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Spiritualité - Page 371

  • Bruxelles, cathédrale Saints Michel et Gudule, 28 mars : Veillée de prière oecuménique en mémoire des victimes du 22 mars

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    Veillée de prière en mémoire des victimes du 22 mars

    « Fais de nous un instrument de ta paix » (prière attribuée à Saint François d’Assise)

    Les Eglises chrétiennes reconnues en Belgique, catholique, orthodoxe, protestante et évangélique, et anglicane, invitent leurs fidèles, et tout homme et femme de bonne volonté, à une Veillée de prière en mémoire des victimes des attentats du 22 mars, de leurs familles et de leurs proches.

    Cette Veillée aura lieu en la Cathédrale des Saints-Michel et Gudule le Lundi de Pâques, 28 mars 2016 à 18.00 heures.

    Mgr. Jozef De Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles
    Mgr. Athénagoras, Métropolite de Belgique
    ds. Steven H. Fuite, président du Conseil Synodal de l’Eglise protestante Unie de Belgique
    Geert W. Lorein, président du Synode Fédéral des Eglises protestantes et évangéliques de Belgique
    Rev. Dr. Jack Macdonald, président du Comité central du Culte anglican en Belgique

  • Du Vendredi Saint au dimanche après Pâques : neuvaine à la Divine Miséricorde (Sainte Faustine)

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    Elle a son origine dans une révélation privée du Christ à sainte Faustine (Cf. Sainte Faustine, Petit Journal § 1208).

    Cette Neuvaine commence le Vendredi saint et s'achève pour la fête de la Miséricorde, le 1er dimanche après Pâques. (Bien que cette Neuvaine obtienne des grâces particulières durant cette période, elle peut être priée à tout moment de l'année.)

    Jésus disait à Sr Faustine : 

    "Je désire que durant neuf jours, tu amènes les âmes à la source de ma Miséricorde afin qu'elles y puisent force et fraîcheur, ainsi que toutes les grâces dont elles ont besoin dans les difficultés de la vie et surtout à l'heure de la mort.

    Chaque jour, tu amèneras à mon Coeur un groupe différent de ces âmes, et tu les plongeras dans l'océan de ma Miséricorde. Moi, je ferai entrer toutes ces âmes dans la demeure de mon Père.

    Tu feras cela dans cette vie et dans l'autre. Je ne refuserai rien aux âmes que tu amèneras à la source de ma Miséricorde. Chaque jour, par ma douloureuse Passion, tu solliciteras de mon Père des grâces pour ces âmes." (Petit Journal, § 1209)

    Premier jour

    "Aujourd'hui, amène-moi l'humanité entière et particulièrement tous les pécheurs. Immerge-les dans l'océan de ma Miséricorde ; ainsi, tu me consoleras de cette amère tristesse en laquelle me plonge la perte des âmes." Très Miséricordieux Jésus, dont le propre est d'avoir compassion et de pardonner, ne regarde pas nos péchés mais la confiance que nous plaçons en ton infinie bonté. Reçois-nous tous dans la demeure de ton Coeur très compatissant et ne nous en laisse jamais sortir. Nous t'en supplions par l'amour qui t'unit au Père et au Saint-Esprit.

    Chapelet de la Divine Miséricorde* (voir explications ci-dessous après la neuvaine)

    Père Eternel, pose ton regard de miséricorde sur l'humanité entière, et particulièrement sur les pauvres pécheurs, enfermés dans le Coeur très compatissant de Jésus. Par sa douloureuse Passion, montre-nous ta miséricorde afin que nous glorifiions la toute puissance de ta miséricorde pour les siècles sans fin. Amen.

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  • Quand le Seigneur "exagère" dans sa miséricorde... (homélie du pape lors de la messe chrismale)

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    De zenit.org (Anita Bourdin) :

    «Dieu exagère dans une miséricorde toujours plus grande», messe chrismale

    Homélie du pape François (texte complet) 

    « Dieu exagère dans une miséricorde toujours plus grande », dans « le pardon lui-même », explique le pape François qui  explique la « dynamique » de la miséricorde dans l’histoire de l’humanité.

    Le pape a présidé la messe chrismale en la basilique Saint-Pierre ce jeudi 24 mars, Jeudi Saint, entouré des prêtres et des évêques de son diocèse et de la curie romaine. Une messe au cours de laquelle l’évêque de chaque diocèse consacre les huiles et le saint-chrême qui servent ensuite pour les sacrements de l’Eglise et les prêtres y renouvellent leurs promesses sacerdotales.

