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BELGICATHO - Page 1919

  • Des alternatives à l'avortement

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    Mexique : des alternatives à l'avortement proposées par le Comité pro-vie

    Traduit par Océane Le Gall sur ZENIT.org

    Au Mexique, le Comité pro-vie a proposent aux femmes enceintes des  alternatives de vie, leur indiquant, entre autres, comment obtenir une bourse de travail, donné des conseils juridiques, indiqué comment avoir accès aux services sociaux, à un logement.

    L’association a annoncé sa volonté de poursuivre son travail « de prévention et d’éducation » à plein régime, pour promouvoir une sexualité fondée sur l’amour, en offrant des alternatives aux femmes enceintes en difficulté.

    Le cardinal Norberto Rivera Carrera a lui-même conféré le baptême à 21 ees enfants dont els mamans ont hésité à avorter, lors d’une célébration à laquelle ont participé 130 personnes, des parents et des membres du Comité nationale Pro-Vie.

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  • Un petit catéchisme des c...

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    http://kehlkarjan.unblog.fr/

  • Les méthodes d'apprentissage de la lecture et de l'écriture

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    A découvrir sur lire-écrire.org :

    Sommaire

    1 - Ce que sont la lecture et l'écriture
    2 – Comparaison des méthodes d'apprentissage
               Méthodes globales
               Méthode alphabétique
               Méthodes mixtes
               Facteurs intervenant dans les comparaisons entre méthodes
               Observations sur les comparaisons
                               Départ global et départ alphabétique

                               Faut-il parler français avant d'apprendre à lire ?
                               L'exemple anglais
    Annexe – Le dernier état de l'art d'instruire en mixte.

  • Les derniers films sortis sur les écrans

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    Les dernières sorties sont analysées sur l'ECRAN
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  • A quelle heure allons-nous mourir ?

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    Syrie : témoignage poignant d’un évêque de Damas (source)

    Dans une lettre adressée à l’Occident que l’Œuvre d’Orient vient de recevoir, Mgr Samir Nassar témoigne une fois encore de la souffrance du peuple syrien. Un cri du cœur déchirant en ce temps de l’Avent.

    A QUELLE HEURE NOUS ALLONS MOURIR ?

    Entre Noël et la tempête, la famille syrienne est prise en tenailles… D’un côté le chant des anges pour la Paix et de l’autre une tempête sans merci.

    La tempête sauvage et cruelle propose :

    1)   la mort sous les bombes

    2)   les balles des francs-tireurs

    3)   Les voitures piégées

    4)   L’enlèvement et échange de rançons

    5)   L’insécurité des routes

    6)   L’inflation et tous genres de pénurie

    7)   l’Embargo et l’étouffement de l’économie

    8)   La vie en nomade, sans domicile

    9)   Année scolaire perdue, écoles fermées …

    10) Vivre l’hiver sans vêtements chauds ni chauffage.

    11)  Mourir loin des parents, de la paroisse et des caveaux familiaux

    12)  Sans travail ni ressources, attendre l’aumône irrégulière.

    Cette litanie interminable de souffrances et de misères se prolonge chaque jour devant le silence mondial. Même les aides humanitaires n’arrivent qu’à une minorité des millions de  réfugiés et familles sinistrés abandonnés à leur triste sort.

    Devant cette crise sans issue et sans merci, la famille syrienne porte seule ses lourds fardeaux et se tourne vers la Crèche Divine pour trouver refuge auprès de la SAINTE FAMILLE, prier en silence et  écouter la symphonie des Anges :

    GLOIRE A DIEU…ET PAIX SUR LA TERRE…

    Ecoutant les bombes tomber sur le quartier, un enfant de quatre ans collé à sa maman les larmes aux yeux, l’interrogeait toute la journée : maman à quelle heure nous allons mourir?

    ENFANT DIVIN, ROI DE LA PAIX…PRENDS PITIÉ !

