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Idées - Page 108

  • L'hérésie du XXIème siècle : le démocratisme

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    Un excellent développement sur ce thème par l'abbé Guillaume de Tanoüarn, un abbé qui a le verbe franc et peu onctueux, ("La vérité n'est pas démocratique") et, en même temps, un hommage à notre brillant compatriote, Simon Leys :

    "...Parmi les conneries au premier sens (c'est-à-dire comme inaccessibilité au logos commun), il y a, massif, ce qui pourrait bien être l'hérésie du XXIème siècle, le démocratisme. J'en ai trouvé une confirmation en lisant l'extraordinaire recueil que Simon Leys a intitulé Le studio de l'inutilité (Flammarion éd.). Beaucoup de belles évocations de tel ou tel auteur. J'ai aimé le coup de chapeau à Chesterton, "l'homme qui était amoureux de la lumière du jour". J'ai goûté les réserves sur Victor Segalen, ce Breton dont j'aime pourtant les "Stèles" chinoises, mais qui, pour Leys, a le tort de faire dans "l'exotisme" - un exotisme qui est forcément de pacotille.

    Simon Leys, qui a écrit Les habits neufs du Président Mao, nous parle aussi de la Chine post-communiste et toujours aussi totalitaire: un pouvoir maffieux qui supprime la démocratie méthodiquement au nom du Pèze et du Saint Bénéfice.

    Mais le plus beau texte est celui que Leys a placé en conclusion, où il nous livre son opinion sur la démocratie. Il s'agit d'une leçon pour la réception du doctorat Honoris causa de l'Université de Louvain, dont il est un ancien étudiant. Je vous le donne sans commentaire. Il est limpide: "La démocratie est le seul système politique acceptable, mais précisément elle n'a d'application qu'en politique. Hors de son domaine propre, elle est synonyme de mort : car la vérité n'est pas démocratique, ni la beauté, ni l'amour - ni la grâce de Dieu".

    Jean-Paul II a dit et répété - un peu dans le même sens - qu'une démocratie sans valeurs était totalitaire (Centesimus annus, Veritatis splendor et Evangelium vitae). Mettre les valeurs aux voix, comme on s'apprête à le faire en France, c'est flirter avec le totalitarisme.

    Simon Leys parle de "la grâce de Dieu". Extravagant ? - "Des auditeurs [entendant parler de grâce] m'ont demandé si j'étais janséniste. Il n'en est rien. Je pensais seulement à la parabole des ouvriers de la onzième heure". Dieu sauve qui il veut, ce n'est pas janséniste que de l'écrire. Il faut ajouter que la volonté de Dieu n'est jamais ni absurde, ni excessive ni insignifiante. Elle est juste - Ça va sans dire? Mais pour certains, sans doute démocratistes et qui imaginent un Dieu à leur image, un Dieu absurde qui met l'éternité aux voix... cela va mieux en le disant!

  • Ce que nous enseigne l'art

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    LES MARDIS DES BERNARDINS
    Que nous enseigne l'art ?

    Sur KTO, une vidéo diffusée le 12/06/2012 (durée 52 mn) que l'on pourra visionner ici: ktotv.com/videos-chretiennes/

    Présentation :

    L'art, dit-on, est fait pour le pur plaisir. Il n'a donc rien à nous dire et encore moins à nous apprendre. Il n'est que l'expression de la subjectivité de l'artiste. Ces affirmations sont fausses. Le contraire doit même être soutenu et peut être démontré. En réalité l'art n'est pas tant que cela une partie de plaisir et son rôle a toujours été et demeure de montrer la réalité, d'en dévoiler la vérité, d'éduquer le regard. Bref l'art ne cesse de nous enseigner. Et que nous enseigne-t-il ? Les artistes et connaisseurs de l'art l'affirment inlassablement : rien de moins que ces matières parfaitement sérieuses que sont la vérité, le bien et le mal, le sens de l'histoire, l'humain, la vie... Avec la participation de : Alain Berland : Commissaire et critique indépendant, chargé des arts plastiques au Collège des Bernardins; Bernard Marcadé : critique et historien d'art, co-directeur du département 'La Parole de l'art'; Tania Mouraud : artiste plasticienne, exposée actuellement dans la nef du Collège. Débat animé par Catherine Escrive, journaliste.

