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BELGICATHO - Page 1782

  • Homosexualisme : 70 organisations de défense des droits de l'homme soutiennent la Russie

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes associations de défense des droits de l’homme soutiennent la Russie

    NEW YORK, August 30  (C-FAM) Des organisations de défense des droits de l’homme du monde entier viennent d’exprimer leur soutien en faveur des efforts de la Russie, qui tente de protéger ses enfants contre la propagande homosexuelle.

    Une déclaration de la société civile affirme que la loi récemment adoptée par la Russie, et qui prévoie des amendes à l’encontre de tout individu ou groupement qui ferait la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs, est un pas important dans la direction d’un respect des obligations internationales de protection de la famille et des mineurs.

    D’après Profesionales por la Etica, l’association espagnole qui a coordonné le mouvement, ces organisations des quatre coins du monde n’ont pas tardé à exprimer leur soutien. En une semaine seulement, plus de 71 organisations se sont manifestées.

    D’après la déclaration, la Russie protège « des droits de l’homme véritables et universellement reconnus  contre de fausses valeurs, artificielles et fabriquées », telles l’orientation sexuelle et l’identité de genre.

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  • Le mystérieux visage de Sierck-les-Bains

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    Décidément, il continue à faire parler de lui. Qui ? Quoi ? Le mystérieux visage du Christ de Sierck-les-Bains.

    ci-contre : Photo prise par Jean-Pierre Snyers le 24 mais 2013 (cliquer sur la photo pour l'agrandir)

    Encore hier, sur internet, je suis tombé sur un article de « France bleu » datant du 7 août dernier. Sous le titre : « Une découverte toujours inexpliquée », on lit : « Ce qui est surprenant, mystérieux, c'est que le visage du Christ n'a pas disparu. Ni les aléas climatiques, ni l'usure n'ont altéré cette image apparue il y a 28 ans sur ce mur défraîchi du centre ville ». Pour ne rien vous cacher, je suis allé trois fois dans cette localité située à un jet de pierre des frontières allemandes et luxembourgeoises (aujourd'hui surnommée le « Lourdes » de la Moselle). J'y ai rencontré

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  • Remacle, apôtre des Ardennes (4 septembre)

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    Remaclus-donderwolk.jpgRimagilus, nom originel de Remacle, naquit probablement fin du VIe siècle en Aquitaine. Jeune encore, il entra à l’abbaye de Luxeuil en territoire bourguignon, monastère fondé par Saint Colomban. Pour le moine irlandais, la vie monastique est caractérisée par la « pérégrination pour le Christ » et par l’ascétisme. Ce qui expliquerait qu’en 632, on retrouve Remacle premier abbé de Solignac en Limousin. Vers 640, il quitte le Limousin et, avec quelques moines, il s’arrête à Cugnon sur Semois. Il ne reste aucune trace archéologique de leur passage mais les monastères de cette époque étaient des cabanes en bois organisées autour d’une cabane plus grande, la chapelle. Les moines menaient une vie fort austère, rythmée par les Offices. Vers 650, Remacle et quelques moines arrivent dans l’extrême nord de l’Ardenne. Peut-être auraient-ils été chargés par Saint Amand de l’évangélisation de la région située à cheval sur les diocèses de Tongres et de Cologne, où sans doute les Barbares étaient passés fin du Vsiècle ?

    Evangélisateur des Ardennes, Remacle fonda les abbayes de Malmedy et Stavelot où il mourut entre 671 et 673. Suivant la légende, le saint fondateur écarta de l'abbaye de Stavelot des hordes de loups dont l'un avait même dévoré son âne. Il est notamment patron de Spa qui faisait partie du marquisat de Franchimont et relevait directement du prince-évêque de Liège.

