Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

BELGICATHO - Page 1829

  • « Eclipse de Dieu, éclipse de l’homme »

    IMPRIMER

    Mercredi 19 juin 2013 à 18 heures

    IMG_5943.JPG

    à l'Université de Liège

    Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)

    Eclipse de Dieu, éclipse de l’homme

    LUNCH-DEBAT

    avec  

    brague.jpg 

    Rémi BRAGUE   

    Professeur ordinaire à l'Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et à la Ludwig-Maximilian Universität de Munich ,  Membre de l'Institut de France ,  Prix 2012 de la Fondation Ratzinger-Benoît XVI .   

    Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

    Inscription obligatoire avant le 17 juin 2013. Téléphone 04.344.10.89 (Union des étudiants catholiques)   ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €,  à régler sur place.

     Autres informations ici : Université de Liège, 19 juin 2013 : « Eclipse de Dieu, éclipse de l’homme »

    Cette rencontre est organisée par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège. 

    Rémi Brague vient de publier aux éditions Flammarion « Le propre de l’homme », un essai  sur l’antihumanisme contemporain, ses causes, son histoire, ses origines et il s’interroge sur ce qui justifie un projet humaniste:

  • Quand la déchristianisation progresse en Belgique

    IMPRIMER

    L'ULB a rendu public son rapport sur les religions et la laïcité en Belgique pour 2012. Si l'analyse et ses conclusions reflètent l'orientation bien connue de cette université, les chiffres disent dans leur froide et assez incontestable objectivité le recul du catholicisme dans notre pays. Est manifeste également l'éloignement de plus en plus grand des jeunes générations à l'égard de l'Eglise et leur méconnaissance de sa doctrine et de ses orientations fondamentales. Le fait que les Belges les plus jeunes, pourtant scolarisés en majorité dans l'enseignement libre dit "catholique", disent, à 70% n'entretenir aucun lien avec l'Eglise interpelle tout particulièrement.

    Pour tâcher d'expliquer tout cela, on peut mettre en avant - et le rapport ulbiste ne s'en prive pas - les questions qui ont détérioré le climat entre l'Eglise, les médias et l'opinion publique, en particulier la pédophilie ecclésiastique ou le caractère "déphasé" des prises de position de Mgr Léonard; quant à nous, nous y voyons surtout le résultat de la décomposition d'une société qui vit un processus de décadence accéléré et où la transmission des valeurs et des croyances qui l'ont caractérisée durant des siècles s'est brutalement enrayée. Cela se vérifie tout particulièrement dans l'éclatement de la famille qui a cessé d'être un lieu d'éducation à la foi. (1)

    Cette situation constitue un défi pour les fidèles qui le restent et qui ne peuvent plus se contenter de vivre sur des acquis ni de se reposer sur de confortables piliers institutionnels. S'engager aujourd'hui à la suite du Christ, c'est accepter de le suivre sur les chemins éprouvants où, parmi les défections et les trahisons, il nous a précédés. Et, comme aux pèlerins d'Emmaüs, il nous explique en chemin qu'il nous faut accepter de passer par là si nous voulons le rejoindre dans la lumière de sa Résurrection. "Courage, j'ai vaincu le monde!"

    ---------------------

    (1) Le mariage lui-même (civil) dégringole à une vitesse accélérée : 14% en moins en 5 ans (voir ICI).

  • Quand le pape François aurait évoqué un « lobby gay » au Vatican

    IMPRIMER

    Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef adjoint du « Figaro » commente en ces termes les propos attribués au pape par un site progressiste d’Amérique du Sud :

    «On parle de “lobby gay”, et c'est vrai, il existe.» C'est une phrase choc parce qu'elle touche le Vatican. Mais son impact est considérable parce qu'elle est attribuée au pape François. Toute la question étant de savoir s'il l'a vraiment prononcée…

    Elle est relatée par le site latino-américain de la Théologie de la libération, Reflexion y Liberacion. Ce site, très militant pour la cause progressiste dans l'Église, est sujet à caution. Mais la phrase est extraite d'un compte rendu très précis réalisé par l'un des membres d'une audience officielle que le pape François a accordée, le 6 juin dernier, à un groupe de six représentants de la Confédération latino-américaine des religieux et religieuses (Clar).

    Lire la suite

  • Le pape François : une communication à maîtriser ?

    IMPRIMER

    De Frédéric Mounier dans « La Croix » de ce 11 juin 2013 :

    Il devient difficile de faire la part des choses, à Rome, par les temps qui courent. Le pape parle beaucoup, à tout le monde, selon des modes divers. Comment s’y reconnaître ?

