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Témoignages - Page 296

  • Du « Point » sur l’affaire Martin

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    Pour à la fois défendre les clarisses et dire leur soutien aux familles de victimes les évêques de Belgique se sont exprimés par la voix de leur porte-parole, le père jésuite Tommy Scholtès, dans les termes prophétiques que voici : les évêques assurent "comprendre la douleur des parents des victimes et des victimes elles-mêmes". Le communiqué ajoute:  "Ils ont pris connaissance de l’arrêt de la Cour de Cassation et ils respectent cette décision. Suite à une demande de la Justice, les Clarisses ont accepté l’accueil d’une personne remise en libération conditionnelle qui souhaite se reconstruire".

    Quand un athée proclamé vole au secours des Clarisses dans l’hebdomadaire « Le Point »,  cela donne ceci (extraits) :

    Charité chrétienne

    (…) Entre les déplorables carences de la justice belge et la grandeur morale des parents des petites martyres, il reste encore à comprendre - et je peux dire là, en âme et conscience, justifier - ce qui motive, en toute logique, les soeurs du couvent des Clarisses de Malonne, paisible bourgade située non loin de la ville de Namur, à accueillir aussi généreusement, peut-être à leurs risques et périls, une Michelle Martin, la femme la plus honnie du royaume, qui, sans leur providentiel secours, ne saurait où aller ni à quel saint (c'est le cas de le dire) se vouer, risquant même de se faire lyncher par une foule assoiffée de vengeance, à partir du moment où, soudain livrée ainsi à la rue, cette libération met sa vie, paradoxalement, en danger.

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  • Aller sur les pas du Père Damien

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    Viens et vois... sur les pas du Père Damien

    Tu as entre 17 et 35 ans ? Pars avec nous à la découverte du Père Damien, du 7 au 9 septembre 2012.

    Ce missionnaire belge a choisi de rejoindre les lépreux que la société hawaïenne de son temps parquait sur l’île de Molokaï où ils n'avaient plus qu'à mourir abandonnés de tous. L'unique désir du Père Damien en partant vivre au milieu d'eux était de leur rendre dignité et espérance. Il le fera pendant seize ans, avant de mourir lui-même de la lèpre. Une vie bouleversante, qui s’est laissée saisir par le Christ.

    Au programme du week-end : marche (12km), enseignements, partages, célébrations, visites (Tremelo & Louvain). Nous serons accompagnés par l'Abbé Jean Pierre Pire.

    Si l'aventure te tente, ne tarde pas car nous ne pourrons pas accepter plus de 38 personnes !!!

    Contact : Elisa Di Pietro - 0477/13.61.64 - elisadipietro777@hotmail.com  / Tiziana Svaldo Lanero - 0492/85.01.01 - tizianasvaldolanero@libero.it

    Horaire : Début : 07/09/2012 à 18:00; Fin : 09/09/2012 à 20:00

    Lieu principal : Tremelo & Louvain, Pater Damiaanstraat, 3120 Tremelo - Belgique

  • Chrétiens en politique : ne pas se laisser broyer par la pensée unique

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    Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, a accordé une interview à La Croix, à l'occasion de l'université d'été qui se déroule dans son diocèse du 30 août au 2 septembre. Il estime que les jeunes d’aujourd’hui doivent à la fois afficher leur foi et s’engager dans la société.

    Il déclare notamment :
    "... Depuis des siècles, notre culture a été façonnée par le christianisme. Et pourtant, l’Église semble aujourd’hui marginalisée. Autrement dit, cette société marquée par le christianisme a perdu la substance de ce qui la fonde. (...)
    Dans un monde qui est privé de références chrétiennes, le christianisme a quelque chose à dire dans notre monde, qui est de l’ordre d’une espérance, du témoignage de communion, du sens de l’homme. ...la situation minoritaire n’est en rien une fatalité : l’histoire montre que les personnes en situation minoritaire ont souvent provoqué des basculements. (...)
    Il est nécessaire, pour les jeunes d’aujourd’hui, d’avancer parfois à contre-courant pour ne pas se laisser broyer par la pensée unique. Cela ne signifie pas qu’il faut se replier dans une forme de communautarisme, mais qu’il faut à la fois être inséré dans notre société et afficher sa foi et ses principes. La foi n’est pas seulement pour soi-même, mais porte aussi en elle une dimension universaliste. C’est la preuve d’une grande liberté de porter ainsi un message qui vous dépasse. (...)
    Comme chrétiens, nous sommes responsables vis-à-vis de la société. C’est pourquoi la politique est l’une des formes de la charité.