  • Emmanuel Faber, vice-président de Danone, à l'honneur

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    C'est Pascal André, sur catho.be, qui rend compte de l'évènement qui consacre une personnalité dont nous avions relevé l'importance :

    Ce mercredi 7 juin, le vice-président du groupe Danone, Emmanuel Faber, a reçu le Prix Humanisme chrétien 2012 pour son livre « Chemin de traverse » (Albin Michel). Pour les membres du jury, il s’agit d’un « ouvrage novateur et formateur, accessible au plus grand nombre, et répondant aux valeurs de tradition sociale et d’humanisme chrétien ».

    Lire la suite

    Voir également : http://www.cath.ch/

  • L'art peut-il survivre à la perte du sacré et de la transcendance ?

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    "Canal Académie" pose cette question "Les œuvres d’art peuvent-elles exister quand s’est perdu le sens du sacré et de la transcendance ?"et met en ligne la deuxième partie d'un entretien avec Jean Clair, par Damien Le Guay :

    "Dans ce second entretien, Jean Clair revient sur la dégradation de la Culture. La Culture est une « qualité qui unit et élève » alors que le culturel « disperse, éparpille, dégrade, disqualifie ». La culture en train de disparaître au profit du culturel – et des agents qui en font la promotion – suppose une con-templation des œuvres d’art – au sens d’un culte rendu au beau et d’un temple pour ceux qui s’introduisent dans ce culte..."

    La suite est ici (une partie de l'article est en accès réservé aux abonnés)
  • France : une journaliste qui n'a pas froid aux yeux

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    On trouvera ci-dessous le lien pour entendre en podcast l’émission "Répliques" de France Culture (intitulée « La gauche et les nouveaux réactionnaires ») où Alain Finkielkraut a reçu con amore Elisabeth Lévy, auteur de « La gauche contre le réel ». C’est assez réjouissant. Cette journaliste n’a en tout cas pas froid aux yeux.

    Cliquer sur le lien suivant : http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/13397-26.05.2012-ITEMA_20371924-0.mp3

  • Controverse avec un assistant des Facultés Notre-Dame de la Paix au sujet de l'avortement

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    Un ami, Ludovic Werpin, reprend les termes (en italiques) de la lettre de Nathanaël Laurent,  http://www.belgicatho.be/archive/2012/05/29/quandun-assistant-aux-fundp-namur-nous-adresse-un-courrier.html  publiée sur ce blog et en fait le commentaire (en gras) :

    Madame, Monsieur,

    Permettez à un modeste observateur de formuler quelques remarques sur votre blog à l'occasion de la lecture amusante, dont j'ai pu faire l'expérience, de propos qui me concernent. Je suis effectivement cet assistant aux FUNDP qui ne défend pas le moins du monde la liberté d'avorter, mais que des lecteurs rapides, non suffisamment instruits (M. Laurent, faut-il vous envoyer nos CV et vous montrer nos bibliothèques ? ), et surtout un peu trop endoctrinés (cela signifie ne pas être en accord avec votre opinion qui, bien sûr, ne repose sur aucun préjugé ) ont considéré à tort comme: un anti-catho (oui, il y a de l’anti-catho dans des positions comme la vôtre), pro-avortement, mauvais opinioneur, planteur de patates, et j'en passe... Amusant n'est-ce pas? (non, il n’y a rien de moins amusant qu’une discussion sur ce sujet) D'abord un commentaire sur votre blog qui - nouvelle technologie le permettant - permet à un microcosme belgico-catholique de se former. Qu'y trouve-t-on? Un relai filtrant très efficace d'informations émanant de l'actualité, et des commentaires prenant la forme de prêches tournant en rond. Rien de plus facile en effet que de prêcher pour sa chapelle auprès d'autres membres de celle-ci. Mais qu'en est-il par contre du courage - pourtant inhérent aux pionniers de votre belle religion (« votre religion » ; plus loin, vous vous dites catholique, est-ce la vôtre aussi ?) - de prêcher ailleurs? Ce blog est un exemple de ce qui risque - comme d'autres lieux de rassemblement de sa catégorie - de rejoindre les catacombes de notre mémoire collective... qu'il a lui même creusées. Un tel lieu d'échanges pourrait pourtant être à l'opposé un lieu de ressourcement, où ses membres les plus fervents puiseraient le courage d'affirmer leurs opinions, d'animer une véritable discussion, d'aller jusqu'au bout d'une réflexion. Point de tout cela ici me semble-t-il. (Il est clair que l’assistant n’a jamais suivi les nombreuses interventions de contradicteurs qui ont eu sur Belgicatho largement la parole) (...)

