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Idées - Page 111

  • 1914, une tragédie européenne - présentation à Bruxelles ce 18 novembre

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    Yves-Marie ADELINE sera à Bruxelles, ce vendredi 18 novembre à 20H00, pour y présenter son dernier ouvrage consacré au déclenchement de la 1ère guerre mondiale, dans les locaux de la BICS, 86 rue Général Leman, à 1040 Bruxelles.

    (renseignements : 02.230.02.18 / info@bicschool.be)

    Yves-Marie Adeline, docteur de l'université de Paris 1, auteur d'une vingtaine d'ouvrages philosophiques ou littéraires, auteur de Le royalisme en questions 1792-2002 : Perspectives pour le XXIème siècle, a publié chez Ellipses une monumentale Histoire mondiale des idées politiques, une Pensée antique et une Pensée médiévale.

     En 1914, l'Europe gouverne le monde ; un habitant sur quatre est un Européen ou de, souche européenne. Mais cette civilisation est la proie de tensions idéologiques, culturelles et territoriales graves, et pour remédier à ces tensions, elle ne dispose que de valeurs qu'elle croit fortes mais qui se révéleront superficielles. Ce livre raconte le déclenchement de la Grande Guerre de 1914 comme une tragédie, au sens que lui donnaient les Grecs antiques : dès le commencement de l'histoire, toutes les conditions sont réunies pour que les événements tournent au pire. Il n'y a donc rien à faire pour l'éviter. D'autant qu'aux tensions habituelles va s'ajouter un engrenage technique imprévu qui emporte tous les acteurs vers la catastrophe. Après une présentation générale complète du théâtre du drame et des puissances d'alors, aussi bien mineures que majeures, ce récit raconte les événements depuis la fin juin à Sarajevo jusqu'au milieu du mois de novembre (quand le piège se referme tout à fait), mettant au jour des vérités ignorées, analysant les événements sans parti pris, offrant une vision panoramique jamais atteinte, et créant peu à peu un climat de suspense qui tient le lecteur en haleine. Plutôt qu'un requiem pour une Europe défunte, il est écrit dans un esprit équitable, réconciliateur, résolument européen.

    source et une video à découvrir ici : http://www.realpolitik.tv/

  • Liberté Politique et Ichtus créent une plateforme internet multimedia

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    C'est à découvrir et à soutenir. Cliquer ici : http://www.libertepolitique.com/

    7 bonnes raisons de soutenir la nouvelle Plateforme Multimédia :

    Porter plus haut et plus fort la voix des chrétiens dans la société

    Etre très présent dans les débats de société

    Réformer le climat culturel dans lequel nous vivons

    Enraciner notre pensée politique dans une vision chrétienne de l’homme et de la société

    Préparer une société de confiance et de vie juste pour nos enfants

    Porter une nouvelle Espérance

    Représenter un poids politique dont il faudra tenir compte

  • Les francs-maçons dans la Libre Belgique

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    HASQUIN-C1(500).pngLe chroniqueur « religieux » de la Libre Belgique, Christian Laporte, consacre aujourd’hui sa prose au livre qu’Hervé Hasquin, ancien recteur et professeur à l’ULB, mais aussi ancien Ministre-Président de la Communauté Wallonie-Bruxelles, vient de publier aux Editions Avant-propos sous le titre « Les catholiques belges et la franc-maçonnerie : de la rigidité Ratzinger à la transgression ». Cet ouvrage est préfacé par deux personnalités du landerneau médiatique : Eddy Caekerberghs (journaliste à la RTBF) et Eric de Beukelaer (ancien porte parole des évêques de Belgique)

    La recension du livre offre une occasion de plus au plumitif du trône et de l’autel pour souffler sur les braises qu’il destine à tous ceux qui ne partagent pas sa  « Libre » pensée, si l’on ose ce mauvais jeu de mots.

    Extraits :

    (…) Sur des sites web chrétiens qui flirtent avec l’intégrisme et dont les zélateurs sont souvent plus catholiques que le Pape, mais aussi dans des cénacles plus classiques de l’Eglise belge, la franc-maçonnerie est encore vue comme une puissance ennemie voire diabolique (!) qui veut faire table rase de l’enseignement du Christ et de l’action ecclésiale. Inversement, dans certains ateliers maçonniques adogmatiques, l’on met toujours volontiers un curé bien dodu entre ses tartines.

