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Actualité - Page 1224

  • Le Centre d'Action Laïque sort les flonflons pour fêter les 25 ans de la dépénalisation de l'avortement

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    Le 1er avril (!), le CAL célèbrera les 25 ans de la loi Lallemand-Michielsens dépénalisant l'avortement. Pouvait-on ne pas marquer le coup et ne pas célébrer cette "avancée politique majeure"? On se congratulera donc en assistant à la projection d'un film "documentaire", en inaugurant l'exposition Willy Peers, et en débattant. Lors de ces débats, il s'agira notamment de s'interroger pour voir s'il ne conviendrait pas d'allonger le délai de douze semaines, de sortir l'avortement du code pénal, ou encore de voir si la notion de détresse relève du compromis ou de la nécessité. On se retrousse donc les manches du côté de la laïcité pour élargir encore les possibilités d'interrompre les grossesses. L'avenir est décidément très sombre pour les petits d'homme en gestation dans le sein maternel...

  • Après le viol d'une religieuse âgée, l'Inde a du mal à battre sa coulpe

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    Sur le site d'Eglises d'Asie :

    Viol d’une religieuse catholique de 75 ans : l’Inde peine à faire son mea culpa

    Une religieuse catholique septuagénaire a été victime d’un viol collectif dans l’Etat du Bengale-Occidental. L’agression s'est produite vendredi 13 mars dans le couvent de Jésus-et-Marie, situé près de la ville de Ranaghat, à quelques km de Calcutta.

    L’Inde, sous le choc, dénonce la censure de son gouvernement concernant la recrudescence des actes de violences envers les femmes ainsi que les attaques antichrétiennes.

    Selon Arnab Ghosh, l’un des principaux responsables de l’enquête, l’attaque aurait été soigneusement préparée. « Les images de télésurveillance montrent six hommes, âgés entre 20 et 30 ans, munis d’outils de cambriolage et d’armes pour certains, escaladant le mur d'enceinte aux alentours de 23h40, entrant dans l’école et coupant les fils du téléphone », a-t-il déclaré à l'AFP.

    Ces derniers, entrés par effraction dans l’école catholique, attenante au couvent de Jésus-et-Marie, ont mis à sac les locaux. Ils ont bâillonné le garde, frappé puis ligoté les deux autres religieuses qui composaient la petite communauté, avant de violer la troisième religieuse (laquelle serait la supérieure du couvent selon l'agence Apic). Les agresseurs ont ensuite volé de l’argent liquide appartenant à l’école et se sont emparés d'un ordinateur portable et d'un téléphone mobile.

    Selon la police, l’attaque du 13 mars était « un cambriolage », bien qu’il ait été constaté que les assaillants avaient vandalisé et profané l’église, lacérant les bibles, brisant les statues et emportant le ciboire contenant les hosties consacrées.

    Ce lundi 16 mars, la police a annoncé avoir arrêté huit personnes, dont quatre ont pu être identifiées rapidement grâce aux caméras de surveillance. Dimanche dernier, après avoir diffusé le portrait robot des agresseurs, les forces de l’ordre avaient promis une récompense de 100.000 roupies (env. 1.500 euros) à toute personne susceptible de fournir des renseignements sur les hommes recherchés.

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  • Sur Arte, un documentaire concernant l'avortement à ne rater sous aucun prétexte

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    De France Catholique :

    La réalisatrice Renate Günther Greene a avorté à l’âge de 25 ans. Après plusieurs décennies de refoulement, son retour sur les lieux de l’intervention l’a submergée de douleur. Elle a alors cherché à entrer en contact avec des femmes au parcours similaire, mais s’est heurtée à un mur de silence. Pourquoi, alors qu’elles avaient revendiqué haut et fort le droit à disposer de leur corps dans les années 1970, les femmes éprouvent-elles tant de difficultés à assumer le recours à l’avortement ? La réalisatrice a rencontré la rescapée d’une IVG qui, adolescente, a sombré dans l’anorexie avant de découvrir que son sentiment d’être jumelle ne relevait pas de la démence mais venait de l’intervention subie par sa mère quand elle la portait. Trois femmes qui ont avorté quand elles étaient plus jeunes racontent par ailleurs leur expérience et ses conséquences, entre relative sérénité et culpabilité suffocante.

    http://www.arte.tv/guide/fr/051843-...

