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Société - Page 888

  • Au Mexique, la ferveur et les foules sont au rendez-vous

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    A découvrir, sur ZENIT.org :

    Voyage au Mexique

    Documents

  • Une Marche pour la Vie réussie

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    IMG_3227.JPGNous étions à la Marche pour la Vie. L'ambiance était excellente et la manifestation s'est déroulée dans un climat familial et sympathique. Il y avait du monde, et contrairement à ce qu'a pu dire la presse, le nombre des manifestants était très certainement supérieur à 2500 (plus de 3500 nous dit le commissaire de police). Ce n'est peut-être pas la manifestation monstre dont on rêve mais le résultat est positif lorsqu'on sait que l'organisation de cette marche repose sur un petit staff d'étudiants qui ne peut guère compter sur des relais institutionnels. En revanche, la manifestation pro-ivg de samedi, organisée par un nombre important de groupes constitués n'a réuni que peu de monde si l'on songe à tous les milieux qui avaient été mobilisés avec des moyens considérables (ne serait-ce que le personnel des centres de planning familial et des centres pratiquant l'avortement). Bref, nous avons été heureux de marcher dans les rues de Bruxelles et d'y avoir fait entendre un message clair en faveur de la vie.IMG_3244.JPG

  • L'autorité éducative en crise

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    Vivien Hoch, sur Itinerarium, propose une réflexion sur "La crise de l’autorité éducative"

    « Pourquoi et comment poser des limites à son enfant ? ». Telle est l’énigmatique question à laquelle nous invitait à réfléchir une conférence récemment organisée par la ville de Sceaux et animé par très médiatique pédiatre Aldo Naouri. Aussi improbable que cela puisse paraître, ce genre d’évidences est aujourd’hui de plus en plus l’objet d’interrogations pour nombres de parents visiblement dépassés par leur rôle éducatif. Les raisons de poser un cadre, de faire respecter des règles, de dire non à son enfant ne relève manifestement plus de l’ordre du bon sens. Quoi de plus normal, me direz-vous, dans une société aliénée par la consommation et l’injonction constante à la « jouissance sans entrave » ? Asséné à longueur de spots publicitaires à nos esprits lobotomisés par le flux médiatique, ce leitmotiv hédoniste rend de plus en plus inacceptable à nos contemporains toute idée de frustration.

    Voir la suite sur itinerarium.fr : la crise de l’autorité éducative

  • Le voyage du pape au Mexique

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    Radio Vatican rend compte des moments forts du périple pontifical :

    Benoît XVI : "le premier devoir de l'Eglise est d'éduquer les consciences à la responsabilité morale"

    Benoît XVI est arrivé au Mexique

    Voyage au Mexique et à Cuba : Benoît XVI accueilli dans la liesse

    Discours du pape à son arrivée au Mexique

    Aucun pouvoir n'a le droit de dévaloriser la dignité humaine

    Voir, sur KTO :

    Samedi 24 mars

    09h35 : Flash matin ‘Le pape dans l'avion'

    20h35 : Flash soir ‘Mexique les enjeux de la visite'

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  • Marche pour la Vie, un soutien massif de l'Eglise ?

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    Lors du débat sur l'avortement à l'émission "Et Dieu dans tout ça?" du 18 mars dernier, il a été fait état d'un "soutien massif de l'Eglise catholique" à l'organisation de la Marche pour la Vie. Cette affirmation paraît bien exagérée lorsqu'on sait que seule la participation de deux évêques est annoncée, lorsqu'on constate que les médias catholiques n'ont fait qu'annoncer timidement l'organisation de cette marche, lorsqu'on s'aperçoit que l'agenda de dimanche prochain n'a pas été libéré pour inciter les fidèles à y participer, lorsque - la plupart du temps - les affiches pour la marche ne sont pas présentes au fond des églises, etc. Affirmer que les clercs, même mitrés, se sont mobilisés avec beaucoup de conviction pour participer à cette Marche et/ou pour la soutenir constitue, à notre sens, une appréciation peu conforme à la réalité.

    Mais il y a d'heureuses exceptions allant jusqu'à des prises de position courageuses : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/

  • L'avortement serait-il rentable ?

