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  • Deux réflexions intéressantes sur l’exhortation « Evangelii gaudium » du pape François

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    jpg_1350680.jpgLe vaticaniste Sandro Magister souligne deux points sur lesquels l’enseignement du nouveau pape s’éloigne notablement de celui de ses précédesseurs  (extraits) :

    ROME, le 3 décembre 2013 – Dans la très longue exhortation apostolique "Evangelii gaudium" qui a été rendue publique il y a une semaine, le pape François a fait comprendre que, sur deux points au moins, il voulait se distinguer des papes qui l’ont précédé.

    Le premier de ces points est aussi celui qui a eu le plus d’écho dans les médias. Et il concerne à la fois l'exercice de la primauté du pape et les pouvoirs des conférences épiscopales. Le second point concerne le rapport entre le christianisme et les cultures. 

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  • François : La crise financière a son origine dans une crise anthropologique

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    "Evangelii Gaudium", François et l'économie

    par Jean-Yves Naudet sur Liberté Politique

    Beaucoup attendaient avec impatience, espoir ou inquiétude les premières prises de position du Pape François en matière économique. Allait-il rompre avec ses prédécesseurs ? Condamner l’économie de marché que Jean-Paul II avait défendue ? Certes, chaque jour apportait son lot de petites phrases percutantes (« la mondialisation de l’indifférence »), mais sans constituer une prise de position doctrinale. Avec la parution de l’exhortation apostolique Evangelii Gaudium (la joie de l’Évangile), on y voit plus clair. Le style change, le ton est plus pastoral, mais la doctrine reste la même.

    EN ATTENDANT une encyclique sociale, qu’on annonce pour 2014, et après des prises de parole spontanées, fréquentes et les formules choc, voici déjà de quoi y voir plus clair : une exhortation apostolique.

    « Ceci n’est pas un document social »

    C’est un texte du pape, mais pas une encyclique et son objet principal porte sur « l’annonce de l’Évangile dans le monde d’aujourd’hui ». D’ailleurs elle est adressée aux chrétiens, mais pas, contrairement aux encycliques sociales, « aux hommes de bonne volonté ». Le Pape le dit clairement dès le premier paragraphe : « Je désire m’adresser aux fidèles chrétiens. » C’est donc le langage de la foi qui y est d’abord utilisé.

    Cela n’enlève rien à l’intérêt du texte, mais le Pape François explique :

    « Ce n’est pas le moment ici de développer toutes les graves questions sociales qui marquent le monde actuel [...]. Ceci n’est pas un document social et pour réfléchir sur ces thématiques différentes, nous disposons d’un instrument très adapté dans le Compendium de la Doctrine sociale de l’Église, dont je recommande vivement l’utilisation et l’étude » (n. 184).

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  • Syrie : douze religieuses ont disparu à Maaloula

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    Lors de l'audience générale de ce matin, le pape a invité à prier pour les douze soeurs orthodoxes qui semblent avoir été emmenées par les djihadistes qui ont pris le contrôle de la ville de Maaloula. L'information sur France Info :

    En Syrie, disparition de douze religieuses dans la ville de Maaloula

    En Syrie, des rebelles islamistes ont repris le contrôle de Maaloula, à 50 km au nord de Damas. Cette ville chrétienne est connue pour abriter de nombreuses églises. Douze religieuses ont été contraintes de quitter leur monastère. Depuis, on est sans nouvelle d'elles.

    S'agit-il d'un enlèvement ou d'une évacuation par mesure de sécurité (ce qui est affirmé ICI) ? Les 12 nonnes ont en tous cas été forcées de quitter leur monastère lundi alors que les combats faisaient rage à Maaloula.

    Le nonce apostolique en Syrie, Monseigneur Zenari, témoigne sur radio Vatican : "Des gens armés ont fait irruption dans le monastère où se trouvaient les religieuses. Ils les auraient obligé à quitter leur monastère et à les suivre, semble-t-il, vers Yabroud, une localité à 30 kilomètres au nord de Maaloula, où maintenant il y a un combat acharné entre l'armée et les rebelles."