    Le pape a rappelé la mission des prêtres d’être « témoins et ministres de la miséricorde toujours plus grande de notre Père ; nous avons la douce et réconfortante tâche de l’incarner, comme a fait Jésus, qui, «là où il passait, faisait le bien ».

    Il invite les prêtres à « exagérer » à l’imitation de Dieu lui-même: « Puisque c’est lui qui nous donne l’exemple, nous ne devons pas avoir peur d’exagérer nous aussi », car « le Seigneur exagère dans sa miséricorde ».

    Voici le texte de cette longue homélie.

    A.B.

    Homélie de la messe chrismale

    Après la lecture du passage d’Isaïe, entendant des lèvres de Jésus, les paroles : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre » (Lc 4, 21), des applaudissements auraient bien pu éclater dans la synagogue de Nazareth. Et ensuite, ils auraient pu pleurer doucement, d’une joie profonde, comme pleurait le peuple quand Néhémie et le prêtre Esdras lisaient le livre de la Loi qu’ils avaient retrouvé en reconstruisant les murailles.

    Mais les Évangiles nous disent que des sentiments opposés surgirent chez les compatriotes de Jésus : ils l’éloignèrent et lui fermèrent leur cœur. Au début « tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche » (Lc 4, 22) ; mais ensuite, une question insidieuse fit son chemin : « N’est-ce pas là le fils de Joseph, [le charpentier] », et finalement « ils devinrent furieux » (Lc 4, 28). Ils voulaient le précipiter en bas du rocher… S’accomplissait ainsi ce que le vieux Siméon avait prophétisé à la Vierge : il sera « un signe de contradiction » (Lc 2, 34). Jésus, par ses paroles et ses gestes, fait en sorte que se révèle ce que tout homme et toute femme porte en son cœur. Et là où le Seigneur annonce l’Évangile de la miséricorde sans condition du Père envers les plus pauvres, les plus éloignés et opprimés, c’est justement là que nous sommes appelés à choisir, à « mener le bon combat, celui de la foi » (1Tm 6, 12).

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  • Le Christ s’est fait pour nous obéissant jusqu’à la mort, jusqu’à la mort de la croix.

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    Christus factus est pro nobis obediens usque ad mortem mortem autem crucis.
    Propter quod et Deus exaltavit illum: et dedit illi nomen quod est super omne nomen.
    Christus factus est pro nobis obediens usque ad mortem mortem autem crucis.

    Le Christ s’est fait pour nous obéissant jusqu’à la mort, jusqu’à la mort de la croix.

    C’est  pourquoi Dieu l’a exalté et lui a donné le nom qui surpasse tout nom.

     

  • Une note historique et biblique sur la Sainte Tunique d'Argenteuil

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    affiche_sainte_tunique.jpgDu Père Noël TANAZACQ, Recteur de la Paroisse Ste Geneviève-St Martin (Paris) (Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe occidentale et Méridionale), cette note éclairante publiée en marge de l'ostension exceptionnelle de la Sainte Tunique du Christ à Argenteuil :

    La Sainte Tunique du Christ conservée à Argenteuil

    Note historique et biblique

    La sainte et précieuse tunique de Notre Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ, imprégnée de Son propre Sang, est conservée en France, à Argenteuil, en région parisienne (dans le Val-d’Oise), depuis 1 200 ans.

    1- Historique

    Les documents les plus anciens qui en parlent sont du 6 ème siècle (St Grégoire de Tours). St Jean Damascène la mentionne (en 726). Le pape de Rome Léon III, après avoir sacré Charlemagne (en 800), voulait le marier avec l’impératrice Irène (1) de Constantinople (ils étaient veufs tous les deux). En 801, il y eut un échange d’ambassades et de cadeaux : Irène offrit la sainte Tunique à Charlemagne. Celui-ci en fit don à sa fille, Théodrade, abbesse d’Argenteuil.

    Lors des invasions normandes du 9ème siècle, la Tunique fut cachée dans un mur (en 855). Mais on ne la retrouva, providentiellement, que trois siècles plus tard, en 1156. Pendant les guerres de religion, elle échappa miraculeusement à la destruction, lorsque les Protestants pillèrent la ville, en 1567. De nombreux rois vinrent la vénérer, notamment Saint Louis, Charles V et Louis XIII, ainsi que Richelieu.