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  • Famille chrétienne : 3 minutes en vérité avec le cardinal Sarah

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    JPSC

  • De Pie XII à François, l’impossibilité chronique de désigner les assassins

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    De Dominique de la Barre sur le site du journal suisse « Le Temps » :

    « A première vue, Pie XII et le pape François présentent peu de traits communs. Le premier affiche une figure élancée d’aristocrate, le second, d’origine modeste, une physionomie rondouillarde; l’un fait une carrière brillante au sein de la curie, tandis que l’autre se révélera un évêque de proximité; là où Pie XII adopte une attitude hiératique, François fait appel à un langage simple, voire familier. Pourtant, à septante ans de distance, un point les réunit, à savoir la difficulté à déterminer la bonne réponse à apporter face à des forces hostiles à l’Eglise comme à l’humanité tout entière.

    Eugenio Pacelli est élu pape alors que règne le temps des totalitarismes et des guerres. Bon connaisseur de l’Allemagne pour y avoir vécu dix-sept ans, il devra aborder la question de l’attitude à adopter envers le nazisme et sa conception païenne de l’homme. On a beaucoup reproché à Pie XII ses silences face à la Shoah mais à vrai dire ces silences se font entendre dès l’invasion allemande de la Pologne, pays de tradition catholique, à laquelle fera suite une occupation d’une extrême brutalité, au cours de laquelle six millions de Polonais trouveront la mort, dont trois millions de juifs et trois millions de «gentils». Dès 1939, ceux-ci attendront en vain une condamnation des violences nazies; en majorité catholiques, les Polonais s’attendent à ce que le pape veille en premier lieu sur ses propres ouailles, qu’il réprouve les violences commises par les Allemands, dont environ un quart sont aussi catholiques, et qu’il expose de manière claire ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. En vain. Pie XII, alors fraîchement élu, s’en tiendra à une stricte neutralité entre les belligérants et à une diplomatie discrète. Lorsque la réalité de la Shoah deviendra claire, Pie XII sera pressé de toutes parts d’élever la voix en public contre ce qui apparaît de plus en plus nettement comme une extermination systématique des juifs d’Europe. En 1942, à l’occasion du message radiodiffusé de Noël, le pape prononcera la phrase suivante: «Ce vœu [de mettre fin à la guerre], l’humanité le doit à des centaines de milliers de personnes qui, sans aucune faute de leur part, par le seul fait de leur nationalité ou de leur race, sont vouées à la mort ou à une progressive disparition.»

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  • Une enquête au cœur de l’État islamique… à Paris et Bruxelles !

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    Durant ces trois derniers mois, nous dit Pierre Piccinin, j'ai rencontré des partisans de l'Etat islamique, à Bruxelles et à Paris...

    C'était avant et après les attaques de Paris (Charlie Hebdo).

    Pas du tout des "paumés", "en mal de repères". 

    Une argumentation logique et sans concession...

    Du "Courrier du Maghreb et de l'Orient" :

    Une enquête au cœur de l’État islamique… à Paris et Bruxelles !

    « Le Califat existe. On peut le toucher. On peut y aller, en revenir, y repartir… Mais, en fait, il est partout ! Une ‘organisation terroriste’ ? C’est absurde de refuser d’appeler une chose par son nom. Ce n’est pas avec des mots qu’on peut diminuer l’importance d’une chose. » L’État islamique (DAESH) n’est pas une fable, en effet ; et cet État d’un autre genre n’existe pas seulement en Irak et en Syrie. L’État islamique s’est également étendu à la Jordanie, au Liban, à l’Arabie saoudite… À l’Égypte, à la Libye, à la Tunisie, au Maroc… Il est présent, massivement, dans tout le Maghreb. Il l’est aussi en France, en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne… Il l’est dans toute l’Europe. Rencontre avec des « citoyens » de l’État islamique, à Bruxelles et à Paris, issus des ghettos arabo-musulmans… Mais pas seulement… Avec ces Musulmans d’Occident partisans du Califat, des jeunes… Mais pas seulement. Au-delà des réflexes des journaleux « bienpensants » et des donneurs de gages ballotés par l’hystérie collective du moment, la parole est à ces « barbares », à ces « terroristes », à ces « paumés en quête d’identité » et autres « illuminés »… Qui replacent l’Occident en face de ses contradictions.

