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Société - Page 776

  • La mort d'une pionnière de la méthode naturelle de régulation des naissances

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    COMMUNIQUÉ DE PRESSE de la WOOMB (16 février 2013)

    Le Dr Evelyn Billings, pionnière de renommée mondiale de la régulation naturelle de la fertilité, est décédée, à l’âge de 95 ans, des suites d’une brève maladie.

    C'est le cœur plein de tristesse que nous vous annonçons aujourd'hui le retour à Dieu en ce 16 février 2013 de notre bien-aimée fondatrice, le Dr Evelyn Livingston Billings, à l’âge de 95 ans, des suites d’une brève maladie. Le Dr Evelyn Billings était membre de l’Ordre de l’Australie, dame commandeur de l’ordre de Saint Grégoire le Grand, docteur en médecine diplômée de l’université de Melbourne, docteur Honoris Causa de l’université de Londres.

    Le Dr Lyn, comme nous l’appelions tous, fonda avec son époux, le Dr John Billings, la méthode de régulation naturelle de la fertilité qui porte leur nom. Les études qu’elle fit sur les mères qui allaitent et les femmes à l’approche de la ménopause, y contribuèrent de manière significative. Ensemble, pendant plus d’un demi-siècle, ils parcoururent le monde pour enseigner et promouvoir leur méthode dans la fidélité à l’appel du pape Paul VI demandant « aux hommes et femmes de sciences et aux médecins d’être obéissants à l’appel du Seigneur et d’agir comme des interprètes fidèles de Son plan ».

    En 1980, le Dr Lyn Billings publia son best-seller, La méthode Billings. Ce livre a été réimprimé 16 fois dont 7 nouvelles éditions revues et corrigées. La dernière édition complètement revue date de 2011. L'accès à ce livre, publié dans 22 langues, a rendu très populaire le nom de la méthode Billings et a donné espoir à des millions de couples dans le monde entier.

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  • Le rejet de l'Eglise par les médias

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    A propos d'un article du sympathique Bosco d'Otreppe ("Mais que se passe-t-il donc entre l'Eglise et la presse ?), des extraits d'une étude consacrée au sujet par Guillaume de Prémare intitulé "Eglise, communication et médias" qui date déjà un peu (2009) mais qui vaut d'être lue en son entier :

    "... si la presse s’intéresse aux différentes spiritualités et sagesses, notamment nouvelles et orientales, la dimension spirituelle du christianisme retient assez peu son attention. La spiritualité semble même être ce qui l’intéresse le moins lorsqu’elle traite de l’Église catholique. C’est l’impact social du catholicisme, c’est-à-dire sa présence et son influence dans la société, qui l’intéresse le plus. Et bien souvent, le catholicisme apparaît comme un contre-modèle qui s’oppose aux hommes de ce temps, non pas à cause de la spiritualité vécue par les chrétiens, qui ne dérange personne ou presque, mais à cause des options morales, politiques et sociales portées par l’Église. (...)

    Nous devons ... veiller à ce que certains sujets ne soient pas volontairement déformés ou caricaturés dans l’objectif de nourrir l’audience. À cet égard, une vigilance et un dialogue sont nécessaires. Et les catholiques, comme tous les citoyens, ont des droits à défendre : "L’information médiatique est au service du bien commun. La société a droit à une information fondée sur la vérité, la liberté, la justice et la solidarité" (Paul VI, Message pour la Journée mondiale des communications)... Il est légitime et nécessaire que les catholiques écrivent et protestent, si possible sans agressivité, pour faire valoir ce droit lorsqu’ils jugent qu’il est bafoué. ..."

  • Une enquête chez les Frères Musulmans

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    Il y a trois jours, la RTBF a diffusé un documentaire consacré aux Frères Musulmans :

    Voir la video : http://www.rtbf.be/video/detail_la-confrerie-enquete-chez-les-freres-musulmans?id=1801333

    Présentation : 

    La Confrérie des Frères Musulmans a été fondé en Egypte en 1928 avec comme objectif une renaissance islamique et une lutte contre l'influence occidentale. Elle a rapidement essaimé ses idées dans les pays du Moyen-Orient. Longtemps traqués par le régime, les Frères Musulmans se taillent désormais une place de choix dans le paysage politique post-Moubarak et ont accédé au pouvoir. Mais les Frères Musulmans qui récoltent aujourd'hui les fruits de la révolution pour la démocratie, en seront-ils les fossoyeurs ? Ou prônent-ils, comme ils le prétendent eux-mêmes, un « islam modéré », en phase avec la modernité, et compatible avec la démocratie ? En même temps qu'il nous raconte l'histoire du mouvement, c'est à ces deux questions essentielles que le film se propose de répondre, à travers des interviews de personnalités politiques du monde arabe, d'historiens, de témoins et d'archives souvent inédites. Un fim de Michaël Prazan, écrivain et réalisateur auteur notamment d'une trilogie documentaire sur l'Histoire du terrorisme diffusé sur notre antenne l'an dernier. 
    Une production KUIV Productions avec la participation de la RTBF 