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    Lu sur Liberté Politique :

    Le 28 février dernier, le gouvernement Obama a donné son assentiment : Pepsi pourra utiliser des cellules d'enfants avortés dans l'élaboration de sa recette. Après tout, c'est un produit comme un autre, un ordinary business.

    Un certain nombre d'associations américaines, canadiennes, polonaises, britaniques, irlandaises, écossaises, espagnoles, portugaises, australiennes et néo-zélandaises ont décidé de bouder la boisson gazeuse.

    En France, la société civile s'organise plus pour nous déconseiller le Coca-cola (parce qu'il prive les Keralais du sud de l'Inde, d'eau potable) que le Pepsi qui finira par nous faire boire des morceaux d'enfants morts.

    Source : lifesitenews.com

  • La présidence de la COMECE sera "marxiste" !

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    Source : communiqué de presse de la COMECE (23/03/2012)

    Le Cardinal Marx est le nouveau Président de la COMECE

    « Nous nous trouvons à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe »

    C’est la déclaration faite par le Cardinal Reinhard Marx après son élection comme nouveau Président de la Commission des Episcopats de l’UE. L’archevêque de Munich & Freising a été élu par ses pairs le 22 mars 2012 pour un mandat de 3 ans à la tête de la COMECE. Il sera assisté de quatre vice-présidents : Mgr Gianni Ambrosio (évêque de Piacenza-Bobbio, Italie), Mgr Virgil Bercea (évêque d’ Oradea Mare, Roumanie), Mgr Jarecki (évêque auxiliaire de Varsovie, Pologne) et Mgr Jean Kockerols (évêque auxiliaire de Bruxelles-Malines, Belgique).

    Le Cardinal Marx est membre de la COMECE depuis 2006 et en préside la Commission pour les Affaires sociales. Il est également vice-Président de la COMECE depuis 2009. Il a déclaré : « Concernant la crise économique et financière qui frappe notre continent, je suis persuadé que l’Union européenne dispose des moyens et du potentiel pour surmonter cette situation. Une crise globale exige une réponse commune. Il nous faut donc retrouver le sens d’une action collective et responsable. C’est à cette condition seulement que nous parviendrons à résoudre nos problèmes communs. Nous nous trouvons en effet à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe. »

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  • La Fédération Wallonie-Bruxelles soutient la manifestation pro-avortement

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    La Fédération Wallonie-Bruxelles est-elle dans son rôle en apportant son soutien au lobby pro-avortement ?

  • Gender : bannir le "il" et le "elle" ?

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    Source : synthèse de presse de genethique.org

    En Suède, après l'école Egalia (Cf. Synthèse de presse du 28/06/11), une crèche municipale de Stockholm a décidé de bannir de son vocabulaire les pronoms "il" (han) et "elle" (hon) et d'utiliser un pronom neutre, hen, lorsque le personnel éducatif s'adresse aux enfants.

    En pratique, si certains parents acceptent d'attendre plusieurs mois pour faire entrer leur enfant à la crèche Egalia, il s'avère que "la pédagogie qui y est pratiquée est loin de faire l'unanimité en Suède".

    Du point de vue institutionnel, le Conseil des langues (en charge du suivi de l'évolution du langage en Suède) s'est, dans un premier temps, opposé à l'usage du pronom neutre, avant de revenir sur sa position : selon Suzanne Carlsson, inspectrice, "nous continuons de penser qu'il vaut mieux utiliser d'autres stratégies, comme il/elle ou bien la forme passive, mais nous n'interdisons à personne de l'utiliser, et nous pensons même qu'il est respectueux de le faire quand quelqu'un qui ne se reconnaît dans aucun des deux genres le demande".

    Face à ce changement idéologique, certains auteurs réagissent. Ainsi en est-il d'Alsa Carlsson, blogueuse, pour qui "notre sexe dit certaines choses de notre identité, et c'est la raison pour laquelle c'est une information importante à donner, même si cette information seule, bien sûr, ne dit pas tout sur l'individu en question". Philip Hwang, psychologue, évoque les risques vers lesquels la neutralité peut conduire, "cela peut devenir problématique pour un enfant, très tôt conscient de son sexe". La neutralité utilisée par les parents dans le langage montre "qu'ils ne voient aucune différence entre les filles et les garçons, ce qui n'est pas le cas de l'enfant".