  • L'itinéraire de Thibaut

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    Nous "empruntons" aux "Jeunes cathos" ce témoignage intitulé : "Le dialogue et la conversion"

    L’association Coexister propose aux jeunes d’explorer toutes les dimensions de l’interreligieux : le dialogue, la solidarité, la sensibilisation, la formation et les voyages. Thibaut, responsable du programme de dialogue interreligieux de Coexister, témoigne sur l’importance du dialogue pour lui.

    Il y a de multiples raisons pour lesquelles des personnes s’engagent dans le dialogue inter-religieux : cela peut être par goût pour le contact humain, par attrait pour l’exotisme, pour redécouvrir sa propre foi à travers l’effet miroir d’un regard extérieur, pour apprendre d’avantage de celle des autres, ou encore pour promouvoir la connaissance et le respect mutuel.

    Il y a quatre ans à peine, les questions religieuses m’étaient étrangères, n’ayant pas été baptisé enfant ni reçu d’éducation religieuse. Alors étudiant en Droit Public, j’ai été amené à étudier le Droit Islamique dans le cadre d’un cours sur les Grands Systèmes juridiques contemporains.  Cela m’incita à discuter avec mes amis musulmans pour en savoir d’avantage. J’ai donc étudié, approfondi mes connaissances juridiques en Droit Islamique, puis ait dépassé peu à peu ce sujet pour étudier les penseurs de l’Islam (notamment le courant Mutazilite) et la mystique musulmane. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire à ce moment là, je n’ai jamais été dans une démarche de conversion à l’Islam : je développais le désir d’en savoir plus, de mieux connaître mon prochain, de mieux appréhender les enjeux sociétaux liés au fait musulman.

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  • Jean-Baptiste : un témoignage à la vérite sans compromis

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    Le Caravage, décollation de saint Jean-Baptiste

    « En tant que prophète authentique, Jean rendit témoignage à la vérité sans compromis. Il dénonça les transgressions des commandements de Dieu, même lorsque leurs auteurs en étaient les puissants. Ainsi, lorsqu’il accusa Hérode et Hérodiade d’adultère, il le paya de sa vie, scellant par le martyre son service au Christ qui est la Vérité en personne. Invoquons son intercession, ainsi que celle de la très sainte Vierge Marie, afin que de nos jours également, l’Eglise sache demeurer toujours fidèle au Christ et témoigner avec courage de sa vérité et de son amour pour tous ».

     Benoît XVI

  • Une confession dont il se souviendra

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    Nous lisons ici :

    Augustin Deney garde précieusement en souvenir sa rencontre en tête-à-tête avec Benoît XVI, le matin du samedi 20 août (2011). Peu avant l’ouverture des JMJ, un tirage au sort est organisé au siège de l’organisation dans la banlieue de Madrid parmi des centaines de jeunes bénévoles pour désigner quatre personnes qui seront confessées par le pape. 

    Augustin, qui souffre d’un handicap visuel l’obligeant à travailler devant un écran adapté, est le benjamin et la coqueluche de toute l’équipe. Lorsque son nom est tiré au sort, les autres volontaires explosent de joie.

    Quelques jours plus tard, il rencontre Benoît XVI dans l’un des confessionnaux en plein air installés dans le jardin du Retiro. « Le sacrement était le même qu’avec n’importe quel autre prêtre. Il n’empêche, c’était très fort. Par ce qui s’est dit et par le contexte. »  Il se remémore à certaines occasions les propos de Benoît XVI, qu’il tient secrets. Sa famille et ses amis lui rappellent aussi régulièrement cette entrevue extraordinaire. « Quand nous rencontrons de nouvelles personnes, mes amis me présentent comme celui “qui a été confessé par le pape” », sourit-il.

    Tout l'article est ici : http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/Augustin-Desney-marque-par-les-mots-du-pape-_EG_-2012-08-27-846597

  • Marriage Encounter Belgium a 40 ans

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    Le mouvement « Vivre et Aimer » au service des couples et familles depuis 40 ans. 

    A une époque où l’Europe politique et économique suscite des réactions mitigées au sein de la société, elle-même bousculée dans ses valeurs,  le mouvement Vivre et Aimer Belgique (membre de Marriage-Encounter International) répond,  depuis 40 ans, à ces crises par des WE de réflexion, de partage et des rencontres régulières pour couples, prêtres et jeunes.

    Depuis sa création aux Etats-Unis en 1968, des centaines de milliers d’hommes et de femmes à travers le monde entier ont participé à un WE en choisissant de vivre leur relation sous le signe de la communication et du dialogue.

    Quelques chiffres :

    ·         Le premier WE pour couples, prêtres et religieux/religieuses, en Europe a eu lieu en 1972 en Belgique. Depuis,  19000 personnes ont vécu ce WE en Belgique.  

              C’est notre pays qui est à l’origine de son expansion dans les autres pays européens et même au-delà.

    ·         Aujourd’hui, 19 pays d’Europe vivent ce même WE et 90 pays sur l’ensemble des continents.

