Actualité - Page 1163
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Bruxelles, "aux Minimes", 28 juin : confirmations avec Mgr Léonard
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Pour Fabrice Hadjadj, l’encyclique Laudato Si brise « l’attelage boiteux » entre les catholiques et « le monde technolibéral de la croissance illimitée »
Lu sur le site de Famille Chrétienne (Antoine Pasquier) :
Fabrice Hadjadj : par son écologie intégrale, Laudato Si fera date
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La France ne se serait pas déshonorée en étant présente aux commémorations de Waterloo
Lu sur France Catholique, de Fabrice de Chanceuil :
Waterloo et après ?
Les manifestations évoquant le bicentenaire de la bataille de Waterloo du 18 juin 1815 viennent de s’achever. Alors que depuis quelques années les cérémonies similaires organisées pour les anniversaires du débarquement de 1944 ou de la capitulation nazie de 1945 sont dépassionnées et rassemblent, dans la même communion du souvenir, les chefs d’État et de gouvernement des différents pays belligérants, rien de tel dans le cas présent. Si la Belgique, les Pays-Bas et la Grande-Bretagne étaient représentés par leur souverain où leur prince héritier, la France a manifestement boudé les cérémonies en limitant sa représentation par la seule présence de son ambassadeur en Belgique.
Certes, il n’est jamais agréable de célébrer une défaite mais, en l’occurrence, il s’agissait moins de célébrer que de commémorer. La France, pourtant si prompte à en appeler au devoir de mémoire, semble soudain avoir été frappée par une étrange amnésie. Il y avait là pourtant une belle occasion, au cœur de l’Europe, à quelques kilomètres de sa capitale, de saluer la paix retrouvée entre les nations qui la composent. En outre, bien plus qu’une victoire de la Grande-Bretagne, dont les contingents étaient notoirement inférieurs à ceux alignés par la Prusse, Waterloo est une victoire de l’Europe, non pas contre l’une de ses parties, mais contre une idéologie imposée à grands renforts d’invasions et d’occupations.
Et c’est là sans doute que le bât blesse. La République a du mal à admettre que les idéaux révolutionnaires n’aient pas spontanément emporté l’adhésion des peuples et que ceux-ci, sous la conduite de leurs souverains, aient cherché et obtenu, une bonne fois pour toutes, le tarissement de la source de leurs maux. Waterloo ne signe pas la défaite de la France mais la fin de la Révolution et l’échec de son exportation.
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L'autre pape François : celui qui prêche la chasteté avant le mariage
De Sandro Magister sur chiesa.espresso.repubblica.it :
L’autre François: celui qui prêche la chasteté avant le mariage
L’encyclique “Laudato si” a été lue, elle aussi, de manière sélective, en laissant de côté les passages gênants qui sont consacrés à la “santé reproductive” et aux différences sexuelles. Analyse d’une dissimulation qui falsifie l’image de ce pontificat
ROME, le 23 juin 2015 – L'encyclique "Laudato si'" a eu, à l’échelle de la planète, un retentissement énorme mais, en, même temps, très sélectif.
Ce que propose globalement l'encyclique, c’est une écologie "intégrale". Et en effet, dans les quelque deux cents pages que compte le document, on trouve de tout. Cela va des grandes destinées de l'univers aux petits détails de la vie quotidienne.
Mais c’est précisément en raison de cette surabondance encyclopédique, qui aborde de nombreux sujets plutôt qu’un seul, que beaucoup de gens ont été amenés à tirer du texte uniquement les éléments qui leur paraissaient les plus proches de leurs attentes personnelles.
Une révélation intéressante à propos de la genèse de l'encyclique a été apportée par un évêque qui travaillé plus que d’autres à sa rédaction : Mario Toso, qui est aujourd’hui à la tête du diocèse de Faenza, mais qui était, jusqu’au mois de janvier dernier, secrétaire du conseil pontifical Justice et Paix.
