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Politique - Page 653

  • Quand gouverner, c'est se faire voir

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    « Aujourd'hui, gouverner, c'est se faire voir »

    Gérard Courtois, sur Polemia, relaie une réflexion de Michel Schneider sur la dérive narcissique des politiques :

    Michel Schneider, 68 ans, est un intellectuel aux multiples facettes : écrivain, psychanalyste, il fut directeur de la musique et de la danse au ministère de la culture et a pris, récemment, sa retraite de la Cour des comptes. Il analyse la « pipolisation » récente des responsables politiques et, en particulier, des présidents de la République. G.C

    La mise en scène de la vie privée des hommes publics est-elle un avatar de la personnalisation du pouvoir sous la Ve République ou traduit-elle une évolution plus profonde ?

    Le pouvoir, royal ou républicain, a toujours été une représentation faite de signes, de symboles, d'images. Mais jamais il ne s'est résumé à cela. Il est verbe, mais aussi action, projet, décision. Aujourd'hui, la parole politique se croit performative. On s'imagine que dire, c'est faire ou que se montrer, c'est exister. Parfois oui, mais il y a toujours un réel qui ne se laisse pas faire.

    Le renoncement à l'action patiente au profit de l'immédiateté de la parole et de la visibilité obscène de la posture a commencé dans les années 1980, quand Mitterrand a laissé le journaliste Yves Mourousi poser ses fesses sur son bureau de présentateur de TF1 lors d'un entretien en parler « chébran ». Avant lui, Giscard avait convoqué les médias pour jouer de l'accordéon.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 30 août 2012

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    Sommaire

  • Famille naturelle, société durable : une mobilisation française

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    Sur le site de "Catholiques en Campagne" :

    Les craintes, encore floues sous le précédent gouvernement, prennent corps sous celui de François Hollande : une loi légalisant le « mariage » des « couples » de même sexe est en cours de rédaction selon le Ministre Bertinoti et devrait être rapidement adoptée. C’est ce qu’avait annoncé la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem lors de la marche des fiertés qui se tenait à Lyon, samedi 16 juin. La ministre des droits des femmes a même donné une date butoir : le printemps 2013. Ainsi, dans moins d’un an, il est possible que les paires d’homosexuels obtiennent les mêmes droits que les couples mariés, le gouvernement sanctionnant d’une loi une demande allant à l’encontre du bon sens le plus basique.

    La réponse de la Conférence des Evêques de France, à travers la voix de Mgr André Vingt-Trois, ne s’est pas fait attendre : la prière pour la France du 15 août demande expressément la sauvegarde de la famille naturelle.

    Comment croire qu’un gouvernement puisse non seulement valider mais également encourager des mesures, des lois détruisant la famille et de fait l’équilibre de la société tout entière. Pense-t-il qu’accéder aux revendications d’une minorité hurlante le rendra populaire auprès du plus grand nombre ? En travaillant sur une loi en faveur du mariage homosexuel, François Hollande et son gouvernement valident et cautionnent toutes les conséquences qui en découlent : la perte de repère des enfants, la fin de la famille et, à terme, le délitement de la société. Après cette loi inique, d’autres viendront compléter le panel des lois amorales comme la procréation assistée ou encore la gestation pour autrui… Et c’est ce qu’a demandé Najat Vallaud-Belkacem : « Il faut que vous continuiez à servir d’aiguillon pour le gouvernement comme pour la société » a-t-elle lancé à Lyon.

    Nous aussi, catholiques, nous voulons servir d’aiguillon pour le gouvernement et notre société en montrant que nous nous opposons à de telles dérives et que nous demeurons attachés à l’épanouissement des enfants et à la famille naturelle. La seule qui puisse être reconnue, base stable et immuable de toute société. C’est pourquoi, Catholiques en Campagne donne une nouvelle impulsion à sa campagne de promotion de la famille, « Famille naturelle, Société durable ». Par notre action déterminée et notre témoignage courageux, faisons barrage à ce projet de loi. Pour que l’intérêt supérieur de l’enfant et sa protection soient assurés, pour que cesse la révolution homoparentale et qu’une véritable résurrection de la Famille soit initiée.

