Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • Un regard pessimiste sur les tentatives « unionistes » de Rome ?

    IMPRIMER

    Qu’il s’agisse d’un  ralliement significatif espéré des anglo-catholiques ou des lefébvristes, le professeur Luc Perrin  (faculté de théologie de Strasbourg) montre que les choses sont loin d’être simples : déjà à l’intérieur même de l’Eglise catholique, le divorce entre les mentalités, les cultures religieuses conciliaires et traditionnelles tend à créer une sorte de schisme qui ne dit pas son nom (comme celui qui s’est creusé peu à peu entre les Eglises d’Orient et d’Occident durant le haut-moyen âge) , a fortiori lorsque la rupture s’est formalisée en actes caractérisés, désobéissance disciplinaire depuis près d’un demi-siècle de "lefébvrisme" –et bien plus encore après cinq siècles d' "anglicanisme". La Rome de Benoît XVI (souvent divisée, en son sein, contre elle-même) peut-elle renverser ce courant ?

    Luc Perrin observe à propos de la constitution Anglicanorum coetibus de 2009 : « le sujet du rapprochement avec certains anglo-catholiques appartenant à la Communion anglicane ou à la T.A.C [Traditional Anglican Community]. avait beaucoup attiré l'attention et dès le premier instant, beaucoup regardaient du côté de la FSSPX [Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X]

    Depuis on a un peu oublié ces anglicans/épiscopaliens. En fait, leur intégration semble s'être effilochée au cours des mois : un 1er ordinariat a péniblement vu le jour en Grande-Bretagne là où ils étaient assez peu nombreux, il se consolide depuis. Deux autres ordinariats naissent en 2012 seulement, soit 3 ans après la constitution romaine : un celui de la Chaire de saint Pierre pour l'Amérique du Nord et en juin celui de N.-D. de la Croix du Sud pour l'Australie qui pourrait réunir ... 300 à 500… fidèles.

    Lire la suite

  • Liège 25-27 mai : Fête de l'Orgue

    IMPRIMER

    Fte de l'orgue.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder au site

  • Benoît XVI : "Pas de justice sans gratuité"

    IMPRIMER

    Cité du Vatican, 19 mai 2012 (VIS). "La solidarité signifie avant tout se sentir tous responsables de tous. Elle ne peut donc être déléguée seulement à l’Etat. Si hier on pouvait penser qu’il fallait d’abord rechercher la justice et que la gratuité devait intervenir ensuite comme un complément, aujourd’hui, il faut dire que sans la gratuité on ne parvient même pas à réaliser la justice. Le marché de la gratuité n’existe pas et on ne peut imposer par la loi des comportements gratuits. Pourtant, aussi bien le marché que la politique ont besoin de personnes ouvertes au don réciproque". C'est par ses mots, extraits de son encyclique Caritas in Veritate, que Benoît XVI s'est adressé aux 8.000 membres des trois associations catholiques reçues aujourd'hui Salle Paul VI (la Fédération d'organismes chrétiens de service international et de volontariat qui comprend 65 organisations italiennes; le Mouvement ecclésial d'engagement culturel qui œuvre dans le monde de la culture en Italie, en collaboration avec la mission évangélisatrice de l'Eglise; et le Mouvement chrétien des travailleurs, à caractère social, basé sur la solidarité et le volontariat, pour la promotion des principes chrétiens).

    "Culture, volontariat et travail constituent un trinôme indissoluble de l'engagement quotidien du laïcat catholique", leur a-t-il dit. "Le fidèle laïque entre en jeu quand il touche un ou plusieurs de ces domaines et, dans le service culturel, dans l'action solidaire avec celui qui est dans le besoin et dans le travail, il s'efforce de promouvoir la dignité humaine. Ces trois domaines sont liés par un dénominateur commun: le don de soi... Votre action doit être animée par la charité. Cela signifie qu'il faut apprendre à voir avec les yeux du Christ et donner à l'autre bien plus que les choses matériellement nécessaires..., le geste d'amour dont il a besoin. Ce geste naît de l'amour qui vient de Dieu, lequel nous a aimé en premier, et naît d'une rencontre intime avec lui". Puis il a souligné que l'action des volontaires catholiques témoigne et valorise "la logique du don: donner de son temps, de ses capacités et compétences, de son instruction, de son professionnalisme, en un mot, donner de l'attention à l'autre, sans attendre de retour sans ce monde. En faisant ainsi, non seulement on contribue au bien de l'autre, mais on découvre le bonheur profond, selon la logique du Christ qui s'est entièrement donné". Cet amour gratuit s'expérimente pour la première fois en famille; sans lui, celle-ci entre en crise. "Quand cela est vécu en famille, se donner sans compter pour le bien de l'autre est un moment éducatif fondamental pour apprendre à vivre en chrétiens aussi notre relation avec la culture, le volontariat et le travail". Il a de nouveau cité Caritas in Veritate, dans laquelle il plaide pour l'extension du domaine familial de la logique de la gratuité et du don à une dimension universelle, puisque "la justice à elle seule ne suffit pas. Pour qu'il y ait une vraie justice, il faut ce petit 'plus' que seules la gratuité et la solidarité peuvent apporter".

