Sur "Causeur.fr", Elisabeth Levy dit son agacement à l'égard de tous ceux qui voudraient rendre responsables des agissements de Breivik à Oslo ceux qui dénoncent l'incurie de nos sociétés dans la gestion de l'immigration. Celle-ci est pourtant patente comme viennent de le manifester les émeutes hyper-violentes (du "jamais vu", foi de journaliste) dans les banlieues au nord de Londres.
Extrait :
"Je ne sais absolument pas dans quelle mesure un discours ambiant peut expliquer un passage à l’acte. Mais si c’est le cas, on peut soutenir que ce ne sont pas les propos dans lesquels il croyait entendre un écho de ses propres obsessions qui ont enragé Breivik, mais le conte de fées qui sert de discours officiel aux médias sur l’immigration et les bienfaits de la coexistence. Peut-être n’a-t-il pas basculé parce qu’il se croyait compris, comme le proclament mes estimables confrères, mais parce qu’il se sentait isolé dans un monde indifférent à ses angoisses.
Quoi qu’il en soit, je ne vois toujours pas en quoi il serait criminel d’observer les difficultés d’acculturation de l’islam ou de souhaiter la préservation d’un certain cadre de vie collectif. L’ennui, c’est que si je ne vois pas, les arbitres de nos élégances morales voient très bien. Grâce à ce maudit Norvégien, la police de la pensée est de nouveau sur les dents"
Le blog «
Le site web « Liberté Politique » rencontre cet été les acteurs de la presse chrétienne et tente avec eux de comprendre le rôle qu’ils jouent dans l’actualité et le débat politique. Dans son numéro du 6 août, Antoine d’Abbundo, rédacteur en chef du magazine « Le Pèlerin » répond aux questions d’Antoine Besson. Le Pèlerin est un hebdomadaire catholique d’information générale et grand public, qui appartient au groupe Bayard. C’est même le premier hebdomadaire catholique de France par sa diffusion et le nombre de ses lecteurs.
Rafael Arnaiz Barón est né le 9 avril 1911 à Burgos dans une famille de la haute société, profondément religieuse – cette année, on célèbre le centenaire de sa naissance – Pendant qu’il étudiait dans une école de jésuites, il tomba malade avec des fièvres qui l’obligèrent à interrompre ses études. Après sa guérison, son père remercia la Vierge Marie et l’emmena à Saragosse où il le consacra à la Vierge du Pilar.
Selon Cathobel ,