    Remacle aurait béni les eaux de la bourgade ; c'est ainsi qu'à la Fontaine de la Sauvenière, une pierre porterait l'empreinte de l'apôtre des Ardennes.

    source : http://spa.liege.catho.be/Bulletin_au_fil_du_temps/_deploy/B_2011_09.html

  • Quel sera le sort de la Syrie ?

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    Europeinfos (COMECE et JESC) publie ce témoignage d'un prêtre syrien :

    Qu’adviendra-t-il de la Syrie ?

    Il n'est pas facile d'expliquer la situation politique, sociale et économique actuelle en Syrie. Faute de pouvoir circuler librement à travers le pays, et faute de trouver une presse – nationale ou Internationale - qui puisse refléter la réalité et le quotidien des syriens d'une manière objective et impartiale; comprendre la réalité et en donner des informations claires et précises devient quasi impossible aujourd'hui.

    Les événements en Syrie ont commencé au printemps de 2011. Après la période des manifestations au début, le pays a graduellement glissé dans la violence acharnée. Cette crise est un problème global : politique, à cause du pouvoir absolu d’un parti unique, mais aussi social et économique (un gouffre infernal séparait de plus en plus la minorité riche de la majorité pauvre). Malgré toutes les apparences d’une stabilité illusoire et d’une prospérité de surface, la Syrie manquait des structures indispensables pour la modernisation de l’Etat et pour sa durabilité. Et nous voilà en pleine crise. Aujourd’hui, la crise syrienne a tout changé. La peur, l’inquiétude, l'insécurité et la souffrance sont le lot commun de tous. Personne n’a imaginé ni souhaité que la Syrie en arrive là et que nous vivions une situation aussi tragique.

    Nous ne pouvons plus parler aujourd’hui en Syrie d’un endroit tranquille non touché par la violence et les atrocités. Cela n’existe plus.

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  • L'école victime du pédagogisme

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    Nous partageons l'opinion de Frank Andriat (lalibre.be)

    L’école ne remplit plus sa mission essentielle, celle d’apprendre au plus grand nombre à lire, écrire et calculer. Les pédagogues ont pris le pouvoir et ont volé le boulot des professeurs. Dans notre société de profit et de satisfaction immédiate, les mots "effort, rigueur, études, travail, savoir, exigence, excellence" font partie d’un vocabulaire tabou.
    Frank Andriat, professeur de français à l’Athénée Fernand Blum (Schaerbeek). Auteur d’une trentaine de livres dont "Les profs au feu et l’école au milieu" (Renaissance du Livre)
    Le métier de professeur est devenu un "merdier" et "l’école est détruite" : vous n’y allez pas de main morte dans votre dernier livre…
    Vous ne choisissez pas les expressions les plus nuancées de mon livre, mais, c’est vrai, j’ai, au fil des années, le sentiment qu’on détruit "le plus beau métier du monde". Je suis plutôt un tendre et j’ai porté ce texte pendant des années. En 2000, j’ai publié "Vocation Prof" où je dis mon bonheur d’enseigner. Treize ans plus tard, je suis toujours aussi heureux de travailler avec mes élèves. Mais, comme tant de mes collègues, comme tant de parents, je dois constater que l’école perd le sens de l’humanisme et qu’elle peut de moins en moins travailler avec rigueur. J’ai écrit ce livre parce que beaucoup de personnes m’ont dit que je serais crédible. Je ne suis pas un râleur, mais, là, le vase déborde. Les professeurs plus anciens se sentent perdus devant l’avalanche de réformettes et devant l’obligation de transformer leur cours en recettes de cuisine. Plus d’un tiers des plus jeunes quittent le métier après quelques années et on se voit obligé d’engager des personnes qui n’ont pas le diplôme requis. D’où l’expression "merdier". Si le métier de prof était, comme le déclarent tant de personnes, un métier de planqués, pourquoi plus personne ne veut-il devenir prof ?