    Pour terminer, le Saint-Père a encouragé les volontaires à "poursuivre avec constance leur engagement en faveur de leurs frères. Le devoir de souligner les injustices et de témoigner des valeurs sur lesquelles se fonde la dignité de la personne fait aussi partie de cet engagement, en vue de promouvoir des formes de solidarité qui favorisent le bien commun".
  • Le pape encourage le mouvement pour la vie et l'initiative "uno di noi"

    IMPRIMER

    Après le Regina Coeli d'hier (dimanche 20 mai),

    "Le Pape a enfin salué les membres du Mouvement italien pour la vie, réunis ce dimanche Salle Paul VI du Vatican: "Votre mouvement s'est toujours engagé à défendre la vie humaine, selon les enseignements de l'Eglise. Sur cette ligne, vous avez annoncé une nouvelle initiative appelée "L'un de nous" pour soutenir la dignité et les droits de tout être humain depuis sa conception. Je vous encourage à être toujours des témoins et des constructeurs de la culture de la vie"." (VIS)

  • François Hollande sera-t-il l'otage de la Libre Pensée ?

    IMPRIMER

    C'est en tout cas ce que voudrait Marc Blondel, président de la fédération nationale de la libre pensée qui adresse cette lettre à François Hollande :

    Monsieur le Président de la République,

    J’ai l’honneur de m’adresser à vous en ma qualité de Président de la Fédération Nationale de la Libre Pensée. Les adhérents et militants de notre association ont suivi, avec intérêt, la campagne électorale et les engagements des différents candidats. Nous avons notamment marqué notre satisfaction de vous entendre indiquer votre volonté de faire respecter le caractère laïque de notre République.

    La laïcité et son respect étant une préoccupation permanente des citoyens et de notre association.
    Votre prédécesseur avait pour le moins écorné ce principe, il ne cachait pas sa volonté, partagée par les représentants officiels des religions, d’intégrer dans la vie politique et publique les religions.

    Ce fut le cas notamment lors de la visite du Pape Benoit XVI en France et lors de l’adoubement de Monsieur Sarkozy comme chanoine d’honneur de Saint-Jean de Latran. Selon nos informations, nous citons  : « …Dans le catholicisme, le chapitre est un collège de clercs appelés chanoines, attachés à une cathédrale ou à une collégiale et dont l’institution remonte au début du IX siècle. Le chapitre accomplit les fonctions liturgiques les plus solennelles dans son église.…  »

    Cette fonction, même basée sur l’honorariat, nous semble incompatible avec les fonctions de Président de la République Française, constitutionnellement considérée comme laïque.

    Dans ces conditions, nous vous demandons, Monsieur le Président de la République, de différer votre réponse à l’autorité religieuse et nous vous demandons de bien vouloir, dans des délais raisonnables –nous connaissons vos obligations- accorder un entretien à une légère délégation pour vous entretenir de nos préoccupations citoyennes.

    Avec notre respect et nos considérations, nous avons l’honneur de vous assurer de nos sentiments républicains et laïques.

    Paris, le 16 mai 2012

    Marc BLONDEL Président

  • Avortement postnatal, eugénisme : la lettre mensuelle de gènéthique

    IMPRIMER

    La Lettre mensuelle N°148

  • Quand des catholiques prennent la parole

    IMPRIMER

    Une site est ouvert sur le net intitulé "Paroles de Catholiques". Il se présente ainsi :

    Quelques paroissiens de base qui se réunissent : voilà la genèse de l’association Paroles de Catholiques, créée pour faciliter le dialogue sur tous les sujets débattus sur la place publique.

    « Paroles de Catholiques » est une association née en novembre 2010 à l’initiative de quelques paroissiens pour permettre aux laïcs catholiques d’exprimer leur point de vue personnel dans le monde d’aujourd’hui et à travers les medias.

    « Paroles de Catholiques » se fait connaitre dans les paroisses, les mouvements d’Eglise et les aumôneries. Elle organise une formation sur les questions d’aujourd’hui, ainsi qu’une formation media de quelques heures.

    Par des communiqués de presse, « Paroles de Catholiques » propose ensuite ces témoignages aux medias sur les sujets d’actualité, religieux ou non.

    Ainsi, un premier argumentaire téléchargeable (pdf) consacré à l'euthanasie a été mis en ligne, mais ce site propose aussi des formations, des dossiers thématiques, des textes fondamentaux, etc.

