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BELGICATHO - Page 1917

  • Ecriture et Tradition : un miracle peut en cacher un autre…

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      imagesCA479HOR.jpg Que Jésus rendît d’un seul mot la vue à Bartimée qui mendiait au bord de la route, ce fut un grand miracle, assurément. Et pourtant, saint Marc nous en rapporte un autre plus grand encore, mais moins apparent, en relatant les circonstances de celui-là, sur lequel s’articule la péricope (Mc 10, 46-52) ... 

       Car enfin, oserait-on dire, le miracle dont bénéficia Bartimée ne devrait guère nous surprendre.

       Est-ce si extraordinaire pour « celui qui a façonné l’oeil » (Ps 93[H. 94], 9) de lui rendre son bon fonctionnement ? Cet aveugle avait foi en Jésus : on le voit par son comportement, et Jésus lui-même nous en donne confirmation, quand il lui dit « Ta foi t’a sauvé. » (Mc 10, 52) Or le Seigneur ne dit-il pas encore ailleurs : « Tout est possible en faveur de celui qui croit. » (Mc 9, 22 [Gr.23]) ?

       Si nous sommes surpris par ce miracle-là, c’est que nous méconnaissons lourdement que l’être est dans les mains de Dieu, c’est que nous mesurons à notre aune, c’est que nous faisons bon marché de la toute-puissance de Dieu, de la divinité du Christ, de l’amour qu’il nous porte, du poids véritable et réel de ses paroles. Bref, c’est que nous nous disons chrétiens mais sommes bien loin de l’être ! 

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  • Egypte : la situation des chrétiens est préoccupante

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    La situation des chrétiens en Egypte est préoccupante (source :EEMNI)

    [CreditsKauder, le chef de la fraction du CDU/CSU, menace de stopper la promotion du tourisme en Allemagne

    Berlin (idea) – Le président du groupe parlementaire CDU / CSU au Parlement allemand, Volker Kauder déplore la dégradation de la situation des chrétiens en Egypte. Dans une interview au journal "Welt am Sonntag" (Berlin), le politicien menace de conséquences s'il n'y a pas d'amélioration.

    C’est ce que vient de rapporter le «Welt Online". "Huit millions de chrétiens coptes y vivent et craignent de plus en plus ne plus pouvoir vivre leur foi, bientôt, dans leur pays d'origine", a déclaré Kauder. Ce serait dramatique. Il a menacé d'arrêter toute publicité en faveur du tourisme égyptien.

    Ainsi, il a écrit au président du Parti des Frères musulmans en Egypte que «nous pouvons, par exemple, ne pas promouvoir le tourisme en Egypte, si on n’a pas la garantie de pouvoir aller tranquillement à l'église le dimanche».

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  • Un curieux exercice de rédaction

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    source

    "Vous venez d'avoir 18 ans. Vous avez décidé d'en finir avec la vie. Votre décision semble irrévocable. Vous décidez dans un dernier élan de livrer les raisons de votre geste. En dressant votre autoportrait, vous décrivez tout le dégoût que vous avez de vous-même. Votre texte retracera quelques événements de votre vie à l'origine de ce sentiment".

    Ce sujet de rédaction a été donné à deux classes de 3e du collège de Montmoreau. C'était le 22 octobre dernier. Ce sont des parents choqués, qui, anonymement, ont communiqué à Charente Libre la copie du courrier qu'ils viennent de faire parvenir au principal et à l'inspection académique. «Nous sommes révoltés que l'on puisse proposer ce genre de sujet à des enfants qui ont entre 13 et 14 ans», écrivent-ils. «De par notre éducation, nous n'avons pas l'habitude de remettre en question ce qui se passe à l'école, mais il y a des limites». Ils interrogent: «Quel va être le prochain sujet? "Que ressentez vous lorsque vous vous piquez?" On aimerait comprendre».

