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Société - Page 780

  • Pour nos amis français : "allez go, go, go!"

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    La pétition auprès du CESE et les signatures pour lutter contre cette foutue loi, c'est maintenant ! C'est possible, ça afflue et ça doit affluer encore ! Le moment n'est pas aux ronchonnements, aux questions de pertinence stratégique, de calculs et de conjectures. Que les dépressifs systémiques nous les lâchent, et que les « ça-ne-marchera-jamais » prennent leur carte à gauche, au moins ils enquiquineront les autres. Pour l'heure et pour les autres, nous devons y aller, aller chercher une par une ces signatures. L'internet, c'est fait. Et, comme nous n'aurons pas dix minutes au 20 heures pour expliquer la démarche à nos concitoyens, c'est donc à « la mano » qu'il faut aller les chercher.

    Comme cette mère de famille qui a fait signer son boucher, lequel a demandé un paquet de feuilles car, dit-il, « je connais des clientes qui devraient être d'accord »... et voilà quinze pétitions supplémentaires postées ! Il y a aussi cette vielle dame qui s'est coltinée les résidents de sa maison de retraite. Allez zou ! Trente signatures. Là au moins, ils étaient tous majeurs ! La subsidiarité, c'est aussi ça, chacun dans son domaine de compétences et de relation.

    Au-delà des signatures et du nombre de pétitions que nous devons impérativement avoir, c'est la redécouverte de l'action de proximité, du militantisme « de paroisse », de la certitude que je change le monde quand, ici et maintenant, je fais ce que je dois faire ; c'est ça l'action chrétienne, et si la rue appartient à celui qui y descend, alors elle doit être à nous.

    Allez mes bons amis, vous n'avez pas épuisé toutes les possibilités autour de vous, il y a encore des « pétitionneurs » à dénicher ! Non, nous ne militons pas quand nous nous scandalisons devant les déclarations des uns et des autres, nos états d'âme devant l'écran d'ordi ou de télé ne changent rien. Les blogs et les forums Internet, bravo à eux, font un remarquable travail de suivi et d'information en temps réel, L'Homme Nouveau, un vrai travail de réflexion et d'analyse. Donc voilà votre ordonnance : deux à trois fois par jour les blogs et forums de réinformation, et deux fois par mois L'Homme Nouveau. Et entre-temps, la rue, le militantisme, les pétitions,… Bref… « l'action directe ». Allons les amis ! J'vous laisse, j'ai des pétitions à aller chercher.

    Télécharger et signer la pétition CESE à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY avant le 12 février.

  • Pour la protection de l'embryon humain : "One of Us"

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    L'initiative européenne « un de nous »: présentation
    Pour la protection de l'embryon humain

    Grégor Puppinck

    ROME, 6 février 2013 (Zenit.org) - L’initiative européenne « un de nous »

    (http://www.oneofus.eu)

    Présentation

    Le 11 mai 2012, la Commission européenne a enregistré l’Initiative Citoyenne Européenne « Un de Nous » (http://www.oneofus.eu/). Cette initiative a pour objectif d’obtenir de l'Union européenne qu’elle arrête de financer directement ou indirectement l’avortement et les pratiques scientifiques et technologiques impliquant la destruction d’embryons humains. Cette initiative a été lancée au printemps 2012 à l’instigation du député européen Carlo Casini, Président du Mouvement italien pour la Vie. Des représentants de diverses associations européennes actives dans la défense de la vie soutiennent et participent à cette initiative, dans l’objectif de réunir un million de signatures avant le 1er novembre 2013.

    Formellement, la proposition législative de l’initiative « Un de Nous » demande aux institutions communautaires d’assurer « la protection juridique de la dignité, du droit à la vie et à l'intégrité physique de tout être humain depuis sa conception dans les domaines de compétence de l'UE où cette protection s'avère d'une importance particulière. » A cette fin, l’initiative propose :

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  • Sur le 10e blog "international" du top blogs e-buzzing...

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  • Le christianisme, une "contre-culture" ?

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    De "Chrétiens dans la Cité" :

    Le christianisme est-il une contre-culture ? Denis Sureau a développé une réponse dans une conférence donnée dans le cadre du séminaire de master Pertinence ou impertinence des discours et pratiques chrétiens organisé en collaboration par le Centre d'études du Saulchoir (Père Bernard Bourdin o.p.) et le Theologicum, faculté de théologie de l'Institut Catholique de Paris (Père Laurent Villemin).


    Le texte de cette intervention est disponible ici.