    ·        De nouveaux WEs ont vu le jour, par exemple en 1978, le WE pour les  fiancés (depuis lors,16500 participants ont vécu ce WE).  Et par la suite, des WEs pour jeunes,  séniors, et, cette année, le 1er WE pour les 

               célibataires,veuves,  veufs, divorcé(e)s.

    ·         En Belgique, plus de 50 WEs par an sont organisés avec près de 2000 participants et 150 animateurs. 

     

    Le samedi 8 septembre de 14 à 22h, à l'Institut Don Bosco, rue des Wallons, à Liège, plus de 300 membres, jeunes, fiancés, couples jeunes et moins jeunes se déplaceront des 4 coins de la Belgique francophone pour fêter ce 40ème anniversaire.
    Enjeux ?

    • Offrir un beau moment de rencontres, de fête et de dialogues à tous ceux qui ont, un jour, participé à un WE.
    • Rappeler ou faire prendre conscience de notre force : Vivre et Aimer propose une réponse, utilisons-là !
    • Montrer notre action auprès des jeunes, des couples, des célibataires, des divorcés, … Par le partage et le dialogue, nous pouvons allez encore plus en avant!

    Opemstraat, 52  3080 Tervuren

    info@vivre-et-aimer.be

    www.vivre-et-aimer.be

  • Les persécutions ne nous empêcheront pas de témoigner de l'amour de Dieu

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    Interview du Cardinal Appiah Turkson sur les attaques continues contre les chrétiens (Osservatore Romano, en anglais et en italien)

    Les massacres ne nous empêcheront pas de témoigner de l'amour de Dieu
     
    Pourquoi y a-t-il tellement de violence contre les chrétiens dans certaines parties du monde ? Serait-ce simplement pour des raisons idéologiques ? Ou est-ce que la voix des chrétiens doit être réduites au silence car elle va à contre-courant de la direction dans laquelle l'humanité à la dérive semble s'orienter ? Ou est-ce êut-être parce que les chrétiens constituent une communauté sans défense, qu'il est donc facile d'attaquer sans subir de nombreux risques, que le terrorisme peut aisément mettre sur la scène mondiale à des fins politiques ? En un mot, comment actualiser le thème « Bienheureux les artisans de paix », que le pape a proposé pour la célébration de la Journée mondiale de la paix en 2013 ? Ces questions sont posées régulièrement quand les nouvelles du monde (...) allongent la liste des gens qui meurent à cause de leur foi et soulignent l'urgence des appels incessants et pressants du pape en faveur de la paix. Nous avons cherché des réponses dans notre conversation avec le Cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, président du Conseil Pontifical Justice et paix.

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  • Un monastère renaît des cendres concentrationnaires

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    C'est ici : La restauration du monastère de Solovetski

    La restauration du monastère orthodoxe de Solovetski, situé sur les îles Solovki en mer Blanche est un des plus importants objectifs de l’Etat et de l’Eglise russe. C’est le monument au courage et à la force spirituelle de nos ancêtres, a indiqué le patriarche de Moscou et de toute la Russie Cyrille se trouvant actuellement sur les îles Solovki.

    Le monastère Solovetski ou Solovki a été fondé en 1429 par les moines Gherman (Herman) et Savvati (Sabbatius, Sabbace) venus du monastère de Kirillo-Belozerski. Aux XVème et XVIème siècles, le monastère s'est rapidement enrichi, augmentant son territoire pour devenir un des plus célèbres couvents sur le territoire russe et à l’étranger.

    « Chaque fois que je visite les îles de Solovki, l’éprouve un sentiment particulier. La beauté et la sévérité de la nature nordique accentue cet exploit que les gens ont accompli en nom de Dieu ayant renoncé à la vie mondaine et aux conditions plus ou moins confortables de l’existence pour sauver leur âme », a souligné le patriarche.

    Les îles de Solovki constituent un endroit particulier pour Cyrille lié aux émotions personnelles. Après la révolution bolchevique de 1917, les autorités soviétiques ont fermé progressivement le monastère entre 1920 et 1923 pour incorporer ses bâtiments dans le vaste complexe répressif des Solovki. Les moines, sécularisés, restèrent pour accomplir des travaux de force ainsi que pour accueillir les premiers déportés « contre-révolutionnaires », avant d'être à leur tour adjoints à la masse des prisonniers avec le développement des campagnes anti-religieuses qui suivirent la guerre civile russe.

    « Mon grand-père Vassili a été envoyé en exil avec les autres prêtres. Un jour, ces exilés orthodoxes ont décidé de prononcer un office. Mon grand-père a été condamné à 30 jours d’isolation sur le mont Sekirkaïa, peine presque insupportable surtout pendant les froids ». Le grand-père père du patriarche a eu de la chance, il a survécu à ces affreux 30 jours.