    Pendant la Révolution française, le monastère fut fermé et les moines (2) dispersés. A partir de novembre 1793, sous la Terreur, le culte chrétien fut de facto aboli et le reliquaire précieux envoyé à la fonte. L’abbé Ozet (ancien supérieur de l’abbaye, devenu curé) enleva en secret la Tunique et la découpa en morceaux, en en distribuant quelques-uns à des fidèles sûrs et en enfouissant les autres dans le jardin du presbytère. Il sauva ainsi la précieuse relique de la destruction, mais cela lui causa de grands dommages.

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  • Cinq jeunes prêtres témoignent de leur fidélité au sacerdoce et du défi qu’elle représente

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    Du site de l'Eglise catholique en France :

    Des prêtres configurés au Christ par le sacerdoce

    Benoît_de_Menou_largeur

    En cette Semaine sainte – qui célèbre notamment le sacerdoce lors de la messe chrismale – nous avons demandé à cinq jeunes prêtres de témoigner de leur fidélité au sacerdoce et du défi qu’elle représente.

    Père Benoît de Menou : « Mon combat est celui de l’espérance »

    35 ans, vicaire et membre de l’équipe des vocations du diocèse de Grenoble-Vienne.

    Ce qui a la plus bougé en moi depuis mon ordination ce sont mes convictions sur l’agir pastoral : elles ne suffisent pas pour être fécond. Mon combat est d’être dans la durée pour avancer ensemble avec les gens : c’est plus long que tout seul mais on va plus loin. Cela me fait mûrir par l’écoute, par plus de compréhension, d’humilité, de capacité à m’adapter, de fatigue, de patience. Bref, beaucoup de miséricorde envers chacun et envers moi-même : cela ne s’apprend que dans la pratique. Mon combat est donc celui de l’espérance : même si cela est difficile, je me bats pour tenir bon dans le don de moi-même de cette manière que je crois être celle de Jésus et que je découvre toujours plus. Ca vaut le coup et c’est ma joie ! Avec cet état d’esprit, je suis sûr d’avancer, quelles que soient les surprises de l’aventure. La phrase qui me guide en ce moment est : « Il effacera toute larme de leurs yeux. » (Ap 21, 4)

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  • Semaine Sainte : quand le Fils qui porte maintenant le péché du monde se voit abandonné

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    24_1.jpgUrs VON BALTHASAR
    L’ABANDON DU FILS
    (source)

    L’existence de Jésus a pour fondement son "oui", préalable à la volonté du Père. Aussi, dans sa vie, tout effort de l’action repose sur la base d’un accord constant entre lui et son Père. Ce point d’orgue qui sous-tend la fugue de son action, donne à tout un rythme ordonné.

    ci-contre : « Le Christ en croix »
    Francisco de Zurbarán (1598-1664)
    Art Institute, Chicago

    Or lorsque le Père fait survenir enfin "l’heure" toujours attendue, lorsque se produit l’entrée dans la ténèbre, ce point d’orgue qui porte tout, paraît cesser de retentir : la source paternelle est tarie, le Père, jadis tout proche, se retire, sa lumière s’éteint, le Fils qui porte maintenant le péché du monde se voit abandonné.

    Mais cet abandon où le cri du Fils retentit encore vers le Père disparu, est comme la forme en creux et le négatif d’une présence et d’une union indestructibles : seul un être aussi inséparablement proche du Père qu’est le Fils peut éprouver un tel abandon. En cet état où Il connaît cet abandon, le Fils connaît aussi cette union : "Voici l’heure, elle est venue, où vous me laisserez seul. Mais non, je ne suis pas seul : le Père est avec moi".

    Nous ne possédons pas de mots ni de concepts pour exprimer ce comportement de Dieu qui accepte d’être exposé à l’agression du monde. Non pas que cette agression l’engloutisse, lui et sa puissance, dans la fatalité du monde. C’est lui-même qui met sa toute-puissance libre dans son amour libre : lui-même agit et souffre dans la liberté de l’homme Jésus ; et personne, pas même la perdition de l’homme, ne peut contraindre cet amour à entrer dans l’abandon. Dieu peut agir de lui-même ; c’est pourquoi Il a pu risquer la création de créatures libres, et celle d’un monde de l’agression. Que l’amour de Dieu soit plus inventif que la méchanceté rusée de l’homme, ce n’est pas une victoire déloyale du Créateur sur la créature ; car nous voyons l’amour l’emporter, non pas sous le mode de la toute-puissance, mais sous celui de l’impuissance.