  • L'euthanasie en Belgique a un bel avenir devant elle

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    L'augmentation du nombre d'euthanasies en Belgique est impressionnante. "La Belgique a enregistré en 2012 un nombre record d’euthanasies, a indiqué la commission chargée de contrôler cette pratique légale depuis 10 ans, alors que le Sénat entame un débat sur son extension aux mineurs et aux malades d’Alzheimer. La Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie a ainsi reçu l’an dernier 1 432 déclarations d’euthanasie, en hausse de 25 % par rapport aux 1 133 cas enregistrés en 2011." (source

    Mais de nouvelles perspectives s'ouvrent devant cette pratique comme en témoignent ces informations communiquées par l'Institut Européen de Bioéthique :

    • Extension tous azimuts de la loi euthanasie : 13 propositions de loi
    C’est ce mercredi 6 février que s’est réunie la commission Justice & Affaires sociales du sénat pour discuter les différentes propositions de loi dont 11 visent à l’extension de la loi dépénalisant l’euthanasie.

    A souligner, les 2 propositions de loi à contre-courant : l’une vise l’introduction d’un filtre palliatif obligatoire pour tout patient en fin de vie et l’autre propose une amende administrative de 250 euros au médecin qui ne respecterait pas l'obligation de déclaration d’euthanasie.

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  • Parlement britannique: variations protestantes sur le thème du mariage gay

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    De Jean Mercier sur le site de “La Vie” (extraits):

    Sur les bords dela Tamise, les députés anglais ont entériné le projet de loi sur le mariage gay à une écrasante majorité. Les débats passionnés ont réservé une part significative aux références chrétiennes et bibliques, en particulier chez les députés conservateurs, très divisés sur le sujet (…).

    Au sein des 303 députés Tories, 127 ont voté la loi, 136 l’ont rejetée et 40 se sont abstenus. Certes, le succès de la loi est réel, en raison de l'apport des alliés de Cameron, les Libéraux démocrates de Nick Clegg, et des voix du Labour. Mais cette victoire écrasante apparaît comme une fragilisation interne pour le chef des Conservateurs.

    En introduisant cette loi, il y a plusieurs mois déjà, David Cameron avait été clair :  “Je crois au mariage gay non pas en dépit que je suis conservateur, mais parce que je suis un conservateur”. Un credo en cohérence avec son souci de moderniser son parti, qu'il veut conservateur sur le social mais libertaire sur le sociétal. Il s’est donc heurté à une réelle bronca interne depuis deux mois. Nombre de députés conservateurs, emmenés par David Burrowes, avaient rappelé publiquement que le projet de mariage gay ne figurait pas dans le manifeste électoral de David Cameron en 2010. Et donc que le premier ministre britannique ne disposait pas d’un vrai mandat. Ils ne se sont pas privés de le souligner lors des débats aux Commons, rappelant que l’électorat de droite ne souhaitait pas du tout une telle mutation. Et que cela mettait en cause la reconduction des Tories lors des prochaines élections de 2015. Si le vote des députés Tories reflète la base, Cameron s’est fâché avec une bonne moitié de ses sympathisants.

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  • Mariage gay: les députés britanniques disent "oui"

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    Lu dans « La Libre » de ce jour :

    Le débat divise le parti conservateur, mais suscite peu de remous dans l'opinion publique.

    Les députés britanniques se sont prononcés mardi soir en faveur du projet de loi autorisant le mariage entre personnes du même sexe, un vote crucial en attendant l'adoption définitive de cette réforme qui divise le parti conservateur, mais suscite peu de remous dans l'opinion publique.

    A l'issue d'une journée de discussions animées à la Chambre des Communes, le projet de loi a été voté par 400 députés, tandis que 175 se sont prononcés contre.

    Selon de premières estimations, près de la moitié des députés conservateurs a décidé de ne pas voter comme le Premier ministre David Cameron, partisan de cette réforme. Aucune consigne officielle de vote n'avait été donnée. Promesse de campagne des libéraux-démocrates, qui participent au gouvernement de coalition, le texte a en revanche recueilli le soutien de l'opposition travailliste.

    Les députés français débattent, sur fond de vives polémiques, d'un projet similaire, ouvrant aussi la voie à l'adoption.

    Ce vote à la Chambre des Communes (chambre basse du Parlement) est une étape décisive, même si le texte doit encore faire la navette avec la chambre des Lords avant que le Royaume-Uni ne rejoigne la dizaine de pays ayant légalisé le mariage homosexuel.

    La réforme prévoit de permettre à des couples de même sexe de se marier civilement. Elle laisse aux diverses confessions la possibilité de célébrer ou non des unions homosexuelles religieuses, à l'exception de l'Eglise anglicane majoritaire dans le pays, au sein de laquelle le mariage homosexuel restera illégal.

