Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Spiritualité - Page 552

  • Les quatre saisons du plain chant

    IMPRIMER

    ACADEMIE DE CHANT GREGORIEN A LIEGE

    Douze leçons, un séminaire, une journée festive de clôture

    n663488723_6811.jpg 

    avec Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers

    Copie de chantsgrégoriens22.jpg 

    A partir du samedi 12 novembre 2011 à 15 heures

     

    P1011071.JPG

     

    A l’église du Saint-Sacrement,

    Boulevard d’Avroy, 132, Liège

    tout savoir pour s'inscrire: lire la suite... 

    Lire la suite

  • Assise. Il y en qui n'ont toujours pas compris

    IMPRIMER

    a-assise-le-pape-denonce-le-terrorisme-religieux.jpgC’est à notre excellente consoeur de Benoît et moi que nous devons la traduction d’un article de réflexion de Massimo Introvigne à propos de la dernière rencontre d’Assise, voulue par le Saint-Père. Source :

    http://benoit-et-moi.fr/2011-III/0455009f700cc020c/0455009f8f08b7c01.html

     Recevant au Vatican les participants à la rencontre d'Assise, le Pape, le 28 Octobre, a encore eu l'occasion de clarifier la signification de l'événement.

    A en croire les vaticanistes, Benoît XVI lit quotidiennement une revue de presse, et s'il l'a fait après Assise, il doit avoir été plutôt déprimé. Il y a beaucoup d'exceptions louables, mais un certain type de presse - faisant partie d'un circuit où tout le monde connaît tout le monde, de la «Repubblica» au «New York Times» - a souligné presque exclusivement la «honte» exprimée par le Pape pour la contribution que les chrétiens eux aussi ont parfois apportée dans l'histoire à l'usage de la violence justifiée par la religion.

    Lire la suite

  • Invitation à la cohérence entre les paroles et les actes

    IMPRIMER

    Source : ZENIT.ORG

    Benoît XVI a mis en garde contre ceux qui « disent et ne font pas », ces faux maîtres qui proposent un enseignement en contraste total avec leur conduite.

    Lors de la prière de l’Angélus que le pape a récitée le dimanche 30 octobre, Benoît XVI a commenté le passage de l’Evangile dans lequel Jésus « récrimine les scribes et les pharisiens qui avaient dans la communauté un rôle de maîtres parce que leur conduite étaient ouvertement en contraste avec l’enseignement qu’ils proposaient aux autres avec rigueur ».

     

    Lire la suite

  • Quand la Parole de Dieu finit par devenir parole d'homme

    IMPRIMER

    Ignace, sur le "Temps d'y penser", propose cette réflexion sur les lectures de ce dimanche 30 octobre; l'opportunité de ces propos est évidente dans ces temps où tant de chrétiens - et de catholiques - risquent de s'approprier la Parole de Dieu pour en faire leur propre message ou celui de leurs "chapelles" :

    "Un Père, une Parole, un Peuple de frères

    Trente-et-unième dimanche du temps ordinaire

    Livre de Malachie 1,14b.2,1-2b.8-10.

    Je suis le Grand Roi, dit le Seigneur de l’univers, et mon Nom inspire la crainte parmi les nations. Maintenant, prêtres, à vous cet avertissement : Si vous n’écoutez pas, si vous ne prenez pas à cœur de glorifier mon Nom – déclare le Seigneur de l’univers – j’enverrai sur vous la malédiction, je maudirai les bénédictions que vous prononcerez. Vous vous êtes écartés de la route, vous avez fait de la Loi une occasion de chute pour la multitude, vous avez perverti mon Alliance avec vous, déclare le Seigneur de l’univers. A mon tour je vous ai déconsidérés, abaissés devant tout le peuple, puisque vous n’avez pas suivi mes chemins, mais agi avec partialité en accommodant la Loi. Et nous, le peuple de Dieu, n’avons-nous pas tous un seul Père ? N’est-ce pas un seul Dieu qui nous a créés ? Pourquoi nous trahir les uns les autres, profanant ainsi l’Alliance de nos pères ?

