Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 253

  • Cent films chrétiens à voir

    IMPRIMER

    Des épopées bibliques, aux vies de saints, en passant par les grands films comportant des valeurs chrétiennes, voici 100 films chrétiens à voir, en famille ou avec vos grands adolescents. Puissant moyen d'évangélisation, le cinéma chrétien est l'occasion de se laisser toucher par la présence de Dieu à l’œuvre dans le monde et dans nos vies.

    c'est ici, sur Famille Chrétienne

  • Le grand secret de l'Islam

    IMPRIMER

    9781326074012_1_033409.jpgLe grand secret de l'islam - 2éme édition

    L'histoire cachée de l’islam révélée par la recherche historique
    Olaf - En collaboration avec le Père Edouard-Marie Gallez

     

     

    Lire la suite

  • "J'ai honte" ; le sentiment de Salah Stétié

    IMPRIMER

    J’ai honte (par Salah Stétié, écrivain, ambassadeur e.r. du Liban)

    (Source - Article paru dans Le Figaro 6/3/15)

    Le Coran dit en sourate III, 45 :

    Ô Marie

    Dieu t’annonce
    la bonne nouvelle d’un Verbe émanant de Lui :
    Son nom est : le Messie, Jésus, fils de Marie ;
    illustre en ce monde et dans la vie future ;
    il est au nombre de ceux qui sont proches de Dieu…

    Il dit aussi en V, 82 :

    Tu constateras
    que les hommes les plus proches des croyants
    par l’amitié sont ceux qui disent :
    « Oui, nous sommes Chrétiens ! »

    en 83 : (ce sont les chrétiens qui parlent) :

    Notre Seigneur !
    Nous croyons !
    Inscris-nous parmi les témoins !

    En 84 :

    Pourquoi ne croirions-nous pas en Dieu
    et à la Vérité qui nous est parvenue ?
    Pourquoi ne désirerions-nous pas
    que notre Seigneur nous introduise
    en la compagnie des justes ?

    En 85 :

    Dieu leur accordera
    en récompense de leurs affirmations
    des Jardins où coulent des ruisseaux
    Ils y demeureront immortels :
    telle est la récompense de ceux qui font le bien

    Le Coran dit bien d’autres choses. Mais rien ni personne ne peut faire que ces mots tout d’affection et d’espérance à l’égard des chrétiens ne soient inscrits pour l’éternité (puisque la parole divine est, dit-on, éternelle) dans le Livre sacré de l’Islam.
    Comment feront ceux qui aujourd’hui, en Orient, persécutent les chrétiens, les égorgent, les jettent vivants dans des puits, parfois les crucifient, oui, comment feront ces lecteurs sans doute assidus du Coran pour justifier leurs actes aussi inhumains qu’illégitimes aux yeux de leur Livre et pour se dédouaner devant leur Dieu d’en avoir ainsi cruellement usé avec ceux qui se sont, cinq siècles avant eux, déclarés les témoins de la Vérité et ont suivi la parole du “Verbe de Dieu” ?
    Qu’ils relisent, ces égarés, les ayât que je viens de leur remettre en tête. Qu’ils sachent également, ces Arabes, que si la langue arabe existe aujourd’hui dans la splendeur créatrice qu’on lui connaît, c’est parce que dès la fin du XIXe siècle, des lexicologues, les Boustany, l’ont ressuscitée et l’ont illustrée par des dictionnaires et des encyclopédies, que des érudits, les Yazigi ont montré de cette langue la fertilité intrinsèque, que le premier livre de la modernité arabe, quoique écrit en anglais, s’appelle Le Prophète et que le héros de ce livre, traduit dans une cinquantaine d’idiomes et toujours passionnément lu, se nomme Al-Mustapha, l’autre désignation de “l’Envoyé”. Les Boustany, les Yazigi, Khalil Gibran, l’auteur du Prophète, sont des chrétiens du Liban. Ils appartiennent tous à une magnifique communauté spirituelle et intellectuelle qui habitait, qui habite toujours le monde arabe. Les chrétiens sont chez eux définitivement dans ce monde et je les supplie, à genoux s’il le faut, de ne pas partir, de ne pas céder à la panique. Que ferions-nous, nous, les musulmans, sans eux, sans leur présence, qui fut souvent pour tous les peuples de cette région synonyme de progrès à tous les niveaux ?
    J’ai honte d’avoir à écrire tout cela qui devrait aller de soi. J’ai honte avec tous ceux qui, aujourd’hui, ont honte. Honte, terriblement.
    Salah Stétié

