Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Témoignages - Page 295

  • Profanation et abandon des lieux chrétiens orthodoxes à Chypre

    IMPRIMER

    La profanation des églises dans la partie nord de Chypre (orthodoxie.com)

    Le site Sobor.by poursuit la publication de photographies récentes sur la profanation et l'abandon des lieux orthodoxes (églises, cimetières) dans la partie nord de Chypre, occupée par l'armée turque depuis 1974. A voir ici (dont photographie ci-dessus).
  • Un colloque sur Pie XII aux Facultés de Namur les 24 et 25 octobre prochains

    IMPRIMER

                    FE_DA_081114_pius_vertical.jpg                          Lu sur le Blog consacré à Pie XII: un colloque sur ce pape éminent se tiendra les 24 et 25 octobre prochains à Namur. Il débutera par une soirée (à partir de 18h) avec la projection du film "Amen" (longuement étudié sur ce blog) et d'un documentaire réalisé par la télévision allemande ZDF, suivis d'un débat.

    Une matinée sera ensuite consacrée à évaluer les images de la papauté dans l'histoire du XXe siècle, les modifications de ces représentions et les raisons de ces modifications. La question de fond que cette matinée voudrait aborder est surtout la suivante : quel rôle joue l'image que chaque époque se fait du Pape dans cette demande qui lui est adressée de s'exprimer ou de pas s'exprimer publiquement sur des questions qui touchent la communauté humaine ? Enfin, l'après-midi sera consacrée à explorer d'autres facettes de la personnalité de Pie XII, avec plusieurs interventions portant sur les rapports de Pie XII et la science, la liturgie, la philosophie.

    Le colloque veut proposer un approfondissement de la figure et de l'œuvre de Pie XII en croisant la question qui est controversée aujourd'hui, à savoir son supposé 'silence' face à la déportation et à l'extermination des juifs dans les camps de concentration nazis. Après avoir été fort actuelle dans les années 60, suite à la diffusion de la pièce de Hochhuth, Le Vicaire, en 1963, cette question revient dans l'actualité après la reprise de la pièce de Hochhuth par le metteur en scène Costa Gavras dans le film Amen, et ensuite à cause de la récente discussion autour de l'ouverture du procès de béatification.

    Ce colloque, tout en étant de niveau scientifique, sera ouvert au grand public et accessible aux étudiants. Trois axes y seront particulièrement développés :

    - Pie XII, l’image de la papauté au XXe siècle et ses répercussions sur la fonction papale

    - Pie XII et la controverse : le 'silence' du pape

    - Pie XII et la nouveauté (théologie, liturgie, science, philosophie)

    Informations pratiques:

    Dates: du 24 octobre 2012 à 18h au 25 octobre 2012 à 18h

    Lieu: Faculté de Philosophie et Lettres, FUNDP, rue Grafé, 1, 5000 Namur

    La journée du 25 octobre se déroulera à l’Aula Maior de la Faculté de Lettres (rue Grafé 1) de 9h30 à 17h30. Les projections du mercredi 24 auront lieu à l’auditoire Pedro Arrupe. Il est possible de participer au Colloque même pour une seule conférence ou pour la seule soirée du mercredi. La participation au Colloque est gratuite, mais toute personne souhaitant participer est priée de s’inscrire via le site web ou par mail à l’adresse de contact.

    Orateurs : Jean Dominique Durand, Axel Tixhon, Dominique Lambert, Jean-Pierre Delville, Muriel Naudin, André Haquin, Anne Roekens, Laura Rizzerio, Michel Hermans.

    Organisateurs : Départements de Philosophie et d’Histoire, Faculté de Philosophie et Lettres , FUNDP, Namur. En partenariat avec le FNRS.

    Contacts : www.pie12-et-ses-images.be - 081/724090laura.rizzerio@fundp.ac.be

    Source : Le blog consacré à Pie XII

    Pour en savoir plus : Pie XII et ses images

  • Saint Jacques de Compostelle : un chemin de conversion

    IMPRIMER

    Lu sur ZENIT.org

    A quarante-six ans, Marco Deambrogio est connu comme « l’homme qui traverse les déserts à moto ». Ses entreprises, toujours en solitaire, sont devenues légende. A cheval sur sa moto, il a fait le tour du monde en parcourant 57 mille kilomètres, a voyagé de Milan à Kaboul en temps de guerre, a traversé l’Océanie et les déserts australiens et est allé jusqu’à Pékin par l’antique « route de la soie ».