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  • Des perles sur "benoît-et-moi"

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    Nous sommes redevables de nombreux "emprunts" effectués sur "benoît-et-moi", un site remarquable dont le succès est dû au travail assidu de notre amie Béatrice qui ne ménage ni son temps ni ses efforts. Nous vous invitons à rendre visite à ce site, et à y découvrir notamment ces mises en lignes récentes :

  • Quand le Nouvel Obs se laisse piéger par la Fondation Lejeune

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    Le Nouvel Observateur s’est laissé «  piéger  » par une campagne en faveur du droit des embryons humains… Scandale à gauche quant aux «  valeurs  » ainsi malmenées  !  (France Catholique)

    Il y a quelques années l’avocat Antoine Beau­­quier signait un ro­­man policier sur le thème des embryons congelés… On sait que les méthodes d’assistance médicale à la procréation ont conduit à la production d’un grand nombre d’embryons surnuméraires. Qu’en fait-on dès lors qu’ils ne font plus l’objet d’un projet parental  ? Ils sont des centaines de milliers conservés dans des cuves à très basse température. Dans le roman, de très méchants laboratoires sont prêts à tous les crimes pour s’emparer de ce précieux matériau génétique. Et le héros sauve l’honneur de la race humaine par un acte «  terroriste  ».

    Mais la vraie vie offre des rebondissements qu’aucun romancier n’oserait imaginer. Qu’on en juge. C’est dans la nuit du 4 au 5 décembre qu’une poignée de sénateurs a tenu une sinistre séance de moins de deux heures trente pour offrir, sans plus aucune restriction opérante, aux laboratoires les embryons dont la destruction leur semble promesse de brevets hautement rentables.

    Ces sénateurs (ils ne sont pas tous de gauche) cèdent sur le modèle habituel des «  libéraux-libertaires  » quand il s’agit de mettre en l’air une règle morale et légale  : 1/ Obtenir une exception à la loi sous prétexte que cela se fait déjà. - 2/ Transformer l’exception en règle. - 3/ Rendre obligatoire l’exception…Dans un souci de compromis, la loi Léonetti permettait déjà la recherche sur les embryons sur autorisation exceptionnelle, ce qui était une entorse à l’article 16 de notre Code civil garantissant «  le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie  ». Il s’agirait désormais de se contenter de précautions purement théoriques… On dira que ce n’est qu’une affaire de symbole. Mais en matière de transgression, cela importe.

    Ce qu’il y aurait de presque comique dans cette affaire c’est que le lobbying des laboratoires semble porter ses fruits au Parlement au moment où les avancées de la science ridiculisent les chercheurs sans éthique qui ont cru qu’en détruisant des embryons, ils arriveraient plus vite à des brevets extraordinaires. Or c’est un professeur japonais, qui avait refusé la transgression d’«  élever des embryons humains  » pour ses expériences, qui a permis le développement d’une technique beaucoup plus prometteuse, celle des cellules souches reprogrammées dites iPS. Il a des résultats probants et, accessoirement, c’est à lui qu’on a donné un prix Nobel  !

    La fondation Lejeune a beau jeu de mener campagne sur ce thème et de dénoncer au passage les mensonges du Téléthon qui finance des techniques de dépistage et de tri des embryons (qui seront détruits s’ils ne sont pas conformes) plutôt que de vraiment chercher à guérir des maladies comme la trisomie 21.

    La fondation Lejeune a réussi un coup médiatique avec sa campagne«  Vous trouvez ça normal  ?  », déclinée en trois photos. Les deux premières montrent des ours polaires et une baleine en argumentant sur le fait que ces animaux sont désormais protégés par la loi, alors que les embryons humains risquent de ne plus l’être. La troisième montre une souris blanche et nous fait nous demander si c’est pour économiser sur l’élevage de souris que les laboratoires préfèrent utiliser des embryons humains gratuits. L’embryon humain est d’ailleurs représenté aussi en dessous de chacune des trois photos...