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  • A propos d’une vérité qui fait mal

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    Se référant à l’enquête parue dans « Le Point » (catholiques-de-l-allier-l-operation-verite-qui-fait-mal) et dont nous avons rendu compte ici:  Un diocèse sinistré qui ressemble à tant d'autres, malheureusement, le journaliste Patrice de Plunkett commente sur son blog  (extraits) :

    « Cinq cent mille euros de déficit en 2015, diminution des fidèles de 40 à 50 % dans les 15 ans à venir et seulement 2,2 % de la population qui fréquente l'Église... » Résultats d'une enquête réalisée les 1er et 2 octobre 2011 dans le diocèse de Moulins (Allier), à l'initiative de l'évêque, Mgr Pascal Roland.

    Le constat est le même que dans de nombreuses autres régions : les fidèles vieillissent, les prêtres se raréfient, etc. Pourquoi ? et que doit faire l'Eglise catholique ?

    « Le renouvellement de l'Église vit une rupture dans la transmission », constate Mgr Roland. (…)» ? Selon certains, transmission et tradition étant synonymes, la désertification catholique dans l'Hexagone ne s'expliquerait que par la crise des années 1970-1980 : c'est-à-dire, 1. la nouvelle liturgie, 2. le coma de la catéchèse. L'explication 1 est une illusion des « tradis ». Mais la cause 2 a joué (cf. les deux admonestations du cardinal Ratzinger en 1983 au sujet de la catéchèse française) : aligner l'enseignement de la foi sur les utopies de la pédagogie spontanéiste, c'était fabriquer une génération de catholiques ignorant le christianisme. Une grande partie de cette génération fait défaut aujourd'hui.

    Cependant il y a autre chose. La situation actuelle s'explique aussi par un phénomène de société.

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  • Marx a-t-il eu raison de notre société ?

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    Benoît-et-moi nous propose cette "saisissante réflexion d'un écrivain et journaliste italien, parue sur "Il Giornale". Il en ressort que le marxisme n'est pas mort, mais qu'au contraire, il se porte mieux que jamais, et prospère sous une fausse identité.(21/5/2012)

    Il suffit de regarder autour de soi en ouvrant les yeux pour s'en convaincre.
    Après avoir traduit l'article de Marcello Veneziani, il m'est venu à l'esprit que la seule personne d'influence au monde qui combatte cette idéologie de toutes ses forces, c'est Benoît XVI. Raison pour laquelle il n'a pas un seul instant de répit (en sont témoins les derniers épisodes de Vatileaks).

    Il Giornale (14 mai) : Finalement, Marx l'a emporté. Nous sommes tous égaux. Individualistes et nihilistes

    Le communisme réel et sa politique ont été vaincus par l'Occident. Les prophéties du «Capital», cependant, sont devenues réalité. Sur le plan des valeurs par
    Marcello Veneziani
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    à découvrir sur Benoît-et-moi

    "Le marxisme fut le plus puissant anathème lancé contre Dieu et le sacré, la patrie et les racines, la famille et les liens avec la tradition; une théorie devenue une pratique généralisée."