    L'emplacement du monastère situé sur les hauteurs de Maaloula en fait une position clef. Les rebelles syriens, dont des djihadistes du front Al-Nosra, étaient déjà entrés dans le village en septembre dernier avant d'en être chassés quelques jours plus tard par l'armée syrienne.

    La bataille de Maaloula s'inscrit dans le cadre plus large de la bataille de Kalamoune, cette région stratégique qui permet de contrôler l'axe routier entre Damas et Homs.

    Voir également : http://fr.ria.ru/world/20131204/199937095.html

  • Quand l'OMS édicte d'étranges normes d'éducation sexuelle

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    Les étranges « normes » d’éducation sexuelle de l’OMS avant l’âge de 4 ans… et ensuite

    source

    La section européenne de l’Organisation mondiale de la santé recommande de dispenser une initiation très particulière à la sexualité dès la plus tendre enfance. Dans un document intitulé Normes pour l’éducation sexuelle en Europe, elle prescrit officiellement l’apprentissage de « la jouissance et du plaisir quand nous touchons notre propre corps »… entre 0 et 4 ans ! Elle appelle cela « la masturbation infantile » : voilà qui est clairement dit !

    A 4 ans, d’après l’OMS, les enfants sont aptes à « exprimer besoins, désirs et limites », par exemple « jouer au docteur » (sic). Entre 4 et 6 ans, ce serait une période idéale pour étudier les « relations du même sexe » et « consolider l’identité de genre », et donc en route pour l’homosexualité… Entre 6 et 9 ans, les enfants doivent pouvoir se tenir prêts pour connaître et défendre les « droits sexuels des garçons et des filles ». En futurs citoyens embrigadés du Meilleur des mondes à la Huxley ? Qui sait ?

    Entre 9 et 12 ans, comme l’OMS est scientifiquement prévoyante, il faut alerter d’avance les enfants du problème des grossesses imprévues, et donc en route pour le « planning » familial, le choix d’un projet de vie, la contraception et l’avortement.

    Dès l’âge de 9 ans, on recommande que les enfants sachent où trouver des produits contraceptifs et où pratiquer une « interruption » plus ou moins volontaire de grossesse, autrement dit un avortement.

    Entre 9 et 15 ans, on conseille aux gouvernements de faire une mise en garde contre un danger : l’adversaire idéologique constitué par la religion chrétienne, obstacle pour la jouissance et le plaisir sexuel…

    A l’âge de 15 ans, grand départ pour les aventures tous azimuts, en particulier homosexualité, bisexualité et autres pratiques diversifiées, sans compter les relations sexuelles tarifées et la pornographie, pour les futurs citoyens de base de l’Europe des loisirs où on aura oublié le chômage, ayant les mains occupées ailleurs et l’esprit dans d’épais et fumeux nuages.

    Et qu’on se rassure ! L’Etat grand gérant des activités ludiques est la « source formelle » et « scientifique » de l’éducation des enfants. Les parents, devenus citoyens de seconde zone d’un grand Tout indifférencié, ne seront plus que des « sources informelles ».

    Et la famille, là-dedans ? Sous les auspices de cet individualisme anticonceptionnel et abortif, il n’en est simplement plus question. D.L.

  • Suisse : l'éducation sexuelle et la "SexBox" font problème

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    Suisse : Les cours d’éducation sexuelle et la « SexBox » en question (source : Aleteia - Solène Tadié)

    Cela fait quelques temps déjà que les cours d’éducation sexuelle à l’école publique provoquent d’importants remous chez nos voisins helvétiques.

    Il y a deux ans déjà, la pétition contre « la sexualisation de l’école publique » recueillait près de 92 000 signatures en Suisse alémanique. C’est notamment l’utilisation de pénis en bois et de vagins en peluche qui a été durement mise en cause par de nombreux parents, pédagogues ou simples citoyens. 

    Le fameux Plan d’enseignement 21, devant entrer en vigueur dès 2014 outre-Sarine, s’est attiré les foudres d’une large partie de la population, à commencer per les jeunes UDC lucernois (qui sont du reste à l’origine de la pétition).