    Noël 2012

  • Le Noël solidaire de Caritas

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    Noël solidaire pour les victimes de conflits

    Maintenant que Noël arrive, symbole de l’arrivée de la lumière et de l’espoir dans les moments sombres, Caritas International souhaite porter une attention particulière aux victimes des conflits entre autres en Syrie, dans l’Est du Congo ou à Gaza et en Israël. Avec notre action 1 Millions d’Etoiles, avec autant de bougies que possible, nous souhaitons pointer du doigt la pauvreté scandaleuse dans le Sud, souvent conséquence de la violence et de la guerre qui conduisent les victimes à fuir et à être plongées dans la misère.

    Cliquer sur ce lien : http://www.caritas-int.be/fr/e-file/solidaire-kerst

  • Non, les religions monothéistes ne sont pas des vecteurs de violence

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    LE MONOTHEISME N'EST PAS PORTEUR DE VIOLENCE (VIS - Vatican Information Service)

    Le Saint-Père a reçu ce matin (7 décembre) la Commission théologique internationale, qui s'apprête à tenir sa session plénière, remerciant tout d'abord ses membres de leur message pour l'Année de la foi. Il exprime bien, a dit Benoît XVI à ses hôtes, "la manière spécifique qu'ont les théologiens de participer à l'élan évangélique de l'Eglise en servant fidèlement la vérité de la foi". Il reprend les thèmes du document intitulé "La théologie aujourd'hui, critères et perspectives." (...) Ainsi le document clarifie-t-il les critères d'une théologie authentiquement catholique, capable par conséquent de contribuer à la mission de l'Eglise.

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  • Pédagogie : l'imposture des "compétences"

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    Tous les enseignants connaissent cette notion de "compétences" au nom de laquelle ils sont contraints de pratiquer une pédagogie absurde qui conduit à la crétinisation des élèves qui leur sont confiés. Voilà une publication salubre susceptible de nourrir leur résistance :

    L'imposture scolaire

    La destruction organisée de notre système éducatif par la doctrine des (in)compétences


    Alain PLANCHE - Presses universitaires de Bordeaux – 2012


    Présentation de l'éditeur :

    Pour les parents, le mot  "compétence" évoque d'abord  des livrets aux termes étranges, parlant de tout, sauf des points forts et des faiblesses des élèves dans les disciplines fondamentales.


    Alain Planche, mathématicien et économiste, annonce dès l'abord ses convictions : il condamne, non pas la compétence (comment serait-ce possible?) mais l'usage que fait de ce mot l'Education nationale. Pour lui, la nouvelle acception, qui se réfère à une certaine conception de l'éducation et de l'enseignement, a été adoptée et généralisée dans un but très clair : masquer l'échec scolaire massif. On peut juger que, de la part des pédagogistes, c'est du perfectionnisme, tant l'Education nationale a fait preuve de virtuosité dans l'art de défigurer examens et résultats, même pour les savoirs les plus élémentaires. 


    Alain Planche montre et démontre qu'aujourd'hui cette notion de compétence est creuse, et qu'il est impossible de lui donner une signification rationnelle. Son ouvrage, riche en informations, met en question le socle commun de compétences et les épreuves PISA. Il reprend à son compte l'expression « démocratisation ségrégative » pour qualifier le résultat de toutes ces initiatives mortifères, promues avec persévérance au nom de l'Egalité. 


    À lire, pour ceux qui veulent comprendre et ne pas se contenter de dire « comment est-ce possible ? ».


    Relire aussi le "Bienheureux Chaboteau" qui reste d'actualité.