    Celui qui avait fait de la liberté absolue son style de vie était quasiment paralysé depuis deux ans par une mauvaise inflammation aux pieds. Il raconte l’histoire de sa guérison, qui est aussi celle d’une conversion.

    Zenit - Vous aviez donc un problème aux pieds ?

    Marco Deambrogio - Oui. Une fascite plantaire des deux côtés, une mauvaise inflammation des tendons de la plante des pieds. J’étais allée chez différents orthopédistes, et j’avais tout essayé : anti-inflammatoires, thérapie au laser, ondes de choc, semelles anatomiques, traitements ostéopathiques, massages plantaires… Sans aucun résultat et toujours ces douleurs extrêmement fortes.

    Et vous avez quand même décidé de partir ?

    C’était plus fort que moi. C’était le 13 juin de l’année dernière et je venais de recevoir le énième rapport médical qui m’imposait le repos le plus absolu. Ce matin-là, je me suis levé avec une idée fixe, un clou dans la tête. Je me disais : « Il faut que je fasse le Chemin de Saint Jacques ». Mais je ne savais pas très bien de quoi il s’agissait et je me suis donc documenté. J’ai découvert que c’était un pèlerinage ancien, sacré pour le christianisme, et qu’il avait même été parcouru au Moyen-Âge par saint François et Charlemagne. Il traverse la France et l’Espagne et arrive jusqu’à Saint Jacques de Compostelle, où se trouve la tombe de saint Jacques, un des douze apôtres. Un parcours très long, difficile, de plus de huit cents kilomètres à pied. Aujourd’hui, de plus en plus de pèlerins se lancent sur ce chemin, à tel point que le sanctuaire de Saint Jacques est en train de devenir une des grandes destinations religieuses.

    Et vous vouliez faire la même chose dans votre état ?

    Oui. J’étais fou mais je sentais une force irrésistible qui me poussait à me mettre en marche. Je précise qu’il n’y avait aucune dévotion dans ma démarche. Cela faisait au moins trente ans que je n’étais pas entré dans une église et ma vie avait toujours été assez éloignée de la foi. Malgré cela, je sentais que le « Chemin » m’appelait.

    Ce jour-là, j’ai chargé ma voiture et je suis parti en direction de la petite ville de Saint-Jean Pied-de-Port, dans les Pyrénées, d’où part officiellement le Chemin de Saint Jacques. Le lendemain, j’ai mis un pied sur le chemin. J’avais sur les épaules un sac de vingt kilos, un fardeau si l’on sait que j’en pèse soixante. La première étape était de 25 kilomètres en montagne. Mais dès les premiers mètres, j’ai cru m’évanouir de douleur.

    Qu’est-ce que vous avez fait ?

    J’ai serré les dents. Je marchais lentement, je m’arrêtais tout le temps. J’avais des élancements terribles, j’avais peur que mes tendons ne se rompent. Je voyais les autres pèlerins avancer rapidement, je les voyais prier. Je me demandais pourquoi j’étais là mais la seule réponse que j’entendais en moi était que je devais avancer. J’ai mis douze heures à faire ces 25 kilomètres, jusqu’à Roncevaux, en Espagne. C’était une souffrance inouïe. A peine entré dans la ville,  je me suis aussitôt rendu dans la structure d’accueil pour les pèlerins. Je me suis jeté sur le lit : j’étais rompu de douleur des pieds à la tête. Quelqu’un m’a dit qu’il y avait ce soir-là au programme la bénédiction des pèlerins. C’est comme ça que, par curiosité, je me suis traîné jusqu’à l’église. Et là, il m’est arrivé quelque chose de merveilleux.

    Que s’est-il passé ?

    Lire la suite

  • Quand l'archevêque de Madrid retrousse ses manches

    IMPRIMER

    « Mission Madrid », pour renouveler la foi des croyants (www.fides.org)

    L’Archidiocèse de Madrid lancera, à la fin de ce mois, une mission qui vise à « renouveler la foi » de tous les croyants en suscitant en eux l’engagement missionnaire de manière à atteindre les personnes les plus éloignées de l’Eglise. Le Cardinal Archevêque de Madrid, S.Em. Antonio Maria Rouco Varela, a présenté hier, 11 septembre, la « Mission Madrid 2012-2013 » comme une réponse à l’appel lancé par le Pape Benoît XVI l’an dernier, en clôture de la Journée mondiale de la Jeunesse (JMJ) célébrée dans la capitale espagnole.