À l’occasion d’une interview qu’il a accordée au vaticaniste suisse Giuseppe Rusconi, il a déclaré :
"L’encyclique, telle qu’elle nous est présentée aujourd’hui, présente un visage qui est différent de celui de la première ébauche. Celle-ci prévoyait une longue introduction à caractère théologique, liturgique et sacramentel, spirituel. Si la structure initiale avait été conservée, l’encyclique se serait adressée de manière plus immédiate au monde catholique. Au contraire le pape François a préféré modifier cette structure, en déplaçant vers le milieu et vers la fin du texte la partie théologique, de même que celle qui est relative à la spiritualité et à l’éducation. En agissant ainsi, il a restructuré la matière qui avait été mise à sa disposition et il l’a disposée en fonction d’une méthode d’analyse et de discernement qui implique la prise en considération de la situation, son évaluation, ainsi que la préfiguration d’indications pratiques en vue de la mise en route de la solution des problèmes. Ce faisant, il a cherché à impliquer le plus grand nombre possible de lecteurs, y compris parmi les incroyants, dans un raisonnement qui peut, dans une large mesure, être partagé par tout le monde".Lien permanent Catégories : Actualité, Débats, Doctrine Sociale, Eglise, Ethique, Famille, Foi, Société, Spiritualité 0 commentaire -
Avortement tardif et infanticide : des témoignages bouleversants de médecins et de sages-femmes
Avortement tardif et infanticide : des témoignages bouleversants de médecins et de sages-femmes
par Grégor Puppinck (source)
À l’approche des débats au Conseil de l’Europe sur la Pétition pour les droits des nouveau-nés survivants à leur avortement, signée par plus de 200.000 personnes, des médecins et des sages-femmes osent témoigner de la façon dont ces enfants sont abandonnés à la mort, sans soin, ou tués par injection létale, en toute illégalité. Ils témoignent aussi du malaise du personnel médical. Ils révèlent que le plus souvent les parents ne sont pas informés de la survie de leur enfant et des causes réelles de sa mort. Parfois même le nouveau-né est tué seulement parce que porteur d’un handicape, afin de « préserver » ses parents.
Nous invitons les médecins, sages-femmes et infirmières à continuer de témoigner de cette réalité pour convaincre les responsables politiques et la société de prendre des mesures pour respecter ces enfants et leur famille. Un bébé prématuré, même né lors d’une tentative d’avortement tardif, est un être humain et doit bénéficier de soins et du droit à la vie comme tout être humain.
L’ECLJ remettra un rapport contenant témoignages et statistiques aux députés du Conseil de l’Europe. Adressez-nous votre témoignage ; nous pouvons préserver votre anonymat si vous le souhaitez (ecljofficiel@gmail.com)
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Laudato Si, un douloureux éblouissement
Laudato Si’: un douloureux éblouissement
Pour Famille Chrétienne, Tugdual Derville partage ses premières impressions à la lecture de l’Encyclique du pape François, Laudato Si’:
La nouvelle encyclique du pape François est douloureusement éblouissante. Pas étonnant qu’elle fasse du bruit, mais aussi qu’elle dérange, car chacun est convoqué à prendre sa part de responsabilité. Surtout en Occident. Laudato Si s’inscrit dans la tradition des encycliques majeures qui ont construit la doctrine sociale de l’Église catholique : concrètes, réactives et prophétiques. Elles sont toujours publiées en écho aux grandes mutations de l’humanité. Mais cette fois, nous sommes plus que jamais au pied du mur : il s’agit d’embrasser dans un même mouvement l’avenir de la planète et celui de la communauté des hommes. Leur maison Terre est en feu. Ils doivent s’emparer de son destin, pour que le leur continue.
En décrivant d’abord l’ampleur de cette crise écologique – en quelque soixante articles presque dénués de références spirituelles – le pape François assume son intention de parler urbi et orbi, c’est-à-dire au monde entier, en commençant par rejoindre ses chères « périphéries ». Pour certains lecteurs qui seraient jusqu’ici passés à côté des grands débats environnementaux, ce premier chapitre constituera un manuel de rattrapage. Les chrétiens français ne sont-ils pas nombreux à s’être détournés de l’écologie, effarés par l’incohérence anthropologique de l’écologie partisane ?
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Opus Dei : à Bruxelles, le samedi 20 juin, journée en l’honneur de saint Josémaria et de Monseigneur Léonard
« Ce samedi 20 juin, plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées au centre-ville pour une journée en l’honneur de saint Josémaria.
