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Belgique - Page 297

  • Banneux, 15-17 novembre : retraite spirituelle chez les Frères de Saint-Jean

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    Le programme d'activités des Frères de Saint-Jean de Banneux est disponible ICI (PDF)

  • Presbytères : l'anticléricalisme en action ?

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    Comment interpréter l'information reproduite ci-dessous (provenant de info.catho.be) sinon comme une manoeuvre sournoise dictée par un anticléricalisme assez évident ?

    Les presbytères de plusieurs paroisses wallonnes sont menacés d’abandon. En cause, un courrier de l’administration fiscale qui pourrait amener certains prêtres et doyens à quitter leur logement.

    A Eghezée, certains prêtres et doyens ont reçu de l’administration fiscale un courrier difficile à digérer. D’après celui-ci, les trois dernières déclarations fiscales des ecclésiastiques concernés présentaient des erreurs au niveau des avantages en nature.

    Quand un employeur offre à son employé une voiture et lui rembourse ses déplacements, il faut l’indiquer dans la case réservée aux avantages en nature de la déclaration fiscale. Il en va de même pour le logement d’un prêtre attribué par l’autorité publique. C’est d’ailleurs la loi qui oblige les prêtres à habiter dans des logements fournis par les pouvoirs publics. D’après l’administration fiscale, presbytère ou autre logement de fonction ne serait pas tous déclarés à leur juste valeur.

    Un redressement fiscal douloureux

    En accord avec les autorités, les prêtres wallons étaient tenus d’indiquer un avantage en nature de 1300 Euros.  » Aujourd’hui, le recommandé envoyé par le fisc concerne un redressement fiscal qui multiplie par dix les avantages en nature, donc environ 13000 Euros, » explique Jules Sabaux, le doyen d’Eghezée. Cette somme varie en fonction du revenu cadastral du logement occupé par le prêtre.

    Mais le presbytère n’a pas que le logement pour unique fonction, «  il est avant tout le siège de la fabrique d’Eglise, lieu de toute l’activité paroissiale. Il s’y passe un grand nombre d’activités et le prêtre n’a pas à supporter un tel redressement à lui tout seul »,  estime le doyen.

    Si pour le mois de janvier, une solution de partage du redressement n’a pas été trouvée, Jules Sabaux, ainsi que d’autres prêtres wallons, pourraient  être amenés à mettre la clé sous le paillasson et déserter les presbytères.

    S.T.

  • BXL, 9 décembre : soirée ciné-débat consacrée à la détention des étrangers

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    A loccasion du 65ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de lHomme,

    le Jesuit Refugee Service Belgium vous invite à une soirée ciné-débat sur la détention des étrangers comme instrument de la politique migratoire.

     

    5 centres fermés pour étrangers en Belgique :

    le saviez-vous ?

     

    Chaque année, 7000 personnes sont détenues en Belgique en vue de leur expulsion.

    Est-ce une nécessité ?  A quel prix ?

     

    Lundi 9 décembre au Cinéma des Galeries

    Galerie de la Reine, 26 à 1000 Bruxelles

     

    18h30 Film « The Visitor » de Thomas Mc Carthy

    20h30 Sandwich-bar

    21h00 Témoignage - Débat

     

    Merci de diffuser cette invitation via votre mailing-list ou votre page facebook (lien : 7000 étrangers en détention)

     

      

    PAF libre - Réservation souhaitée avant le 4 décembre : barbara@jrsbelgium.org

  • Euthanasie des enfants : une pétition circule pour rejeter le projet en cours d'examen

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    Sous le titre "Stop euthanasie des mineurs", une pétition (que l'on peut signer ICI) circule à l'initiative d'étudiants (cfr leur page facebook) pour recueillir des signatures en vue d'obtenir le retrait du projet de loi. "Je suis conscient, nous dit un de ses promoteurs, qu'une pétition (a fortiori sur internet) a rarement beaucoup d'effet directement sur un projet politique. Néanmoins, rassembler un nombre significatif de signatures peut soutenir les personnes qui comme vous, défendent la dignité humaine, ainsi que les étudiants universitaires qui ont lancé cette pétition."

    Présentation :

    Les commissions des affaires sociales et de la justice du Sénat belge débattent actuellement de l'élargissement de l'euthanasie aux mineurs.

    Face à cette situation et n'ayant eu l'occasion d'exprimer notre position lors d'un vote démocratique*, nous ne pouvons nous taire et appelons le gouvernement à prendre la mesure des enjeux d'une telle législation, émanant d'une culture de mort que nous ne pouvons cautionner. En effet, la loi actuelle a déjà subi de nombreuses dérives, n'ayant jamais été sanctionnées (euthanasies de mineurs et de déments, de prisonniers pour motifs psychologiques, en vue d'un état de santé risquant d'être altéré, absence de consentement de la personne euthanasiée, etc.). Ces dérives sont dénoncées par de nombreux professionnels de la santé et du droit, en Belgique et à l'étranger. 