    Le Nouvel Observateur a accepté de passer ces encarts publicitaires (peut-être au nom du droit démocratique au débat  ? Ou juste pour prendre un peu d’argent  ?). Mais des bien-pensants y ont vu une scandaleuse atteinte aux valeurs de la gauche. D’où des excuses piteuses (et odieuses) du rédacteur en chef…

    Une pub publiée dans le Nouvel Obs suscite l’indignation

    http://www.metrofrance.com/info/une...

    Quand le Nouvel Obs passe une pub anti-IVG : "Vous trouvez ça normal ?"

    http://leplus.nouvelobs.com/contrib...

    http://feminisme.fr-bb.com/t844-pub...

    https://twitter.com/RenaudDely/stat...

    https://twitter.com/RenaudDely/stat...

    http://www.acrimed.org/article3954.html

    http://www.lesnouvellesnews.fr/inde...

    http://www.toutalego.com/2012/12/qu...

  • L'esclavage, une réalité multiforme

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    Couleurs de l’esclavage sur les deux rives de la Méditerranée (Moyen-Age - XXème siècle)

    COULEURS DE L’ESCLAVAGE SUR LES DEUX RIVES DE LA MÉDITERRANÉE,
    Sous la direction de Roger Botte et Alessandro Stella,
    Paris, Éditions Karthala, 396 p.

    Présentation de l’éditeur :


    Si l’esclavage des Noirs présente une indéniable spécificité, il est tout aussi évident que l’institution esclavagiste a été aussi complexe et variée que la polychromie des phénotypes humains.

    Sans remonter à l’Antiquité gréco-romaine, l’espace méditerranéen avant, pendant et après la traite transatlantique des Africains, est un observatoire de choix sur la fabrique d’esclaves. D’une rive à l’autre de la Méditerranée, nous pouvons observer la coexistence d’esclaves de différentes couleurs, origines, religions.

    À côté d’Africains arrivés par les traites transsaharienne et atlantique, les marchés d’esclaves se nourrissaient de Slaves, Caucasiens et autres Orientaux, pendant que les clivages religieux alimentaient et justifiaient la capture et la mise en esclavage aussi bien de musulmans que de chrétiens et de païens. Le même statut d’esclave était appliqué à des individus qui, tout en partageant la domination servile, étaient souvent, de par leur origine ethnique, leur sexe, leur âge, leur apparence physique et leurs supposées qualités, destinés à des tâches diverses.

    De Byzance au monde ottoman, de l’Europe chrétienne aux terres d’islam, la désignation des esclaves empruntait une large palette de nuances, la couleur se révélant pour ce qu’elle est : une vision subjective du contraste. C’est cet esclavage multiforme que tentent de dépeindre les textes réunis dans cet ouvrage.

    (via passion-histoire.net)

  • Quand les nazis "déjuivaient" les chants de Noël

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    Les chants de Noël "déjuivés" par les nazis

    C’est La Libre qui nous informe ce dimanche d’une triste page de l’Histoire liée à Noël et plus précisément aux chants de Noël tells qu’ils auraient été transformés à l’intérieur de l’Eglise protestante d’Allemagne.

    Source: ww.lalibre.be/societe/general/article/782667/les-chants-de-noel-dejuives-par-les-nazis.html (Pierric Brison (st)

    Julio Goslar avait dénoncé ce scandale !

    Die Welt annonce qu'en Allemagne, les chansons de Noël n'ont pas résisté à la censure à l'époque nazie. Parfois interdits, les chants chrétiens étaient au moins réécrits. Le but, selon ces religieux nazis, était de "déjuiver" (entjuden) les paroles contraires aux valeurs aryennes. Celles-ci faisaient référence à l'Ancien Testament.

    Le quotidien allemand donne en exemple un classique : "Es ist ein Ros entsprungen" (version allemande de la chanson "Dans une étable obscure"). Le mot "Ciel" ayant remplacé le prénom du roi d'Israël David.