    Lire la suite

  • Monseigneur Rey, un évêque entreprenant et atypique

    IMPRIMER

    Nous trouvons ici ces extraits d'un article de l'Homme Nouveau consacré à l'évêque de Fréjus-Toulon :

    "L’Homme Nouveau a tracé un portrait de Mgr Dominique Rey, évêque actuel du diocèse de Fréjus-Toulon, qui pourrait être nommé prochainement à un poste plus prestigieux :

     Mgr Rey est né à Saint-Étienne en 1952. Il a fait des études très pointues de fiscalité et d’économie (maîtrise en économie politique, doctorat en économie fiscale), et a été inspecteur des finances durant trois ans. II s’est alors orienté vers le sacerdoce et est entré au séminaire de Paris, comme membre de la Communauté de l’Emmanuel, au cours de ce qu’il est convenu de qualifier « les années de plomb ». C’est le couvent des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré qui l’a accueilli, avec d’autres séminaristes de même « profil ». Il obtint une licence de théologie et un diplôme en droit canonique (il obtiendra plus tard un doctorat en Droit canonique) à l’Institut catholique de Paris, et a été ordonné en 1984 par le cardinal Lustiger, pour le diocèse de Paris. D’abord aumônier à Stan (le lycée Stanislas, rue Notre-Dame-des-Champs), il devint ensuite vicaire à Sainte-Marie-des-Batignolles. Puis il quitta Paris de 1986 à 1988, pour devenir supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, sanctuaire confié à sa Communauté. Il est ensuite rappelé à Paris, pour devenir curé de la très vivante paroisse de La Trinité, elle aussi confiée à l’Emmanuel, de 1995 à 2000.

    Lire la suite

  • Quand l'oracle de Malèves Sainte-Marie évoque la Toussaint

    IMPRIMER

    C’est une fois de plus Gabriel Ringlet, présenté comme prêtre et écrivain par La Libre, qui est invité à livrer un commentaire intitulé "Toussaint ou Halloween" à propos d’une des fêtes qui rythme le cycle liturgique : la Toussaint.

    Commentaire que La Libre résume elle-même ainsi :

    « Il n’y a pas de laide ou de belle mort. Personne ne sait comment il va l’affronter. Il est très important de rendre la mort présente dans sa vie, quand il fait beau, ou que l’on est en forme. La mort est un appel à être plus vivant ».

    Les trois premières lignes de l’article résument parfaitement la tonalité du temps, et on oserait presque dire aussi l’aveuglement ou même l’absurde :

    Les fêtes de la Toussaint et des morts continuent-elles d’être des moments forts de la société en dépit de sa sécularisation ? Sur le plan quantitatif, non, évidemment. On voit bien, depuis quelques dizaines d’années, un désinvestissement.

    Et à la question de savoir si le rite de la mort a évolué, l’écrivain-prêtre préféré de La Libre, (journal qui fut catholique jusqu’au siècle dernier), il répond : Il a plutôt bien évolué. Du côté catholique, c’est une des plus belles réussites du concile Vatican II. On a quitté l’atmosphère de morbidité, le noir des tentures qui était aussi celui des discours, pour aller vers plus de lumière, plus de légèreté. Et l’écrivain-prêtre de se réjouir de l’évolution du rite de la mort, avec l’attention d’un anthropologue : « Ce qui me paraît très heureux, c’est que le rite évolue aussi du côté de la laïcité. Je trouve que la laïcité s’est mise à investir dans cette dimension anthropologique ».

    Lire la suite

  • Jour des morts : quand le silence de Dieu est devenu presqu'une évidence

    IMPRIMER

    "Jour des morts" par Mgr Dubost

    « L’homme sans pouvoir était seul. Le temps de l’enfance était passé, où l’on tendait la main pour saisir une autre main, celle de sa mère, celle de la loi ou celle de Dieu. Certes, on pouvait tendre la main, mais on la tendait dans le vide. Toutes les victimes de ces années-là avaient tendu la main jusqu’à la dernière seconde où elles avaient crié ou prié, sur le gibet, sous la hache, sous la torture. Personne n’avait saisi cette main. Jusque dans mort, elle restait tendue, ouverte, ratatinée, seule. » Missa sine nomine, Calmann-Lévy, 1953

    Ces mots d’Ernst Wiechert, lus dans mon adolescence, sont restés dans ma mémoire. J’y ai pensé souvent. Et bien sûr à Auschwitz, à Dachau, mais aussi lors de morts que je n’ose qualifier d’ordinaire.

