Dans la Stampa, Andrea Tornielli commente les dernières décisions prises par le pape, notamment la décision de mettre fin à l'existence de la communauté monastique de Santa Croce in Gerusalemme dont les excentricités avaient dépassé le cap du tolérable :
La décision, sensationnelle, d'éliminer la présence des moines de la basilique de Santa Croce in Gerusalemme, où ils étaient installés depuis cinq siècles, est un autre signe de la façon dont le "gouvernement bienveillant" de Benoît XVI sait être radical quand il s'agit de décisions pour éliminer la «saleté» dans l'Église, que le Cardinal Ratzinger avait dénoncée au cours de la Via Crucis, il y a six ans. Le décret de la Congrégation pour les Religieux a décidé la suppression de l'abbaye deux ans après l'expulsion de l'abbé, discrédité par sa gestion peu limpide de l'abbaye et par ses amitiés.