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  • Le catholicisme a le vent en poupe aux Etats-Unis

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    C'est du moins ce que laisse entendre le tableau brossé par Sandro Magister :

    Dans le panorama mondial de l’Église catholique, les États-Unis constituent la surprise la plus forte. Il y a seulement quelques années encore, personne n’aurait parié sur un renversement de tendance aussi spectaculaire. Tous les indicateurs étaient au rouge : évêques faibles et apeurés, prêtres désarmés, vocations en chute libre, fidèles en déroute. Le scandale de la pédophilie avait porté des coups terribles à la crédibilité de l’Église.

    Mais depuis que Benoît XVI est pape, les signaux enregistrés aux États-Unis font apparaître une reprise.

    Une série de nominations ciblées a propulsé à la tête de l'épiscopat un nouveau groupe dirigeant bien formé et dynamique, ratzingerien du point de vue doctrinal et "positif" dans l’espace public.

    La peste de la pédophilie jugulée, les écoles et les paroisses catholiques figurent à nouveau parmi les lieux les plus sûrs pour les enfants.

    Et les taux de confiance se sont redressés. D’après les méticuleuses enquêtes du Pew Forum de Washington, à peine 51 % des catholiques américains se disaient satisfaits de leurs évêques en 2000 ; aujourd’hui, ils sont 70 %.

    En ce qui concerne le pape Benoît XVI, 74 % des catholiques se disent satisfaits de lui, ce chiffre atteignant même 85 % chez ceux qui vont à la messe le dimanche. Il y a dix ans, alors que Jean-Paul II était au sommet de sa popularité, les satisfaits représentaient 72 %.

    La vitalité retrouvée du catholicisme aux États-Unis a également envahi le terrain politique. Pour la première fois dans l’histoire du pays, les élections présidentielles du 6 novembre prochain verront deux catholiques en course pour le poste de vice-président : Joe Biden, associé au démocrate Barack Obama, et Paul Ryan (photo), associé au républicain Mitt Romney.

    Lire la suite consacrée au "duel" entre les deux candidats catholiques à la Vice-Présidence

  • Chrétiens en politique : ne pas se laisser broyer par la pensée unique

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    Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, a accordé une interview à La Croix, à l'occasion de l'université d'été qui se déroule dans son diocèse du 30 août au 2 septembre. Il estime que les jeunes d’aujourd’hui doivent à la fois afficher leur foi et s’engager dans la société.

    Il déclare notamment :
    "... Depuis des siècles, notre culture a été façonnée par le christianisme. Et pourtant, l’Église semble aujourd’hui marginalisée. Autrement dit, cette société marquée par le christianisme a perdu la substance de ce qui la fonde. (...)
    Dans un monde qui est privé de références chrétiennes, le christianisme a quelque chose à dire dans notre monde, qui est de l’ordre d’une espérance, du témoignage de communion, du sens de l’homme. ...la situation minoritaire n’est en rien une fatalité : l’histoire montre que les personnes en situation minoritaire ont souvent provoqué des basculements. (...)
    Il est nécessaire, pour les jeunes d’aujourd’hui, d’avancer parfois à contre-courant pour ne pas se laisser broyer par la pensée unique. Cela ne signifie pas qu’il faut se replier dans une forme de communautarisme, mais qu’il faut à la fois être inséré dans notre société et afficher sa foi et ses principes. La foi n’est pas seulement pour soi-même, mais porte aussi en elle une dimension universaliste. C’est la preuve d’une grande liberté de porter ainsi un message qui vous dépasse. (...)
    Comme chrétiens, nous sommes responsables vis-à-vis de la société. C’est pourquoi la politique est l’une des formes de la charité.