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  • Pour philosophes en herbe

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    1764_9782953607833_132066489264973300.jpg« Brunor n’a pas froid aux yeux. Il s’est embarqué dans une série philosophico-théologique  : « Enquête sur Dieu – Les indices pensables », dont paraît le tome 3. De façon très pédagogique, par la BD et l’humour, il veut rendre accessibles, dès l’adolescence (à partir de 15-16 ans), des problèmes fort complexes, autour de la science et de la foi.

    Tom, un jeune d’aujourd’hui, s’est lancé dans une enquête sur l’existence de Dieu. En s’interrogeant d’abord sur le commencement de l’univers et son histoire (tome 1  : Le Mystère du soleil froid, éd. Du Jubilé, 13 €), puis sur le commencement de la vie (tome 2  : Un os dans Évolution, éd. Du Jubilé, 13 €).

    Dans ce nouvel album, Le hasard n’écrit pas de messages, il interroge des spécialistes sur trois grands commencements  : de l’univers, de la vie et de la pensée. Le livre fourmille de personnages, mais aussi d’astuces visuelles et graphiques pour récapituler les grands courants de la pensée humaine sur ces questions, et faire comprendre, de façon simple et amusante, des notions difficiles. Car, à la suite de Tom, Brunor nous conduit à nous poser cette question capitale  : « A-t-on jamais vu le hasard, réputé aveugle et idiot, écrire le moindre message intelligent  ? » Autrement dit, une intelligence créatrice serait-elle à l’origine de l’infinie complexité des merveilles de l’univers  ? Et qu’en est-il de l’homme, chef-d’œuvre de l’Artiste  ? Réponse… dans le tome 4  ! »

    C’est signé Marie-Catherine d’Hausen, ici :Le hasard n'écrit pas de messages (vol. 3) | Famillechrétienne.frLivres –

  • 11 novembre : in memoriam

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    soldat.jpgDe Gérard Leclerc dans « France Catholique » :

    « Dans trois ans, nous célébrerons le centenaire du déclenchement de la Première guerre Mondiale. L’éloignement dans le temps nous a rendu étrange cette formidable déflagration, où l’Europe s’est trouvée saignée à blanc, avec le massacre de ses garçons de vingt ans. Nous comprenons difficilement, dans l’Europe pacifiée d’aujourd’hui, comment les peuples ont pu se jeter sauvagement les uns contre les autres. Cela paraît si invraisemblable que certains tentent d’opposer les populations à leurs dirigeants, comme si ceux-ci avaient conduit les nations au massacre sans le consentement des citoyens. C’est une pure légende, comme le montre Jean Sévillia dans son dernier ouvrage [1], en dépit des mouvement de révolte de 1917, motivés par l’échec de l’offensive Nivelle. C’est le patriotisme unanime de l’armée française qui a permis l’offensive finalement victorieuse de 1918.

    Certes, on peut déplorer cette « guerre civile européenne », en déduire les conséquences désastreuses dont la plus grave est l’invention et l’essor des totalitarismes qui conduiront au second conflit mondial. On accuse les « nationalismes » à juste raison, mais il faut comprendre la genèse de leur éclosion. C’est la disparition de l’Europe ancienne, sous les coups de la Révolution française et de l’Empire napoléonien, qui a conduit à l’instabilité du continent, avec la montée en puissance des idéologies et l’apparition de ce qu’Alphonse Séché (1876-1964) appelait « les guerres d’enfer ». En d’autres termes, l’histoire avançait dans le sens prévu par le stratège prussien Carl von Clausewitz (1780-1831), jusqu’à la montée aux extrêmes.

    Heureusement, les nations européennes ont désormais établi entre elles un pacte de paix durable, ayant enfin compris que tout conflit interne à leur continent est suicidaire. Le monde n’est pas pour autant en paix. Nous vivons sous la menace d’autres conflits et notre propre armée est toujours engagée sur des terrains extérieurs, en Afghanistan par exemple. La paix universelle constitue la plus difficile des conquêtes. »

     [1] Jean Sévillia, Historiquement Incorrect, Fayard, 360 pages, 20 e.