  • BXL, 10 mars : Transmettre, à quoi bon ? avec François-Xavier Bellamy

    IMPRIMER

    unnamed.png

    Lire la suite

  • Liège, 28 mars : La Passion selon saint Jean de JS Bach

    IMPRIMER

    unnamed.jpg

    unnamed (1).jpg

  • Le pape souhaite que les Nations Unies soient plus audacieuses

    IMPRIMER

    Devant la directrice de l’UNESCO, le pape appelle les Nations unies à être “plus audacieuses“ (source : I.Media)

    La directrice générale de l’UNESCO, la Bulgare Irina Bokova, a été reçue en audience par le pape François le 2 mars 2015. Lors de cette rencontre, a-t-elle confié par la suite à I.MEDIA, le pape a souhaité que les Nations unies soient “plus audacieuses“ pour prévenir les conflits. Irina Bokova, qui a parlé avec le pape François des violences au Moyen-Orient et de l’importance de l’éducation, l’a également invité fin 2015 au siège de l’organisation, à Paris (France).

    Après son audience avec le pape François, la directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, a ainsi confié avoir été “très impressionnée par son attachement à l’éducation“. “Il a une passion particulière pour les jeunes et l’éducation, afin que nul ne soit laissé en arrière, notamment dans les pays les plus pauvres“, a affirmé Irina Bokova.

    Au cours de cet entretien privé, a-t-elle rapporté, le pape a soutenu “la responsabilité particulière des Nations unies, de l’UNESCO“. Selon Irina Bokova, il s’est ainsi montré “très attaché au multilatéralisme, au rôle des Nations unies pour la prévention des conflits“ et “il a souhaité que les Nations unies soient plus audacieuses“. Dès lors, la directrice générale de l’UNESCO a estimé “très important“ que le pape François prenne la parole devant les Nations unies en septembre prochain lors de son déplacement à New York (Etats-Unis).

    Le pape au siège de l’UNESCO ?

    Irina Bokova en a profité pour inviter le pape François à se rendre au siège de l’organisation à Paris (France) en fin d’année. En novembre prochain, l’organisation internationale fêtera en effet son 70e anniversaire. Avant cela, le 3 juin prochain, le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin participera au siège de l’UNESCO à une conférence sur l’éducation, les valeurs et le dialogue interculturel.

    “Nous avons exprimé notre inquiétude devant l’augmentation de l’intolérance, de la violence, de l’extrémisme, particulièrement parmi les jeunes“, et “spécialement face à ce qui se passe en Syrie et en Irak“, a également confié Irina Bokova. Avec le pape, la directrice générale de l’UNESCO a également parlé de la persécution des minorités et de la destruction du patrimoine par les membres du groupe Etat islamique. Quelques jours plus tôt, Irina Bokova avait dénoncé les récentes exactions commises par les djihadistes dans un musée d’antiquités préislamiques à Mossoul (Irak).

    Lors de son entretien avec le pape François, Irina Bokova a également abordé la question du changement climatique. Il lui a alors parlé de sa prochaine encyclique sur le sujet, souhaitant “que le monde entier“ s’intéresse à cette question cruciale. AMI

  • Qu'est-ce que la beauté ?

    IMPRIMER

    9782220066189_200x301.jpgQu'est-ce que la beauté ?

    Auteur(s) : Jean Brun, Boris Lejeune

    Editeur : Desclee De Brouwer ›

    Tandis que le prétendu Art Contemporain s'épuise dans le maniérisme d'une transgression sans objet, qu'attendre de la lecture de Jean Brun ? Tout simplement qu'elle nous ramène à l essence de l'art et de sa fonction, qui est de chanter la Beauté du Créateur à travers ses oeuvres et l'expression humaine qu'en donne l'artiste. Cette fonction sacrée, dans la situation du monde présent, prend la forme d'un combat métaphysique pour l'Être contre le Néant.

    204 pages - 18,50€

  • "Prêtres et consacrés, portez votre habit"

    IMPRIMER

    NKoue.jpegUne monition qu’on serait bien en peine de trouver présentement en Europe, même à Rome, on la trouve sans complexe en Afrique: éditorial de Mgr Pascal N'Koué, archevêque de Parakou dans le bulletin de mars du diocèse de Parakou au Bénin, relayé par le blog « salon beige » :

    "On ressent aujourd’hui particulièrement la nécessité que le prêtre homme de Dieu, dispensateur de ses mystères, soit reconnaissable par la communauté, également grâce à l’habit qu’il porte, signe sans équivoque de son dévouement et de son identité de détenteur d’un ministère public" (Directoire pour le ministère et la vie des prêtres, n°66). Nous abordons un sujet délicat. C’est que notre vocation est comme une épée à double tranchant. Nous sommes dans le monde mais nous ne sommes plus du monde. Bien sûr que nous sommes créés libres et Dieu qui nous donne cette liberté tient à nous respecter. Avant de continuer, écoutons saint Paul : «Frères, votre vocation, c’est la liberté. Non pas cette liberté qui sert à justifier les appels de la chair, mais celle qui nous met au service les uns des autres par amour…» (Ga 5, 13). La liberté n’est pas synonyme du laisser- aller.