  • Sur gènéthique.org :

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    Sommaire de la semaine:

  • Lénine démythifié

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    9782262034542.jpgUne nouvelle biographie de Lénine est recensée par Victor Scribe dans En kiosque ("Riposte catholique"):

    Les éditions Perrin publient en cette fin du mois d’août une grosse biographie de Lénine. Elle est signée Robert Service, enseignant à l’université d’Oxford et déjà auteur d’une biographie de Trotski dont la traduction en français a déjà été publiée aux éditions Perrin en 2011.

    Partant du fondateur de l’Armée rouge, qui était loin d’être un enfant de chœur qui aurait seulement été la victime des vindictes de Staline, l’auteur s’est intéressé tout naturellement à Lénine. C’est une grosse biographie (576 pages, 28€), à l’anglo-saxonne, fouillée et précise, mais bien vivante. Biographie politique certes, mais non pas d’abord étude ou analyse politique.

    Robert Service retrace un itinéraire et raconte les points saillants d’une vie mouvementée, engagée, lugubre par bien des endroits. Il a eu accès aux archives « Lénine » du parti communiste soviétique et il s’appuie sur des documents souvent inédits pour découvrir la personnalité complexe de Lénine. La réussite de celui-ci, et la réussite de la révolution bolchevique, s’expliquent par bien des aspects de cette personnalité, ce qui est déjà une contradiction des principes déterministes du marxisme.

    Donnant à voir la personnalité de Lénine, il le démythifie également. Tout ce que Lénine a entrepris n’a pas réussi (même de son point de vue). Malgré son génie révolutionnaire, il y eut des échecs et des ratés. L’auteur ne le présente pas non plus comme « blanc comme neige » selon la vulgate qui s’est imposée après Staline qui aurait été le seul monstre de l’histoire communiste. Sans être la biographie définitive sur le personnage, ce nouveau livre apporte un regard et des informations qui méritent d’être pris en compte. Pour fuir définitivement la tentation communiste.

  • Pourquoi le pape se rend au Liban

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    L'Aide à l'Eglise en Détresse consacre tout un dossier au Liban à l'occasion de la visite que le pape va y effectuer :

    14-16 SEPTEMBRE 2012 : Pourquoi le Pape va-t-il au Liban?

    Pourquoi le Liban? 
    C’est un pays du Moyen-Orient où il y a à la fois la sécurité (pour l’instant) et les chrétiens.
    Le Liban, terre natale du christianisme, pays voisin de la Palestine où Jésus a séjourné durant sa vie sur terre, accueillera du 14 au 16 septembre prochains, le Pape Benoit XVI. Visite grandement attendue par le peuple chrétien libanais mais également par celui de tout le Proche et Moyen-Orient. La République libanaise annonce que « cette visite confirmera la profondeur des relations historiques qui unissent le Liban au Saint-Siège et permettra de réaffirmer le statut, le rôle et la mission du Liban en tant que témoin pour la liberté et la convivialité ».Ce voyage sera l’occasion, pour Benoit XVI, de signer et de remettre l’Exhortation Apostolique pour le Moyen-Orient. Issue du synode des évêques, organisé par le Saint Père à Rome en octobre 2010 sur le thème de « L’Eglise catholique au Moyen-Orient : communion et témoignage », celle-ci concerne 17 pays dont le Liban, la Syrie, l’Irak, Israël ou encore la Palestine, soit 350 millions de personnes dont 5,5 millions de catholiques parmi les 20 millions de chrétiens. 
    L’Exhortation Apostolique comporte 44 propositions des pères synodaux. Plusieurs points importants, tel que la limitation du phénomène de migration pour consolider la présence des chrétiens dans leurs pays, la poursuite et l’encouragement du dialogue œcuménique et celle du dialogue interreligieux pour le renforcement, ainsi que la recherche d’un avenir commun, et la fondamentalité des relations avec l’islam et le judaïsme. Essentielles, dans la mesure où le Liban est une terre qui réunit l’ensemble des religions et confessions que l’on connait au Proche-Orient et le seul pays de la région où tout individu demeure véritablement libre de choisir sa religion et d’en changer.
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    On y découvrira aussi le programme de la visite pontificale.
    Voir également :
     