  • L'Islamisme fait rage à Sumatra où 17 églises ont été fermées depuis le début du mois

    IMPRIMER

    Alarme islamiste à Sumatra : 17 églises fermées au cours du mois de mai (Fides.org)

    Banda Aceh (Agence Fides) – Il s’agit d’un mauvais moment pour les chrétiens de la province d’Aceh, dans le nord de l’île de Sumatra. Dans cette province en effet, la seule d’Indonésie dans laquelle est en vigueur la loi islamique (charia), l’élection au poste de gouverneur du responsable radical islamique Zaini Abdullah, intervenue le 9 avril dernier, a renforcé les groupes islamiques radicaux qui, au travers de pressions et d’intimidations, ont contraint à la fermeture 17 églises chrétiennes au cours du seul mois de mai après différentes manifestations de protestation antichrétiennes devant le palais du gouvernement.

    Outre l’habituelle excuse du défaut de permis valides pour les églises – que les autorités locales refusent ou retardent – la fermeture est justifiée en se référant à un accord controversé que les chrétiens furent contraints à signer en 2001. Le document en question affirme qu’au sein de la province peuvent exister seulement une église et quatre chapelles. Le nombre d’églises s’est en revanche accru au cours des années suivantes pour atteindre le nombre de 22, comme l’explique une note de l’Indonesian Fellowship of Churches envoyée à l’Agence Fides, et ce grâce à des accords stipulés avec l’Interfaith Forum Harmony, dont font également partie les responsables islamiques locaux. Le Forum avait en effet donné son accord à la construction de nouvelles églises, aux vues de l’augmentation du nombre de chrétiens à Aceh, nombre qui est actuellement de 12.000 environ. Les nouvelles églises, est-il précisé, sont des salles de prière ou des édifices servant de chapelles seulement à titre temporaire, dans l’attente des nouveaux permis de construire. Mais les militants, dont ceux du Front des défenseurs de l’islam (Front Pembela Islam, FPI), ont pris l’initiative contraignant à la fermeture des églises en question en ayant recours à la menace, privant ainsi de nombreux chrétiens de lieu de culte.

    Le Père Romanus Harjito, Directeur des Œuvres pontificales missionnaires en Indonésie, livre le commentaire suivant à Fides : « Aceh est une province où est en vigueur la charia. Même si cette dernière est appliquée aux seuls musulmans, la vie des fidèles chrétiens y est très difficile du fait de l’existence de groupes islamiques radicaux. Le fait est que de tels épisodes sont tolérés par le gouvernement central qui a accordé la charia et permet que de tels événements puissent avoir lieu. Dans de tels cas, la Pancasila, loi fondamentale des cinq principes à la base de la coexistence entre les communautés religieuses en Indonésie, n’est pas respectée ». (PA) (Agence Fides 21/05/2012)

  • L'exorcisme à la une

    IMPRIMER

    Un procès sensationnel à Bruxelles, un film à Cannes ("Au-delà des collines"), et voilà l'exorcisme projeté à l'avant-plan. Même s'il s'agit d'exorcismes pratiqués en-dehors de l'Eglise (musulman dans le premier cas, orthodoxe dans le second), on se doute bien qu'on ne manquera pas de mettre en cause cette pratique dans le contexte catholique. Christian Laporte fait écho à cette question et propose un "éclairage" du Père T. Scholtès :

    L’exorcisme n’est pas ce que l’on croit - Christian Laporte

    Bien des inexactitudes ont été lancées à propos de l’exorcisme autour des assises de Bruxelles. Mises au point catholique mais aussi musulmane…

    Éclairage

    Le procès autour de la mort brutale de Latifa Hachmi devant la cour d’assises de Bruxelles a donné lieu à moult interprétations à propos de l’exorcisme dans plusieurs religions.

    Dans l’islam, bien entendu, puisque cette religion a été directement mise en cause, mais aussi à propos de l’Eglise catholique que l’on a associée un peu rapidement à certaines dérives dans lesquelles même les musulmans ne se retrouvent nullement. Démontons ces assertions...

    lire la suite : l'exorcisme n'est pas ce que l'on croit

    Voir aussi : l'exorcisme, ça existe encore aujourd'hui (catholique.org) où l'on conclut ainsi:

    Si l’exorcisme est aujourd’hui méconnu, il n’en demeure pas moins important pour la foi chrétienne, comme a voulu le rappeler Jean Paul II dans son discours du 24 mai 1987 :

    "Cette lutte contre le Démon, qui spécifie le personnage de l’Archange Saint Michel, est bien actuelle aujourd’hui encore, puisque le Démon est toujours vivant et agissant dans le monde. En effet, le mal qui est présent sur terre, le désordre..., l’incohérence ... ne sont pas seulement les conséquences du péché originel, mais aussi l’effet de l’action dévastatrice et obscure de Satan. »

  • Quelle issue prévisible en Syrie ?