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  • Chanson connue..

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    220PX-~1.JPG“Dans un billet de son blog sur le site de l'Express, Jacques Attali revient sur la bataille autour du "mariage pour tous": "Si la question du mariage pour tous fait tant bondir toutes  les Eglises, ce n’est pas tant parce que les droits et privilèges de l’union devant le maire seront ainsi étendus aux couples homosexuels, que parce que les autorités religieuses sont horrifiées par  l’usage du mot  'mariage' pour qualifier cette union. [...] Désormais, le mot 'mariage’  est un mot irréversiblement laïc. Et  la représentation nationale a le droit,  si elle en décide, d’accorder ce qualificatif à toute union dont elle souhaite renforcer la valeur contractuelle. Si les Eglises n’en sont pas contentes,  elles n’ont qu’à trouver un autre mot, (peut être celui de 'union religieuse' ) pour designer la cérémonie qu’elles proposent à leurs fidèles, en complément du mariage,  devenu cérémonie  civile. [...]

    Il convient même,   désormais, d’aller plus loin et d’enlever de notre société laïque les derniers restes de ses désignations d’origine  religieuse.  Par exemple, les  jours fériés ne devraient être que laïcs, tels  le 1er janvier, le 1er Mai, le 14 juillet et  le 11 novembre. Les autres, dont les noms conservent encore une  connotation religieuse (la Toussaint,  Noël, Pâques, l’Ascension, la Pentecôte,  l’Assomption) devraient se voir attribuer  des noms laïcs ('fête des enfants' pour Noël  et 'fête de la liberté' pour Pâques) ou être considérés comme des fêtes religieuses, que les citoyens pourraient choisir  comme jours fériés, parmi d’autres jours fériés pour d’autres fêtes religieuses (Kippour,  l’Aïd, l’anniversaire du Dalai Lama)". Référence sur “La Vie”: Jacques Attali veut supprimer les jours fériés cathos

     Et si on en revenait au bon vieux calendrier révolutionnaire -l’an I de la république, c’est 1792 (sous la Terreur) - avec ses décadi, pluviôse, ventôse, frimaire ou autre brumaire et la fête de la déesse Raison (gravure ci-dessus), qui mettrait tout le monde d’accord, en renvoyant dans leurs sacristies les autres cultes: ô mânes de Rome !

  • Chrétiens d’Egypte : l’union fait la force

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    Lu sur le site Eecho :

    « Un vent nouveau traverse les Eglises coptes d’Egypte:

    Depuis l’intronisation du patriarche (60 ans) copte orthodoxe Tawadros II, le 18 novemvre dernier, les églises chrétiennes d’Egypte se rapprochent. Ce 118ème successeur de Saint Marc fait en effet montre d’une très grande sensibilité oecuménique, en un moment où la société égyptienne est confrontée aux pressions islamistes et où les persécutions contre les Coptes n’ont jamais été aussi nombreuses – parmi beaucoup d’autres, il faut mentionner le rapt de la jeune Sarah Ishaq Abdelmalek, 14 ans, dans la ville de al-Dabaa et que la police et l’administration refusent de faire libérer (elle est supposée être désormais mariée à un musulman, alors que l’âge légal du mariage est de 18 ans, mais il semble même qu’elle ait été conduite en Libye). 

    Le nouveau climat d’ouverture et de collaboration qui s’est instauré ces derniers mois entre les différentes communautés chrétiennes égyptiennes pourrait conduire prochainement à l’institution d’un Conseil des Eglises chrétiennes en Egypte. Se rencontrer plus de deux fois par an, à Noël et à Pâques, comme auparavant, au moins une fois par mois dorénavant, devrait être l’un de ses objectifs.

    Récemment ont eu lieu plus de dix rencontres entre les représentants des différentes confessions chrétiennes. Il s’agit maintenant de rédiger les statuts d’un organisme qui exprime une position partagée des chrétiens égyptiens, surtout dans le domaine des questions politiques et sociales. Ce nouveau climat de dialogue et de proximité entre les chrétiens a reçu une contribution décisive du patriarche Tawadros II qui recevait, le 8 janvier dernier, le Cardinal Leonardo Sandri, préfet de la Congrégation pour les Eglises orientales, lors de sa visite en Egypte.

