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Culture - Page 259

  • L'E.I. détruit un monastère du IVe siècle

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    D'Aleteia.org (Sylvain Dorient) :

    topic.jpgIrak : Un monastère du IVe siècle détruit par Daesh

    Le monastère de Mar Behnam vient d'être dynamité par le pseudo État islamique. Situé au sud-est de la ville de Mossoul, il était contrôlé par les djihadistes depuis l’été 2014.

    Cette nouvelle destruction est une fois de plus revendiquée par les djihadistes eux-mêmes, qui affichent fièrement leurs pillages et leurs profanations sur les réseaux sociaux. Le monastère de Mar Behnam était l’une des plus anciennes structures rappelant le passé chrétien de l’actuel Irak. Parallèlement, les combattants du soi-disant État islamique (EI) se sont vantés d’avoir « débarrassé » une église et un cimetière de Mossoul de tous les signes « inclinant à l’idolâtrie ». Les croix ont été remplacées par le drapeau noir et les statues et images saintes ont été systématiquement vandalisées.

    Un bâtiment édifié en 372

    Le monastère avait été construit en l’honneur de saint Behnam et de sa sœur, assassinés : le responsable de ce double meurtre serait leur propre père, le roi assyrien Sennacherib II, qui n’aurait pas supporté que ses enfants se soient convertis au christianisme. Pris de remords, il aurait posé lui-même les fondations du monastère en 372. Restauré en 1986, le monastère était visité par des milliers de chrétiens et de musulmans avant sa prise par l’EI en juillet 2014. Les moines ont été contraints de fuir au Kurdistan rapporte le père Charbel Issa, responsable du monastère. Les nouveaux occupants de la place se sont d’abord contentés d’abattre les croix et de brûler des manuscrits avant le dynamitage, survenu probablement début mars 2015.

    Pure propagande

    Cette nouvelle destruction, qui survient des mois après la prise de l’édifice, indique que l’organisation terroriste poursuit son but : éliminer toute trace de la présence chrétienne en Irak. Elle vise aussi à détourner l’attention des revers militaires que subissent en ce moment les partisans de l’organisation islamiste, qui ont cessé de gagner du terrain, et reculent même face à l’armée irakienne appuyée par les milices chiites, notamment dans Tikrit et sa région. Plusieurs charniers contenant les corps de soldats irakiens assassinés par les djihadistes ont été redécouverts à la faveur de ces contre-offensives, relève Shafaq News, alimentant le désir de revanche des chiites irakiens contre leurs compatriotes sunnites.

    Cyber-guerre

    Faute de conquérir de nouveaux terrains, l’autoproclamé « Califat » poursuit le djihad sur Internet. Ses hackeurs ont récemment dévoilé l’identité de 100 soldats américains, accompagnant ces informations d’une injonction au meurtre sans équivoque : « Tuez-les dans leur propre pays, décapitez-les dans leurs maisons, poignardez-les dans la rue » (Aleteia).

  • Duo d'âmes à l'église du Saint-Sacrement de Liège: Avine Coulonval, violon et Madeleine Jacques, alto (dimanche 29 mars 2015, 16h)

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  • Festival Bach 2015 en vallée mosane : à Liège les samedi 21 et dimanche 22 mars , à Herve le mercredi 22 avril

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  • Art contemporain : CQFD ?

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    Du figaro.fr :

    VIDEO - Une équipe néerlandaise a observé les réactions d'amateurs d'art face à un poster vendu 10 euros dans la célèbre enseigne suédoise, exposé dans une galerie d'art. Les réactions sont surprenantes.

    Les Néerlandais ne manquent pas d'humour. Boris Lange, présentateur de l'émission Life Hunters, a réalisé une expérience insolite dans un musée néerlandais. Il y a placé un tableau Ikea d'une valeur de 10 euros. Puis a interpellé les visiteurs en leur présentant la toile comme l'œuvre d'un artiste appelé Ike Andrews.

    Lorsque le jeune homme demande aux gens comment ils interprètent le tableau, ceux-ci n'hésitent pas à se lancer dans des explications tantôt farfelues tantôt pleines de profondeur. «C'est une illustration du chaos dans son esprit», «C'est un artiste qui peut mettre ses émotions dans ses peintures», disent-ils. L'artiste est visiblement bien apprécié par les amateurs d'art.

    Boris Lange leur a demandé ensuite de donner un prix à ce tableau. Les enchères ont vite grimpé. Certaines personnes l'ont estimé à plusieurs centaines d'euros, une femme à 666 000 euros tandis qu'un homme est même monté jusqu'à... 2,5 millions d'euros.