    L’initiative conjointe du Office fédéral de la Santé Publique et du Ministère de l’instruction publique vise ainsi à instaurer des cours obligatoires d’éducation sexuelle, et ce dès le jardin d’enfants.  Pour ce faire, une livraison de « kits de formation » très spéciaux devrait être effectuée auprès des  enseignants de l’école maternelle et de primaire : ce n’est rien de moins que des «Basler Sexboxen» («SexBox») qui doivent être distribuées.

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  • Euthanasie : le naufrage belge

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    Famille Chrétienne consacre un dossier aux dérives d'une législation qui ne cesse de repousser les limites de la pratique de l'euthanasie en Belgique.

    On peut y accéder en ouvrant le pdf où se trouve reproduit cet article.

  • Catherine Fonck dénonce le projet de légalisation des salles de shoot

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    Lu ICI :

    Légaliser les salles de shoot: "Totalement irresponsable"

    La députée, et médecin de formation, Catherine Fonck (cdH) a estimé lundi soir que la proposition de loi déposée par le sénateur-bourgmestre de Liège, Willy Demeyer, sur la légalisation des salles de consommation de drogue est un projet "totalement irresponsable, voire criminel" du PS.

    "Légaliser les salles de 'shoot' serait une grave erreur de santé publique", s'insurge la députée, cheffe de groupe cdH à la Chambre. "La drogue est un véritable cancer de la société. Or le PS laisse entendre que la drogue n'est pas un problème. Mais croire qu'accepter la toxicomanie, que donner les moyens de consommer, va aider les personnes à s'en sortir est un leurre".

    Catherine Fonck affirme qu'il faut lutter radicalement contre la drogue, et qu'il faut le faire en respectant trois grands points: renforcer le volet préventif dès le plus jeune âge "en impliquant les parents et les écoles", accompagner individuellement et intensément, sur le plan médico-social, chaque usager de drogues, et enfin lutter contre les trafics de drogue en prônant une tolérance zéro.

    "Si on légalise les salles de 'shoot', ce sont les trafiquants de drogue qui vont se frotter les mains", avertit la députée. "Sans compter qu'installer de telles infrastructures pourrait créer de l'insécurité dans les quartiers".

    Pour Catherine Fonck, la proposition de M. Demeyer "accentuerait les dépendances alors qu'il faut au contraire aider les gens à sortir de ces dépendances."

    Willy Demeyer, sénateur-bourgmestre de Liège, a annoncé lundi soir qu'il venait de déposer deux propositions de loi visant à parfaire la prise en charge des usagers de drogues. La première concerne la légalisation des salles de consommation et la seconde celle du traitement assisté par diacétylmorphine.

  • Une pétition pour l'arrêt des prélèvements d'organes de prisonniers exécutés en Chine

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Pétition pour l'arrêt des prélèvements d'organes de prisonniers exécutés en Chine

    Le 9 décembre 2013, le Haut-commissaire aux droits humains des Nations Unies se verra remettre par l'Organisation non gouvernementale "Doctor against forced organ harvesting" (DAFOH), une pétition signée par plus d'un million de personnes. L'objectif? "Demander l'arrêt immédiat des prélèvements d'organes sur des prisonniers exécutés en Chine". 

    La Chine se trouve actuellement au deuxième rang mondial des pays effectuant le plus grand nombre de transplantation d'organes : en 2005, 20 000 transplantations ont été effectuées "dans des délais records" avec seulement "une à deux semaines d'attente" précise The China Daily. Entre 1999 et 2006, le nombre de centres effectuant les prélèvements est passé de 150 à 600. Le Dr Harold King, chirurgien dentiste et responsable en France de l'ONG DAFOH en explique les raisons potentielles, lors d'un débat à l'Assemblée nationale : "en 1984, le gouvernement chinois a autorisé la police à utiliser les cadavres des prisonniers condamnés à mort en vue des transplantations, avec ou sans le consentement de la famille". Depuis cette date, et selon un rapport d'enquête intitulé "prélèvement meurtriers" *, "les preuves se sont accumulées" précise le journaliste. Sous la pression des autorités internationales, "la Chine a tenté de montrer patte blanche en adoptant une résolution visant à limiter les prélèvements aux personnes volontaires". Mais seuls 169 hôpitaux sur les 600 actifs l'ont signée.