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  • Trois messages de l’Immaculée

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    sml304418a1231014b1c6.jpgComme chaque année le 8 décembre en la fête de l’Immaculée, le pape a couronné la statue de Marie, place d’Espagne à Rome et, comme d’habitude, Benoît XVI n’a pas parlé à la foule pour ne rien dire comme font les politiciens et les sermonneurs du dimanche . Ecoutons sa voix modeste et timide qui s’adresse à chacun plutôt qu’à tous (source et traduction : benoît et moi):

     «C'est toujours une joie spéciale de se rassembler ici, sur la Piazza di Spagna, en la fête de Marie Immaculée. Se retrouver ensemble - Romains, pèlerins et visiteurs - au pied de la statue de notre Mère spirituelle, nous fait nous sentir unis au nom de la foi. Il me plaît de le souligner en cette Année de la foi que l'Eglise toute entière est en train de vivre. Je vous salue avec une grande affection et je voudrais partager avec vous quelques réflexions simples, suggérées par l'Evangile de cette solennité: l'Evangile de l'Annonciation.

    Tout d'abord, nous sommes toujours frappés, et cela nous laisse songeurs, par le fait que le moment décisif pour le destin de l'humanité, le moment où Dieu s'est fait homme, est entouré par un grand silence. La rencontre entre le messager divin et la Vierge Immaculée passe totalement inaperçu: personne ne sait, personne n'en parle. C'est un événement qui, s'il arrivait à notre époque, ne laisserait pas de traces dans les journaux, dans les revues, parce que c'est un mystère qui se passe dans le silence. Ce qui est vraiment grand passe souvent inaperçu, et le silence tranquille est plus fructueux que l'agitation frénétique qui caractérise nos villes, mais qui - toutes proportions gardées - se vivait déjà dans les grandes cités comme Jérusalem alors. Cet activisme qui nous rend incapables de nous arrêter, de rester tranquilles, d'écouter le silence dans lequel le Seigneur fait entendre sa voix discrète.

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  • L'évangile de l'Enfance et sa dimension historique

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    Le message du pape lors de l'Angelus du dimanche 9 décembre (ZENIT.org) :

    Dans le temps de l’Avent, la liturgie met en avant, de manière particulière, deux figures qui préparent la venue du Messie : la Vierge Marie et Jean-Baptiste. Aujourd’hui, saint Luc nous présente ce dernier, et il le fait avec des caractéristiques différentes des autres évangélistes.

    « Les quatre évangiles mettent au commencement de l’activité de Jésus la figure de Jean-Baptiste et le présentent comme son précurseur. Saint Luc a anticipé le lien entre les deux figures et leurs missions respectives, en les situant dans les deux récits de l’enfance. Déjà dans leur conception et dans leur naissance, Jésus et Jean sont mis en relation entre eux » (L’enfance de Jésus, p. 29).

    Cette organisation aide à comprendre que Jean, comme fils de Zacharie et d’Elisabeth, tous deux de familles sacerdotales, est non seulement le dernier des prophètes, mais il représente aussi le sacerdoce de l’Ancienne Alliance tout entier et, en cela, il prépare les hommes au culte spirituel de la Nouvelle Alliance, inauguré par Jésus (cf. id. p.35-36).

    En outre, Luc démytifie toute lecture mythique qui est souvent faite des évangiles, et il situe historiquement la vie du Baptiste : « L'an quinze du principat de Tibère César, Ponce Pilate étant gouverneur de Judée … sous le pontificat d'Anne et Caïphe » (Lc 3, 1-2). C’est à l’intérieur de ce cadre historique que se situe le véritable grand événement, la naissance du Christ, que ses contemporains ne remarquent même pas. Pour Dieu, les grands de l’histoire servent de décor pour les petits !