    « Organisation ‘État islamique’ », « Daesh » (acronyme arabe pour « État islamique en Syrie et en Irak »), « mouvement terroriste ‘État islamique’ », autant d’appellations qui, comme des formules magiques, tentent de conjurer la renaissance d’un califat arabo-musulman au cœur islamique historique d’un Moyen-Orient en pleine recomposition, en mutation soudaine et implacable.

    C’est en effet le parti du déni, celui qu’ont choisi les cercles politiques et la plupart des commentateurs et des médias occidentaux, de réduire l’État islamique (EI) à la menace « terroriste » qu’il implique, se refusant à considérer à leur réelle échelle ce phénomène politique et le danger qu’il représente, mais aussi la remise en question qu’il impose aux sociétés de l’Ouest.

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  • Une bénédiction des unions homosexuelles au programme du prochain synode ? Des théologiens suisses s'avancent...

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    Décidément, les enchères relatives aux décisions que pourrait prendre le prochain Synode sur la Famille sont en train de monter; on en jugera en lisant les propos figurant sur le Portail Catholique Suisse :

    Le prochain synode sur la famille pourrait ouvrir la voie à une possible bénédiction des couples homosexuels par l’Eglise catholique. Pour l’heure, sa conception se présente sous la forme d’un accueil inachevé: elle accepte les personnes homosexuelles, mais rejette leur sexualité. Une situation qui pourrait évoluer.

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  • La minorité chrétienne du Pakistan victime d'un nouvel attentat

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    De rfi.fr :

    Selon un dernier bilan fourni par les services de secours, au moins 14 personnes sont mortes et des dizaines d’autres ont été blessées ce 15 mars dans une double explosion à Lahore, au Pakistan. Les déflagrations ont retenti dans un quartier chrétien, au moment de la messe du dimanche. Cet attentat s’ajoute à la longue liste des violences contre les minorités religieuses du pays.

    Les églises étaient bondées de fidèles en ce jour de prière dominicale dans le quartier chrétien de Youhanabad, à Lahore. Deux explosions ont retenti, à quelques minutes d’intervalle, près de deux lieux de culte. Ce sont des kamikazes qui se sont fait exploser, ont annoncé les talibans pakistanais, qui ont rapidement revendiqué l’attentat.

    Sirènes

    Alors que les sirènes des ambulances résonnaient encore dans les environs, certains habitants réagissaient déjà violemment à ces attaques. Des centaines d’entre eux se sont rassemblés sur la principale avenue du quartier pour protester. La foule a lancé des pierres sur des policiers, les accusant de ne rien faire pour les protéger, puis deux personnes soupçonnées d’avoir participé aux attentats ont été lynchées, leur corps brûlé.

    Cibles

    Ces attentats sont les plus meurtriers contre la minorité chrétienne du pays depuis l’attaque qui avait causé la mort de plus de 80 personnes dans une église de Peshawar en décembre 2013. Les minorités religieuses sont régulièrement la cible de violences au Pakistan. Fin janvier, un attentat contre une mosquée chiite du sud du pays avait fait plus de 60 morts.

  • Importante manifestation anti-avortement à Madrid

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    cada_vida_importa-150.jpgA Madrid, des centaines de milliers de personnes ont participé à la manifestation "Chaque vie compte. Pour la vie, la femme et la maternité ". Cette manifestation a démarré ce samedi 14 de la calle Sevilla à la Puerta de Alcalá. 