    Par cette pétition, les médecins français "appellent à ne pas garder un silence complice"et mobiliser la communauté scientifique face à l'"inacceptable" explique le Dr Jacques Belghiti, chef du service de chirurgie hépatobilio-pancréatique au CHU de Beaujon en dénonçant l'absence de réaction des transplanteurs en 2006 au moment de l'"explosion des transplantations en Chine". Mais, "l'idée [notamment aux Etats-Unis] selon laquelle le prisonnier trouverait sa rédemption dans la transplantation" ou encore celle du "libéralisme économique qui ne voit pas de scandale à commercialiser des organes" reste un véritable obstacle. En France, c'est l'Agence de Biomédecine qui contrôle les transplantations de façon "irréprochable". Le Pr Didier Sicard, propose que la France aide les Chinois en hissant "l'ABM au rang de modèle international".

    *Rapport d'enquête "prélèvements meurtriers" - David Matas, avocat et David Kilgour, ancien secrétaire d'Etat canadiens pour l'Asie Pacifique. 

    (Le Quotidien du Médecin (Coline Garré) 02/12/2013)

  • La promotion de l'avortement interdite en Russie

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    Lu ICI :

    IVG : la Russie interdit la promotion de l'avortement

    Le président russe Vladimir Poutine vient de signer une loi interdisant toute forme de publicité pour l’avortement…

    La promotion de l’IVG est désormais interdite en Russie. En effet, le président Vladimir Poutine vient de signer une loi apportant des amendements à plusieurs actes législatifs concernant la protection de la santé, dont l’un portant sur l’avortement. « Les services médicaux d'interruption volontaire de grossesse ont été ajoutés à la liste des services dont la publicité est interdite par la Loi fédérale sur la publicité », peut-on lire sur le site du Kremlin.

    Si les défenseurs de l’IVG estiment que ce texte limite davantage les droits des femmes, cette interdiction a pour objectif de lutter contre le déclin démographique du pays, causé notamment par le recours quasi systématique à l’avortement. Selon un récent rapport de l’ONU, la Russie détient le record mondial du nombre d’interruptions de grossesse. Un acte considéré pour la majorité des femmes comme un moyen de contraception : seules 14 % d’entre elles déclarent prendre la pilule. 

    En 2011, la législation russe avait déjà restreint l’avortement. Le gouvernement avait interdit cet acte après 12 semaines de grossesse et posé un délai de réflexion de 48h.

    Source : Ria Novesti  et La Russie d’Aujourd’hui

  • La réalité corporelle de l’homme et de la femme est un facteur essentiel de l’identité

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    Lu sur La Libre, dans la rubrique "opinions", cette mise au point très pertinente :

    Quel "genre" de monde se prépare pour nos enfants?

    Une opinion de Jean-Benoit Casterman (éducateur), Bénédicte Gillis (fondatrice du mouvement "Respect Youth Love"), Anne Schaub-Thomas (psychothérapeute) et Jean-Pierre Vandenschrick (ancien directeur d'école secondaire).

    Il y a plus de 60 ans, nos grands-pères se lavaient «en chemise », dans leurs salles de bains pourtant bien fermées à clef. Enfants, nous pouvions voir des femmes très blondes et presque nues étalées sur les grands panneaux publicitaires du chemin de l’école. Depuis peu, les hommes figurent aussi sur les affiches. Ce doit être un effet collatéral de la parité.

    Corps caché, corps revendiqué, notre rapport au corps varie selon les époques. Difficile d’être bien dans sa peau, à l’aise avec ce corps qui nous sert, qui nous encombre parfois, bref qui nous révèle. Aujourd’hui, nombreux sont les adultes qui courent les formations coûteuses pour être « en harmonie avec soi-même ». Le rapport au corps et à l’identité sexuée est devenu trouble et mouvant. « Oublie le corps avec lequel tu es né et comporte-toi selon ce que tu veux être », clament certains. Ils utilisent de façon idéologique le concept de « genre » ou « gender ». Un concept qui a plusieurs sens : les universitaires le définissent comme une construction culturelle de la dimension sexuée, différenciée de sa réalité concrète et biologique.