    Du temps de Benoît XVI, tout était, du moins en apparence, simple : le pape parlait peu mais bien, s’exprimant en intellectuel rigoureux face à des publics rares et soigneusement choisis. Tous les textes passaient par les filtres de la Secrétairerie d’Etat, attentive à tout mettre aux normes vaticanes. Quoique… Le discours de Ratisbonne, les déclarations sur le préservatif, les vols répétés de documents sur le bureau du pape ont laissé des séquelles durables. Le P. Lombardi, directeur de la salle de Presse, a ainsi passé des années à manier l’extincteur ou allumer des contre-feux, s’escrimant à rétablir des vérités qu’il ne maîtrisait pas toujours lui-même.

    Avec le pape François, tout a changé. L’homme communique, téléphone, rencontre à tout va. Et il y tient : cela fait partie de son mode de vie habituel, voire de son mode de gouvernement. En contrepartie, le statut de ses interventions est parfois à géométrie variable. Ses homélies matinales à Sainte-Marthe n’ont pas de statut officiel, et si Radio Vatican et « L’Osservatore Romano » en rendent compte quotidiennement, ce n’est pas toujours dans les mêmes termes..

    Lire la suite

  • Nouveau buzz médiatique autour d'hypothétiques propos du pape

    IMPRIMER

    Le pape "aurait reconnu l'existence d'un lobby gay au Vatican". C'est ce qui apparaît à l'heure qu'il est sur tous les sites des médias. C'est l'agence IMedia, spécialisée auprès du Vatican, qui a propagé la nouvelle, se fondant elle-même sur un site catholique "progressiste" d'Amérique Latine. (traduit et commenté sur "Benoît-et-moi")

    Tout compte fait, c'est l'occasion de suivre une nouvelle rumeur, de voir sur quoi elle se fonde, quels ont été exactement les propos tenus, ce que l'on peut en tirer en toute rigueur...

    A priori, sur le fond, nous ne serions pas vraiment étonnés de découvrir la présence de brebis galeuses dans la bergerie tout en nous demandant pourquoi cette situation n'a pas reçu un traitement approprié.

    Et maintenant ? Affaire à suivre...

    Non, I.Media n'a pas révélé l'existence de lobby gay au Vatican !!! I.Media a traduit un article plus global repris ensuite par d'autres...

  • La parole du pape menacée de banalisation ?

    IMPRIMER

    C'est le cardinal Tauran qui évoque ce danger (ICI) : 

    Interrogé sur le nouveau pape argentin, le cardinal est "frappé" par son insistance sur la miséricorde. "Ce pape nous donne beaucoup d'espérance, dit des choses magnifiques". "Mais il y a le danger de banaliser sa parole, ajoute-t-il, au sujet de la médiatisation des homélies informelles quotidiennes. Jean-Louis Tauran n'oublie pas "cet intellectuel d'une élégance rare" qu'était Joseph Ratzinger : selon lui, le discours de Benoît XVI en 2011 devant le Bundestag (le Parlement allemand) devrait être enseigné dans toutes les facultés de droit du monde.

  • Tout est grâce. Tout.

    IMPRIMER

    Le Pape François : « L'Evangile doit être annoncé avec simplicité et gratuité »

    source : Radio Vatican

    « Quand nous voulons faire une Eglise riche, l’Eglise vieillit, il n’y a plus de vie ». La gratuité était au cœur de son homélie quotidienne à la Chapelle Sainte-Marthe mardi matin. « L’Evangile est annoncé avec simplicité et gratuité, le témoignage de pauvreté nous empêche de devenir de simples gestionnaires ». 

    « Ne vous procurez pas de l’or, ni de l’argent, dans votre ceinture » : le Pape François est parti de l’exhortation de Jésus lancée aux apôtres pour annoncer le règne de Dieu. Une annonce que le Seigneur « veut simple ». Une simplicité « qui laisse de la place à la parole de Dieu » car, si les apôtres n’avaient pas « confiance dans la parole de Dieu, ils auraient peut-être fait autre chose ». Pour le Pape François, le mot-clé du conseil de Jésus est la gratuité : « vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ». Tout est grâce, a souligné le Pape, et quand nous voulons agir en délaissant la grâce, l’Evangile n’est plus efficace. »

    Lire la suite

  • L'Eglise de France en point de mire

    IMPRIMER

    Lu sur Radio Vatican :

    Profanation d'églises en France : une atteinte à la liberté de culte

    Des églises ont été vandalisées et profanées en France. Dans la cathédrale Saint-Pierre de Nantes, une partie du chœur ainsi que l’autel le plus ancien ont été défigurés. Selon le préfet de Loire-Atlantique, il y a des inscriptions obscènes, des dessins sataniques, des évocations à caractère nazi, ainsi que de petits bonshommes, style manif pour tous. Une statue a été cassée et des petites moustaches d’Hitler dessinées sur les portraits des anges. 