    À l'initiative de différents étudiants, nous appelons donc la classe politique à renoncer à ces propositions de lois et à travailler à de nouvelles, en faveur de la vie, des soins palliatifs et des personnes fragiles de notre société, qui font toute sa richesse. 

    *Les programmes des partis politiques n'ayant jamais fait allusion à une modification de la loi euthanasie.

    Lire la suite

  • A propos du programme de religion catholique

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    On déplore souvent la médiocrité du cours de religion. Cette video présentée par Arnaud Dumouch devrait permettre d'aller au-delà des clichés habituels : 

    Publiée le 2 sept. 2013

    Le nouveau programme de religion catholique a été institué en 2003. Il est centré sur l'usage de la pédagogie par compétences. Son histoire, ses forces et ses faiblesses. L'abbé Henri Ganty est le vicaire épiscopal du Diocèse de Namur en Belgique, chargé du cours de religion catholique. Il est en outre musicien Son site : http://www.henryganty.net/

    Voir également cette page sur facebook

  • Bulletin de l'IEB - 6 novembre 2013 - Euthanasie des enfants : prises de position

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    header_fr.jpgSommaire


  • Les responsables religieux de Belgique s'opposent à l'euthanasie des enfants

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    Les chefs religieux en Belgique dénoncent l’euthanasie des enfants

    (source : info.catho.be)

    Ce mercredi 6 novembre 2013, les responsables des principales religions en Belgique ont exprimé leur très grande crainte de voir la mort banalisée par le législateur. Alors que le Sénat discute actuellement de l’euthanasie des enfants, les chefs religieux regrettent que ce débat tourne autour de la condamnation des personnes qui souffrent et non pas autour de leur accompagnement.

    Communiqué des chefs religieux en Belgique au sujet de l’euthanasie

    Alors qu’au Parlement on se penche à nouveau sur un élargissement possible de la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie, nous voulons une fois encore faire entendre notre voix dans ce débat qui concerne toute la société, en tant que citoyens en nous appuyant sur des arguments philosophiques, et en tant que croyants héritiers de nos traditions religieuses respectives.

    Nous marquons notre opposition à ces extensions et exprimons notre vive inquiétude face au risque de banalisation croissante d’une réalité aussi grave.

    Nous aussi, nous sommes contre la souffrance, tant physique que morale, en particulier celle des enfants, car toute souffrance révolte. Mais proposer que des mineurs puissent décider de leur propre euthanasie est une manière de fausser leur faculté de jugement et dès lors leur liberté.

    Proposer que des personnes démentes puissent être euthanasiées est un déni de leur dignité et les livre au jugement, voire à l’arbitraire,  des personnes qui prennent cette décision.

    Quant au corps médical et au personnel soignant, on fait pression sur eux à pratiquer un acte soi-disant médical.

    Au lieu de soutenir la personne souffrante en rassemblant autour d’elle  toutes les personnes  et les forces qui l’entourent, on risque précisément de diviser ces forces et dès lors d’isoler cette personne souffrante, de la culpabiliser et de la condamner à la mort.

    Le consentement prévu par la loi tend à devenir de plus en plus une réalité sans consistance. La liberté de conscience des personnes concernées risque de ne pas être sauvegardée.

    L’euthanasie des personnes fragiles, enfants ou personnes démentes, est une contradiction radicale de leur condition d’êtres humains.

    Nous ne pouvons dès lors entrer dans une logique qui conduit à détruire les fondements de la société.

    Pasteur Steven Fuite, président de l’Église Protestante Unie de Belgique

    Rabbin Albert Guigui,  Grand Rabbin de Bruxelles

    Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l’Église Anglicane en Belgique

    Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique

    Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique

    Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe)

    Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique

  • BXL, 14-24 novembre : "Venite adoremus" festival d'adoration eucharistique

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                                                          Adoremus2Qu'est ce qui sauvera le monde?
    "Ma réponse est la prière . 
    Il faut que chaque paroisse se tienne au pied de Jésus dans le Saint-Sacrement dans des heures d'adoration." 

    Bienheureuse Teresa de Calcutta
     
    video-band-announce-festival-2013
     

    ADORATION CONTINUE
    DU 14 AU 24 NOVEMBRE 2013

    11 jours et 11nuits non stop en relais

    dans plus d'une cinquantaine de paroisses et communautés de Malines-Bruxelles

    en préparation à la Fête du Christ Roi

    Plus d’information: www.veniteadoremus.be

    Programme de festival

     

  • Euthanasie: à Bruxelles, des Veilleurs debout font barrage à la barbarie

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    Nous reprenons la note suivante sur Espérance nouvelle en raison de l'importance des recommandations concernant la discipline requise de la part des participants :

    Mise à jour concernant la discipline des participants à cette action pacifique.