  • Au Havre : 8500 mousses au chocolat à la poubelle

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    C'est ici, sous la plume d'Edouard Fremy :

    Alors là, c’est un crime ! Jeter à la poubelle de la mousse au chocolat ! Même pas ratée en plus ! C’est pourtant bon la mousse au chocolat ! Même industrielle, tant qu’il y a du chocolat, ça va. Mais il y avait aussi de la gélatine de porc, ça va plus. Quand ça va pas pour quelques-uns, ça va pour personne, tous privés de dessert ! 8500 coupes de mousse au chocolat destinées aux enfants des cantines de la ville du Havre ont donc fini à la poubelle : on ne redoutait pas qu’elle intoxique les enfants mais on craignait qu’elle ne soit pas halal, licite, permise.

    On a tous nos prescriptions alimentaires, la tolérance est faite pour digérer celles des autres, alternative plus intelligente que le rouleau compresseur de l’égalitarisme laïcard. Mais il y a des limites, comme jeter pour tous ce qui peut être mangé par certains. Au nom de l’égalité du service public de la cantine, plaideront-ils ! Les mêmes qui, droits dans leurs bottes, expliquent que les jours où c’est rôti de porc, il y a un plat de substitution pour respecter la liberté religieuse. S’il était encore besoin de démontrer que égalité et liberté ne marcheront jamais ensemble et que, errant de l’un à l’autre, la France se perd…

    Mais le vrai scandale n’est pas là. Le scandale, ce n’est pas le gâchis, ni l’injure à ceux qui ont faim, ni une prescription religieuse qui ordonne les menus. Le vrai scandale, c’est la servilité spontanée de la collectivité. En fait, on a franchi un degré supplémentaire. Il n’y a plus besoin de menace. Le Havre, ancien port vers l’Amérique, a remporté l’Oscar 2012 de l’aplaventrisme. On ne sait trop comment, ni pourquoi, le bruit a couru que de la gélatine de porc entrait dans la fabrication de ces mousses au chocolat. Du coup, dans un puissant réflexe de culpabilité comme on le cultive en France grâce à 30 ans de lavage de cerveau médiatique après réquisitoire made in SOS Racisme, Le Havre, sans que personne ne lui demande rien, sans le commencement d’une contestation de la moindre association musulmane, sans l’ombre d’un début de chantage à la discrimination, à mille lieux d’une ébauche de coercition, Le Havre, une communauté de 177 000 habitants, avec à sa tête des gens élus par le peuple de la République française libre et laïque, Le Havre, donc, a pris d’elle-même l’initiative de jeter ces mousses au chocolat. Car elle a eu peur. La peur de se voir accuser de discrimination, donc de racisme – mal suprême – en donnant à manger un aliment contenant du porc à des élèves dont la religion le leur interdit.

    La marque d’un régime totalitaire parachevé : la soumission volontaire des consciences sans violence.

  • La militance de l'Eglise de France

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    Alors que dans notre "petite terre d'héroïsme" l'Eglise ne se fait guère entendre et que des lois telles que celles qui autorisent le mariage entre personnes du même sexe, l'adoption par de tels couples, l'euthanasie, etc. ont été instaurées sans que personne ne soit descendu dans la rue, il en va tout autrement en Outre-Quiévrain. Sandro Magister salue la militance de l'Eglise de France :

    Personne ne l'aurait parié. Mais, après des décennies d’invisibilité et de torpeur, l’Église catholique française est revenue vigoureusement sur la scène publique.

    Minoritaire elle était, minoritaire elle reste, dans un pays où moins de 5 % de la population va à la messe le dimanche et où les baptêmes d’enfants se font de plus en plus rares.

    Mais se rendre est une chose, être créatif en est une autre. L’avenir que le pape Joseph Ratzinger lui-même a assigné au catholicisme dans les régions sécularisées est d’être une "minorité créative". L’Église de France s’y essaie.