    La communauté catholique indignée

    La nuit précédente, c’est la cathédrale de Limoges qui avait été visée, l’inscription « droit canonique = sharia », avait été portée au niveau du portail d’entrée. Le ministre français de l’intérieur Manuel Valls a apporté son soutien entier à la communauté catholique dont il comprend et partage l’émotion et l’indignation devant ces actes intolérables de profanation. Les forces de police sont mobilisées pour que les auteurs de ces faits abjects soient déférés à la justice dans les meilleurs délais. Ces actes soulèvent l’indignation dans la communauté catholique, mais l’Eglise ne souhaite pas jeter de l’huile sur le feu. 

    Un messe de réparation

    Samedi, l’évêque de Nantes, Mgr Jean-Paul James, a présidé une prière de réparation dans la cathédrale tout en invitant à ne pas exacerber les tensions : « la liberté religieuse – écrit-il – est aussi notre bien commun. Dans ce climat, les chrétiens doivent refuser d’entrer dans une spirale de la violence. Dans la foi, ils croient que la haine est vaincue par l’amour ». Les Amis de la cathédrale de Nantes ont exprimé leur tristesse. Lieu de recueillement et de paix ouvert à tous, ce sanctuaire a été récemment rénové. Cet acte porte, selon eux, une atteinte grave à la liberté de culte et au respect des croyances.

    Il semble bien que des éléments de la mouvance la plus extrême en faveur du mariage gay soit décidée à faire payer à l'Eglise de France son engagement au sein du mouvement de la Manif pour Tous...

  • Belgicatho, si ma piano…

    IMPRIMER

    Quelques jours d’éloignement contraint, sans ordinateur ni internet, ne peuvent manquer de faire réfléchir à ce travail de réinformation auquel je me suis attelé sur ce blog. D’abord, en parcourant les grands médias, pour en prendre la mesure assez dérisoire. Quel poids pèse un blog comme celui-ci face à ces médias qui conditionnent quotidiennement l’opinion publique, lui dictant ses jugements et ses émois ? Lorsqu’un jeune écervelé de la droite la plus extrême provoque la mort d’un jeune d’extrême-gauche et que la presse sous-entend que c’est un effet pervers de la Marche pour Tous, comment faire et avec quels moyens pour démentir de telles informations et corriger tout l’impact négatif qui s’est d’ores et déjà produit dans le public ? Lorsqu’une star ecclésiastique des médias belges préside une cérémonie d’hommage laïque à un illustre professeur qui a choisi de se faire euthanasier, comment tâcher de faire comprendre à une opinion publique intoxiquée qu’il n’est pas logique de se prêter à ce genre de célébration dans une église sans apparaître aussitôt comme un esprit borné dépourvu de toute empathie ? La tâche qui consiste à rétablir la vérité, à réajuster le jugement, à faire leur place aux informations occultées… est d’une telle ampleur qu’on ne peut échapper au sentiment de sa propre impuissance ni à de lancinantes questions sur l’utilité d’un travail accaparant qui vous mobilise tout entier dans une activité virtuelle au risque de déserter l’univers concret où l’on est appelé à vivre en relation avec le prochain en chair et en os.

    Non seulement la tâche est au-dessus de nos forces et nous mobilise au préjudice d’autres priorités concrètes, mais elle peut aussi dériver dans des directions qui ne nous satisfont pas. On ne peut, comme y insiste si souvent le pape, se complaire à ressasser sans fin un discours qui fait référence à lui-même en s’arcboutant sur des certitudes acquises une fois pour toutes. Derrière tant de prises de position qui vont à l’encontre des nôtres se cachent des itinéraires de personnes que les circonstances – et les souffrances – de l’existence ont rendues imperméables à tous nos discours qui leur paraissent tout à fait décalés par rapport à ce qu’elles vivent. Pouvons-nous ne pas y être attentifs ? La question se pose en effet de savoir à qui nous désirons nous adresser et si  nous voulons simplement nous limiter à faire du renforcement auprès de ceux qui partagent nos propres convictions.

    Personnellement, je dois prendre acte de limites et de contraintes ressenties à plusieurs niveaux qui ne me permettent plus de poursuivre au même rythme l’activité menée sur ce blog. Je le maintiens donc ouvert pour continuer à y mettre en ligne des infos qui ne peuvent être tues, des appels et des invitations lancés par des amis et des groupements qui nous demandent de les répercuter, des « billets » - de notre cru ou rédigés par des amis - et qui sont susceptibles de faire avancer la réflexion. Tel est le travail que nous poursuivrons sur ce blog, en tandem avec le fidèle ami qui me prête son concours. Cela signifie également que les amis de belgicatho qui ne souhaitent pas voir dépérir ce petit blog sont invités à y participer plus activement, dans la mesure de leurs possibilités. Poursuivons, mais ensemble…

  • Mgr Léonard pour les unions civiles homosexuelles ? Intox

    IMPRIMER

    Sur son blog, Jeanne Smits confirme ce que nous avions déjà dit sous le « post » : La prudente imprudence du Cardinal Danneels .