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  • La nièce de Martin Luther King mène une campagne pro-life

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    Alveda King, nièce de Martin Luther King, a eu une vie difficile, durant laquelle elle a volontairement avorté de deux enfants. Mais elle est aujourd'hui fondatrice et d'une association pour la vie, « King for America » (KFA).

    Parmi ses nombreux objectifs, KFA a pour dessein de « travailler à renforcer le mariage, la famille, et de réduire le taux élevé d'avortements qui affligent les jeunes aujourd'hui ».

    Alveda King est aussi l'auteur du documentaire « Bloodmoney », où elle dénonce le Planning familial et « l'industrie de l'avortement », dans laquelle les « clientes » sont aussi les « victimes ».

    Un engagement citoyen qui n'est pas nouveau dans la famille : déjà le père d'Alveda, Alfred Daniels Williams King, était au côté de son frère Martin Luther King, dans la lutte pour la reconnaissance des droits des Noirs.

    « Mon père est mon inspiration », confie Alveda sur le site Internet de son association. (Zenit.org)

  • A Plouagat, on refuse la destruction de l'église

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    A Plouagat, on a voté pour sauver l’église ! (Boulevard Voltaire)

    Gabrielle Cluzel - Ecrivain, journaliste.

    À Plouagat, on a des chapeaux ronds, mais surtout, par-dessous, une caboche courageuse qui ne s’en laisse pas conter. Les Plouagatins, récemment interrogés par leur maire via un référendum sur l’avenir de leur église en passe de s’effondrer, ont voté à 80 % pour sa restauration. L’église bretonne faisait partie de ces églises non classées – et elles sont nombreuses parmi les 45.000 que compte la France –, dans le collimateur de la municipalité en raison de son état de délabrement. En 2013, cinq d’entre elles ont été rayées de la carte à la pelleteuse sur un haussement d’épaules fataliste du conseil municipal : vous ne voudriez pas non plus qu’on investisse des fortunes pour les retaper, alors qu’en France les pratiquants sont si rares ?

    Mais à Plouagat, pour la première fois, le maire a eu l’honnêteté de consulter au préalable les habitants. Une initiative « insolite », lit-on dans la presse. C’est vrai qu’un élu, en France, qui demande l’avis de ses administrés, c’est quand même très incongru, voire un peu dingue : pourquoi ces ploucs auraient-ils le droit de l’ouvrir ? Quand on voit le résultat à Plouagat, on comprend même que c’est très imprudent. Car ce « oui » ressemble singulièrement à un plébiscite de la France des clochers.

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  • BXL 19 septembre : rentrée académique à l'Institut Sophia

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    Communiqué :

    Investir dans une formation solide pour fonder sa vie en Christ

    Bonjour !

    La rentrée académique de l'année Sophia est fixée au jeudi 19 septembre 2013.


    Pour les  jeunes qui souhaitent poser leur candidature pour cette année
    c'est encore possible !

    Voici le contact pour rencontrer les responsables de l'année de formation :

    institutsophia@yahoo.fr  -Tél: +32 ( 0 ) 477 042 367

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l'ensemble des activités de l'Institut Sophia.

    Belle rentrée!

    P.S. Les jeunes du Kot SOPHIA sur "You TUBE" =  ICI

  • Le témoignage d'un pèlerin à Lourdes

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    LOURDES.

    Lourdes, aujourd’hui comme hier et demain : le valide côtoie celui qui l’est moins. L’heureux aide celui qui le paraît de manière plus discrète, à moins que ce ne soit l’inverse.

    Le handicapé descend dans la rue !

    Son poing est-il levé ? Que revendique-t-il ? Rien, si ce n’est l’espérance, l’espoir d’un miracle ou à tout le moins d’une reconnaissance.

    Pas besoin de violence, pas besoin de slogan : un consensus général règne sur la ville. Il nous vient de sainte Bernadette, de la Vierge, de Dieu, de l’Eglise.