    Ici :11 novembre - France Catholique

  • Neutralité ou pluralisme : un cycle de rencontres organisé à l’Université de Liège

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    photos_services_admissions_place_du_xx_aout.jpgA l’initiative du groupe de réflexion « Ethique sociale », l’Union des Etudiants Catholiques de Liège organise à l’Université de Liège un cycle de « lunch-débats » sur le thème « Neutralité ou Pluralisme ». Entre liberté des consciences et marché libre de la pensée, quelle est la place légitime des religions et des idéologies dans l’espace public ? Entre neutralité et pluralisme, quelle doit être l’attitude des institutions de l’Etat ? Ce thème soulève beaucoup de questions de principe ou d’actualité auxquelles seront appelés à répondre huit orateurs spécialisés :

    • Mercredi 23 novembre 2011 : Les catholiques et la vie politique : présentation du Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen de l’Unité pastorale « Rive Gauche » de Liège, auteur du livre « Credo politique »
    • Lundi 5 décembre 2011 : Humanisme, Libéralisme et socialisme : présentation de Laurent de Briey, professeur au Département des sciences politiques des Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur, Directeur du CEPESS  - Centre d'études politiques, économique set sociales à Bruxelles
    • Mercredi 25 janvier 2012 : Questions et compatibilité entre Christianisme et Franc-maçonnerie: présentation de Philippe DEITZ, ancien fonctionnaire public et membre de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB).
    • Mardi 28 février 2012 (date à confirmer) : le laicisme et laicité dans les institutions de l’Union Européenne : présentation de Mario MAURO, député au Parlement européen, membre de la Commission des affaires étrangères
    • Mardi 27 mars 2012 : Politique et Religion dans la pensée grecque : présentation de André MOTTE, professeur ém. à l’Université de Liège, président du Groupe universitaire de contact (FNRS) pour l’étude de la religion grecque
    • Mercredi 25 avril 2012 : Neutralité ou pluralisme dans l’espace public : présentation de Francis Delpérée, sénateur, professeur ém. de droit constitutionnel à la Faculté de droit de l'Université Catholique de Louvain (UCL) 
    • Mardi 29 mai 2012 : Religions et État et dans l’Islam : présentation de Vincent LEGRAND, professeur à  la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques de l’Université Catholique de Louvain (UCL), ancien chargé de cours au Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l’ULB à Bruxelle
    • Mardi 27 juin 2012 : la religion en droit comparé à l'aube du XXIe siècle : présentation de Louis-Léon Christians, professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL), Vice-Président de l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés.

    Ce cycle est organisé avec le concours du forum de conférences « Calpurnia ».

    Les rencontres ont lieu aux dates indiquées ci-dessus, de 18h15 à 20h. Elles se tiennent à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif d’accueil à 18h15 ; exposé suivi du lunch-débat: de 18h30 à 20h. P.A.F. : 10 € par réunion. Inscription obligatoire trois jours à l’avance.

    Renseignements et inscriptions : e-mail : à info@ethiquesociale.org

    téléphone : 04.253.25.15 ou 04.344.10.89  portable : 0475.83.61.61

    Pour s’inscrire à la rencontre du 23 novembre 2011 animée par le chanoine Éric de Beukelaer, RSVP le 18 novembre au plus tard.

  • Philippe Muray, la femme et Dieu, de Maxence Caron, aux éditions Artège

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    nl26_02.jpgPhilippe Muray, la femme et Dieu
    de Maxence Caron, 160 pages - 15 euros.

    Disparu en 2006 dans l’indifférence, Philippe Muray est aujourd’hui le penseur le plus à la mode. Mais si son humour et son impitoyable analyse de notre société se retrouvent sous les feux des projecteurs, il a sans doute été trop vite rangé dans la catégorie des “nouveaux réactionnaires”. Or, jusqu’ici, en dépit du nombre toujours croissant de ses adulateurs et de ses détracteurs, son œuvre n’a pas fait l’objet d’une étude objective et approfondie. Avec le brio et l’acuité qui lui sont habituels, Maxence Caron dépasse non seulement les clichés que l’époque plaque sur les thèmes murayens, mais va également au-delà de l’image même que Muray voulait bien donner de soi. En s’attachant à la question de la femme et à celle du divin, à travers les ambiguïtés, les contradictions et les non-dits de l’auteur de Festivus Festivus, c’est le sens profond de toute une œuvre que Maxence Caron met en lumière.