    Citoyens, élus, législateurs, présidents de partis, sénateurs: ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas ce qui se passait dans les hôpitaux et centres de "soins".

    Les discussions concernant l'élargissement de la loi sur l'euthanasie en Belgique ont repris au Sénat le mercredi 9 octobre 2013.

    En signe de protestation face aux projets de loi visant à élargir cette pratique aux mineurs et aux personnes démentes, les Veilleurs debout se posteront devant le Sénat belge (Place de la Nation 1, 1000 Bruxelles - en face du Parc royal, rue de la Loi):

    mardi 5 novembre 2013 à 18h30

    dimanche 10 novembre 2013 à 16h

    ATTENTION

    Ce n'est pas une manifestation! Les manifestations doivent obtenir un accord préalable de la police.

    Nous respecterons la norme légale d'une distance minimale de 3 mètres entre chaque veilleur debout. Ainsi, nous agirons en toute légalité en évitant l'effet de rassemblement.

    Merci de respecter la distance et le silence pendant toute la durée de la protestation (sauf pour parler individuellement avec les passants qui souhaitent être informés sur les projets de loi et sur la pratique de l'euthanasie dans notre pays). Si vous souhaitez discuter par après avec d'autres veilleurs debout, veuillez quitter les lieux le plus rapidement possible. Tout attroupement devant le Sénat est à proscrire absolument.

    veilleurs debout, bruxelles, euthanasie, sentinelles, résistance, déments, sénat, dignité humaine

    Voir aussi:

    Extension de l’euthanasie débattue en Belgique : les citoyens veillent devant le Sénat

    L'euthanasie va toujours plus loin: des Veilleurs debout disent STOP à Bruxelles

  • Contenir l'euthanasie ? Une illusion.

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    Lu ICI :

    Etienne Montero: « C’est une illusion de penser qu’on peut contenir l’euthanasie »

    PAR MARIE -MADELEINE COURTIAL / LE 4 NOVEMBRE 2013

    Etienne Montero est docteur en droit de l’UCL (Université Catholique de Louvain), professeur ordinaire à l’Université de Namur. Il est doyen de la Faculté de droit. Il a écrit en 2013 un livre intitulé: « Rendez-vous avec la mort: dix ans d’euthanasie légale en Belgique ». Nous lui avons posé des questions sur son livre et l’euthanasie.

    1) Etienne Montero, vous avez écrit un livre-bilan sur les dix ans de l’euthanasie en Belgique: « Rendez-vous avec la mort », pourquoi écrire ce bouquin ? Quelles ont été vos motivations ?

    Lorsqu’ont été « célébrés » les 10 ans de la loi sur l’euthanasie, quantité d’articles ont paru dans la presse pour dresser un bilan très flatteur de la loi : conditions légales parfaitement respectées, aucune dérive, aucun cas suspect transmis au ministère public… Ce triomphalisme a titillé mon esprit critique. L’occasion a aussi été un affidavit que j’ai été amené à rédiger, à la demande du Procureur général du Canada et du Procureur général du Québec, pour la cour supérieure du Québec. Une dame souhaitant être aidée à mourir contestait les dispositions pénales l’en empêchant. Il m’était demandé de rendre compte de l’expérience des 10 ans d’euthanasie légale en Belgique. Ce travail m’a fourni la trame de mon livre.

    2) Ses partisans déclarent que le cadre légal empêche toute dérive, est-ce la réalité sur le terrain ? Quel est le bilan réel après dix ans de légalisation d’euthanasie en Belgique ?

    Mon analyse est qu’il n’est pas possible de baliser l’euthanasie et d’en contrôler la pratique. L’euthanasie était envisagée comme une exception pour des cas limites et à des conditions très strictes. Aujourd’hui, on constate que les conditions sont appréciées très souplement par la Commission de contrôle. Là où est exigée une maladie grave et incurable, on se contente de « pathologies multiples », généralement liées au grand âge et dont aucune n’est en soi grave et incurable. La condition de souffrance physique ou psychique insupportable ne fait pas l’objet d’un vrai contrôle car, estime la Commission, la souffrance est une notion subjective. Dans les travaux préparatoires de la loi, on excluait l’euthanasie des malades psychiatriques, dépressifs et déments, alors que des euthanasies sont régulièrement avalisées par la Commission de contrôle dans de tels cas. On accepte que répond à la notion de souffrance, l’anticipation d’une souffrance future. On pourrait multiplier les exemples.

    3) Les derniers chiffres révélaient que le nombre de déclarations anticipées d’euthanasie avaient augmenté, n’y a-t-il pas un danger à faire une telle déclaration ?