    Le regard interrogatif, craintif, agressif ou rempli de pitié du « normal », du « valide » ne pèse plus sur l’utilisateur de la chaise roulante : le malchanceux fait partie intégrante du décor, la différence s’estompe dans les faits, dans les gestes, mais surtout dans le regard des autres.

    La solidarité est présente. La joie est présente.

    Lourdes est la capitale mondiale de la tolérance, du véritable droit à la différence.

    Que ces mots sont aujourd’hui galvaudés, au point d’en devenir des poncifs d’une pensée unique détestable.

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  • Machrek : les démocrates occidentaux perdent le Nord.

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    Un bon résumé sur le minisite d’Eric de Beukelaer, curé-doyen de Liège (rive  gauche) :

    « Les trois principes fondateurs, légitimant le caractère démocratique d’un régime politique ont pris corps sur les ruines de la seconde guerre mondiale – car ils sont l’exacte négation du projet nazi. Les « vrais » démocrates seraient donc ceux qui :  (1) Fondent la gouvernance sur des élections libres. (2) Pratiquent une saine laïcité politique, héritée des Lumières : la gouvernance de la cité se fondant sur des arguments de raison (appelée « loi naturelle » dans la tradition chrétienne) et non sur une révélation de type religieuse ou idéologique. (3) Respectent les droits de l’homme, dont le premier est l’inviolabilité de toute vie humaine. Durant la guerre froide, ces trois principes gardaient toute leur valeur référentielle, car le « bloc de l’Est » n’avait (1) ni élections libres (2) ni séparation entre l’idéologie marxiste et Etat (3) ni respect de l’inviolabilité de la personne. Eux étaient donc les « méchants » et nous, les « gentils ».

    Ce qui se passe aujourd’hui en Egypte et en Syrie brouille la donne et – chacun le sent bien – les démocrates sont déboussolés. S’ils « perdent le nord » en se divisant sur leurs allégeances et analyses, c’est parce que leurs repères traditionnels de légitimité s’effacent. Vous croyez à la vertu d’élections libres ? Alors, vous soutenez le régime Morsi en Egypte. Vous tenez à une saine laïcité politique ? Alors, c’est le coup de force des militaires qui est légitime.  Vous haïssez un régime qui bafoue les droits de l’homme ? Alors soutenez les rebelles en Syrie. Vous ne voulez pas d’un régime islamiste à Damas ? Alors, aidez Assad. Bref, il y a là de quoi perdre son latin. Sans oublier les éternels et sous-marins intérêts économiques. Le Qatar veut un passage pour son gaz vers la méditerranée, afin d’augmenter ses parts de marché avec l’Occident ? Il soutient les rebelles. La Russie veut garder la part du lion dans la vente de gaz en Europe ? Elle soutient Assad, afin de bloquer ce projet. Bien malin qui prend parti, en étant sûr de choisir le « bon » camp. Je distingue, pour l’instant, quatre tendances : 1. La ligne « empêchons un plus grand chaos » représentée par des personnalités comme Tony Blair : Soutien à l’armée Egyptienne à condition d’élections rapides et soutien à la rébellion syrienne, à condition d’exclure Al Qaida. 2. La ligne « évitons un nouveau bourbier irakien » représentée par une bonne part des opinions publiques occidentales : Attendons de voir en Egypte et laissons faire en Syrie. 3. La ligne « droit de l’hommiste » défendue par plusieurs personnalités du parlement européen – de tous bords politiques : Intervenons en Syrie et rappelons en Egypte que Morsi est légitime. 4. La ligne « pacifiste », que l’on retrouve chez certaines ONG et nombre de chefs religieux. Pas d’intervention armée, ni en Syrie, ni en Egypte.