  • Lunch-débat à l’Université de Liège, le mercredi 27 février 2013 à 18 heures : « Les droits de l’homme et la famille » »

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    014.JPGLe Groupe « Ethique sociale » et l’Union des Etudiants catholiques de Liège organisent cette année un cycle de sept rencontres à l’Université de Liège, sur le thème « Les droits de l’homme en péril : dialogue entre religions et philosophies non confessionnelles ».

    Le mercredi 27 février 2013 à 18 heures, c’est Michel GHINS qui occupera la tribune en traitant le sujet suivant : « Les droits de l’homme et la famille » : les droits de l'homme sont aujourd'hui invoqués pour modifier la notion traditionnelle de la famille : "droits reproductifs", mariage homosexuel, adoption par des couples homosexuels, gestation pour autrui... Doit-on considérer que ces applications nouvelles entrent dans la cohérence des droits de l'homme ou que, au contraire, elles les dénaturent?  Des enjeux et un débat d’une actualité brûlante.

    La rencontre a lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat deimagesCA53EDLR.jpg l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

     Inscription obligatoire par tél. 04.344.10.89 ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 € , à régler sur place. 

    Professeur à l’Université Catholique de Louvain  (Institut Supérieur de  Philosophie), où il enseigne la philosophie des sciences et de la nature, Michel GHINS n’est pas seulement un brillant intellectuel, membre de plusieurs sociétés scientifiques internationales, mais un homme de terrain et de conviction et c’est à ce titre aussi qu’il préside l’association « Action pour la Famille  ». 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/Liège, 27 février : les droits de l'homme et la famille

     

  • Ouganda : les procédés douteux de l'Institut Guttmacher

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    headerLogo.jpgL’institut Guttmacher se sert de données mensongères pour les besoins de sa campagne

    NEW YORK, 22 février (C-FAM) Un nouveau rapport de l’Institut Guttmacher sur l’Ouganda recommande l’amélioration de l’accès à la contraception et à l’avortement comme moyen d’améliorer la santé des femmes et de réduire le nombre de grossesses non désirées. Le groupe utilise des données de valeur douteuse pour pousser son agenda auprès de personnes qui, il le reconnait, veulent des enfants et rejettent l’avortement.

    L’institut Guttmacher estime que plus de 54% des grossesses en Ouganda ne n’étaient pas désirées, et que  « le niveau élevé de grossesses non désirées et le nombre d’enfants souhaités en Ouganda seraient à mettre sur le compte principalement d’un usage insuffisant de moyens contraceptifs ». D’après des données de 2006 d’un bureau de l’ONU, le besoin non satisfait de contraceptifs en Ouganda s’élève à 38%.

    D’après le raisonnement de Guttmacher, un meilleur accès aux contraceptifs en Ouganda pourrait faire baisser le taux de grossesses non désirées. Cependant, même aux Etats-Unis, où l’on se targue que le besoin non satisfait de contraceptifs ne s’élève qu’à 6 ou 7%, la moitié des grossesses seraient elles aussi non désirées. (Voir  le diagramme 1).

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  • L'importance de la famille mise en avant à l'ONU

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    headerLogo.jpgUn Comité de l’ONU veut renforcer le rôle de la famille dans le développement

    Par Stefano Gennarini, J.D. (C-Fam)

    NEW YORK, 22 février (C-FAM) La semaine dernière à l’ONU, la commission chargée de définir les politiques sociales a reconnu l’importance du rôle de la famille en tant qu’unité naturelle et fondamentale de la société, et rejeté les tentatives de certains pays occidentaux de redéfinir la famille.

    La Commission sur le développement social a conclu sa session annuelle par l’adoption d’une résolution, en anticipation de l’année internationale de la Famille de 2014, qui souligne l’importance de la famille pour le développement social.

