été assez préparé, notamment quant à la délimitation et les exigences de protection et de gestion du monument. Les Églises chrétiennes gardiennes du lieu, Grecs orthodoxes, latins (catholiques) et Arméniens, n'avaient pas non plus appuyé la procédure, craignant que la basilique devienne un symbole politique.

    Deux millions de visiteurs

    La décision de classement n'est guère contestable sur le fond. La basilique, construite par Constantin au IVe siècle au-dessus du lieu de naissance de Jésus, restaurée par Justinien au VIe siècle, est restée depuis pratiquement inchangée. Ce qui en fait l'une des plus anciennes églises du monde, en même temps que l'une des plus belles. Les seuls dégâts récents infligés à la basilique avaient été des tirs israéliens d'armes automatiques essuyés pendant le long siège de 2002, quand des activistes palestiniens s'étaient retranchés dans l'église.

    Le mur de séparation, érigé par Israël à l'entrée de Bethléem, réduit les déplacements des Palestiniens hors de la ville et ralentit la circulation des cars de touristes. Mais il n'empêche pas 2 millions de personnes de visiter chaque année la basilique de la Nativité. La place de la Crèche, devant l'édifice, au centre de la vieille ville de Bethléem, se transforme souvent en parking, avec des véhicules qui se garent pratiquement jusque devant la porte de l'église.

    Référence : L'Unesco classe la basilique de la Nativité

  • Quand le cannabis est considéré à tort comme une drogue douce

    IMPRIMER

    Le Docteur Jean-Benoît Linsmaux, sur didoc.be, pourfend le mythe du caractère bénin du cannabis :

    Effroyable fumée

    Le cannabis est considéré à tort comme une drogue douce.

    La question de sa légalisation se pose dans plusieurs de nos pays et figure même dans le programme politique de certains partis. Il me semble avant tout important de se baser sur les connaissances actuelles de la science pour se forger une opinion à ce sujet.

    Longtemps considéré comme une drogue douce, le cannabis se révèle de plus en plus comme un produit dangereux, mais dont les effets néfastes son parfois différés, ce qui contribue à lui donner cette image « douce » chez nombre de personnes.

    Lire la suite

  • L'enseignement obligatoire procédera à l'éducation sexuelle de nos enfants

    IMPRIMER

    L'éducation sexuelle entre dans les missions de l'enseignement obligatoire; c'est l'agence Belga qui annonce la chose : voir cette dépêche sur le site de RTL : l-education-sexuelle-entre-dans-les-missions-de-l-enseignement-obligatoire

    Il faudra, pour le moins être vigilant, car on peut craindre le pire dans le contexte sociétal actuel. L'illustration choisie par la Libre donne déjà le ton. Sur le principe, il s'agit d'une usurpation d'une tâche incombant prioritairement aux parents, premiers éducateurs. A quoi l'on nous rétorquera - et ce n'est évidemment pas faux - que, dans biens des cas, l'éducation familiale est défaillante...

  • Le radical-extrémisme islamiste en Belgique

    IMPRIMER
    Christian Laporte, dans la Libre, rend compte d'une analyse de la doctrine islamiste sous-jacente à l'action du groupe extrémiste "Sharia4Belgium", qui vaut sans doute également pour un autre groupe extrémiste agissant à Droixhe (Liège), "Markaz Attawhid" :
    La pensée de Sharia4Belgium (S4B), fondé en 2010 par un citoyen belge d’origine marocaine, Fouad Belkacem, alias Abu Imran, est de type radical-extrémiste.

    Travaillant depuis des décennies sur l’islam en Europe, le sociologue Felice Dassetto (UCL) a publié une intéressante analyse du groupe extrémiste Sharia4Belgium dont le leader vient encore d’être condamné. En voici les principales conclusions

    Lire la suite

  • Syrie: manipulations politiques sur fond de communautarisme religieux

    IMPRIMER

    28802_agnes-myriam_440x260.jpgDans une matinale publiée ce jour sur le site de “La Vie”, Nathalie Trouiller écrit: “La seule chose que l'on puisse dire avec certitude, c'est que la minorité chrétienne de Syrie est aujourd'hui au coeur de la tourmente au même titre que les autres civils syriens. Le sont-ils davantage? La réponse à cette question complexe est tout l'enjeu d'une véritable guerre de communication que se livrent les deux camps en présence, celui de Bachar el-Assad d'une part, celui des révolutionnaires syriens d'autre part.