    Aujourd'hui, le monastère Solovetski a retrouvé son activité d'origine, une quarantaine de moines y habitent et participent à sa restauration. Plus de 350 millions de roubles (plus de 10 millions de dollars) ont été investis pour ces buts par la direction de la région d’Arkhangelsk en 2012.La restauration du couvent est une affaire sainte, est persuadé le patriarche Cyrille. Mais il est très important que la modernisation de change pas la grandeur de cet endroit, a-t-il souligné.

  • Un Roi et un Saint

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    saint-louis4.jpgC'est aujourd'hui la fête de saint Louis. L'occasion de relire les enseignements adressés par ce Roi de France, du XIIIème siècle, à son fils :

    Cher fils, je t'enseigne premièrement que tu aimes Dieu de tout ton cœur et de tout ton pouvoir, car sans cela personne ne peut rien valoir.

    Tu dois te garder de toutes choses que tu penseras devoir lui déplaire et qui sont en ton pouvoir, et spécialement tu dois avoir cette volonté que tu ne fasses un péché mortel pour nulle chose qui puisse arriver, et qu'avant de faire un péché mortel avec connaissance, que tu souffrirais que l'on te coupât les jambes et les bras et que l'on t'enlèvât la vie par le plus cruel martyre.

    Si Notre Seigneur t'envoie persécution, maladie ou autre souffrance, tu dois la supporter débonnairement, et tu dois l'en remercier et lui savoir bon gré, car il faut comprendre qu'il l'a fait pour ton bien. De plus, tu dois penser que tu as mérité ceci (et encore plus s'il le voulait) parce que tu l'as peu aimé et peu servi, et parce que tu as fait beaucoup de choses contre sa volonté.

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  • S'interdire tout compromis avec le mal, un premier préalable

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    Quelle issue possible pour les croyants dans l'effondrement actuel? Beaucoup de gens acquiescent aux enseignements de l'Eglise puis s'en retournent à leurs occupations, professionnelles notamment, sans trop se poser de questions sur les implications éthiques de ce qu'ils font. Cette attitude aboutit à des compromis ou à des compromissions avec le mal auxquels aucun croyant ne devrait se livrer. Ainsi en va-t-il dans de nombreux secteurs d'activités, mais tout particulièrement dans celui, sensible, de l'activité médicale. Jeanne Smits relate le parcours d'un chercheur bardé de diplômes qui a choisi de refuser de participer à des recherches impliquant l'utilisation de cellules prélevées sur des foetus avortés. Son cas est exemplaire et devrait être suivi par toutes celles et tous ceux qui, de près ou de loin, ont une profession où ils sont confrontés à de tels choix éthiques.

    Lire : un chercheur préfère perdre son emploi

  • Scènes de chasse en Wallonie

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    belgique-dutroux-nonnes.jpgLu sur le site du « Nouvel Observateur »

    « En Wallonie profonde, une petite communauté de religieuses a offert une deuxième chance à la complice de Marc Dutroux (le tueur en série pédophile), condamnée à trente ans de prison pour complicité d’enlèvement d’enfants et promise à une libération sous conditions à la fin du mois. Depuis, leur vie est un enfer.

    La scène dure sept secondes très exactement. Sept secondes au milieu d’un déluge de vociférations. Le 31 juillet, à 19h30, le JT de la RTBF consacre son édition spéciale à la libération conditionnelle de Michelle Martin, qui vient d’être rendue publique.

    L’émoi est énorme. Sur le plateau, un ancien président de tribunal de première Iistance, Christian Panier, tient le rôle du pédagogue venu expliquer la décision du tribunal d’application des peines aux téléspectateurs. Entre deux questions, il glisse :

    « Pour ma part, je trouve extrêmement touchant, dans les circonstances actuelles, de voir ces vieilles religieuses prêtes à accueillir madame Martin. »

    Sept secondes. Ce fut une des rares, sinon la seule, marque de sympathie à l’égard des onze sœurs clarisses, qui ont plongé la tête la première dans une tourmente médiatico-judiciaire sans fin. Ce dimanche après-midi, une manifestation organisée à Bruxelles par le père d’une victime de Marc Dutroux a encore rassemblé quelque 5000 personnes.

    La une de Sud presse du 1er août 2012 

    La petite communauté des clarisses de Malonne, qui vit retirée dans la campagne namuroise selon les vœux de contemplation et de pauvreté propres à la congrégation, a été brutalement tirée de son existence discrète : dès le lendemain de l’annonce, Sudpresse, le quotidien le plus lu en Belgique francophone, publie à la une la photo des sœurs, extraite d’un site catholique. Le titre :

    « Voici les nouvelles amies de Michelle Martin. »

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