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Marcel Pérès est directeur de l’Ensemble « Organum » et du CIRMA (Centre Itinérant de Recherche sur les Musiques Anciennes, fondé à l’abbaye de Moissac). Spécialiste des musiques du moyen âge, il considère la musique comme un outil de réflexion sur l’histoire des mentalités. Il est l’auteur de nombreux enregistrements et publications. Il dirige des sessions de recherche et de formation sur la musique ancienne et sa mise en œuvre dans le monde contemporain..
Dans la continuité des sessions de chant qu’il anime à Liège depuis 2013, Marcel Pérès propose cette année, à l’abbaye des Bénédictines (Bd d’Avroy, 54), trois week-ends consacrées aux
offices de la liturgie liégeoise médiévale
Fête-Dieu, Trinité, Saint-Lambert
Ces musiques portent en elles encore beaucoup d’éléments constitués au cours de la renaissance carolingienne et offrent de précieuses indications sur l’art de la scansion du plain-chant.
Les psaumes et les hymnes seront étudiés selon les techniques de faux-bourdon en usage à l’époque.
Ces conférences seront données par Marcel Pérès dans l’église de l’abbaye. Elles font partie du cycle mais on peut aussi s’y inscrire indépendamment de celui-ci.
Les inscriptions sont ouvertes. Ne tardez pas à nous renvoyer votre formule d’inscription, soit par la poste (Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7, 4020 Liège), soit par email : jpschyns@skynet.be. Vous pouvez aussi téléphoner au secrétariat de l’académie à Liège : 04.344.10.89 (depuis l’étranger : +32.4.344.10.89) ou à l’abbaye (demander Sœur Petra) : 04.223.77.20 (depuis l’étranger : +32.4.223.77.20) ou vous inscrire en ligne sur le site http://www.gregorien.com.
Tous les détails de l’organisation figurent sur la version informatique du dépliant : cliquez ici pour voir ce déplant.
Inscription en ligne ► Veuillez indiquer en remarque à quel(s) weekend(s) ou conférence(s)vous vous inscrivez
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Lu sur aleteia.org (Philippe Oswald) :
L’État islamique a réduit en poussière le plus ancien monastère d’Irak
Des photos satellites le confirment : l’antique temple Saint-Elie de Mossoul, vieux de 1400 ans, a été victime de la fureur destructrice de Daesh.
Les autorités religieuses le redoutaient, depuis la prise de la ville par les djihadistes de l’Etat islamique, en juin 2014. Les photos satellites de l’agence de presse américaine Associated Press (AP) le confirment : le plus ancien monastère chrétien d’Irak, le temple Saint-Elie de Mossoul, construit entre 582 et 590, a été rasé par l’État islamique.
« Les murs ont été pulvérisés »
Le vénérable sanctuaire a rejoint la longue liste des destructions perpétrées par Daech sur les territoires dont il s’est emparé en Irak (notamment les œuvres du musée de Mossoul cf. Aleteia) et en Syrie (en particulier le site antique de Palmyre cf. Aleteia). A ce jour, les islamistes auraient détruit une centaine de sites religieux et historiques, musées et sites archéologiques, bibliothèques, sanctuaires, églises et mosquées, tombeaux, en Syrie et en Irak.
« A la demande de l’agence de presse américaine AP, le cabinet d’imagerie spatiale DigitalGlobe a pris des photos satellite du site. En les comparant avec des images antérieures, DigitalGlobe a pu identifier la date du «crime» : entre le 27 août et le 28 septembre 2014. Avant le 27 août, même sans toit, le monastère avait encore ses 26 chambres, son sanctuaire et sa chapelle. Un mois plus tard, «les murs de pierre ont été littéralement pulvérisés», constate pour AP le spécialiste en imagerie satellitaire Stephen Wood, PDG de l’analyse AllSource » rapporte le magazineGeopolis de FranceTV.info.
«Je ne peux pas décrire ma tristesse»
« L’édifice avait survécu à des siècles de catastrophes naturelles et humaines. Des générations de moines avaient prié dans sa chapelle à la lumière de la bougie. Sur la porte d’entrée, avaient été creusées les lettres grecques «chi» et «rho», représentant les deux premières lettres du nom du Christ dans l’alphabet grec » relève Le Figaro.
«Je ne peux pas décrire ma tristesse», a confié à l’AP (en anglais) le révérend Paul Thabit Habib, natif de Mossoul, depuis son exil dans la ville d’Erbil : «Notre histoire chrétienne à Mossoul est victime d’une barbarie jamais égalée. Nous voyons cela comme une tentative de nous expulser d’Irak et de nous éliminer de cette terre.»