    De plus, le 15 janvier dernier, S.B. Ibrahim Isaac Sidrak (57 ans) a été élu nouveau patriarche copte catholique, succédant à S.B. le Cardinal Antonios Naguib qui a renoncé au gouvernement pastoral pour raisons de santé. Son élection par les évêques coptes catholiques sera bientôt confirmée par Benoît XVI. « Dans un climat d’incertitude et de peur, tous les chrétiens se demandent de quoi demain sera fait pour eux. Aussi la première mission,  est de rassurer, de réconciler. Le mot-clé est justement celui de la réconciliation. Il s’agit de favoriser tout ce qui reflète la Paix  et l’Amour du Christ ». Sa devise patriarcale sera probablement la phrase de la seconde lettre de Saint Paul aux Corinthiens « Dieu nous a réconciliés avec Lui par le Christ et nous a confié le ministère de la réconciliation ».

    Ici : Un vent nouveau traverse les Eglises coptes d’Egypte

  • Ce combat est-il perdu?

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    Sur le site web de « France Catholique », Gérard Leclerc répond aux questions de Grégoire Coustenoble sur l’opposition au projet de loi relatif au « mariage pour tous ». Extraits.

    Gérard Leclerc : L’extraordinaire réussite de la manifestation du 13 janvier, prolongée par celles du 2 février, est à la mesure du travail d’éveil de l’opinion qui avait commencé dès l’été dernier.

    Les foules qui ont convergé vers Paris le 13 ont montré à quel point elles étaient conscientes des enjeux. Cela ne correspondait pas au sentiment très partagé dans les médias que tout était « plié » d’avance et que le refus du mariage homosexuel n’était le fait que d’une frange marginale. Il faut noter par ailleurs l’unanimité de ces foules à respecter les consignes des organisateurs. Aucun dérapage n’a pu être constaté, aucun cri hostile aux homosexuels n’a été entendu alors que certains tablaient sur des débordements qui auraient discrédité le mouvement. La question clairement posée n’était pas celle de l’homosexualité mais du mariage et de la filiation.(…)

     À ce propos, on s’étonne d’une certaine exception française. En Belgique et aux Pays-Bas, également au Canada, les évolutions se sont faites presque sans débats. Je trouve que c’est plutôt à l’avantage de la France que l’opinion ait été saisie des enjeux d’une réforme qui touche si profondément les ressorts de la vie commune, où on prend au sérieux le débat démocratique à l’aune d’un Jürgen Habermas, plutôt que d’estimer que les choses doivent évoluer au gré du temps, sans qu’on s’interroge sur leur signification et sur les conséquences à long terme des modifications de nos institutions les plus structurantes.

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  • "Atmosphère de pogrom" pour l’Eglise ? Polémique

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    Marcel Linden, correspondant de « La Libre » en Allemagne, s’en émeut aujourd’hui dans les colonnes de ce journal :

     « Une polémique est lancée par le prélat catholique allemand le plus influent après le Pape :  Gerhard Ludwig Müller, depuis juillet dernier préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi à Rome, est d’un tempérament batailleur : il a provoqué les milieux anticléricaux allemands en affirmant que l’Eglise est exposée à une "atmosphère de pogrom" en Amérique et en Europe.

    "De mauvais goût"

    Pour la ministre libérale de la Justice, Sabine Leutheusser-Schnarrenberger, cette "comparaison avec l’holocauste est de mauvais goût, s’il s’agit de divergences d’opinion sur le rôle du mariage, de la famille et de partenariats homosexuels". Il faut savoir que le petit parti libéral est favorable à la mise à égalité de l’union homosexuelle avec le mariage entre hommes et femmes.

    Selon Claudia Roth, présidente des verts, les propos de l’archevêque sont "absolument inacceptables et dangereux en relation avec le passé". Elle reproche à "l’idéologue en chef" de l’Eglise de "vouloir ramener les catholiques au Moyen-Âge".

    L’attaque de Mgr Müller fait d’autant plus sensation que l’Eglise allemande est actuellement sur la défensive: l’avalanche d’abus sexuels de prêtres discutés depuis 2010 et des scandales dans des cliniques catholiques ont renforcé l’impression que l’Eglise catholique n’est plus en diapason avec la société.

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  • "Ecole maternelle", un terme sexiste ?

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    C'est à lire ici : http://www.bfmtv.com/societe/

    La députée socialiste de Paris Sandrine Mazetier a officiellement saisi le gouvernement, estimant que le terme "école maternelle" est sexiste. 

    Elle voudrait ainsi rebaptiser l’école. Elle met en cause le fait que, dans la terminologie du mot, il y ait une référence aussi spécifique à la "mère".

    "La maternelle, c’est une école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un lieu d’apprentissage", pointe Sandrine Mazetier sur RTL.

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