Elle a commencé par une messe présidée par Mgr Léonard et a été suivie, en début d’après-midi, par une conférence de l’archevêque de Malines-Bruxelles intitulée « Le mariage, vocation chrétienne ».
Dans son homélie, dans une église Saint-Jacques sur Coudenberg archicomble, Mgr Léonard a souligné le lien entre les lectures de la Messe et les traits de la spiritualité de saint Josemaría, décédé voici 40 ans, le 26 juin 1975. Ainsi, le récit de la Création que nous lisons dans la Genèse met en évidence la bonté fondamentale de cette création. En ce sens, le travail humain au milieu du monde est une réalité positive. Bien plus, les réalités terrestres sont un lieu de sanctification. Il s’agit d’un message précurseur de saint Josémaria, bien avant le concile Vatican II et la constitution pastorale Gaudium et Spes. L’Evangile de la pêche miraculeuse, quant à lui, est à l’image de l’élan missionnaire qui a toujours caractérisé saint Josémaria. Le Christ dit à Simon-Pierre et nous dit : Désormais, ce sont des hommes que tu prendras. De quelle manière ? En plaçant notre confiance dans la grâce de Dieu. Quant à la lettre aux Romains, elle souligne une troisième caractéristique de saint Josémaria : sa tranquille assurance que Dieu est notre Père et que nous sommes ses enfants. Mgr Léonard a terminé son homélie par ces mots : « Nous voulons aujourd’hui rendre grâces que cette spiritualité a atterri en Belgique voici 50 ans et pour tout le fruit que nous connaissons et pour lequel nous disons merci. »
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France : en 2015, près d’un prêtre sur deux sera ordonné en dehors du réseau diocésain
Lu sur « riposte catholique »
« En 2015, les évêques ordonneront 68 nouveaux prêtres dans les diocèses de France, a annoncé dans un communiqué la Conférence des évêques de France. Il faut y ajouter les prêtres non-diocésains qui seront ordonnés et pour lesquels nous n’avons pas de chiffre global : fraternités sacerdotales, religieux… soit environ une cinquantaine. Quasiment 1 prêtre sur 2 sera ordonné en dehors du réseau diocésain.
Le nombre de prêtres diocésains ordonnés en France diminue régulièrement :
- 82 en 2014
- 92 en 2013
- 97 en 2010
Quelques diocèses comptent encore plusieurs ordinations :
- 12 à Paris,
- 4 à Grenoble-Vienne, Fréjus-Toulon et Versailles,
- 3 à Bayeux et Strasbourg,
- 2 à Avignon, Basse-Terre, Bordeaux, Cambrai, Lyon et Vannes.
Les autres diocèses ordonneront un seul nouveau prêtre, comme les lecteurs de Perepiscopus ont pu le constater avec les articles de ces derniers jours :Ajaccio, Aix et Arles, Bayonne, Belley-Ars, Créteil, Digne, Évry-Corbeil-Essonnes, Gap, Lille, Meaux, Montpellier, Nancy, Nantes, Nîmes, Orléans, Rennes, Rouen, Saint-Étienne.
Le patriarcat Chaldéen, ordinariat des catholiques orientaux, ordonne également un prêtre, de même que le diocèse de Monaco et l’éparchie ukrainienne. 7 prêtres diocésains seront ordonnés pour la Communauté de l’Emmanuel et 3 pour les Missions Étrangères de Paris.
Enfin, 87 séminaristes seront ordonnés diacres en vue de la prêtrise, l’an prochain, si tout va bien »
Ref. 68 nouveaux prêtres diocésains
JPSC
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Visite du pape François à Turin (21-22 juin 2015)
Retour aux sources pour le pape argentin dont la famille est d’origine piémontaise. De ses multiples déclarations, lors de sa visite au Saint-Suaire et ailleurs, retenons les plus éloignées de son image médiatique :
Aux jeunes : "Faites l'effort de vivre chastement"
Le pape François a exhorté dimanche soir à Turin (nord de l'Italie) les jeunes à "faire l'effort de vivre chastement", même "si c'est une parole impopulaire". Lors d'une rencontre avec des dizaines de milliers de jeunes rassemblés sur la grande place Vittorio, le pape a expliqué qu'il "ne voulait pas faire le moraliste". Mais "le pape, a-t-il remarqué, doit risquer de dire la vérité, de dire une parole impopulaire qui ne plait pas".