  • Syrie : l'archevêché gréco-catholique d'Alep mis à sac

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    Le siège de l'Archevêque métropolitain gréco-catholique d'Alep, S.Exc. Mgr Jean-Clément Jeanbart, a été mis à sac au cours d'affrontements entre des miliciens et les troupes loyalistes. L'Archevêque, son Vicaire et un certain nombre de prêtres se sont enfuis quelques heures seulement avant l'épisode qui a eu lieu jeudi dernier pour se réfugier au couvent des Franciscains d'Alep. Selon des sources de Fides au sein de la communauté catholique locale, les responsables de l'exaction « sont des groupes non identifiés qui entendent alimenter une guerre confessionnelle et impliquer la population syrienne dans des conflits sectaires ». Ainsi que le confirme à Fides le Père George Abu Khazen, OFM, Pro Vicaire apostolique de la communauté catholique latine, qui a accueilli ses confrères gréco-catholiques, « S.Exc. Mgr Jeanbart a fait part de sa vive préoccupation et de sa consternation suite à cet épisode et a répété, secoué par les événements, un seul mort : pourquoi ? ». Il est ensuite parti pour le Liban, où il se trouve encore à l'heure actuelle. Au cours des jours suivants, lorsque les militaires ont repris le contrôle de la situation, le Vicaire de Mgr Jeanbart a pu revenir à l'Archevêché, constatant que les portes en avaient été forcées et que différents objets (dont des ordinateurs et un projecteur) avaient été volés.

    Le Père Abu Khazen, OFM, explique que, ces derniers jours, une bataille a eu lieu dans la vieille ville d'Alep et que les combats sont arrivés jusqu'à la Place Fahrat, zone dans laquelle se trouvent tous les Archevêchés. Outre l'Archevêché gréco-catholique (melkite), s'y trouve en effet également l'Archevêché catholique maronite qui a lui aussi été endommagé. Des miliciens ont également fait irruption dans le musée chrétien byzantin Maarrat Nahman, endommageant des pièces des collections et un certain nombre d'icônes. Selon le Père Abu Khazen, OFM, une solution au conflit « n'est pas encore en vue parce qu'aucun des acteurs, nationaux et internationaux, ne fait pression pour parvenir à l'instauration d'un véritable dialogue ».

    En parlant à Fides, un autre représentant de la hiérarchie locale, qui a demandé à conserver l'anonymat pour raisons de sécurité, lance l'alarme : « Du fait de l'intervention désormais établie de groupes djihadistes, est en cours une tentative visant à fomenter la haine et des conflits sectaires. On enregistre la présence d'un nombre croissant de milices islamistes wahhabites et salafistes provenant de Tchétchénie, du Pakistan, du Liban, d'Afghanistan, de Tunisie, d'Arabie Saoudite et de Libye. Ces groupes ont pour seul but de faire régner le chaos, la destruction, les atrocités et de paralyser la vie sociale. La population civile syrienne en est la victime. Mais elle ne tombera pas dans ce piège ». (PA) (Agence Fides 27/08/2012) (les "gras" sont de Belgicatho)

  • Les persécutions ne nous empêcheront pas de témoigner de l'amour de Dieu

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    Interview du Cardinal Appiah Turkson sur les attaques continues contre les chrétiens (Osservatore Romano, en anglais et en italien)