    Le 30 septembre, sous le slogan « Serviteurs et témoins de la Vérité », l’Eglise à Madrid lancera donc ce plan pastoral qui, selon le Cardinal Rouco Varela, est « particulièrement important en ces temps difficiles de crise de foi et de spiritualité ».

    Dans la note envoyée à l’Agence Fides par l’Archidiocèse de Madrid, le Cardinal souligne que, parmi les « principes clefs » de la mission se trouve « la confession de la foi » que les missionnaires se sentent appelés à témoigner, puis l’évangélisation et la « conversion des âmes, des esprits et des cœurs ». Pour l’Evêque auxiliaire de Madrid et Coordinateur général de la mission, S.Exc. Mgr César Franco, il s’agit d’une « action extraordinaire » conçue afin de « rénover » l’action missionnaire parfois « oubliée ». La mission aura comme centres principaux les Paroisses de manière à ce que « ceux qui n’ont pas reçu l’appel du Christ puissent le recevoir, ceux qui sont loin réussissent à se rapprocher, et que tous les chrétiens puissent vivre de manière consciente leur vocation missionnaire ».

    Le Plan pastoral de la mission prévoit des activités dans les écoles, les universités et dans d’autres centres d’instruction ainsi que des cours destinés aux catéchistes, des pèlerinages à la Cathédrale, des activités missionnaires dans les Paroisses et la préparation des jeunes à la Journée mondiale de la Jeunesse de Rio de Janeiro de 2013.

    fides.org

  • 100 nouveaux martyrs du communisme bientôt canonisés par l'Eglise orthodoxe bulgare

    IMPRIMER

    L’Église orthodoxe bulgare se prépare à canoniser 100 néomartyrs de la période communiste

    L’Église orthodoxe bulgare se prépare à canoniser prochainement une centaine de martyrs du régime athée de la seconde partie du XXème siècle. Le métropolite de Lovtcha Gabriel, chef de la commission des canonisations auprès du Saint-Synode de l’Église orthodoxe bulgare, a annoncé que les évêques, lors de la session du Saint-Synode de la fin du mois de septembre, examineront les listes des noms des martyrs présentés par les diocèses et fixera la date de la canonisation. Hormis les 100 martyrs connus, il est suggéré de canoniser également le groupe des martyrs inconnus, afin de préserver ainsi la mémoire des nombreux martyrs disparus sans trace au cours de cette période. Il est possible que la canonisation ait lieu à la fin de cette année, mais certains évêques proposent de la fixer à 2013, ce qui permettrait d’étendre et de préciser la liste des néomartyrs.
    Source : Pravoslavie.ru via orthodoxie.com
  • Retour sur "les chrétiens trop oubliés"

    IMPRIMER

    Nous avions signalé la parution d'un très beau livre consacré aux chrétiens oubliés du bout du monde. Valeurs Actuelles (Frédéric Pons) a interviewé son auteur :

    "Des chrétiens trop oubliés

    En Orient et en Asie, des communautés vivent leur foi dans les catacombes et parfois dans le martyre. Le témoignage d’un pèlerin parti à leur rencontre.

    Diplôme de l’Essec en poche, Charles et Gabriel ont fait un tour du monde à vélo – 11 000 kilomètres avec un euro par personne et par jour – à la rencontre des chrétiens oubliés. Charles Guilhamon raconte ce périple humain et spirituel dans un magnifique récit où tous les deux disent avoir découvert « une Église profondément aimable, une assemblée d’hommes rassemblée autour du Christ, avant d’être un parc immobilier un peu froid », à laquelle ils ont envie d’apporter leur petite pierre. Au retour, Gabriel est entré au séminaire pour se préparer à être missionnaire en Asie et Charles est devenu entrepreneur. Nous l’avons rencontré à la veille de la visite du pape au Liban.

    Lire la suite

  • Kidnappée et convertie de force à l'islam

    IMPRIMER

    "Musulmane malgré moi" dans Courrier International (30/08/2012)

    Des centaines d’hindous pakistanais tentent de gagner l’Inde pour échapper aux persécutions religieuses. La journaliste Faiza Mirza raconte comment, adolescente, elle fut kidnappée et convertie de force à l’islam.