    Jean-Baptiste se définit comme la « Voix de celui qui crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers » (Lc 3, 4). La voix proclame la Parole mais, dans ce cas-ci, la Parole de Dieu précède, dans la mesure où c’est elle qui descend sur Jean, fils de Zacharie, au désert (cf. Lc 3, 2). Il a donc un grand rôle, mais toujours en fonction du Christ. Saint Augustin fait ce commentaire « Jean est la voix, mais le Seigneur, au commencement, était le Verbe. Jean est une voix dans le temps ; le Christ était au commencement la Parole éternelle. Enlève la Parole, que devient la voix ? Vidée de tout sens, elle n'est que vain bruit. Sans la Parole, la voix frappe l'oreille, elle n'édifie pas le cœur » (Discours 293, 3). C’est à nous que revient la tâche, aujourd’hui, d’écouter cette voix pour laisser à Jésus, la Parole qui nous sauve, un espace dans notre cœur pour l’accueillir.

    En ce temps de l’Avent, préparons-nous à voir, avec les yeux de la foi, dans l’humble grotte de Bethléem, le salut de Dieu (cf. Lc 3, 6). Dans notre société de consommation, où l’on est tenté de chercher la joie dans les choses matérielles, le Baptiste nous enseigne à vivre de manière essentielle, afin que Noël soit vécu non seulement comme une fête extérieure, mais comme la fête du Fils de Dieu, venu apporter aux hommes la paix, la vie et la véritable joie.

    Confions à Marie, Vierge de l’Avent, notre chemin vers le Seigneur qui vient, pour être prêts à accueillir, dans notre cœur et dans toute notre vie, l’Emmanuel, le Dieu-avec-nous.

  • Sénégal : convertir au Christ serait-il devenu illégal ?

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    C'est ce que l'on pourrait penser à la lecture de cette "sénégalaiserie" publiée dans SudOnLine (via l'"Observatoire de la Christianophobie" :

    On en apprend tous les jours, décidément… Stupeur, donc, avant-hier, à la lecture de la «une» du Populaire : «le pasteur brésilien convertissait des enfants au christianisme». Le surtitre en rouge (faut bien que ça saigne) nous annonce qu’il a été «arrêté (la veille) à Mbour et déféré au parquet de Thiès avec son assistante». Bien sûr, je panique. A mon âge, découvrir un matin de décembre, à quelques jours de la Nativité, qu’adorer le Christ est un crime sévèrement puni par la loi, ça m’en bouche un coin.

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  • Bientôt un "observatoire de la laïcité" en France ?

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    C'est ce qu'on peut lire dans la "Matinale de la Vie" de ce lundi :

    UN OBSERVATOIRE DE LA LAÏCITE EN FRANCE?
    C'est ce qu'annonce un communiqué de l'Elysée, selon lequel le président "a saisi l'occasion [de la remise de la légion d'honneur au sociologue des religions Emile Poulat] pour rappeler que la loi de 1905 permet de répondre aux enjeux du temps présent et il a annoncé la mise en place en 2013 de l'Observatoire national de la laïcité, dont le principe est acquis depuis huit ans sans avoir jamais été traduit. L'observatoire aura aussi la charge de formuler des propositions sur la transmission de «la morale publique » pour lui donner une place digne d'elle au sein de l'école".

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  • La Translation de la Sainte Maison de Lorette

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    Du site "Marie de Nazareth", une synthèse rédigée par F. Breynaert :

    Le rayonnement de ce sanctuaire italien est si grand que le calendrier liturgique catholique romain propose une mémoire liturgique pour célébrer la "Translation de la Sainte Maison de Lorette", le 10 décembre.

    Le mot "translation" signifie "transport" : l'actuel sanctuaire, construit au XV° et XVI° siècle, abrite une maison, "la sainte Maison", dont les pierres sont une relique de la maison de la Vierge Marie de Nazareth.

    Sixte V (pape de 1585 à 1590), fit graver en lettres d'or sur façade de la Basilique à peine achevée : « Maison de la Mère de Dieu où le Verbe s'est fait chair ».

    Il est tout à fait saisissant d’entrer en ce lieu, de se prosterner là, et de penser qu’entre ses pierres, quand la Vierge prononça son Oui, le Verbe s’est fait chair dans son sein virginal, et qu’il a vécu parmi nous.

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