    Les massacres ne nous empêcheront pas de témoigner de l'amour de Dieu
     
    Pourquoi y a-t-il tellement de violence contre les chrétiens dans certaines parties du monde ? Serait-ce simplement pour des raisons idéologiques ? Ou est-ce que la voix des chrétiens doit être réduites au silence car elle va à contre-courant de la direction dans laquelle l'humanité à la dérive semble s'orienter ? Ou est-ce êut-être parce que les chrétiens constituent une communauté sans défense, qu'il est donc facile d'attaquer sans subir de nombreux risques, que le terrorisme peut aisément mettre sur la scène mondiale à des fins politiques ? En un mot, comment actualiser le thème « Bienheureux les artisans de paix », que le pape a proposé pour la célébration de la Journée mondiale de la paix en 2013 ? Ces questions sont posées régulièrement quand les nouvelles du monde (...) allongent la liste des gens qui meurent à cause de leur foi et soulignent l'urgence des appels incessants et pressants du pape en faveur de la paix. Nous avons cherché des réponses dans notre conversation avec le Cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, président du Conseil Pontifical Justice et paix.

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  • Une stratégie subtile mais très efficace...

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    Mgr Silvano Tomasi, observateur permanent du Saint-Siège aux Nations Unies à Genève, est intervenu sur le thème « la soif croissante de justice et de démocratie des peuples », dans le cadre de la rencontre internationale organisée par le mouvement Communion et Libération à Rimini (Italie), du 19 au 24 août 2012.
    L’archevêque est revenu sur son intervention, au micro de Radio Vatican en italien, dénonçant « une augmentation de l’intolérance religieuse » dans le monde.D’après le travail d’enquêtes sociologiques, déclare l’archevêque, « c’est une évidence désormais prouvée que les chrétiens sont le groupe religieux le plus persécuté dans le monde d’aujourd’hui, c’est-à-dire le groupe le plus limité dans ses droits ».« Parfois c’est l’Etat qui limite la liberté des croyants, parfois c’est la société qui persécute les communautés chrétiennes ou d’une autre minorité religieuse », explique-t-il.
    Il s’agit d’un phénomène très répandu, souligne-t-il, avec des situations « extrêmes », comme au Nigeria ou au Kenya où explosent des bombes dans les lieux de culte, ou encore comme en Irak et en Syrie, où les communautés chrétiennes sont forcées à l’exil à cause de la violence.Même si quelquefois des raisons politiques sont données à ces persécutions, « la véritable raison est la diversité de foi », affirme Mgr Tomasi. Or, « ces violentes perpétrés contre des communautés religieuses portent à la désagrégation sociale ».
    Dans la culture occidentale, poursuit-il, les croyants sont attaqués par une stratégie différente, dans laquelle on présente la religion comme « obstacle à la liberté individuelle ».Cependant, ces mêmes Etats ou groupes sociaux, en voulant « éliminer tout rôle public de la religion », « violent les droits des croyants », fait observer l’archevêque. Dans les faits, ce n’est donc pas « le groupe religieux qui empêche la réalisation du droit de chacun », mais c’est « la position publique qui limite le droit de ceux qui ont une foi religieuse ».
    C’est une « stratégie plutôt subtile mais très efficace », commente Mgr Tomasi, « car à terme elle empêche les valeurs chrétiennes d’être prises en compte dans les décisions publiques ».

  • RDC : fillettes, adolescentes et femmes paient le prix fort

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    L'information paraît sur La Libre d'aujourd'hui :

    A Bukavu, une section de l’hôpital Panzi accueille les femmes victimes des viols collectifs de la guerre. Le Dr Mukwege se bat pour leur redonner un espoir. Prix Roi Baudouin en 2011, le médecin congolais a reçu jeudi Didier Reynders dans son hopital de Bukavu, où près de 40 000 femmes et jeunes filles ont déjà été soignées.

    Fatigué de voir les délégations ministérielles défiler dans son établissement sans que rien ne change, désespéré de voir que la situation empire à l’est du Congo, il a parlé, devant le ministre belge, d’injustice et de lâcheté, de courage qui faisait défaut.

    "La Libre" l’a interviewé peu après.

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