    Aujourd’hui, une telle déclaration anticipée, qui a une durée de validité de cinq ans, ne peut être exécutée que si le patient, devenu incapable, est affecté d’une maladie grave et incurable et est en situation de coma irréversible. Le législateur avait été prudent, pour ainsi dire. Mais il y a des projets de loi visant à conférer une validité illimitée à  la déclaration anticipée et à permettre qu’elle soit appliquée à des personnes démentes, qui perdent progressivement leurs facultés cognitives ou la conscience de soi. Cela signifie qu’on laisse à d’autres une importante faculté d’appréciation, ce qui est une manière de s’orienter vers la possibilité de demander l’euthanasie d’autrui. Sérieux glissement en perspective.

    4) En général, les médecins sont-ils compréhensifs et réceptifs à une demande d’euthanasie ?

    Cela dépend des médecins et des « milieux médicaux ». Les demandes exprimées par les malades sont généralement écoutées et accueillies avec bienveillance, ce qui ne veut pas dire que tous les médecins sont prêts à y répondre positivement. Les partisans de l’euthanasie se plaisent à dire que la loi a libéré la parole. Mais le phénomène peut aussi s’expliquer par les progrès de la « culture palliative » qui porte à une plus grande attention et écoute, en Belgique et ailleurs.

    5) Les politiques belges s’apprêtent à l’étendre pour que les mineurs puissent y avoir accès, n’est-ce pas une pente glissante et dangereuse ?

    C’est très inquiétant. L’on sait que les douleurs physiques peuvent être adéquatement soulagées et rendues supportables aujourd’hui.  L’euthanasie est presque toujours demandée pour une souffrance d’ordre psychologique : lassitude de vivre, absence de perspectives… Croyez-vous vraiment que ce sont là des motivations d’un mineur ? S’il est correctement soigné, soutenu, accompagné, je ne crois pas qu’un mineur songe à demander qu’on le fasse mourir. Sauf à lui suggérer pareille issue. Je crains que l’offre crée la demande.

    6) Alors qu’en France, on tente de lancer le débat sur l’euthanasie et qu’on parle de suicide assisté, l’exemple belge ne devrait-il pas faire réfléchir ?

    Certainement, entrouvrir une porte, c’est accepter l’idée qu’elle s’ouvrira toujours davantage, que l’on ira d’élargissement en élargissement. C’est une illusion de penser qu’on peut contenir l’euthanasie ou le suicide assisté dans des limites très strictes et en contrôler efficacement la pratique.

    Pour commander le livre: http://anthemis.be/index.php?id=154&tx_ttproducts_pi1[backPID]=154&tx_ttproducts_pi1[product]=3956&tx_ttproducts_pi1[cat]=25&cHash=23bb9751f8

  • Mgr Léonard bientôt cardinal ?

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    Lu sur l'Avenir.net :

    "Archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr  Léonard pourrait bien être créé cardinal en février prochain par le pape.

    Près d’un an près son élection, le pape François devrait réunir du 17 au 20 février 2014 pour la première fois les cardinaux du monde entier. Au programme, un consistoire extraordinaire suivi d’un consistoire ordinaire pour la création de nouveaux cardinaux.

    À ce moment, à travers le monde, il devrait y avoir 201 cardinaux, mais seulement 106 âgés de moins de 80 ans, l’âge maximal pour pouvoir participer à l’élection du pape. Or depuis Paul VI, le nombre de cardinaux électeurs est fixé à 120. Et il est même parfois dépassé. Il est donc grand temps d’en désigner de nouveaux.

    Ces derniers mois, près d’une dizaine de cardinaux ont dépassé l’âge de 80 ans. Et parmi eux le cardinal Danneels qui est octogénaire depuis juin dernier (il était l’un des cardinaux les plus âgés à voter en avril dernier). La Belgique ne serait donc pas représentée si l’on devait prochainement élire un nouveau pape.

    La porte semble grande ouverte pour l’archevêque André-Mutien Léonard. «Depuis la Révolution française, tous les archevêques de Bruxelles-Malines ont été créés cardinaux alors qu’ils étaient en fonction et pouvaient ainsi figurer parmi les électeurs d’un pape en cas de nécessité», a expliqué au Standaard Jürgen Mettepenningen, qui a été durant plusieurs années le porte-parole de Mgr Léonard.

    Sur les 106 cardinaux électeurs en février 2014, on devrait compter 55 Européens (dont 25 Italiens), 11 Africains et autant d’Asiatiques, 14 provenant d’Amérique latine et autant d’Amérique du Nord et un d’Océanie. Pour atteindre le nombre de 120 électeurs, le pape François disposerait dès lors de 14 «barrettes cardinalices». Logiquement, l’une d’entre elles devrait donc revenir à Mgr Léonard, qui aura 74 ans en mai prochain."