"Dans ce monde hédoniste où la publicité vante le plaisir, je vous dis: soyez chastes!", a-t-il encore lancé aux jeunes, en reconnaissant que l'engagement à la chasteté (avant le mariage) implique pour tous des "moments difficiles". "Pardonnez-moi si je vous dis quelque chose que nous n'attendiez pas. Faites l'effort de vivre l'amour chastement. Il ne faut pas utiliser l'autre pour le plaisir. Votre réaction doit être: je te respecte, je ne veux pas profiter de toi", a insisté François qui s'inscrit dans la ligne de ses prédécesseurs Jean Paul II et Benoît XVI
"Si vous voulez quelque chose de bien, vivez, ne vivotez pas", a-t-il encore recommandé, se moquant de "ces jeunes qui vont à la retraite à 20 ans", qui "vivent comme des végétaux". Le pape a déclaré comprendre la défiance et le découragement des jeunes à l'égard du monde contemporain, où continue "une guerre mondiale par morceaux", où les puissants "ont l'hypocrisie de parler de paix et de vendre des armes".
Ref."Faites l'effort de vivre chastement"
Société du « Welfare » : François dénonce le «péché social» de la mise à l'écart des plus faibles
(RV) Une étape qui ne pouvait pas manquer au programme de la visite du Pape François à Turin : le Cottolengo, la Petite Maison de la Divine Miséricorde, à la fois monastère, hôpital et asile, fondé au 19° siècle par le « Saint Vincent de Paul italien », Joseph-Benoît Cottolengo. Il s’agit une institution atypique destinée à accueillir tous les malades pauvres, quelle que soit leur pathologie, surtout certains handicapés qui à l’époque du Père Cottolengo étaient refusés par les hôpitaux, comme les épileptiques, les malades mentaux et les sourds-muets.
Pour animer son institution qui a essaimé à travers le monde, Joseph Cottolengo a fondé une congrégation de religieuses et un institut de frères, prêtres et laïcs. Le Saint-Père s’est rendu, dimanche après-midi, dans ce lieu de charité pour y rencontrer des malades et des handicapés. L’occasion pour lui de relever que l’exclusion des pauvres existe encore aujourd’hui. « La médecine a fait des progrès mais la culture du déchet a provoqué une crise anthropologique : ce n’est plus l’homme qui est au centre des actions mais la consommation et les intérêts économiques » a-t-il répété, dans un ton proche de celui employé dans son encyclique Laudato Si' publiée jeudi dernier.
Parmi les personnes délaissées, le Pape François a cité les personnes âgées.« Elles sont la mémoire et la sagesse des peuples ; et pourtant leur longévité n’est pas toujours perçue comme un don de Dieu, mais au contraire comme un poids difficile à supporter. » Le Souverain Pontife invite donc à « développer des anticorps » contre cette mentalité qui fait tant de mal à la société. « Il s’agit d’un péché, a-t-il martelé, d’un grave péché social ».
Le Pape François a rendu un hommage appuyé au père Cottolengo, à son amour évangélique concret. « La raison d’être de cette institution, a-t-il dit, n’est pas une forme d’assistanat ou de philanthropie, c’est l’Évangile, l’amour préférentiel de Jésus pour les plus fragiles et les plus faibles. » Le Saint-Père a par ailleurs invité les malades à devenir les témoins et les apôtres de la Divine Miséricorde qui sauve le monde. « En contemplant le Christ crucifié, et avec l’aide de ceux qui prennent soin de vous, leur a-t-il dit, vous trouverez la force et la consolation pour porter votre croix tous les jours. »
Ref. le «péché social» de la mise à l'écart des plus faibles
JPSC
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Quand la DH fait dans le porno blasphématoire
Scandalisé, un de nos lecteurs s'étonne :
"N'est-il pas étrange qu'un organe de presse "généraliste" se croit obligé d'offrir sur son site des clichés de type pornographique et blasphématoire? C'est pourtant bien ce que l'on trouve sur le site de la DH (journal appartenant au même groupe que la Libre) qui propose à ses visiteurs une galerie de clichés ("babe du jour") où l'on peut voir notamment une créature dénudée en position très impudique exhibant un crucifix entre ses seins nus (c'est ICI, si l'on tient vraiment à vérifier le fait). Sous ces photographies, on peut lire des commentaires d'un niveau correspondant au contenu de cette production très "culturelle". On n'ose imaginer ce qui se passerait si des symboles de la religion musulmane se trouvaient utilisés à des fins semblables... mais à l'égard du christianisme, on peut évidemment tout se permettre sans la moindre gêne."