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  • Islam et printemps arabes : l'approche de Jacques Rifflet

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    Dans La Libre du 19 novembre dernier (cela nous avait échappé), Christian Laporte a recensé un ouvrage intéressant de Jacques Rifflet consacré à l'Islam, un ouvrage intelligent éloigné des platitudes islamophiles des uns et des poncifs islamophobes des autres. Nous aimons tout particulièrement cette insistance sur le désert et son lien avec la transcendance qui n'avait pas échappé à un Charles de Foucauld : 

    (...) Une nouvelle brique de près de 700 pages où Jacques Rifflet confronte ses découvertes récentes à sa très remplie vie de voyages et de reportages. L’islam avait déjà une place importante dans son ouvrage précédent mais, ici, il nous emmène des piliers de la foi musulmane aux origines des conflits du Proche et du Moyen Orient. La bonne plume de Rifflet est épaulée par une volonté récurrente d’expliquer simplement, sans tourner autour du pot, comment on en est passé d’une religion aux principes pacifiques et pacifistes aux situations actuelles inextricables.

    De l’Histoire à l’actualité, il n’y a qu’un pas largement franchi par l’auteur qui, dans la seconde partie de son ouvrage, propose une explication et une interprétation des différents Printemps arabes. Avec, à la clé, une analyse de ses incidences sur les sphères d’influence russe et occidentale. Jacques Rifflet a donc dressé une fresque palpitante d’un courant religieux qui a connu, à l’instar des autres religions et des philosophies éclairées, des époques tantôt brillantes et de grande ouverture, notamment sur le plan scientifique et culturel, tantôt des temps plus sombres marqués par la violence et l’oppression.

    Mais quelle est "la" marque de l’islam ? Pour Rifflet, c’est le désert. Là, sa plume s’envole car on y passe parfois de la plus grande solitude à un sentiment de plénitude absolue. Loin d’être une volonté d’ajouter une touche exotique à son travail, l’auteur nous montre que ceux qui professent cette conviction ont souvent la certitude d’être porteurs de l’exclusivité de l’authentique transcendance. C’est cette conviction qui dote les musulmans de ce qu’il appelle"une intense énergie prosélyte". Une énergie qui "submerge toute tentative d’établir un échange de conceptions religieuses diversifiées". Et, "plus encore, s’il s’agit de présenter une argumentation athéiste, une thèse inconcevable" 

    Mais qu’on ne se méprenne pas : tout au long de son analyse qui s’étend sur quatorze siècles, l’auteur dit avoir rencontré "la qualité des valeurs de cette religion, sa grandeur et ses excès, l’attitude arrogante où elle élève ses convictions, la générosité accueillante de ses ouvertures mais aussi l’implacabilité de ses enfermements et son incapacité à s’organiser en une vraie démocratie qui n’est pas verrouillée par les interdits de son sacré". A l’évidence, son livre suscitera le débat à l’heure où, après avoir été écartée pendant des siècles de la dynamique mondiale, cette croyance interpelle vivement aujourd’hui le monde occidental.

    L’islam dans tous ses états - Jacques Rifflet - Editions Mols - Autres regards 685 pp., env. 38 €

  • Qu'on se le tienne pour dit : on ne peut pas militer contre le mariage homosexuel sans être homophobe

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    C'est un militant des droits LGBT qui a le mérite de l'affirmer clairement (ICI) : si vous refusez l'accès au mariage, à l'adoption, à la parentalité assumée par des personnes de même sexe, c'est que vous êtes homophobes. C'est aussi simple que cela. Il n'y aurait donc aucune place pour un débat de société puisque le simple fait de formuler le moindre argument en faveur de l'institution du mariage basé sur la différence sexuelle ou en faveur du droit des enfants à être éduqués par un père et une mère vous assimile illico à d'affreux discriminateurs pleins de haine à l'égard des personnes homosexuelles. On en revient ainsi au vieux couplet bien connu "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". Pas de liberté d'expression donc pour ceux qui s'opposent à la liberté de se marier avec qui l'on veut, fût il du même sexe.

    Avec de telles positions, il semble très impertinent de se poser la question de ce qui est bien comme le fait pourtant très opportunément Christophe Geffroy dans la Nef.