    Le monde a-t-il changé ? J’ai l’impression que beaucoup aujourd’hui, même s’ils le désiraient, n’osent plus tendre la main. Ils croient le monde vide et se résignent. S’ils veulent être brûlés et que leurs cendres soient dispersées, c’est pour rejoindre ce vide.

    Le silence de Dieu est devenu presqu’une évidence.

    L’inanité de toutes les promesses de vie, un Credo.

    La Toussaint, le jour des morts sont de discrets appels à résister.

    Il faut entendre dans nos déserts

    Dieu qui est là, présent... Une douce présence,

    une veilleuse qui fait entrevoir - le bonheur - la joie,

    Le caractère divin de notre humanité.

    Mgr Michel Dubost

    Évêque d’Évry - Corbeil-Essonnes

    Le 26 octobre 2011

    http://www.radinrue.com/breve6070.html

  • De la mort à la Vie

    IMPRIMER

    tombeau_vide.jpgLa fête de la Toussaint est celle de toutes les âmes sanctifiées qu’après la mort Jésus récapitule en Lui, jusqu’à ce que viennent les cieux nouveaux et la terre nouvelle du monde eschatologique: à la célébration de cette foi est aussi intimement liée la commémoration des défunts qui a lieu le lendemain.

    Comment accueillir ce mystère de la mort qui frappe toutes les formes éphémères de ce monde? Le site du magazine  "la Vie" nous invite aujourd’hui à y réfléchir. (lire la suite)

    Lire la suite

  • Comment construire un royaume de paix dont le Christ soit le Roi ?

    IMPRIMER

    Au cours de l'audience du mercredi d'hier, le pape a, sans équivoque, fait de l'évangélisation la condition de l'édification de la paix dans le monde :

    "Mais comment pouvons-nous construire ce royaume de paix dont le Christ est le roi? Le commandement qu’Il laisse à ses apôtres et, à travers eux, à nous tous est: «Allez donc, de toutes nations faites des disciples... Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde» (Mt 28, 19). Comme Jésus, les messagers de paix de son royaume doivent se mettre en marche, doivent répondre à son invitation. Ils doivent partir, mais pas avec la puissance de la guerre ou avec la force du pouvoir. Dans le passage de l’Evangile que nous avons écouté, Jésus envoie soixante-douze disciples à la grande moisson qu’est le monde, en les invitant à prier le Maître de la moisson pour que les ouvriers ne manquent jamais à sa moisson (cf. Lc 10, 1-3); cependant il ne les envoie pas avec des moyens puissants, mais bien «comme des agneaux au milieu des loups» (v. 3), sans bourse, besace, ni sandales (cf. v. 4). Saint Jean Chrysostome, dans l’une de ses homélies, commente: «Tant que nous serons des agneaux, nous vaincrons et, même si nous sommes entourés par de nombreux loups, nous réussiront à les vaincre. Mais si nous devenons des loups, nous serons vaincus, car nous serons privés de l’aide du pasteur» (Homélie 33, 1: PG 57, 389). Les chrétiens ne doivent jamais céder à la tentation de devenir des loups parmi les loups; ce n’est pas avec le pouvoir, avec la force, avec la violence que le royaume de paix du Christ s’étend, mais avec le don de soi, avec l’amour porté à l’extrême, même à l’égard de ses ennemis. Jésus ne vainc pas le monde avec la force des armes, mais avec la force de la Croix, qui est la véritable garantie de la victoire. Et cela a pour conséquence pour celui qui veut être un disciple du Seigneur, son envoyé, d’être également prêt à la passion et au martyre, à perdre sa vie pour Lui, afin que dans le monde triomphent le bien, l’amour, la paix. Telle est la condition pour pouvoir dire, en entrant dans chaque réalité: «Paix à cette maison!» (Lc 10, 5).