    Que de vocations sont nées attirées par le vêtement d’un clerc ou d’un religieux. Que de servants de messe ont voulu devenir prêtres à cause de la soutane de "mon Père" ! Certains en sourient peut-être. Et pourtant pour se manifester, Dieu passe souvent par des impondérables, ce qui n’a pas de poids aux yeux des grands, des savants, des rationalistes.

    Sainte Catherine de Sienne, 25e enfant de sa mère, née un dimanche des rameaux de 1347 sera fascinée très tôt par les Frères prêcheurs vêtus de noir et de blanc. Elle veut leur ressembler, elle veut même se déguiser en homme pour pouvoir devenir aussi "dominicain". Plus tard, elle sera appelée par les gens de Sienne "mantellata" à cause du manteau noir des tertiaires dominicaines qu’elle portait sur ses épaules comme une vieille dame, alors qu’elle était encore une adolescente de quinze ans. Un feu mystique l’habitait. Elle voulait tout donner au Christ et rien à l’Ennemi. L’habit des dominicains n’a pas été neutre dans sa vocation. Je nous rappelle que c’est elle qui a fait revenir à Rome le Pape d’Avignon.

    Au Bénin, les séminaristes prennent en général la soutane avec le rite du lectorat. Cela a lieu publiquement au cours d’une grand-messe. A Parakou, l’Evêque bénit la soutane en ces termes :

    « Seigneur Jésus, Toi qui, revêtu de Ta tunique sans couture, parcourais les rues de la Galilée en faisant le bien, Daigne bénir les soutanes + dont se revêtiront N N., comme signe distinctif de leur appartenance au groupe des candidats en marche vers ton Autel sacré, pour le salut des âmes. Qu’au milieu des hommes où ils passeront, et soutenus par la force de ton Esprit, ils puissent témoigner sans honte des valeurs du Royaume des cieux par la sainteté de leur vie. Nous te le demandons à Toi, Pasteur éternel, Unique Sauveur et Grand-Prêtre par excellence, qui règnes avec le Père et le Saint Esprit pour les siècles des siècles. Amen ».

    La soutane n’est pas un vêtement neutre. Cet habit exprime deux choses : la mort à soi-même et au péché d’une part, la vie joyeuse soumise à Dieu, notre part d’héritage, d’autre part. Ces deux réalités (mort et résurrection) sont les deux faces d’un unique mystère auquel le prêtre est configuré dans le Christ. La mort et la résurrection sont exprimées de façon inséparable dans cet habit-symbole. Aussi, la soutane est comme un suaire qui tient le clerc enseveli dans le Christ. Elle exprime son état de mort et de sépulture qui manifeste que nous sommes dans le monde sans être du monde. En revêtant la soutane chaque matin, le clerc devrait prononcer cette phrase du psalmiste : "Dominus pars hereditatis meae", « Seigneur, tu es ma part d’héritage. Je n’ai pas d’autre bonheur que Toi ». (Ps 15, 5).

    Lire la suite

  • Le sommaire du dernier numéro de La Nef (mars 2015)

    IMPRIMER

    Sommaire du dernier numéro
     
    (Les articles "en lien" sont accessibles; il suffit de cliquer sur les titres) 
     
    Sommaire du n°268 de mars 2015
    SOMMAIRE DU N°268 DE MARS 2015

    ÉDITORIAUX

    Quel fanatisme ?, par Christophe Geffroy
    La guerre sur deux fronts, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Europe : vers la vente d’enfants, par Grégor Puppinck
    À rebours : Mauvaise nouvelle ?, par Falk van Gaver
    Pour ne pas être des lapins, par l’abbé Laurent Spriet
    Géopolitique d’abord : Comme toujours, par Paul-Marie Coûteaux
    La réalité du populisme, par Christophe Geffroy 
    Série libéralisme (6) : Des structures de violence, par Jean-Louis Schlegel
    Échos d’Orient : Libanisation, par Annie Laurent
    Chronique Vie : Conscience morale, par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    Les Petites Sœurs de l’Agneau : porter la joie de Dieu, 
    entretien avec Sœur Marie-Liesse