    La Syrie est, depuis Hafez el-Assad, dirigée par les alaouites, dont est issu le clan Al-Assad, et qui représente environ 12% de la population syrienne. Cette curieuse secte chiite, sorte de gnose musulmane très hétérodoxe et fortement imprégnée de traditions syro-phéniciennes, s'est toujours sentie culturellement et religieusement plus proche des chrétiens dont elle célèbre nombre de fêtes (Noël, les Rameaux, Pâques, la Pentecôte, etc) et honore les saints (en particulier Saint Jean-Baptiste, Sainte Catherine, Saint Georges et même... Sainte Barbe). D'autant que pour les musulmans sunnites, qui représentent la majorité des Syriens, le chiisme alaouite est une hérésie épouvantable, dont les adeptes sont "plus infidèles que les Juifs et les Chrétiens, plus infidèles même que bien des idolâtres... ils ont fait plus de mal à la religion de Mahomet que les infidèles belligérants, Francs, Turcs et autres... Contre eux la guerre sainte est agréable à Dieu", écrivait ainsi un sunnite au XIVe siècle.

    C'est ainsi que le clan Al-Assad est parvenu à se placer en protecteur des minorités, en particulier chrétienne, tout au long de son règne - tout en expropriant massivement les Eglises lors des nationalisations d'écoles en 1963. C'est également ainsi que, dès les prémisses de la révolution, les chrétiens ont été fortement incités à appeler à l'aide et à agiter le spectre de l'islamisation - d'autant plus facile à agiter que les craintes des chrétiens de la région sont souvent extrêmemement fondées. On a ainsi vu en première ligne mère Agnès-Myriam (photo), supérieure du couvent de Saint-Jacques-l'Intercis à Qâra, devenir véritablement l'égérie du pouvoir syrien.

    Lire la suite

  • Les réflexions de la COMECE sur le coma végétatif, le trafic d'organes, la santé sexuelle et reproductive, etc

    IMPRIMER

    COMECE Press 22/06/2012 :

    Nouvelles réflexions de la COMECE en matière de Science et de bioéthique

    Comment traiter les patients en coma végétatif ? Quelles sont les perspectives d’amélioration de l’homme par des moyens technologiques ? Comment combattre le trafic d’organes et le tourisme de transplantation ? Enfin, qu’entend-t-on exactement par Santé sexuelle et reproductive ? Voilà autant de questions techniques mais néanmoins cruciales auxquelles est de plus en plus confronté le législateur européen. Afin de lui donner un aperçu des enjeux éthiques soulevés par ces questions, le Secrétariat de la COMECE publie le second volume de son recueil ‘Avis Science & éthique’. Ces avis, publiés par son Groupe de réflexion bioéthique, fournissent une analyse de ces concepts et situations et proposent une réflexion et des recommandations à l’intention des décideurs européens.

    Lire la suite

  • Euthanasie en Belgique : Carine Brochier sur KTO ("A la Source")

    IMPRIMER

    21 juin

  • Les enjeux actuels sur ZENIT.org

    IMPRIMER

    Sida: le Saint-Siège réclame la gratuite des médicaments
    8e conférence internationale de Sant'Egidio

    Brésil : Marche pour la vie le 26 juin
    Par la présidente de « Brésil sans avortement »

    Italie: "Journée pour la charité du pape", le 24 juin
    Avec Benoît XVI, au service des plus fragiles

    Rio+20 : pas de « droit reproductifs » dans le document final
    Les entités de défense de la vie se réjouissent

    L'Italie se dote d'un Observatoire de la liberté religieuse
    Le sociologue Massimo Introvigne nommé coordinateur

    "La" ressource de la planète, c'est la personne humaine
    L'échec des politiques néo-malthusiennes, par le card. Scherer

    L'eugénisme, nouveau droit de l'homme ?
    Table ronde au Conseil de l'Europe

  • Euthanasie : quand la Belgique montre ce qu'il ne faut pas faire...

    IMPRIMER

    Antoine Besson, sur Liberté Politique, évoque l'"exemple belge" :

    Euthanasie : Au delà des revendications françaises, l’« exemple » belge !

    (...) Les partisans de l’euthanasie ont pris en otage l’éthos social et condamnent quiconque se dresse en travers de leur chemin au nom d’une « dignité humaine » incompatible  avec une trop grande souffrance.

    Il reste cependant une manière juste et équitable de juger du bienfait pour la société d’une telle dépénalisation de l’euthanasie. Il s’agit tout naturellement d’examiner comment s’en sortent les pays qui ont mis en place une mesure similaire. A cet égard, la Belgique semble être toute désignée pour cet audit puisqu’elle à l’avantage d’être l’un de nos voisins immédiats, qu’elle partage une part importante de nos valeurs et de notre culture et qu’enfin, elle fête cette année le dixième anniversaire de la dépénalisation de l’euthanasie. Son expérience en la matière n’est donc pas à négliger.

    Lire la suite