    L’auteur :
    Agrégé de philosophie, Maxence Caron est l’auteur de l’ouvrage qui fait aujourd’hui autorité sur Heidegger, Heidegger : Pensée de l’être et origine de la subjectivité, ainsi que d’un nouveau système de philosophie, La Vérité captive, qui a créé l’événement à sa parution. Directeur des Cahiers d’Histoire de la Philosophie aux Éditions du Cerf où il a entre autres coordonné le premier collectif consacré à Philippe Muray, il est également poète et auteur d’ouvrages littéraires (Pages, Microcéphalopolis, Le Chant du Veilleur). Docteur ès Lettres, lauréat de l’Académie Française, musicien émérite, il a consacré plusieurs textes à la musique, de Bach à Mahler en passant par Beethoven et Liszt.

  • Le christianisme, religion la plus agressée dans l'art

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    Le 31 octobre dernier, le Figaro a publié une interview fort intéressante du père dominicain François Boesplflug, professeur d'histoire des religions à la faculté de théologie catholique de l'université de Strasbourg; le père François Bœspflug est l'auteur d'une monumentale histoire de l'Éternel dans l'art, Dieu et ses images. Il analyse les scandales et les controverses qui entourent l'art d'aujourd'hui, de plus en plus souvent qualifié de «christianophobe».

    C'est ici : http://www.lefigaro.fr/culture/

    Extrait :

    Le christianisme est-il devenu la cible privilégiée des artistes ?

    Oui, sans doute. L'art contemporain est l'une des manifestations de la christianophobie. Pas la seule… Encore faut-il préciser que ce n'est évidemment pas systématique. L'art sacré d'inspiration et de destination chrétienne poursuit sa route et continue de susciter des œuvres. Le septième art, à ma connaissance, est beaucoup moins souvent christianophobe que ne le sont les arts plastiques. Voyez au cinéma le film Des hommes et des dieux, ou Habemus papam, au théâtre les pièces d'Olivier Py, en littérature, en BD…

    Est-ce qu'il est mieux ou moins bien traité que les autres monothéismes ?

    Moins bien, c'est incontestable. Il a droit, pour ainsi dire, à un traitement de faveur. Imaginez qu'à la place du visage du Christ, comme décor d'une pièce de théâtre, figure celui de Moïse, de Mohammed ou de Bouddha. Ce serait un tollé immédiat. De toutes les religions, le christianisme est, sans conteste, la plus agressée. Et selon moi c'est normal. Cela tient au fait que le christianisme aime autant l'image, qui s'expose, que la personne, qui oblige.

     

  • De Duve philosophe ?

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    L’éminent prix Nobel de médecine Christian de Duve (94 ans) serait-il un nouveau Pic de la Mirandole ? Non sans doute. Il n’empêche.  Après s’être épanché voici peu dans les colonnes du journal « Le Soir » à l’occasion de la sortie de son nouvel opuscule « De Jésus à Jésus en passant par Darwin » (92 page parues chez Odile Jacob), le voici qui récidive en réponse aux questions du « Vif /l’Express » sur la biologie, la philosophie, la théologie, l’ecclésiologie, quoi encore ? « Eh quoi, ça n’suffit pas » comme le chante un air d’opéra bouffe d’Emmanuel Chabrier…

    Extrait de l’interview :

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  • Une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu"

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    Sur le site de l'Homme Nouveau, le Père Michel Viot propose une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu" :