    DOSSIER : LES CATHOS AUJOURD’HUI
    Radiographie des cathos français, par Jacques de Guillebon
    Sables mouvants, par Michel Toda
    Des cathos décomplexés, par Christophe Geffroy
    Catéchisme : une crise sans fin, par Denis Sureau
    De l’utilité des chrétiens, par Jean-Guilhem Xerri
    Une situation nouvelle, par le P. Thierry-Dominique Humbrecht
    Un déclin inéluctable ?, par Jean-Pierre Denis
    La foi, notre essentiel !, par l’abbé Guillaume de Tanoüarn

    VIE CHRÉTIENNE
    L’oraison pour tous (4/5) : Le Ciel dans la foi, par l’abbé Éric Herth
    Question de foi : Carême et sacrifice, par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Blaise Pascal, l’« effrayant génie », par Falk van Gaver
    Notes de lecture, chroniques Musique, Sortir, Cinéma, Internet, Livres jeunes
    Au fil des livres : Les Bourbon Parme, par Philippe Maxence
    Un livre, un auteur, entretien avec Alain de Benoist
    Portrait : Père Toufic Eïd, par Marine Tertrais

    BRÈVES
    Toutes nos annonces en ligne
     

  • Un grand moment d'objectivité historique sur "Le Soir"

    IMPRIMER

    Trouvé dans le Soir, sous le titre « Dix saccages d’oeuvres pour raisons idéologiques ».

    http://portfolio.lesoir.be/v/2015-01-06_top/_27_02_15_oeuvres/

     

    Destruction_of_icons_in_Zurich_1524.jpgComme le premier « saccage » remonte à 560 avant J.-C., on aurait pu s’attendre à entendre parler des vitraux et statues détruits par les calvinistes, du sac de Cluny, de l’attaque contre la Pietà de Michel Ange, ou, de manière plus chauvine, de la destruction de la cathédrale Saint-Lambert... Mais non, dans ce top 10, on trouve :

    • les méchants cathos américains qui ont boudé les Beattles pour s’être comparés à Jésus Christ ;
    • les méchants cathos « proches de l’extrême droite » qui ont abîmé le piss Christ ;
    • les méchants cathos du "Printemps français, proche des idées du mouvement de la Manif pour tous, » qui «serait responsable des dégradations », du plug anal de Paul McCarthy sur la Place Vendôme...
  • Le Coran et la Bible (en videos)

    IMPRIMER

    Le Coran et la Bible (via france-catholique.fr (Père Thierry)

     

    1/7 : qu’est ce que le Coran ?

     

    Lire la suite

  • BXL, 17 mars, rencontre littéraire avec Frank Andriat

    IMPRIMER

    Sans titre.png

     Eveil des Jeunes à la Culture ASBL

    vous invite à

    une rencontre littéraire avec Frank ANDRIAT

    le mardi 17 mars 2015 à 20H00

    à Bruxelles, dans les locaux de Caritas International

    rue de la Charité, 43 – 1210 Bruxelles (métro Arts-Loi)

    CVT_Je-tenverrai-des-fleurs-de-Damas_8434.jpegFrank Andriat est professeur de français en secondaire dans un athénée réputé de Bruxelles, où la mixité sociale est bien présente. Dans l'une de ses classes où les élèves sont âgés d'une quinzaine d'années, deux garçons sont partis du jour au lendemain en Syrie sans prévenir personne. Le chaos a envahi toutes les classes, les professeurs ont dû se transformer en psychologues, les examens ont été annulés. Chaque élève avait sa petite enquête à faire parmi les proches pour tenter de connaître quelle avait été la filière... L’auteur nous parlera en particulier de son livre « Je t’enverrai des fleurs de Damas » qui aborde la question brûlante d’actualité de deux de ses élèves bruxellois partis combattre en Syrie. Cette présentation sera suivie d’une séance de dédicace et de la vente des différents ouvrages du romancier. La soirée se clôturera par un échange autour d’un verre et d’une collation au bar.

    Prix des entrées :

    • en prévente par virement : 6 €/adultes et 5 €/– 18ans
    • le jour même : 8 €/adultes et 6 €/ –18ans
    • Clôture des préventes le jeudi 12 mars 2015.

    Inscriptions souhaitées, le nombre de places étant limité : par mail ecasbl@icloud.com ou par téléphone 0478/98.78.07

    Virement sur le compte bancaire Eveil à la Culture-asbl BE04 6116 9118 9031 avec en communication : Andriat + nom de famille + nombre de places 

    Eveil à la Culture ASBL Eveil à la Culture ASBL Chaussée de Louvain, 20 1320 Hamme-Mille 0478/98.78.07 – ecasbl@icloud.com