    La résolution, proposée par le Qatar, invite les Etats membres et autres participants à « prendre des mesures concertées pour renforcer les politiques familiales dans leurs programmes, comme parties prenantes d’une approche complète du développement. »

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  • Des bobards battus en neige (sale) à propos de la décision du pape

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    Nous lisons sur Aleteia, sous la plume de Philippe Oswald :

    C’est une «pana montata » (crème fouettée) comme la presse italienne en raffole : un article du quotidien de gauche La Repubblica (21 février) signé par l’ancienne directrice de L’Unita (quotidien communiste), insinue que la « démission » (plus justement nommée renonciation) de Benoît XVI serait un geste de désespoir parce qu’il aurait pris connaissance d’un rapport secret sur la puissance d’un lobby gay au sein du Vatican ! Du nanan pour les agences de presse et donc pour nombre de journaux et de radios en France notamment…Mais pour Jean-Marie Guénois, chargé des questions religieuses au Figaro,  cette « crème montée » n’est en réalité qu’un soufflé. Qu’il se charge de dégonfler avec maestria (texte et vidéo): http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/22/01016-20130222ARTFIG00463-lobby-gay-au-vatican-pas-de-lien-avec-le-depart-du-pape.php

    Le diagnostic pipé d’un sociologue
    Dans un registre plus sérieux en apparence, le sociologue Olivier Bobineau feint de s’interroger sur le site de L’Express : « l’Eglise, grand corps malade ? ». S’il pointe à juste titre « le choc anthropologique » que représente le message de l’Eglise face « au « cancer » de la « modernité » (qu’il se garde de définir), le sociologue n’hésite pas à soutenir que celle-ci ne pourrait plus progresser, ce que démentent les statistiques annuelles de l’augmentation des catholiques dans le monde. Mais plus encore que cette erreur factuelle, c’est la nature même de l’Eglise et du rôle du pape que méconnaît Olivier Bobineau en affirmant péremptoirement que « l’Eglise veut encadrer le sentiment des individus depuis son centre romain ». On n’est pas loin des poncifs véhiculés depuis le dix-huitième siècle sur « le Vatican » et « l’ordre noir » (les jésuites) ! La chute de l’article dévoile son dessein : sommer l’Eglise de sacrifier à la « modernité » (comme si celle-ci était en pleine forme !) ou s’enfermer dans le « repli identitaire » …pour disparaître. C’est en réalité juste le contraire qui s’est toujours produit et va se reproduire sous nos yeux : c’est dans la mesure où elle ne cède pas à l’esprit du monde et reste fidèle à sa mission d’annoncer la Bonne Nouvelle du salut que l’Eglise se renouvelle et refleurir sans cesse.http://www.lexpress.fr/actualite/societe/renonciation-de-benoit-xvi-l-eglise-grand-corps-malade_1219588.html
     
    Hommage à quatre voix
    C’est précisément pour favoriser ce renouveau que le pape Benoît XVI a choisi de passer le flambeau. Car : «La renonciation de Benoît XVI n’est pas un abandon ». C’est ce qu’ont très bien compris, chacun à sa manière, un philosophe, un chef d’entreprise, un prêtre, un écrivain : François-Xavier Bellamy, le Père Guy Gilbert, Henri de Castries (PDG de Axa) et Jean Raspail. L’hebdomadaire Valeurs Actuelles a réuni leurs contributions dans un bel hommage à « l’exemplarité d’un homme dont le but n’a jamais été que de servir ».

    http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/%E2%80%9C-renonciation-beno%C3%AEt-xvi-n%E2%80%99-pas-abandon%E2%80%9D20130221.html

  • Une laïcité décevante, mais comment ne le serait-elle pas ?

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    La réaction d'un lecteur de la Libre après le pénible débat de "Mise au point" de dimanche dernier (RTBF) :

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  • Quand la ministre dit "sexes", le journaliste traduit "genres"

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    C'est dans La Libre du mercredi 20 de ce mois. Il s'agit de la parité entre les sexes que la ministre Tillieux voudrait voir davantage respectée au sein des ASBL subsidiées par la Région. Mais il est symptomatique de voir le journaliste dire " genre" là où la ministre recourt encore au "bon vieux" terme "sexe". Ce n'est sans doute pas vraiment innocent.

    Lire : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/798213/six-asbl-sur-dix-pas-en-ordre-de-mixite.html 

  • Australie : la liberté des Eglises menacée

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    OCEANIE/AUSTRALIE - L’Etat impose aux églises de « ne pas discriminer les homosexuels » en ce qui concerne les services sociaux