    Ces positions diverses se croisent et se contredisent autant qu’elles se recoupent . D’où l’impression de cacophonie occidentale. Déboussolés dans leurs critères de jugements, les démocrates perdent le nord. Dur, dur pour les Occidentaux que nous sommes de se faire un jugement éclairé sur ce qui se passe en Orient, depuis les printemps arabes. »

     Ref. Quand les démocrates perdent le nord

     Les dogmes politiques de l’Occident "éclairé" ne correspondent pas à grand’chose, ni au Moyen-Orient ni dans la majeure partie du monde d’ailleurs. Reste alors à jeûner et à prier pour la concorde,  avec le pape François en la fête de la nativité de Marie (samedi 7 septembre) ou à faire de la « real-politique », avec les acteurs de ce jeu d’échec. JPSC

  • 7 septembre, jour de jeûne et de prière pour la paix

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    C'est ce que le pape a décrété dimanche (1er septembre) lors de l'Angelus :

    ...Que le cri de la paix s’élève pour arriver au cœur de tous et que tous déposent les armes et se laissent guider par le souffle de la paix. Voilà pourquoi j’ai décidé d’organiser pour toute l’Eglise, le 7 septembre prochain, veille de la célébration de la Nativité de Marie, Reine de la Paix, une journée de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Moyen Orient, et dans le monde entier, et j’invite aussi à s’unir à cette initiative, par la manière qu’ils retiendront la plus opportune, les frères chrétiens non catholiques, les adeptes des autres religions, ainsi que les hommes de bonne volonté. Place St.Pierre le 7 septembre, de 19 à 24 h, nous nous réunirons en prière et dans un es prit de pénitence pour invoquer de Dieu ce grand don pour le peuple syrien et pour toutes les situations de conflit et de violence en cours dans le monde. L’humanité a besoin de voir des gestes de paix et d’entendre des paroles d’espérance et de paix. Je demande à toutes les Eglises particulières qui, outre le fait de vivre cette journée de jeûne, d’organiser des actions liturgiques à cette intention. A Marie, demandons de nous aider à répondre à la violence, au conflit et à la guerre, par la force du dialogue, de la réconciliation et de l’amour. Mère, qu’elle nous aide à retrouver la paix. Nous sommes tous ses enfants. Aide-nous, Marie, à dépasser ce moment difficile et à nous engager à construire chaque jour et dans tous les domaines une culture authentique de la rencontre et de la paix. Marie, Reine de la paix, prie pour nous".

  • Christianisme

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    On le sait, les frontières du christianisme ne s'arrêtent pas au catholicisme. A l'image des protestants, on peut être chrétien sans croire en la transsubstantiation, en l'immaculée conception, en l'infaillibilité du pape ou aux sacrements. Des hommes aussi remarquables que C. S. Lewis ou Billy Graham nous montrent que c'est tout à fait possible. Par contre, il n'est absolument pas possible d'être chrétien sans croire d'abord et surtout que le Christ a été crucifié pour nous racheter du péché et de la mort éternelle. C'est avant tout cette réalité qui doit être proclamée à temps et à contretemps. Celui qui ne croit pas que le Fils de Dieu est mort à sa place pour le sauver, pour lui offrir dans les cieux la vie éternelle, nie le fondement de la prédication apostolique et ce faisant, croit en « un autre évangile » que celui annoncé par les apôtres (Galates 1, 8). Que veux-je dire ? Qu'à l'intérieur même des dénominations chrétiennes, certains (qu'ils soient laïcs, prêtres, pasteurs ou évêques),  sont chrétiens et d'autres non. Autrement dit, un catholique  qui croit en la rédemption est infiniment plus  proche d'un protestant ou d'un orthodoxe  qui y croit aussi que d'un « catholique » qui n'y croit pas. Le drame aujourd'hui est que beaucoup ont l'illusion d'être chrétiens en dépit du fait qu'ils n'acceptent pas le kérygme. Pire encore : beaucoup ne le connaissent pas parce que bon nombre de ceux qui ont la charge de l'annoncer le l'annonce pas. Vous avez dit « apostasie » ?...

    Jean-Pierre Snyers - jpsnyers.blogspot.be