De fait, les chrétiens d’Irak qui étaient environ 1,3 million, ne seraient plus que 300.000, selon les estimations des autorités ecclésiastiques. La présence des chrétiens en Irak remonte à plus de 2 000 ans.
Concert suivi du verre de l'amitié
Entrée : 9 euros, prévente 6 euros, gratuit pour les enfants de moins de 10 ans.
Réservations : 0473 32 19 83
Vu sur le site du petit Placide :
Ref. Messe de la Nativité
Une liturgie qui nous parle. A Poutine aussi, semble-t-il.
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L’ "Église" épiscopale des États-Unis vient d’être exclue des réunions et événements officiels de la Communion anglicane pour une durée de trois ans. Cette décision collégiale fait suite à des prises de positions contestées sur la question du mariage homosexuel, qu’elle accepte de célébrer depuis un an. Hugues Lefèvre dans « famille chrétienne :
« Justin Welby, l’archevêque de Cantorbéry, avait annoncé la semaine dernière sur Twitter que la Communion anglicane allait être secouée. Il ne s’est pas trompé. À l’issue d’un sommet rassemblant à huis clos les prélats des trente-huit provinces de la Communion anglicane, l’Église épiscopale – qui représente dans les faits la branche américaine de l’Église anglicane – a été sanctionnée. « Pendant trois ans, l’Église épiscopale ne sera plus considérée comme un de nos membres. […] Ses dirigeants ne prendront plus part aux décisions sur les sujets doctrinaires ou de règlements », peut-on lire dans un communiqué en date du 14 janvier.
Cette suspension est justifiée par les positions très libérales de l’Église épiscopale sur la question du mariage homosexuel. « En changeant récemment ses règles sur le mariage, l’Église épiscopale a créé une rupture fondamentale sur la foi et l’enseignement de la doctrine du mariage portée par la majorité de nos Provinces », détaille le communiqué.
L’année dernière, après un vote interne, l’Église épiscopale avait en effet décidé d’autoriser les mariages entre les personnes de même sexe. Elle avait également adopté un nouveau rite afin de pouvoir marier aussi bien les couples hétérosexuels qu’homosexuels. Ces décisions avaient alors choqué certaines Églises de la Communion anglicane, notamment en Afrique.
Le communiqué stipule également que « la majorité » des prélats rassemblés à Cantorbéry réaffirme que « la doctrine traditionnelle de l’Église en ce qui concerne l’enseignement des écritures considère le mariage comme l’union à vie entre un homme et une femme ».
Ref. Mariage gay : la Communion anglicane prend des sanctions
La communion anglicane est l’équivalent religieux du commonwealth britannique : un club sans portée contraignante autre que celle d’exclure les membres qui contreviennent à son règlement d’ordre intérieur.Comme l’a précisé l’ « archevêque » Welby, primat de l’Eglise anglicane, « nous n’avons pas le pouvoir de sanctionner une Eglise (sic) dans ses activités, seule sa participation à la vie de communion sera impactée », une « vie commune » qui représente bien peu de chose…
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ORDRE MILITAIRE ET HOSPITALIER DE SAINT LAZARE DE JERUSALEM
SOUS LA PROTECTION TEMPORELLE DE LA MAISON ROYALE DE FRANCE - CHAPELAIN GENERAL, SON EMINENCE LE CARDINAL DOMINIQUE DUKA
50EME GRAND-MAITRE, SON EXCELLENCE LE COMTE DOBRZENSKÝ Z DOBRZENICZ
GRAND PRIEURE DU ROYAUME DE BELGIQUE ET DU GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG
Ce samedi 16 janvier 2016 aura lieu au Couvent de Maleizen*, la fête de la Saint Lazare.
L’ordre de Saint Lazare est une association existant dans 23 pays et dont les actions caritatives se déploient aussi bien en Belgique qu’à l’international.
Voir aussi : http://www.belgicatho.be/archive/2014/05/02/l-ordre-militaire-et-hospitalier-de-saint-lazare-de-jerusale-5360420.html
Les personnes qui souhaiteraient faire connaissance avec l’Ordre sont les bienvenues à la messe ainsi qu’au déjeuner :
Afin de préparer au mieux cette magnifique journée, voudriez-vous bien réserver votre participation au plus tard pour le jeudi 14 janvier 2016 à midi soit par mail à saintlazarebelgique@skynet.be ou par téléphone au 0494/300.886.
Le paiement s’effectuera sur le compte du Grand Prieuré : BE57 3631 4483 0235 BIC : BBRUBEBB
Tout renseignement complémentaire au numéro de téléphone ci-dessus.