    Voir l'intégralité de ce texte important ici : http://www.zenit.org/article-29322?l=french

  • La rencontre d'Assise : des éclaircissements opportuns

    IMPRIMER

    Sur chiesa.espresso.repubblica.it/, Sandro Magister remet les pendules à l'heure en rappelant les objectifs de la rencontre d'Assise tels que Benoît XVI les a définis pour éviter toute confusion, tout relativisme, tout syncrétisme. C'est assez différent de l'esprit dans lequel, ici et là, certains se sont crus obligés, à cette occasion, d'organiser des manifestations interreligieuses sans prendre les précautions nécessaires pour éviter de tomber dans ces pièges (confusion, relativisme, syncrétisme).

    Nous vous renvoyons aux deux notes successives que ce vaticaniste compétent et autorisé a mises en ligne (cliquer sur les titres en gras) :

    - Assise bis. Mais revu et corrigé : L'invitation a été adressée aussi aux non-croyants et la prière se fera dans le secret des chambres. Ce sont les deux nouveautés de la nouvelle édition de ce meeting. En arrière-plan: l'année de la foi et le martyre des chrétiens dans le monde...

    - La vérité à propos d'Assise. Un inédit de Benoît XVI : "Je ferai tout ce que je pourrai pour qu'une interprétation syncrétiste ou relativiste de l’événement soit impossible". Dans une lettre adressée par le pape à un pasteur luthérien, le véritable motif de la convocation à la rencontre.

  • Le "Forum catholique romain"

    IMPRIMER

    Belgicatho touche principalement les catholiques belges francophones. C'est dommage mais notre équipe n'est pas suffisamment étoffée et ne maîtrise pas assez aisément le néerlandais pour que ce blog puisse être bilingue. Par bonheur, des amis ont constitué un "Rooms – Katholiek lekenforum - Forum Catholique Romain" et lui ont assigné une ligne et des objectifs assez voisins des nôtres.

    Ainsi, dans la récente cabale qui a été montée contre Monseigneur Léonard, nos amis du Forum ont mis en ligne des informations et des prises de position claires pour défendre le prélat malmené. Ils ont également entrepris des démarches auprès de l'évêque référendaire pour l'enseignement en Région flamande.

    Vous pouvez accéder à ce site en cliquant sur le lien suivant : http://www.katholiekforum.be/index.php?lang=fr et choisir votre langue.

  • C'est comme se trouver dans une cathédrale...

    IMPRIMER

    Cathedrale-Auch-Gd.gifLe Bayerische Staatsoper et le Jugendchorakademie de Munich, dirigés par Kent Nagano et Martin Steidler, ont offert un concert au Pape, Salle Paul VI, avec la neuvième symphonie et le Te Deum d'Anton Bruckner. Après avoir remercié les exécutants, Benoît XVI a dit qu'écouter Bruckner, "c'est comme se trouver dans une cathédrale, observer chacune de ses structures portantes qui nous dominent, nous enveloppent et nous élèvent. Au-delà des émotions que produisent ses oeuvres, symphoniques ou religieuses, il y la foi de ce musicien, une foi simple et solide qui l'a accompagné toute sa vie... Le grand chef d'orchestre Bruno Walter a dit que Malher, un autre maître de la musique romantique, a toujours été à la recherche de Dieu, tandis que  Bruckner l'avait trouvé. La symphonie que nous venons d'entendre est dédiée au Bon Dieu, comme si Bruckner avait voulu confier le sommet de son art à celui en qui il avait toujours cru, le seul interlocuteur à qui s'adresser à la fin de sa vie... Il demandait ainsi à Dieu de pouvoir accéder à son mystère...de pouvoir louer le Seigneur au ciel comme il l'avait fait sur terre dans sa musique. Son grandiose Te Deum..., qui a été écrit d'un jet, puis peaufiné pendant quinze ans pour louer au mieux le Seigneur, résume la foi de ce grand musicien" autrichien. Il nous encourage "à nous ouvrir spirituellement pour penser à la vie éternelle, non pour fuir un présent fait de problèmes et de difficultés, mais pour le vivre plus intensément avec plus de lumière, d'espérance et d'amour".

    BXVI-CONCERT/                                  VIS 20111024 (280)