    Or un tel état est réellement une victoire : la joie de Pâques se tient déjà sur le fondement de l’abandon éprouvé sur la Croix et aux enfers. L’abandon était comme la mise à l’épreuve déchirante de l’unité trinitaire, qui est par elle-même la joie absolue. Nous le constatons : ce n’est pas une joie inactive qui jouit d’elle-même pendant que la créature souffre, mais c’est une joie qui peut s’introduire dans toute la souffrance de ce monde, une joie qui, en même temps, l’éprouve et se manifeste comme plus profonde que tout abandon. L’engagement de Dieu pour l’homme est si définitif que toute objection contre l’ordre du monde et la Providence en est réduite au silence. Le Nouveau Testament est un livre où la joie est capable d’englober de nouveau même la souffrance la plus extrême, l’abandon de Dieu par Dieu.

    L’Évangile ne se serait pas manifesté comme le message de la joie absolue, s’il n’avait pas la force de vaincre "la grande tristesse et la douleur incessante de mon cœur", comme s’exprime saint Paul, parce que la promesse incomparable de l’amour de Dieu "nous console dans toutes nos afflictions".

    Dans l’engagement de Dieu. pp 51 & ss

  • Liège, 25 mars : Chemin de Croix du Vendredi Saint dans les rues de la Ville

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    Communiqué de presse

    Vendredi saint – Chemin de croix dans les rues de Liège, 5° édition

    Vendredi 25 mars, est la date du vendredi saint : mémoire pour les chrétiens de la mort de Jésus sur la croix, deux jours avant sa résurrection à Pâques. La Pastorale Urbaine organise pour la cinquième année consécutive, un chemin de croix dans les rues de la ville. Chapeauté par les doyens des deux rives de la ville (Rive-droite, doyen Jean-Pierre Pire et rive-gauche, doyen Eric de Beukelaer), il sera présidé pour par Mgr Jean-Pierre DELVILLE, évêque de Liège.

    Le chemin de croix partira à 18h de l’église Saint-Pholien pour arriver à 19h15 à la Cathédrale. Les marcheurs suivront symboliquement une grande croix, porteront des cierges et avanceront en chantant au rythme lent des tambours. L’événement s’adresse à un large public. Chacun peut librement y participer: Liégeois ou non, jeune ou aîné, croyant ou peu, pratiquant ou pas. Le chemin de croix est une prière par les pieds. C’est un message d’amour universel qui s’adresse bien au-delà des habitués des églises. La Pastorale Urbaine remercie l’administration communale et les forces de police. Grâce à leur aimable collaboration, pareille démarche s’organise dans d’excellentes conditions.

    Ensuite : Les participants au chemin de croix seront invités à prolonger leur démarche en participant à l’office du vendredi saint présidé par l’évêque à 19h30 à la Cathédrale. Comme le Vendredi Saint est le jour par excellence pour reconnaître notre imperfection humaine, au terme de l’office celles et ceux qui souhaitent pourront recevoir le sacrement du pardon (la confession).

    Concrètement : RDV à Saint-Pholien le vendredi 25 mars à partir de 17h30. Chemin de croix dans les rues de Liège entre 18h à 19h25. Pour ceux qui le souhaitent : office à la Cathédrale de 19h30 à 20h45, suivi d’un temps libre pour les confessions jusque 21h15. 

    Contact : Pour la Pastorale Urbaine – Doyen Eric de Beukelaer, e.debeukelaer@catho.be GSM: +32(0)474.35.90.27

  • Homélie du père Michel Zanotti-Sorkine pour le dimanche des Rameaux

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    P.Michel-Marie Zanotti-Sorkine - Dimanche des Rameaux (archives 24/03/2013 - Marseille)

  • Liège : Semaine Sainte 2016 à l’église du Saint-Sacrement , Bd d'Avroy, 132

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    Entrée libre. Tous renseignements 04.344.10.89 ou 

    sursumcorda@skynet.be

    consultez aussi le web de l'église ici et

    JPSC