    J’ai grandi dans la peur. Je suis d’ailleurs à peu près certaine que la première expression sur le visage de mes parents lorsqu’ils m’ont vue naître – moi, petite fille née de parents hindous vivant à Kandhkot [province du Sind, dans le sud du Pakistan] – était empreinte d’effroi. Pourquoi étais-je une telle source d’angoisse ? Avant même d’avoir élucidé l’énigme, je me suis retrouvée sur les bancs de l’école. J’aimais y aller, même si j’avais le sentiment d’être une étrangère qui n’arrivait pas à s’intégrer. Les remarques sournoises et les discriminations dont j’étais victime devaient me pousser à penser que je n’étais pas comme les autres enfants. Personne ne voulait manger avec moi et encore moins boire dans la tasse que j’avais utilisée. A la maison, ma mère me posait un tas de questions sur ma vie à l’école et attendait des réponses qu’elle espérait de nature à la délivrer de cette angoisse dont j’ignorais tout. Craignant de la décevoir, je me rendis compte très tôt qu’elle ne pourrait jamais être ma confidente. Et puis c’est arrivé. Les craintes de ma mère se sont confirmées. ...

    Lire la suite

  • Tollembeek : een nieuwe godgewijde vrouw

    IMPRIMER

    Wij lezen over editiepajot.com :

    Op 31 augustus wordt Sarah Prové(35) uit Galmaarden door Mgr. André Léonard tijdens een Eucharistieviering aan God gewijd. Hierdoor wordt ze als het ware een bruid van God. Bij deze gelegenheid ontvangt ze van de bisschop de naam Sarah-Immanuel. Door deze wijding wordt ze echter geen religieuze, maar wel een godgewijde, die zoals priesters, celibatair door het leven zal gaan.

    Sarah werd geboren als oudste van drie kinderen in een gelovig gezin in Galmaarden. Na de Grieks-Latijnse humaniora studeerde ze Klassieke Filologie en Byzantinistiek. Sarah wil niet spreken van een roeping, het is meer een initiatief van God zelf. “ Vanaf mijn 15 jaar, voelde ik als het ware de blik van God, eerst wil je daar natuurlijk niets van weten. Je bent jong, maar toch voelde ik steeds meer de drang om te bidden. Ik kon als het ware geen kerk voorbijgaan of ik moest er even binnengaan, een dag zonder Misviering was bijna een verloren dag”, zei Sarah. Na een tijdje kreeg ze steeds meer belangstelling voor het leven van de geestelijken. In 2005 trad ze na een lange zoektocht in bij de Monastieke Gemeenschappen van Jeruzalem in Brussel, die ze echter nog tijdens haar noviciaat wegens gezondheidsproblemen moest verlaten. “ Het was even slikken voor mij, toen ik deze orde - die ik nog steeds een heel warm hart toedraag - moest verlaten. Ik kon het harde regime van vroeg opstaan en daarnaast ook nog lesgeven wegens mijn zwakke rug niet aan. Maar ook nadien voelde ik nog steeds de onweerstaanbare drang om God te dienen en helemaal van Hem te zijn, als Zijn bruid.” Toen zij vernam dat vrouwen die de ‘maagdenwijding’ ontvangen, precies dit bruidsaspect trachten te beleven, vroeg en verkreeg zij de toestemming om deze wijding te mogen ontvangen. Hiervoor moest ze wel enkele jaren theologie gaan studeren, wat ze dan ook deed.

    Het leven van Sarah zal door deze wijding niet echt veel veranderen. “ Ik blijf nog steeds lesgeven(Latijn) in Geraardsbergen, maar zal daarnaast ook openstaan voor het geestelijke welzijn van de mensen en dit door het gebed. Nu is het wel mogelijk dat ik naar de toekomst toe zieke mensen ga bezoeken of mee help met de parochieploeg, maar hoofddoel blijft toch wel het gebed”, besluit Sarah Prové.

    Op vrijdag 31 augustus om 17 uur zal Sarah Prové door Mgr. Léonard bijgestaan door pastoor Penne tijdens een plechtige Eucharistieviering in de kerk van Tollembeek aan de Heer worden toegewijd. In het Bisdom Mechelen-Brussel zijn er vandaag al elf vrouwen actief als godgewijde vrouw, Sarah wordt nummer twaalf.

    Vandaag, een vriend schrijft (1/9) :

    De maagdenwijding van Sarah gisteren te Tollembeek was werkelijk een hoogfeest voor de katholieke gemeenschap van de streek.

    Onze aartsbisschop heeft weer eens op zijn unieke manier de juiste woorden gesproken en deze wijding op eenvoudige en heldere wijze belicht.