    "Une pièce de théâtre dont le titre est "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été jouée au Théâtre de la Ville à Paris. Un très beau portrait du Christ d'Antonello da Messina trônait dans le fond de la scène. L'auteur Roméo Castellucci veut donc nous parler de Jésus. Soit! Mais voilà que ce qui se passe sur scène crée la perturbation. Les perturbateurs sont qualifiés d'extrémistes catholiques par les voix qui ont le moyen de se faire entendre. Pour d'autres, plus modestes dans leurs pouvoirs, il ne s'agit que de catholiques de diverses sensibilités. Je me garderai de trancher cette question, n'ayant pas l'autorité nécessaire pour cela. De même que je ne donnerai aucun qualificatif à cette pièce de théâtre, des voix épiscopales s'étant prononcées. L'une d'entre elles conseille à juste titre de se reporter aux propos mêmes de l'auteur sur sa pièce pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Je m'empresse donc de suivre ce conseil me limitant à ce qui nous est dit de Jésus Christ. Je ne me permettrais pas d'ajouter quoi que ce soit à une parole d'évêque, surtout quand elle est estimée. Je veux simplement attirer l'attention sur un point qui ne me semble pas assez exploré, en me disant que si Dieu a bien voulu parler à un prophète (Balaam) par une ânesse, il peut aussi passer par l'intermédiaire d'un curé pour attirer l'attention épiscopale sur un point de théologie."

    Lire la suite ici : http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=308

  • La légende noire de l'histoire de l'Eglise

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    Que de fois il ne nous faut pas entendre répéter les mêmes poncifs contre l'Eglise, ressassés par les médias, et qui servent si souvent d'alibis ou de prétextes aux reniements et aux abandons. L'histoire de l'Eglise est très souvent invoquée par des gens qui ne la connaissent pas vraiment mais qui brandissent l'arsenal habituel: croisades, cathares, inquisition, Galilée, Pie XII, etc. Dan Brown (comme de nombreux autres) fait ses choux gras de cette légende noire et beaucoup de gens prennent cela pour argent comptant. Peu de sites, sur l'internet, fournissent des données historiques fiables pour faire la part des choses et rendre justice au rôle positif que l'Eglise a joué à travers notre histoire. Un site fournit une synthèse honnête même si, à nos yeux, certains points mériteraient d'être nuancés, notamment en ce qui concerne l'histoire récente :

    "Appréhendons d'abord l'Église comme une réalité historique. Cette institution, vieille de 2000 ans, est parvenue jusqu'à nous à travers de nombreuses vicissitudes où le meilleur a coexisté avec le moins bon. Retenons d'abord le meilleur, ce n'est que justice, car nous risquons de l'oublier. Mais nous reviendrons sur le moins bon aussitôt après. Il nous faut aussi prendre conscience que les Français (toujours eux! ndbelgicatho) d'aujourd'hui sont souvent habités par une sourde agressivité à l'égard de l'Église catholique, tout simplement parce que celle-ci a été prépondérante en France (comme chez nous, ndB.) pendant des siècles, qu'elle a exercé une forte influence sur le pouvoir politique et qu'elle a donné prise à l'accusation de cléricalisme.

    Nos commentateurs (de plus en plus nombreux et de plus en plus intéressants) sont invités à nous faire part de leurs réactions sur notre site...

  • Monseigneur Rey, un évêque entreprenant et atypique

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    Nous trouvons ici ces extraits d'un article de l'Homme Nouveau consacré à l'évêque de Fréjus-Toulon :

    "L’Homme Nouveau a tracé un portrait de Mgr Dominique Rey, évêque actuel du diocèse de Fréjus-Toulon, qui pourrait être nommé prochainement à un poste plus prestigieux :

     Mgr Rey est né à Saint-Étienne en 1952. Il a fait des études très pointues de fiscalité et d’économie (maîtrise en économie politique, doctorat en économie fiscale), et a été inspecteur des finances durant trois ans. II s’est alors orienté vers le sacerdoce et est entré au séminaire de Paris, comme membre de la Communauté de l’Emmanuel, au cours de ce qu’il est convenu de qualifier « les années de plomb ». C’est le couvent des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré qui l’a accueilli, avec d’autres séminaristes de même « profil ». Il obtint une licence de théologie et un diplôme en droit canonique (il obtiendra plus tard un doctorat en Droit canonique) à l’Institut catholique de Paris, et a été ordonné en 1984 par le cardinal Lustiger, pour le diocèse de Paris. D’abord aumônier à Stan (le lycée Stanislas, rue Notre-Dame-des-Champs), il devint ensuite vicaire à Sainte-Marie-des-Batignolles. Puis il quitta Paris de 1986 à 1988, pour devenir supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, sanctuaire confié à sa Communauté. Il est ensuite rappelé à Paris, pour devenir curé de la très vivante paroisse de La Trinité, elle aussi confiée à l’Emmanuel, de 1995 à 2000.

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