    Il est indéniable que la dimension sociale de la sexualité existe. Il est important de s’interroger sur les vieux réflexes qui, bêtement parfois, imposent à un homme de planter un clou tandis qu’une femme plantera un géranium. Il est tout aussi essentiel de promouvoir sans relâche la dignité de chacun. La personne humaine ne se réduit pas à un sexe, ni à un comportement.

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  • Quand nos ados boudent la foi

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    9782712212742.pngSur "Spiritualité 2000", le père Jacques Sylvestre rend compte du livre de Jean-Marie Petitclerc intitulé "Quand nos ados boudent la foi" :

    « Pour vous, parents, grands-parents, j’ai écrit ces pages ». (Jean-Marie Petitclerc)

    « Parvenu à l’adolescence, votre « jeune » décroche et prend ses distances avec toute pratique religieuse, il ne semble même plus s’intéresser à la question de Dieu. Pourtant nombre d’entre eux, devenus adultes, continuent de vivre des valeurs que vous leur avez transmises: ouverture à l’autre, générosité, solidarité et fraternité. Ce que parents et grands-parents cherchez à transmettre n’est plus évident. » Pour reprendre le mot de François, le pape: « C’est comme si ces adorables ados disaient : « nous sommes progressistes. Nous allons dans le sens du progrès, là où va tout le monde ». (18/11/13)

    Jean-Marie Petitclerc, auteur de «Quand nos ados boudent la foi », partage dans ce livre de quatre-vingt quelques pages, le fruit d’une trentaine d’années d’accompagnement des jeunes. Éducateur, prêtre et salésien, l’auteur a consacré sa vie à l’accompagnement des jeunes. C’est un regard plein d’espérance qu’il porte ici sur les « nouvelles générations ».

    Qui peut encore soutenir : « J’ai La foi ». Expression peu usitée aujourd’hui. La foi n’est pas un objet que l’on pourrait posséder ou perdre. Transmettre la foi à nos adolescents, mission impossible, direz-vous! Comment rejoindre les jeunes dans leur vécu actuel?

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  • A la venue de Noël...

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    ... chacun se doit bien réjouir, car c'est un testament nouvel que tout le monde doit tenir (comptine provençale).

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    Pierre Matot a débuté sa carrière comme professeur d’orgue, d’harmonie et de solfège au conservatoire de Huy. Il fut ensuite chargé de cours d’orgue et professeur d’harmonie au conservatoire royal de Liège et termina sa carrière d’enseignant comme directeur de l’Académie Grétry à Liège. Ses récitals d’orgue l’ont conduit dans plusieurs pays d’Europe, aux Etats-Unis et au Mexique. Notamment associé au corniste Francis Orval, au violoniste Michel Leclerc, à la mezzo Cécile Leleux, il participa aussi à plusieurs concerts donné par l’orchestre philharmonique de Liège.

    Au programme de son récital :  kyrie anonyme (XIVe s.), œuvres de Conrad Paumann (XVe s.),Thomas de Santa Maria, Antonio de Cabezon et trois anonymes (XVIe s.), Johann Pachelbel (XVIIe s.), Jean-Sébastien Bach et Wolfgang-Amadeus Mozart (XVIIIe s.) et César Franck (XIXe s.).

    L’orgue de l’église du Saint-Sacrement est un instrument reconstitué et harmonisé à l’ancienne en 1983 par le facteur d’orgue André Thomas (Ster-Francorchamps), à partir des vestiges de l’orgue de Sibret, près de Bastogne. Il servit jusqu’en 1995 à la chapelle Saint-Lambert (XVIIIe s.) à Verviers, avant d’être racheté pour l’église du Saint-Sacrement à Liège (édifice achevé en 1766).

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    NOËLS A L'ORGUE

    Eglise du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132), samedi 7 décembre 2013, 11 heures. Entrée libre. Apéritif offert à l’issue du concert, dans les locaux attenant à l’église.

     JPSC