    Wat een tegengif tegen de constante haatzaaierij van binnenuit en van buitenuit de vlaamse Kerk tegen al wie als katholieken durven naar buiten treden,tegen de modestroom in!
  • L'incroyable fidélité des "chrétiens du bout du monde"

    IMPRIMER

    1357032.jpgÀ la rencontre des chrétiens du bout du monde (dans Le Figaro)

    Extraits :

    "Pendant un an, Charles Guilhamon et Gabriel de Lépinau sont partis à la rencontre de petites communautés chrétiennes isolées. Un tour du monde à vélo qui les a conduits du Tibet au Brésil, en passant par le Sénégal et la Thaïlande. Ils racontent leur incroyable aventure dans un livre à paraître le 5 septembre." (...)

    "Église des confins et des nuages, Église souterraine, sans prêtre et pourtant étonnamment fidèle à Rome, Église souffrante, persécutée, Charles et Gabriel sont allés à la découverte de ces multiples visages de la chrétienté. En Amazonie en pirogue, à pied avec les Karens, ou encore, comme le plus souvent, à vélo, ils ont parcouru 11.000 kilomètres pour vivre avec ces communautés oubliées quand elles ne sont pas inexistantes ou agonisantes." (...)

    "Après le départ de Paris, leur première destination avait été, au bout de deux mois sur les routes, le village de Tal Arboush, dans la Djézireh, à l'est de la Syrie. Charles se souvient encore du regard rêveur de Charbel. Il savourait un narguilé assis dans son jardin. Sa coupe de cheveux et sa stature lui donnaient des airs de James Dean. A un détail près: un immense tatouage de la Vierge Marie haut en couleur occupait tout son avant-bras et faisait écho à un dessin de la croix gravé sur son biceps. Il était le troisième fils de l'une des quarante familles catholiques peuplant le village de Tal Arboush, seul village catholique sur des dizaines de kilomètres. Ils parlaient l'araméen comme les premiers chrétiens. Depuis six mois, Tal Arboush ne répond plus. Charles n'a plus de nouvelles de Charbel. Les derniers chrétiens."

    Le livre : Sur les traces des chrétiens oubliés, de Charles Guilhamon, Calmann-Lévy, 430 p., 21.50 €

    Tout l'article est ici : A la rencontre des chrétiens du bout du monde

  • Shan et Martini, des figures très contrastées

    IMPRIMER

    Sandro Magister met en ligne sur chiesa.espresso.repubblica.it cette note :

    Le cardinal Shan, un "maître de sagesse et de fidélité à l'Église"

    En l’espace de quelques jours, deux cardinaux très différents l’un de l’autre, notamment quant à leur notoriété, mais tous deux de grande envergure, viennent de disparaître : le 22 août, le Chinois Paul Shan Kuo-hsi et, le 31 août, l'Italien Carlo Maria Martini.

    À maintes reprises www.chiesa est intervenu à propos de Martini, y compris en laissant s’exprimer des voix qui le critiquaient, en particulier au sujet de son dernier livre important, "Conversations nocturnes à Jérusalem", qui a définitivement consolidé dans l'opinion publique son image symbolique d’alternative "conciliaire" aux deux derniers papes :

    > Le Jésus du cardinal Martini n'aurait jamais écrit "Humanæ Vitæ"

    > Dieu n'est pas catholique. Parole de cardinal

    Le cardinal Shan, au contraire, est toujours resté dans l’ombre. Mais, précisément pour cette raison, il est encore plus surprenant de découvrir aujourd’hui son action cachée, indissolublement liée au drame de l’Église de son pays, la Chine.

    Laissons donc la parole au cardinal Zen, qui a été très proche de lui].

    lire la suite

  • Au Kazakhstan : un lieu voué à la mémoire des innombrables victimes du régime communiste

    IMPRIMER

    Cathedral_karaganda.jpgNous lisons sur Zenit.org :

    "Au Kazakhstan, où les catholiques représentent moins de 2% de la population, la construction d’une cathédrale représente « un signe et un moyen d’évangélisation silencieux mais puissant », déclare Mgr Schneider, évêque auxiliaire du diocèse de Karaganda.

    La nouvelle cathédrale de Karaganda (Kazakhstan) sera consacrée dimanche 9 septembre 2012 au cours d’une concélébration solennelle présidée par le cardinal Angelo Sodano, doyen du Collège cardinalice et légat pontifical pour la consécration (cf. Zenit du 9 juillet 2012).