*Couvent de Maleizen, Terhulpensesteenweg, 708 – 3090 Maleizen/Overijse
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Le samedi 9 janvier prochain, aura lieu la Fête traditionnelle de l’Epiphanie organisée à Liège en l’église du Saint-Sacrement, boulevard d’Avroy, 132 (face à la statue équestre de Charlemagne). Il s’agit d’une fête familiale, avec la procession à la crèche avant la messe, le partage de la galette des rois et l’échange des vœux pour l’an nouveau au cours d’une réception ouverte à tous .
Deux excellentes chorales polyphoniques animeront cette fête : la « Magnanarelle » et l’Ensemble « Praeludium ».
À 16h30, un petit prélude concertant nous permettra d’entendre les chants de la « messe du millénaire de la collégiale Saint-Barthélemy » interprétés par la Magnanarelle sous la direction du compositeur : Ghislain Zeevaert.
Les voix de l’Ensemble « Praeludium » (dir. P. Wilwerth) suivront avec des psalmodies hébraïques ainsi que des œuvres composées pour la liturgie slavone et, à 17h00, la messe de l’épiphanie sera célébrée (missel de 1962) avec le concours des mêmes chanteurs, tous issus de nos conservatoires ou académies de musique .
Le Kyriale de la célébration sera celui de la messe Litanies d’Oksana. Au programme également, outre le propre grégorien, des œuvres de Piotr Ilitch Tchaïkovski, Tomás-Luis de Victoria, Padre Madina, Ghislain Zeevaert et Patrick Wilwerth. A l’orgue Thomas du Saint-Sacrement : Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers. Photo ci-contre.
Cette initiative conviviale se veut aussi une contribution au développement d’une musique liturgique de qualité : la découverte mérite le détour.
Entrée libre. Renseignements : 04.344.10.89 -
E-mail :sursumcorda@skynet.be Site web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
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O Magnum Mysterium (Tomas-Luis da Victoria)
Divine Liturgie: Dostojno jest
De "Paix Liturgique" :
LE CARDINAL SARAH PLAIDE POUR UNE ÉDUCATION LITURGIQUE SÉRIEUSE |
Dans un très intéressant entretien donné au vaticaniste allemand Armin Schwibach pour l’agence kath.net et publié début décembre 2015, le cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des sacrements, est revenu sur l’importance de la liturgie dans la vie chrétienne. Nous vous proposons notre traduction des passages concernés en vous invitant à lire le reste du texte (ici en allemand, ici en italien) dans lequel le cardinal s’exprime sur la menace islamiste, l’apostasie silencieuse de l’Europe, le Synode des évêques et l’indissolubilité du mariage sacramentel. (...) 1) Redécouvrir l’inestimable valeur de notre baptême La liturgie est par elle-même source et sommet de la vie chrétienne et ce bien au-delà de toute catéchèse. Toutefois, il est exact qu’il y a la nécessité d’une formation liturgique ayant pour objet une plus profonde compréhension des sacrements. Il est vital et urgent pour l’homme de renouer des relations personnelles et intimes avec Dieu à travers une vraie et intense vie liturgique et sacramentelle. Aujourd’hui comme jamais le chrétien a un profond besoin de redécouvrir l’inestimable valeur de son baptême, de l’Eucharistie, de l’humble confession de ses péchés. Pour cette raison, on a besoin d’une initiation chrétienne pour aider les baptisés à faire de la beauté de leur rencontre personnelle avec Dieu dans la prière et de l’adoration le sens ultime de leur vie. 2) Notre plénitude est en Dieu Nous avons été créés pour aimer, prier et adorer Dieu. C’est quand l’homme se met à genoux devant Dieu , qu’il atteint le plus haut degré de l’existence. La liturgie vécue avec piété et sacralité, foi et amour, nous porte à la plénitude en Dieu. Quand l’homme ne ressent plus Dieu, la vie devient vide. On peut la remplir par des richesses matérielles – argent, loisir, sexe – mais cela reste insuffisant. 3) Respecter le silence sacré Comme l’affirmait le Pape émérite Benoît XVI, la racine des manquements en matière de liturgie tient à un problème de foi. Sans une claire ecclésiologie eucharistique et une christologie centrée sur la Sainte Messe, il est inutile de parler de « réforme de la réforme ». La vraie réforme se fera seulement à travers une éducation liturgique sérieuse qui aura pour objet, comme je l’ai déjà expliqué, la redécouverte de ce que le Concile nous a légué. Un exemple parmi d’autres serait le respect du « silence sacré » dans la liturgie. Il y a tant de moments de silence prévu par la liturgie pour être des moments privilégiés pour prier et faire l’expérience de la présence du Seigneur mais qui, bien des fois, faute d’en comprendre la valeur, sont délaissés au risque de nous détourner de la contemplation du ciel qui est un élément essentiel de la liturgie de l’Église. 