    IMPRIMER

    Sur Liberté Politique, Philippe Oswald envisage les scenarios possibles auxquels on pourrait assister en Syrie dans les temps à venir :

    Les trains de sanctions contre le régime de Bachar El-Assad se succèdent : on en est au quinzième décrété par l’Union européenne ! Mais rien n’y fait : la Syrie s’enfonce dans la guerre civile et confessionnelle. Et la contagion s’étend au Liban.

    Les nouvelles sanctions contre le régime syrien adoptées le 14 mai par les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont coïncidé avec les journées les plus meurtrières qu’ait connues la Syrie : ce même jour, 23 soldats des troupes régulières ont trouvé la mort dans des combats contre des rebelles. La veille, on dénombrait 45 morts (civils et militaires) dans l’ensemble du pays et encore une douzaine de morts civils le lendemain, 15 mai. En près de 15 mois, cette guerre civile aurait fait quelque 12 000 morts.

    Les affrontements entre pro et anti-régime ont gagné le nord du Liban tuant 5 personnes et en blessant 47 autres les 12, 13 et 14 mai à Tripoli. D'un côté, les sunnites adversaires du régime syrien, de l'autre, des alaouites et sympathisants de Bachar el-Assad. Le Liban est devenu un des principaux lieux de passage clandestin d’armes et de combattants en soutien de la rébellion. Le risque majeur qu’encourt à présent le Pays du Cèdre est que ces confrontations gagnent l’armée libanaise où se côtoient sunnites, chrétiens et chiites du Hezbollah, alliés de Damas et de Téhéran. Une internationalisation du conflit plus large encore se profile, comme en témoigne la dénonciation du Kosovo comme terrain d’entraînement de l’opposition armée syrienne par l'ambassadeur russe auprès de l'ONU le 14 mai.

    Que va-t-il se passer en Syrie dans les mois à venir ? La fin de Bachar El-Assad paraît inéluctable à plus ou moins long terme. Mais on ne prend pas de risque à faire ce genre de « prédiction », il suffit d’attendre qu’elle se réalise…un jour ! Selon Georges Malbrunot (Le Figaro du 9 mai), trois scénarios sont  généralement envisagés par les chancelleries :

    lire la suite

  • Simon Leys, un des rares écrivains qui devrait être reconnu d'utilité publique

    IMPRIMER

    A l'occasion de la parution du "studio de l'inutilité", Pierre Cormary, sur causeur.fr rend hommage à notre compatriote Pierre Ryckmans, alias Simon Leys, "l’intempestif"

    Un des rares écrivains vivants que l’on devrait déclarer d’utilité publique

    En ce temps-là, tout anticommuniste était un chien. Achat obligé en Chine sous peine de travaux forcés, le Petit Livre Rouge se vendait comme des petits pains à Saint-Germain-des-Prés. Philippe Sollers s’exaltait à traduire les poèmes du Grand Timonier dans Tel Quel. Et parce qu’il avait osé le premier un essai critique sur la Révolution culturelle avec Les Habits neufs du président Mao (1971), la sinologue maoïste Michelle Loi ne trouvait rien de plus honnête que de révéler le véritable patronyme de Simon Leys dès le titre de son libelle contre lui Pour Luxun. Réponse à Pierre Ryckmans (Simon Leys), espérant ainsi que celui-ci devienne persona non grata en Chine. Il est vrai que l’on ne s’en prenait pas comme ça à la « Révo. Cul. » et à ses laudateurs dont Jean-François Revel dirait plus tard que s’ils n’avaient pas de sang sur les mains, ils en avaient sur la plume.

  • 46ème journée mondiale des communications sociales : le message du pape

    IMPRIMER

    MESSAGE DU PAPE BENOÎT XVI POUR LA 46ème JOURNÉE MONDIALE DES COMMUNICATIONS SOCIALES [Dimanche 20 mai 2012 - sur "Radio Vatican"]:

    "Silence et Parole : chemin d’évangélisation"

    Chers frères et sœurs,

    A l’approche de la Journée Mondiale des Communications Sociales 2012, je désire partager avec vous quelques réflexions sur un aspect qui malgré son importance, est quelquefois négligé dans le processus humain de la communication. Il s’agit du rapport entre silence et parole dont l’importance doit être particulièrement soulignée aujourd’hui. Silence et parole sont deux moments de la communication qui doivent s'équilibrer, se succéder et se compléter pour parvenir à un dialogue authentique et à une profonde proximité entre les personnes. Lorsque parole et silence s'excluent mutuellement, la communication se détériore, soit parce qu’elle provoque un certain étourdissement, soit au contraire parce qu’elle crée un climat de froideur ; lorsque, en revanche, ils se complètent harmonieusement, la communication acquiert valeur et cohérence.

    Lire la suite