    Extraits de l'interview de l'évêque auxiliaire, Mgr Schneider :

    (...) Une cathédrale située dans un endroit plus central, construite dans un style traditionnel incontestablement catholique, c’est-à-dire dans le style néogothique, sera un signe et un moyen d’évangélisation silencieux mais puissant, dans un monde où les catholiques forment environ 1 à 2% de la population, où la majorité des habitants sont musulmans et où les orthodoxes sont très minoritaires. En outre, une partie considérable de la population n’appartient à aucune religion, ce sont des personnes qui cherchent Dieu.

    L’architecture de la cathédrale et les objets qui sont à l’intérieur ont été travaillés avec le plus grand soin afin de donner forme à une œuvre d’art vraiment belle et qui a en même temps un caractère sacré et un sens du surnaturel. Tout ceci est adapté tant pour éveiller chez les fidèles et les visiteurs un sens religieux et un sens de la foi que pour exprimer un acte d’adoration de la Sainte Trinité. Tout est donc fait pour faciliter le respect du premier commandement et la finalité ultime de toute la création : l’adoration et la glorification de Dieu.

    La signification historique et spirituelle a aussi une autre dimension : la nouvelle cathédrale est un lieu sacré à la mémoire des innombrables victimes du régime communiste, puisqu’il y avait, autour de Karaganda, un des plus grands et des plus terribles camps de concentration – les goulags – dans lequel ont souffert des personnes appartenant à plus de 100 ethnies différentes. La cathédrale sera donc aussi un sanctuaire pour la prière d’expiation pour les crimes du régime athée et communiste. (...)

  • Tim Guénard parcourt la Belgique

    IMPRIMER

    Tim Guénard

    Abandonné tout jeune par sa mère et attaché à un poteau, battu par son père, Tim est devenu le plus jeune délinquant de France. De maison de correction en centre d’accueil de l’Assistance Publique, il devient chef de bande de loubards. Suite à une promesse un peu folle, il se retrouve à l’Arche de Jean Vanier à Bruxelles, dirigée par le Père Roberti, où le Seigneur l’attend. Et il se met alors au service des plus faibles. Il se retrouve « à genoux dans son cœur », sa vie bascule, il se convertit. Maintenant, marié, père de 4 enfants et plusieurs fois grand-père, il parcourt l’Europe et le monde pour témoigner de l’Amour du « big Boss » et de la force du pardon. Dans sa ferme près de Lourdes, il accueille des jeunes qui désirent sortir de la violence et de la drogue. Chaque année, Tim passe une semaine en Belgique pour répondre à la demande des paroisses, écoles, prisons et associations qui désirent l’entendre et profiter de son expérience magnifique au contact des jeunes en difficulté. Tim a écrit plusieurs livres, dont « Plus fort que la haine », « Tagueurs d’espérance », « Quand le murmure devient cri », « Le pardon qui désenchaîne ».

    Tim présentera son témoignage aux lieux et heures suivantes :

     

    heure

    jeudi 13/09/2012

    20h00

    VILLE

    TOURNAI

    lieu

    église St-Paul

    adresse

    rue des saules,

    7500 Tournai

    PAF

    Libre

    heure

    vendredi 14/09/2012

    20h00

    VILLE

    UCCLE

    lieu

    église du Sacré-Cœur

    adresse

    rue Vanderkindere, 117

    1180 Uccle

    PAF

    3 €

    heure

    mercredi 19/09/2012

    20h00

    VILLE

    Woluwé-St-Pierre

    lieu

    Lycée Mater Dei

    adresse

    Avenue de l'Aviation 72

    1150 Woluwé-St-Pierre

    PAF

    2 €

    heure

    jeudi 20/09/2012

    20h00

    VILLE

    RIXENSART

    lieu

    église St-Étienne

    adresse

    chemin du Meunier, 38 A

    1330 Rixensart

    PAF

    5 €

    heure

    samedi 22/09/2012

    20h00

    VILLE

    SOUMAGNE

    lieu

    Centre de conférences "La Convi"

    adresse

    rue de Wergifosse, 22

    4630 Soumagne

    PAF

    8 €

    heure

    mardi 25/09/2012

    20h00

    VILLE

    JEMAPPES (Mons)

    lieu

    église St-Martin

    accès

    PUBLIQUE

    PAF

    2 €

    Pour tout contact : Benoît DRUENNE 00 32 65 84 04 03 (le soir) ou 00 32 499 22 63 06