    Le Président du Forum espagnol de la famille, Benigno Blanco, a souligné que « nous sommes ici aujourd'hui, encore une fois, pour éviter que se fasse un mur de silence autour de l'avortement ».

    En ce qui concerne les processus électoraux à venir, Benigno Blanco a fait appel à la responsabilité de chacun en toute liberté et prudence. Il a également exhorté "les parlementaires du PP à ne pas appuyer l'initiative du parti populaire au Parlement à propos des mineurs et de l'avortement si elle n'incorpore pas des garanties satisfaisantes pour la protection de la vie en remplacement de celles qui existent déjà.

  • Synode sur la famille : le pape dénonce des "attentes démesurées"

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    Synode pour la famille : le pape constate des "attentes démesurées"

    Interview à une télévision mexicaine (Zenit.org - Marina Droujinina)

    “Je crois qu’il y a des attentes démesurées“, explique le pape à propos du synode pour la famille, dans une interview accordée cette semaine, deux ans après son élection, à une chaîne de télévision mexicaine. Le pape François a abordé plusieurs sujets de la vie ecclésiale, mais aussi les thèmes de l’actualité.

    Synode : des attentes démesurées

    A une question sur le synode pour la famille : “Je crois qu’il y a des attentes démesurées“, répond le pontife sans détour sur la possibilité de la communion pour les catholiques divorcés et remariés ou sur l’approbation du monde des personnes homosexuelles.

    En donnant la communion  aux personnes divorcées remariées “on ne résout rien“,  explique le pape: “Ce que l’Église veut, dit-il, c’est que tu t’intègres à la vie de l’Église“. Pour ceux qui disent “non, moi je veux communier et c’est tout“ la communion n’est qu’une “cocarde“, qu’un “titre honorifique“, estime le pape.

    Aujourd’hui, l’Église doit “affronter“ différents points, continue le pape, “la préparation au mariage, l’accompagnement de ceux qui vivent en concubinage, (…) de ceux qui se sont remariés, de ceux qui se préparent à recevoir le sacrement du mariage“. Le pape croit que de nombreux mariages “ne sont pas préparés“ et que des mariages “sociaux“ “sont nuls“, “par manque de foi“.

    Conversion au sommet

    Le pape François souhaite une véritable “conversion des cœurs“ au sommet de l’Église.

    Avec toute sa franchise le pape juge que  la curie romaine est “la dernière cour qui reste en Europe“, tandis que les autres se sont “démocratisées“. Le pontife revient sur son discours de décembre 2014 devant les responsables de la curie romaine dans laquelle il a énuméré les 15 « maladies curiales ». Aujourd’hui, il ajoute une seizième maladie de “ceux qui n’ont pas le courage de critiquer en face“. Il faut “que les choses sortent“, dit-il. Le pape souhaite que ses collaborateurs aient “le courage de ne pas se taire“ s’ils ne sont pas d’accord avec lui.

  • Une intervention aux Nations-Unies pour dénoncer le développement du marché international de la vente d’enfants

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    De Liberte Politique.com :

    Plainte de No Maternity Traffic aux Nations-Unies pour l’abolition de la GPA

    Une “plainte individuelle” auprès du rapporteur spécial des Nations-unies a été déposée pour dénoncer la participation des autorités russes à un cas avéré de vente d’enfant.

    LE 11 MARS 2015, durant le débat aux Conseil des droits de l’homme (ONU, Genève) consacré à la lutte contre la vente d’enfants, Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), est intervenu oralement pour dénoncer le développement du marché international de la vente d’enfants par gestation par autrui (GPA).

    Il a invité le Rapporteur spécial sur la vente d’enfants, Mme Maude de Boer Buquicchio, « à promouvoir une action internationale de lutte déterminée contre toute forme de vente d’enfants, y compris par la gestation par autrui, afin que cette pratique soit effectivement abolie. »

    L’ECLJ, organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif auprès des Nations-unies, est membre du collectif européen d’associations “No Maternity Traffic” qui milite en faveur de l’abolition de la gestation par autrui.