    Ce reportage plein d'humour et d'irrévérence relance ainsi à sa manière le vieux débat sur la définition de l'art, qui avait été initié par Duchamp en 1917, alors que ce dernier avait mis une cuvette de toilette dans un musée et proclamé qu'il s'agissait d'une œuvre d'art.

  • Le film "L'Apôtre" projeté à Herstal ce dimanche 22 mars

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    http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/01/16/03002-20150116ARTFIG00294-cheyenne-carron-l-apotre-est-un-film-de-paix.php

  • "Transmettre, à quoi bon?"; la conférence de François-Xavier Bellamy à l'Institut Sophia

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    Ce mardi 10 mars, François-Xavier Bellamy (*) était invité par l'Institut Sophia à donner une conférence à l'Institut Marie Haps sur le thème "Transmettre, à quoi bon?". En voici le compte-rendu redigé par un ami qui y était présent et que nous remercions pour son travail :

    A quoi bon transmettre un savoir ?

    Notre civilisation écrit son testament quand elle croit qu’elle n’a plus rien à transmettre. A quoi bon transmettre ? Un point fondamental de notre éducation (et de la formation des enseignants) est que « l’enseignant ne doit pas transmettre un savoir ! ». Selon ce principe, c’est à l’élève lui-même de construire son propre savoir et transmettre un savoir serait aliéner les élèves.

    On ne parle jamais des institutions que quand elles posent problème, quand elles mettent en danger (Ex. : la fessée dans les familles). Par contre, on ne dira jamais qu’une institution sociale est un lieu de transmission. Ce qui hérisse dans les institution, c’est le rapport d’autorité : autorité parentale, autorité éducative, etc.

    Cette autorité était le rapport du passé, mais est aujourd’hui perçue comme un obstacle à la liberté. La liberté individuelle est censée s’accomplir en se détachant du rapport d’autorité.

    Petite remarque sur « l’Esprit du 11 janvier » : le gouvernement français a décrété que désormais « L’école de la République doit transmettre les valeurs de la République ». Soit une transmission assumée… mais aussi une coercition assumée : brider la liberté pour permettre la liberté. Le paradoxe complet !

    L’Occident traverse actuellement une crise de l’éducation. D’où vient-elle ? C’est une crise du sens : nous ne savons plus pourquoi transmettre. Trois étapes très anciennes marquent cette crise : les réflexions de Descartes, Rousseau et Bourdieu.

    1) René Descartes : marque la première rupture appelée « Modernité ». Son idée principale est le « Cogito ergo sum » : l’importance de la pensée propre de l’individu. René Descartes explique qu’il n’est en fait certain de rien de tout, c’est la « déception cartésienne ». Mais Descartes est néanmoins certain d’une seule chose : sa pensée. Il peut douter d’exister, il peut douter de l’existence des autres, mais pas du fait qu’il y pense. Métaphysiquement, il s’agit de déconstruire tout ce qui n’est pas notre pensée propre.

    Cela se voit encore aujourd’hui dans l’enseignement : au lieu de faire un cours magistral, on met les tables en carré et les élèves doivent faire des chansons de rap, ensuite le prof se fait le porte-parole des élèves.

    2) Jean-Jacques Rousseau : il vient accomplir le rêve cartésien d’un Homme qui serait directement lui-même, sans devoir se retourner sur ce qu’il a appris. Ce que Rousseau estime vraiment mauvais, c’est la rencontre avec les autres, avec la culture (au sens large, pas juste les musées). Rousseau estime que l’Homme seul est bon, mais que c’est la rencontre avec les autres qui le pervertit. C’est une vision béate de l’enfant, considéré comme le plus pur des Hommes. C’est une vision très négative de la culture.

     

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  • Deux écrivains catholiques face à la modernité : Natalia Samnartin et Jean Manuel de Prada

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    De Philippe Maxence sur le site de l'Homme Nouveau :

    Rencontre avec deux écrivains : Natalia Samnartin et Jean Manuel de Prada

    Samedi dernier avait lieu à Madrid une rencontre littéraire de haut niveau entre deux romanciers catholiques : Natalia Sanmartin Fenollera et Juan Manuel de Prada. Réunis par le Conseil des études hispaniques Philippe II (Consejo de Estudios Hispánicos Felipe II), les deux écrivains ont échangé sous la houlette du professeur de droit constitutionnel Miguel Ayuso, avec la complicité de l’abbé José Ramon Garcia Gallardo.