  • Un regard pessimiste sur les tentatives « unionistes » de Rome ?

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    Qu’il s’agisse d’un  ralliement significatif espéré des anglo-catholiques ou des lefébvristes, le professeur Luc Perrin  (faculté de théologie de Strasbourg) montre que les choses sont loin d’être simples : déjà à l’intérieur même de l’Eglise catholique, le divorce entre les mentalités, les cultures religieuses conciliaires et traditionnelles tend à créer une sorte de schisme qui ne dit pas son nom (comme celui qui s’est creusé peu à peu entre les Eglises d’Orient et d’Occident durant le haut-moyen âge) , a fortiori lorsque la rupture s’est formalisée en actes caractérisés, désobéissance disciplinaire depuis près d’un demi-siècle de "lefébvrisme" –et bien plus encore après cinq siècles d' "anglicanisme". La Rome de Benoît XVI (souvent divisée, en son sein, contre elle-même) peut-elle renverser ce courant ?

    Luc Perrin observe à propos de la constitution Anglicanorum coetibus de 2009 : « le sujet du rapprochement avec certains anglo-catholiques appartenant à la Communion anglicane ou à la T.A.C [Traditional Anglican Community]. avait beaucoup attiré l'attention et dès le premier instant, beaucoup regardaient du côté de la FSSPX [Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X]

    Depuis on a un peu oublié ces anglicans/épiscopaliens. En fait, leur intégration semble s'être effilochée au cours des mois : un 1er ordinariat a péniblement vu le jour en Grande-Bretagne là où ils étaient assez peu nombreux, il se consolide depuis. Deux autres ordinariats naissent en 2012 seulement, soit 3 ans après la constitution romaine : un celui de la Chaire de saint Pierre pour l'Amérique du Nord et en juin celui de N.-D. de la Croix du Sud pour l'Australie qui pourrait réunir ... 300 à 500… fidèles.

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  • Gender : quand on manipule les mots...

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    Marguerite A. Peeters signe une réflexion sur la manipulation des mots dans l'Osservatore Romano du 14 mai :

    Lorsque l’on manipule les mots

    La culture dans laquelle nous vivons au début du troisième millénaire intègre les fruits positifs d’un processus historique marqué par la décolonisation, un puissant mouvement ayant accordé aux femmes un statut social qu’elles n’avaient jamais atteint auparavant, et l’effondrement du marxisme-léninisme. A une heure de mondialisation accélérée, elle semble célébrer, peut-être plus que toute culture précédente, l’égalité de tous les êtres humains. Notre génération a également la possibilité de découvrir et de s’émerveiller de la diversité fascinante des peuples et des cultures et de leur contribution spécifique et irremplaçable à l’humanité. Nous discernons un danger, cependant, dans un processus que nous pourrions qualifier de mondialisme s’imposant par en-haut qui, sous couvert de participation de la base, de droits égaux et de non discrimination, utilise les canaux de la gouvernance mondiale pour essayer d’agencer un assentiment mondial à des intérêts particuliers, à travers une utilisation manipulatrice du langage au cours de processus de construction de consensus. Nous ne pouvons nier l’existence d’un combat culturel, politique et juridique ayant cours dans ces fora concernant l’identité sexuelle, l’orientation sexuelle, le contenu des droits et le sens de l’universalité. Le langage est un facteur critique dans ce combat.

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  • Encore les Présidentielles françaises: un vote religieux très convoité ?