    Un enfant vendu 49000 €

    En parallèle, l’ECLJ introduit une “plainte individuelle” auprès du Rapporteur spécial pour dénoncer la participation des autorités russes à un cas avéré de vente d’enfant par une entreprise muscovite spécialisée en GPA. Cet enfant a été produit sur commande et vendu 49.000 € à un couple d’Italiens n’ayant aucun lien génétique avec lui ; il a été l’enjeu du récent jugement de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) dans l’affaire Paradiso et Campanelli contre Italie.

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  • Triste jour pour les droits des enfants au Parlement européen (communiqué de presse de la FAFCE)

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    Communiqué de presse 
    Triste jour pour les droits des enfants  au Parlement européen

       
    Bruxelles, 13 Mars 2015

    Hier c'était la journée des droits de l’enfant.
     
    Selon la Charte Universelle des Droits de l’Homme, les enfants ont droit à une attention et une assistance particulières. 
     
    Le meilleur intérêt de l’enfant doit pioritairement être pris en considération « Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions de protection sociale publiques ou privées, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs », comme l’affirme la Convention sur les droit de l’enfant.

    Hier le Parlement européen a adopté son rapport annuel sur les Droits de l’Homme dans le monde, connu par le nom de son Rapporteur, Pier Antonio PANZERI, en incluant, hélas, un paragraphe qui menace le droit des enfants d’avoir un père et une mère.

    La résolution adoptée « encourage les institutions de l'Union et les États membres à contribuer davantage à la réflexion sur la reconnaissance du mariage homosexuel ou de l'union civile homosexuelle comme un enjeu politique et social, lié aux droits civils et aux droits de l'homme » (paragraphe 162 du texte adopté). Même si les question de la filiation et de l’adoption ne sont pas abordées dans le texte, l’évolution en cours dans plusieurs Etats Membres montre une profonde confusion sociale et légale pour ce qui relève du lien entre un enfant et son père et sa mère dans le contexte ci-dessus.
     
    Le texte adopté promeut aussi le « droit à l'avortement », tandis que la Charte des droits fondamentaux de l’UE affirme que « La dignité humaine est inviolable. Elle doit etre respectée et protégée » et que « Chacun a le droit à la vie ». La résolution votée au Parlement, qui se réfère aux droits de l’homme, donc aussi au droit à la vie, « demande à l'Union et à ses États membres de reconnaître le droit inaliénable des femmes et des filles à la prise de décisions autonome pour ce qui est du droit à l'avortement légal… ».
     
    Les Droits de l’Homme sont universels, mais le Parlement européen a prouvé hier qu’il n’y a pas de compréhension commune de  ce qu’est la Dignité humaine. Le Députés européens ont été divisés sur ces votes. Certains ont écouté les dizaines milliers de citoyens qui  leur ont demandé de ne pas soutenir l’avortement.
     
    Le rapport Panzeri viole le principe de subsidiarité. 

    L’Europe n’a pas besoin de moins de subsidiarité, mais de plus respect pour les législations nationales. 
    L’Europe n’a pas besoin d’avortements mais de plus de soutien aux mères et une réelle éducation relationnelle et sexuelle, respectant la compétence nationale sur ces thématiques et le rôle de parents comme premiers et principaux éducateurs de leurs enfants. 
     
    Les enfants en Europe ont besoin d’une mère et d’un père. Leurs besoins devraient être respectés, prenant en considération leur meilleur intérêt. Leurs besoins ne peuvent pas être négligés en faveur des désirs des adultes.
     
    La FAFCE continuera à encourager le Parlement européen à réaffirmer le principe de subsidiarité et, surtout, à protéger la dignité à chaque stade de la vie. 

    Contact: Maria Hildingsson, Secrétaire Général
    +32 4 70 20 39 18
    info@fafce.org

        La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, détient un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe, est membre de la Plateforme des droits fondamentaux de l’UE et représente les associations familiales de 15 Etats européens.