    L’Homme Nouveau a publié en avril dernier (n° 1564) un entretien avec Natalia Sanmartin Fenollera à propos de son roman L’Éveil de mademoiselle Prim (Grasset). Un premier roman qui a rencontré un succès mondial et qui, tout en finesse, contient plusieurs niveaux de lecture que l’auteur s’est plu à expliquer samedi dernier, à Madrid.

    AVT_Natalia-Sanmartin-Fenollera_4932.jpegFace à la modernité

    Derrière la romance d’une histoire d’amour, Natalia Sanmartin Fenollera aborde, en fait, les thèmes de l’éducation, de la vie sociale, de la théologie, en faisant appel à un grand nombre d’auteurs anglo-saxons et en mettant en avant la voie de la beauté et de la contemplation. Elle n’a pas caché, devant ses auditeurs, que son héros, l’intelligente et très féminine mademoiselle Prim, lui a permis de lancer une « déclaration de guerre à la modernité ». Ce sont bien les bases de la civilisation occidentale qu’elle entend faire vivre et aimer dans ce roman que des critiques trop pressés (pour ne pas dire plus) n’ont absolument pas compris.

    À vrai dire, en voyant, ce soir-là, Natalia Sanmartin Fenollera expliquer sa démarche, défendre son roman, on reste étonné devant le contraste saisissant entre la force de ses convictions, la fermeté de son propos, l’aisance de son intervention et son aspect frêle, comme si cette jeune journaliste de la presse économique (groupe El País), qui n’hésite pas à réciter son bénédicité devant ses collègues incroyants, d’abord interloqués et finalement respectueux, s’était égarée sur un champ de bataille. Ce samedi, à Madrid, les yeux brillants d’intelligence, un large sourire aux lèvres, parlant avec passion et sans notes, Natalia Sanmartin Fenollera a laissé le rire prendre sa place aux milieux des combats.

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  • "Shades of Truth" : la réalisatrice du film sur Pie XII répond aux critiques

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    Locandina-Shades-Of-Truth.jpgDe Zenit.org :

    Film sur Pie XII : "Shades of Truth", un succès avant même sa sortie en salle

    La réalisatrice des "Ombres de vérité" répond aux critiques

    Antonio Gaspari

    Le film "Shades of Truth", "Ombres de vérité", écrit et réalisé par Liana Marabini a été présenté à Rome le 2 mars. Il est produit par Condor Pictures.

    Des acteurs d’exception, parmi lesquels Christophe Lambert, Marie-Christine Barrault, Giancarlo Giannini, Remo Girone, Gedeon Burkhard, David Wall, pour un film qui sera présenté hors concours, à l’occasion du Festival de Cannes et pendant les dix jours de la Rencontre mondiale des familles, en septembre 2015, à Philadelphie (Etats-Unis).

    Le film raconte l’histoire d’un journaliste chargé de mener une enquête sur Pie XII. Très sceptique et critique au début,  il rencontre des témoins qui vont peu à peu remettre sa thèse en question. Au cours des différentes rencontres avec des personnes qui ont survécu à l’holocauste, ou avec leurs enfants, l’enquêteur découvre que Pie XII n’a pas été un pape craintif qui n’aurait pas réussi à s’opposer à Hitler, mais qu’il a réellement réussi à sauver des centaines de milliers de juifs des chambres à gaz.

    Devant les réactions à la projection du film ont été vives, parfois critiques et polémiques, mais parfois aussi très élogieuses, ZENIT a rencontré la réalisatrice, Liana Marabini.

    Zenit - Les réactions à la projection du film ont été variées. Certaines sont très positives, d’autres neutres et quelques-unes très négatives. Vous y attendiez-vous ?

    Liana Marabini - Oui, je m’y attendais. C’est un sujet très controversé et il est normal que les réactions soient de toutes sortes. Personne ne peut être assez ingénu pour penser que les avis seront unanimes. Le but du film est de faire parler de Pie XII et des injustices qu’il a subies et qu’il subit encore, en apportant des preuves étayées : non pas des preuves inédites, mais une sélection de celles qui existent déjà et il y en a énormément. Le film a été pensé non comme un monument historique mais comme une fenêtre ouverte sur une période controversée et il donne un espace pour permettre d’approfondir le sujet. Pie XII est le personnage le plus incompris du XXème siècle, alors c’est bien de chercher à expliquer un peu les choses, surtout le pourquoi de son silence.

    Il ne faut pas ensevelir le pape Pacelli sous les cendres de l’oubli que l’histoire accumule parfois sur les choses et sur les personnes.