    Extrait de la note de Jeanne Smits :

    "Le blog de Sandro Magister évoquait ce matin le cas des quelque six prélats (comme le cardinal émérite Danneels, le cardinal Schönnborn et le cardinal Ruben Salazar de Bogota) qui ont, de diverses manières, approuvé les unions civiles pour les homosexuels.

    Ces prélats, dans la mesure où ils adhèrent vraiment à cette reconnaissance légale des unions homosexuelles, seraient alors en contradiction totale avec le point de vue de l’Eglise sur l’activité homosexuelle, qui est objectivement un péché grave et qui n’ouvre aucun droit civil en tant que telle.

    Le plus apparemment emblématique, parce que réputé plutôt conservateur, des prélats cités est Mgr André-Joseph Léonard de Bruxelles. En précisant tout de même que le porte-parole de celui-ci avait démenti les propos attribués à cet évêque par un quotidien belge. (…) Jeroen Moens a fait une mise au point le 5 juin dernier auprès de LifeSite en assurant qu’il avait bien affirmé que Mgr Léonard « n’est pas homophobe ». « Il n’a aucun problème par rapport aux homosexuels et il n’est pas opposé à un engagement légal », a-t-il précisé à propos de l’évêque, ajoutant que cela n’impliquait pas d’approbation par rapport au comportement homosexuel ni par rapport à  la loi belge sur le « mariage » des homosexuels, de quelque manière que ce soit.

    L’argumentation de l’évêque telle que rapportée par son porte-parole est intéressante : c’est celle qui aurait pu et dû être mise en avant contre le mariage gay et l’union civile fondée sur un pseudo droit né de l’activité sexuelle (alors que naguère c’est le mariage et lui seul qui ouvrait droit à l’union conjugale).

    « Il n’y a rien à redire par rapport aux arrangements civils entre deux personnes en ce qui concerne leur propriété » : « Il est tout à fait permis d’avoir un accord entre n’importe quelles deux personnes. Il ne s’agit ni d’une union civile ni d’un mariage. Tout le monde est libre de trouver un accord quelconque à propos de sa propriété », a précisé Jeroen Moens, en insistant sur le fait qu’il peut s’agir là d’un « engagement entre n’importe quel type de personnes ; ce n’est pas une “relation” et ce n’est pas le mariage. Une tante peut faire un arrangement avec sa nièce, un prêtre peut le faire avec une personne de confiance » en vue de disposer de leur propriété personnelle et d’en organiser l’usage.

    De fait, si les contrats civils n’ont pas de connotation sexuelle et se bornent à rendre possible une transmission d’héritage plus sûre et moins onéreuse, par exemple pour une personne n’ayant ni descendance ni famille, en vue d’assurer l’avenir d’une personne proche avec qui elle aurait partagé des aspects matériels de la vie, il n’y a là aucun problème moral. Le contrat n’est pas signe d’une union et il s’agirait plutôt de rendre possible une solidarité humaine dans un monde éclaté (…)"

    Tout l’article ici : Mgr Léonard pour l’union civile ? Mise au point

    Et c’est très exactement ce que nous avions entendu de la bouche  même de l’actuel archevêque-primat  répondant à une question qui lui fut posée lors d’une conférence donnée à l’Université de Liège le 24 avril dernier,  et dont nous possédons d’ailleurs l’enregistrement. Aucun rapport avec les propos étranges de son prédécesseur, décidément bien bavard depuis l’élection du nouveau pape

     

  • Unions homosexuelles : les silences du pape François

    IMPRIMER

    Le site « Chiesa » de Sandro Magister nous remet en mémoire ce 10 juin 2013 la position de l’Eglise définie en son temps par les cardinaux Ratzinger (SC pour la doctrine de la foi) et Amato (SC pour la cause des saints) et approuvée  par Jean-Paul II  le 28 mars 2003. Elle fut rendue publique le 3 juin de la même année :

     "L’Église enseigne que le respect pour les personnes homosexuelles ne peut en aucune façon conduire à l'approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles".

    En effet :

    "Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l'union matrimoniale comme base de la famille, cellule primordiale de la société".

    Donc :

    "Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage signifierait non seulement approuver un comportement déviant et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l'humanité".

    C’est pourquoi :

    "L'Église ne peut pas ne pas défendre de telles valeurs, pour le bien des hommes et de toute la société".

    Ces phrases figurent dans la conclusion du document “Considérations à propos des projets de reconnaissance juridique des unions entre personnes homosexuelles” publié par la congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) et facilement consultable sur le site internet de ce dicastère :

    Lire la suite