4) L’amour et l’unité En ce qui concerne les abus, les fidèles sont appelés avant tout à tenter de se confronter avec leur curé, y compris en priant pour lui. Ensuite, si celui-ci s’entête et renouvelle l’abus, les fidèles sont invités à en faire part à leur évêque. Celui-ci, une fois l’abus constaté, est tenu de corriger le prêtre mis en cause, en lui rappelant avec fermeté que « le droit de régler l’organisation de la liturgie dépend uniquement de l’autorité de l’Église ; il appartient au Siège apostolique et, selon les règles du droit, à l’évêque. […] C’est pourquoi absolument personne d’autre, même prêtre, ne peut, de son propre chef, ajouter, enlever ou changer quoi que ce soit dans la liturgie. » (SC n° 22) Tout ceci, cependant, devant se faire en ayant à cœur la finalité de la liturgie et de l’Église elle-même : l’amour et l’unité. |
Qui parle encore de la « réforme dans la continuité » préconisée par Benoît XVI dans son discours du 22 décembre 2005 à la curie romaine ? Autant dire avant le déluge. Aujourd’hui c’est le cardinal Marx, l’un des membres les plus influents du C9 du pape actuel, qui donne le ton dans les cercles influents de l’Eglise. Lu sur réinformation tv:
Avec d’autres prélats et prêtres allemands, le cardinal Reinhard Marx a appelé lors d’une conférence qui s’est tenue du 6 au 8 décembre à des changements fondamentaux au sein de l’Eglise catholique, afin de mettre pleinement en œuvre le concile Vatican II, ont-ils affirmé. Le cardinal Karl Lehmann, ancien président de la conférence des évêques d’Allemagne, a pris la parole dans le même sens.
Un événement sous l’égide du cardinal Reinhard Marx
C’est un événement qu’on ne peut qualifier de marginal puisque le cardinal Marx, archevêque de Münich, est un membre du « G9 » du pape François : son cercle restreint de conseillers pour la réforme de la curie et du gouvernement de l’Eglise, et il est réputé avoir une forte influence sur le souverain pontife. En outre, la conférence était organisée par l’archidiocèse de Münich où se sont rassemblés quelque 200 théologiens.
La conférence, sur le thème « Ouvrir le Concile – théologie et Eglise à la lumière du Concile Vatican II », a abouti à une déclaration où les participants proposent une liste de réformes qu’il a selon eux « impulsées ».
Des changements fondamentaux dans l’Eglise
Les voici dans leur intégralité, tant elles forment un programme cohérent qui montre le plan d’ensemble des partisans d’un aggiornamento complet :
• « Tant que la liberté de conscience, la liberté d’expression et les droits des laïques à la participation ne sont pas pleinement reconnus au sein de l’Eglise catholique, le caractère de la Foi en tant qu’acte du libre arbitre ne sera pas pleinement pris en compte. »
Vu sur le site de « riposte catholique » :
La “une” du n° 9 du Journal de Tintin (23 décembre 1948 – première année de publication de l’hebdomadaire). O tempora, o mores !
Saint et joyeux Noël à tous – et pas seulement à ceux de nos lecteurs qui seraient âgés de 7 à 77 ans…
ref. l'image du jour
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Vendredi 25 décembre 2015
10h00, messe en latin (missel de 1962)
Chants grégoriens: kyriale de la Missa « Cum Jubilo », propre de la messe du jour de Noël.
Chants Vieux Romains: introït « Puer natus est » et communion «Viderunt omnes » (manuscrits du XIIe s.)
Motets polyphoniques anciens: « Gaudens in Domino » (conduit du XIIIe s), « Magnum Nomen Domini » (invitatoire de Noël), Adeste fideles (hymne du XVIIe s.)
A l’orgue, Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers
Puer natus est ( vieux romain, ms. XIIe s.)
invitatoire "Magnum Nomen Domini Emmanuel"
11h15, messe en français (missel de 1970)
Chants grégoriens (Messe des anges)
Noëls populaires : « les anges dans nos campagnes », « il est né le divin enfant », hymne « adeste fideles »
A l’orgue, Mutien-Omer Houziaux, (titulaire ém. des orgues de la cathédrale de Liège) et au violoncelle, Octavian Morea (orchestre philharmonique de Liège)
adeste fideles
Plus de renseignements sur le site web :