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  • Cent films chrétiens à voir

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    Des épopées bibliques, aux vies de saints, en passant par les grands films comportant des valeurs chrétiennes, voici 100 films chrétiens à voir, en famille ou avec vos grands adolescents. Puissant moyen d'évangélisation, le cinéma chrétien est l'occasion de se laisser toucher par la présence de Dieu à l’œuvre dans le monde et dans nos vies.

    c'est ici, sur Famille Chrétienne

  • Le grand secret de l'Islam

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    9781326074012_1_033409.jpgLe grand secret de l'islam - 2éme édition

    L'histoire cachée de l’islam révélée par la recherche historique
    Olaf - En collaboration avec le Père Edouard-Marie Gallez

     

     

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  • "J'ai honte" ; le sentiment de Salah Stétié

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    J’ai honte (par Salah Stétié, écrivain, ambassadeur e.r. du Liban)

    (Source - Article paru dans Le Figaro 6/3/15)

    Le Coran dit en sourate III, 45 :

    Ô Marie

    Dieu t’annonce
    la bonne nouvelle d’un Verbe émanant de Lui :
    Son nom est : le Messie, Jésus, fils de Marie ;
    illustre en ce monde et dans la vie future ;
    il est au nombre de ceux qui sont proches de Dieu…

    Il dit aussi en V, 82 :

    Tu constateras
    que les hommes les plus proches des croyants
    par l’amitié sont ceux qui disent :
    « Oui, nous sommes Chrétiens ! »

    en 83 : (ce sont les chrétiens qui parlent) :

    Notre Seigneur !
    Nous croyons !
    Inscris-nous parmi les témoins !

    En 84 :

    Pourquoi ne croirions-nous pas en Dieu
    et à la Vérité qui nous est parvenue ?
    Pourquoi ne désirerions-nous pas
    que notre Seigneur nous introduise
    en la compagnie des justes ?

    En 85 :

    Dieu leur accordera
    en récompense de leurs affirmations
    des Jardins où coulent des ruisseaux
    Ils y demeureront immortels :
    telle est la récompense de ceux qui font le bien

    Le Coran dit bien d’autres choses. Mais rien ni personne ne peut faire que ces mots tout d’affection et d’espérance à l’égard des chrétiens ne soient inscrits pour l’éternité (puisque la parole divine est, dit-on, éternelle) dans le Livre sacré de l’Islam.
    Comment feront ceux qui aujourd’hui, en Orient, persécutent les chrétiens, les égorgent, les jettent vivants dans des puits, parfois les crucifient, oui, comment feront ces lecteurs sans doute assidus du Coran pour justifier leurs actes aussi inhumains qu’illégitimes aux yeux de leur Livre et pour se dédouaner devant leur Dieu d’en avoir ainsi cruellement usé avec ceux qui se sont, cinq siècles avant eux, déclarés les témoins de la Vérité et ont suivi la parole du “Verbe de Dieu” ?
    Qu’ils relisent, ces égarés, les ayât que je viens de leur remettre en tête. Qu’ils sachent également, ces Arabes, que si la langue arabe existe aujourd’hui dans la splendeur créatrice qu’on lui connaît, c’est parce que dès la fin du XIXe siècle, des lexicologues, les Boustany, l’ont ressuscitée et l’ont illustrée par des dictionnaires et des encyclopédies, que des érudits, les Yazigi ont montré de cette langue la fertilité intrinsèque, que le premier livre de la modernité arabe, quoique écrit en anglais, s’appelle Le Prophète et que le héros de ce livre, traduit dans une cinquantaine d’idiomes et toujours passionnément lu, se nomme Al-Mustapha, l’autre désignation de “l’Envoyé”. Les Boustany, les Yazigi, Khalil Gibran, l’auteur du Prophète, sont des chrétiens du Liban. Ils appartiennent tous à une magnifique communauté spirituelle et intellectuelle qui habitait, qui habite toujours le monde arabe. Les chrétiens sont chez eux définitivement dans ce monde et je les supplie, à genoux s’il le faut, de ne pas partir, de ne pas céder à la panique. Que ferions-nous, nous, les musulmans, sans eux, sans leur présence, qui fut souvent pour tous les peuples de cette région synonyme de progrès à tous les niveaux ?
    J’ai honte d’avoir à écrire tout cela qui devrait aller de soi. J’ai honte avec tous ceux qui, aujourd’hui, ont honte. Honte, terriblement.
    Salah Stétié

  • BXL, 10 mars : Transmettre, à quoi bon ? avec François-Xavier Bellamy

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