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    Sur les matinales du  site de “La Vie” aujourd’hui:

    “C'est une lettre signée de trois prêtres. Le premier, l'abbé Guillaume de Tanoüarn, est à l'Institut du Bon Pasteur; le second, le père Vincent Ribeton, est le supérieur pour la France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre; et l'abbé Coiffet est son prédécesseur à la même FSSP. Trois prêtres de la frange traditionnaliste de l'Eglise, qui écrivent ceci: "Les présentes réflexions ne visent en aucun cas à imposer pour qui voter ou à donner des consignes de vote, mais plutôt à considérer le Bien Commun pour notre pays". S'ils ne donnent pas de consigne de vote, les trois abbés n'en appellent pas moins à voter pour Nicolas Sarkozy au deuxième tour des présidentielles: "Or, de manière patente, l’un des programmes proposés, porté par le candidat socialiste, démontre une volonté évidente de rupture avec les éléments premiers du Droit Naturel ; les conséquences de l’application d’un tel programme seraient dramatiques pour la vie quotidienne comme pour l’avenir des Français".

     Une initiative qui pourrait ne pas déplaire au président sortant, qui pense trouver dans le vote catholique un réservoir naturel de voix - sans doute a-t-il pris connaissance de notre sondage qui semble avoir confirmé ce postulat pour le vote du premier tour). On a ainsi vu réapparaître les "Cathos avec Sarko", un groupe qui avait déjà investi le web en 2007 sous le nom de "catholiques de l'UMP"  avant de rester étrangement muet devant l'avalanche d'atteintes à la doctrine sociale de l'Eglise du quinquennat, puis de ressortir du bois à l'orée du second tour avec ce nouveau site. Conscients tout de même que le vote Sarkozy ne fait guère l'unanimité chez les cathos de gauche comme de droite, les auteurs citent... le cardinal Barbarin: "Nous les cardinaux ne votons pas pour celui qui nous plaît, mais pour celui qui nous semble le plus apte à remplir cette fonction. Ce n’est pas forcément le meilleur ou le plus intelligent, c’est celui qui nous paraît être le plus à même d’assumer cette charge". Une phrase que l'archevêque de Lyon avait dite à propos de l'élection... du pape.

    A gauche, on ne court guère derrière les voix catholiques. Mais on observe sans déplaisir la faveur annoncé du vote musulman . Et ça ne plaît guère à droite. Un article du site Marianne2.fr expliquait, deux jours avant les élections, que 700 imams appelaient à voter pour François Hollande; pour le coup, la droite s'est offusquée, voyant dans cet appel une "action contre la laïcité". Nommément pris à partie par deux députés UMP, Eric Ciotti et Franck Riester, les deux recteurs des mosquées de Lyon et de villeurbanne, ont démenti toute ingérence. Il faut dire que leur texte, sans appeler à voter pour le candidat socialiste, évoque le "changement" du slogan de François Hollande: "Les musulmans de France ne resteront plus les bras croisés. Ils ne peuvent plus se contenter d’être les «spectateurs» de ces élections. Ils doivent devenir acteurs de leur propre changement. Et pour être entendus, ils doivent prendre leur destin en main en exerçant leur droit de vote en leur âme et conscience". Référence:   Elections : un vote religieux très convoité

     Les imams, les curés, et les « poissons roses » dans tout cela ? A chacun son « moindre mal » semble-t-il.

     Plus intéressante à connaître serait l’attitude de Marine Le Pen (près de 20 pourcents des voix) qui mijote encore ses petits calculs post-électoraux. Eh oui, après les présidentielles, les législatives. Difficile de rester au balcon, difficile de choisir mais entre électoralisme et bien commun, il faut quelquefois se déterminer (pour cela il faut aussi avoir un vrai projet de société). 

  • Distinguer l'écologie dogmatisante de l'écologie positive

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    Sémantique, dogmes et idéologie de l'écologie moderne

    A l'occasion du dernier colloque de l'AFSP à Nantes co-organisé avec le Cercle Jean-Paul II sur Développement durable et doctrine sociale de l'Eglise, Stanislas de Larminat, auteur de Les contre-vérités de l'écologisme revient pour libertepolitique.com sur la distinction nécessaire entre l'écologie du dogme et l'écologie positive. Il est interrogé par Antoine Besson.

    Video à voir et écouter sur le site de Liberté politique