    Sydney (Agence Fides) – L’approbation du Human Rights and Anti-Discrimination Bill, nouvelle loi qui devrait intégrer et harmoniser les différentes dispositions existant en matière de lutte contre la discrimination au sein de la société, pourrait se retourner contre les églises et organisations chrétiennes. En effet, le texte, qui se trouve en discussion devant le Parlement australien, élimine les « exemptions » dont bénéficiait en la matière les églises et organisations religieuses gérant des écoles, des hôpitaux et des centres d’assistance sociale. Instituts et œuvres sociales appartenant aux différentes églises chrétiennes, étaient autorisées, sur la base des dispositions en vigueur, par exemple, à ne pas recruter d’enseignants homosexuels, à ne pas les prendre en compte dans le cadre des services d’adoption d’enfants ou à ne pas admettre de couples homosexuels au sein des services fournis aux couples. Le projet de loi révoque les exemptions en question « aux organisations religieuses qui discriminent les individus en ce qui concerne la prestation de services ». Une Commission du Sénat australien a noté que « aucune organisation ne devrait bénéficier d’une dérogation au principe de discrimination lorsqu’elle est impliquée dans la fourniture de services à la communauté en général ».
    Dans un communiqué envoyé à l’Agence Fides, la Conférence épiscopale d’Australie remarque que les recommandations formulées par la Commission du Sénat représentent « une menace pour la liberté religieuse » et pourraient avoir un impact sérieux « sur les services sociaux fournis par les structures d’assistance sanitaire et par les écoles catholiques ». La loi anti-discrimination, approuvée dans son principe par les églises chrétiennes, « doit trouver un équilibre entre les valeurs prises en considération : la valeur fondamentale de la liberté religieuse doit être reconnue en tant que partie significative de notre manière de vivre dans une société pluraliste » notent les Evêques. Robert Johnston, porte-parole de l’Association australienne des Ecoles chrétiennes, a lui aussi manifesté son opposition aux normes prévues. (PA) (Agence Fides 22/02/2013)

    Le commentaire de Jeanne Smits

  • La dogmatique mondaine

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    De Philippe Maxence, sur le site du bimensuel « L’Homme nouveau » :

    « (…) comme l'écrivait G.K. Chesterton : « Il y a deux sortes de gens dans le monde : les dogmatiques conscients et les dogmatiques inconscients. J'ai quant à moi toujours trouvé que les dogmatiques inconscients étaient, de loin, les plus dogmatiques. »

    Pour les uns comme pour les autres, le geste de Benoît XVI montre à la fois une Église à bout de souffle, une fin de règne et une incapacité à faire face aux défis de l'heure. Comme la contradiction ne les empêche nullement d'empocher leur salaire, voire les deniers de la trahison pour ceux qui professent appartenir encore au catholicisme, ils n'hésitent pas à clamer également, sur le même ton docte, que par cette renonciation d'un pape l'Église entre enfin dans l'ère démocratique. Jacques Julliard se tortille ainsi d'aise pour saluer la fin de « l'idolâtrie » du Pontife romain. Plus prudent, Franz-Olivier Giesbert invite à ne pas se concentrer sur la seule Église en Occident, effectivement en mauvais état, mais à scruter plus largement les parties du monde où la foi catholique est vigoureuse et ardente. Ce qui ne l'empêche pas de regarder lui aussi l'avenir avec un rétroviseur en appelant à la rescousse un pamphlet de Julien Green datant des années vingt et qui s'appliquait à l'état du christianisme en France.

    Depuis plus de deux mille ans que l’Église vit, nos bons apôtres de la mondanité voient dans la démocratisation sa voie de rédemption. Hors de la démocratie, point de salut ! Cet adage ne cesse pourtant de se fracasser contre la réalité. C’est la démocratie moderne qui patine depuis un certain temps, incapable de répondre aux défis de l’époque. Et, c’est l’Église qui a su installer en son sein, depuis longtemps des formes de démocraties tempérées. Les monastères et les communautés religieuses n’ont ainsi pas attendu les éditorialistes d’aujourd’hui pour s’appuyer sur le vote. Et que dire du choix du Souverain Pontife qui repose, lui aussi, sur une élection.

    À ceux qui voient dans la décision de Benoît XVI une révolution dans l’Église et l’installation d’un nouveau mode de gouvernance papale, soulignons seulement que cette décision répond à un choix souverain du Saint-Père, un choix non démocratique et qu’il ne change pas de soi le droit de l’Église. La renonciation restera, à partir du 1er mars prochain, prévue comme une possibilité du droit canon. Pas comme une obligation ! C’est au nom de la souveraineté universelle inhérente à sa charge que Benoît XVI a pu prendre cette décision et jouer encore sur le paradoxe du christianisme qui échappe décidément aux yeux du monde. 

    Le texte complet ici : Le choix souverain de Benoît XVI

    A bons entendeurs mondains, clercs ou laïques, salut…

  • Une annonce de dernière minute : conférence de Philippe Arino ce vendredi 22 à l'UOPC (BXL)

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    Ce soir à l'UOPC : "homo et contre le mariage homo?"

    Conférence de Philippe Arino qui aura lieu aujourd'hui à 19h30 à la librairie UOPC
    Avenue Gustave Demey 14-16, Métro : Ligne 1A station Herrmann-Debroux. B-1160 Bruxelles, Bus, Tram : 34 - 41 - 42

    La soirée promet d'être animée !