    Pour la philosophe et psychanalyste Anne Dufourmantelle, "créer un pronom neutre a un air égalisateur, mais c'est un acte sociopolitique qui risque surtout de générer de la violence".

  • Les suites psychologiques de l'avortement

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    Nous avons fait écho, hier au débat sur l'avortement qui s'est déroulé dimanche dernier sur la Première (RTBF) dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". La question des suites psychologiques de l'avortement y a été abordée. La synthèse de presse de généthique.org vient utilement compléter la réflexion à ce sujet :

    Dans le quotidien Libération, deux tribunes consécutives relatives au rapport du Pr  Israël Nisand sur la sexualité des mineurs ont été publiées en mars 2012. Dans une première tribune, du 1er mars 2012, deux sociologues, Mmes Bajos et Ferrand, et trois médecins, Mmes Meyer, Moreau et Warszawski, affirmaient que ce rapport est "moralisateur" quant à la question de l'IVG. Suite à celle-ci, le Pr Israël Nisand et Brigitte Letombe, gynécologues, et la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié une réponse dans ce même quotidien, le 9 mars 2012 (Cf. Synthèse de presse du 09/03/12). Ils faisaient part de leurs observations, liées à leur expérience clinique, selon lesquelles des femmes restent douloureusement marquées après avoir eu recours à l'avortement.

    Le 20 mars 2012, Libération a publié de nouvelles réactions. Pour Mmes Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau et Warszawski, "affirmer que le recours à l'avortement augmente les troubles psychiques est une assertion fausse, réfutée par les recherches scientifiques".

    Pour le collectif "Les filles des 343", composé de militantes féministes, il n'existerait pas de lien entre avortement et souffrances psychiques. Pour ce collectif, avorter est une "décision qui doit être respectée", et la pression mise sur les "épaules" et les "ventres [des femmes] contribue à les rendre [...] malheureuses". Selon un groupe de médecins, gynécologues et obstétriciens, qui publient également un article dans Libération, "Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes", et c'est le "regard condescendant, culpabilisant de la société relayé par trop de médecins [...] qui produit tant de ravages". Ils affirment qu'ils continueront résolument "à oeuvrer pour que cet acte [l'IVG] soit, comme c'est souvent le cas, un acte structurant de leur vie".Suite à ces réactions,  le Pr Israël Nisand, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos ont publié une tribune le 22 mars 2012 dans Libération. Selon eux, à la question de savoir si "l'IVG constitue ou non un moment bénéfique dans la vie d'une femme", la réponse est "négative". En faisant "croire que l'IVG n'aurait aucune conséquence psychique sur les femmes", l'objectif majeur est ici de "protéger le droit à l'IVG". Or, "la meilleure IVG, surtout pour une jeune femme, est celle que l'on a pu prévenir". Ils ajoutent qu'en publiant ce rapport sur la sexualité des mineurs, l'objectif est également de "trouver des solutions qui permettraient d'inverser la courbe, croissante depuis vingt-cinq ans, des 90 000 IVG par an chez les moins de 25 ans".

  • Mobilisation des catholiques américains contre la réforme de la santé publique

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    Source : Radio Vatican :

    "Les catholiques américains vont descendre dans la rue ce samedi pour protester contre un aspect de la réforme sanitaire voulue par l’administration Obama qui oblige tous les établissements, y compris catholiques, à fournir à leurs salariés une couverture sociale garantissant le remboursement de la contraception, de la stérilisation et de la pilule abortive. Pour Barak Obama, le contrôle des naissances est un problème de santé publique, pour les catholiques qui ne décolèrent pas la grossesse n’est pas une maladie. A l’appel des mouvements pour la vie, des manifestations en faveur de la liberté religieuse et de l’objection de conscience sont annoncées dans 120 villes au moins et le mouvement ne cesse de s’amplifier. Une quinzaine d’évêques se sont associés à cette initiative qui risque d’avoir un impact considérable sur la popularité de Barack Obama en pleine campagne présidentielle. Avec l’économie la religion s’est imposée dans les débats. Les 70 millions de fidèles catholiques pourraient peser lourd sur l’issue du vote en novembre prochain, d’autant que l’Eglise catholique américaine est un des principaux acteurs dans le domaine de la santé avec plus de 600 hôpitaux et un chiffre d’affaires de quelque 30 milliards de dollars."