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20 juin: Journée mondiale du Réfugié
Voici le communiqué que le Vicariat « Evangile et Vie » de l’Eglise de Liège nous a fait parvenir à cette occasion :
« À l’occasion de la Journée Mondiale du Réfugié, l’Eglise tient à exprimer sa profonde solidarité avec tous ceux et celles qui ont dû quitter leur pays pour des raisons multiples et souhaite que chacun puisse être accueilli dans des conditions dignes.
Nous exprimons notre reconnaissance pour les Services et Associations qui assurent un soutien et un accompagnement auprès des réfugiés qui espèrent trouver dans nos régions une terre d’asile.
Une fois encore nous voulons redire combien il est urgent de trouver une alternative aux Centres fermés qui ne sont pas dignes d’un pays démocratique ».
Et voici une vidéo d’actualité qui nous interpelle plus concrètement :
En cette journée mondiale des réfugiés, comment ne pas penser à toutes celles et tous ceux qui ont dû tout abandonner derrière eux pour sauver leur vie. Ils ont dû tout quitter, ils ont fui sur les routes, avec les vieillards, les enfants. Mais, malgré les menaces de mort, aucun n'a renié sa foi. Sommes-nous à la hauteur de leur courage ?
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Secrets de Fatima : “La bataille finale entre Dieu et Satan portera sur la famille et la vie"
Sur le site « aleteia », Elisabeth de Lavigne attire l’attention sur une lettre que soeur Lucie, la voyante de Fatima, avait adressée au cardinal Carlo Caffarra, président de l' Institut Jean-Paul II pour la famille:
Dieu contre Satan : l'ultime champ de bataille, le choc final, sera celui de la famille et de la vie. Telle est la prophétie de sœur Lucie dos Santos, la voyante de Fatima, dont le procès en béatification a commencé en février 2015.
La lettre à Lucie
Dans une interview accordée au mensuel La voce di Padre Pio en mars 2015, le cardinal raconte qu'il écrivit à sœur Lucie Carlo Cafarra pour lui demander des prières. À l'époque, Jean-Paul II lui avait confié la charge de fonder l'Institut pontifical d'Etudes sur le mariage et la famille, au sein duquel il est aujourd'hui professeur émérite. “Au début des travaux, explique Caffarra, j'ai écrit à sœur Lucie, par l'entremise de son évêque, car je n'étais pas autorisé à lui écrire directement. Inexplicablement, car je ne m'attendais pas à recevoir une réponse (je ne lui avais demandé que des prières pour le projet), je reçus quelques jours plus tard une longue lettre signée de sa main, lettre aujourd'hui versée aux archives de l'Institut.”
Dans cette lettre, sœur Lucie écrit : " la bataille finale entre le Seigneur et le règne de Satan portera sur le mariage et la famille. “N’ayez pas peur, ajoutait-elle, car tous ceux qui travailleront pour le caractère sacré du mariage et de la famille, seront toujours combattus et haïs de toutes les manières, parce que c’est le point décisif". En conclusion, elle ajoutait : "cependant, Notre-Dame lui a déjà écrasé la tête.”La colonne qui soutient la Création
La religieuse de Fatima affirme donc que Notre-Dame a déjà écrasé la tête de Satan. Et Caffara de conclure: "Elle avertissait aussi, en parlant avec Jean-Paul II, que c'était le point central, parce qu'on touchait là la colonne qui soutient toute la Création, la vérité sur la relation entre l'homme et la femme, et entre les générations. Quand on touche à la colonne centrale, tout l'édifice s'écroule, et c'est cela que nous voyons, en ce moment, et nous le savons."
Ref. Secrets de Fatima : “La bataille finale entre Dieu et Satan portera sur la famille et la vie"
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