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Belgique - Page 300

  • Musique sacrée et musique ancienne: Verviers 2013

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    musique sacree 2013 electronique.jpg

    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459204.shtml

    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459212.shtml

    JPSC

  • Aujourd'hui, les Belges sont obligés de donner la mort à quiconque en exprime le souhait

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    Tels sont les propos du Docteur Bernard Debré sur Boulevard Voltaire :

    Euthanasie : non à une société du « tout propre » !

    Bernard Debré - Médecin - Député UMP pour la 15ème circonscription de Paris

    • À l’heure où le Dr Bonnemaison a été renvoyé devant les assises pour l’empoisonnement de sept patients en fin de vie, savez-vous où en est le projet de loi annoncé avant la fin de l’année par François Hollande sur l’euthanasie ?

    Il n’y a pas encore de projet de loi. En revanche, la loi Leonetti du 22 avril 2005, relative aux droits des patients en fin de vie, sera sans doute ajustée et pourrait notamment inclure l’ouverture de davantage de maisons de fin de vie.

    En dehors de ces ajustements, la loi Leonetti semble adaptée en ce qu’elle donne les moyens pour que les malades en fin de vie ou en situation douloureuse souffrent moins.

    • En Belgique, on annonce l’éventualité d’élargir le texte de loi aux « mineurs capables de discernement » et aux personnes « atteintes de démence ». Les trois quarts des Belges, selon un sondage publié récemment dans le quotidien La Libre Belgique, se disent favorables à une telle extension. Qu’en pensez-vous ?

    Je suis extrêmement réservé, voire totalement hostile à ce type de dérives. Prenons le cas des mineurs. Les médecins pourront se retrouver confrontés à des individus qui, malgré leur bonne volonté, ne sont pas atteints d’une maladie mortelle, ou sont sous le coup d’une lourde dépression temporaire.

    Quant à la démence, cela inclut notamment tous les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. On rentre alors dans une tout autre société dans laquelle on se débarrasse des gens qui ne sont pas comme nous, alors que l’objectif de notre société est justement de protéger les plus faibles.

    En France, 800.000 personnes – ce qui correspond aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer – pourraient être concernées. Et d’ailleurs, pour une personne qui serait atteinte de cette maladie et donc incapable de prendre une décision, qui la prendrait pour elle ? On entre véritablement dans une société du « tout propre ».

    S’il fallait une devise pour les décideurs, ce serait celle-ci : « La dignité se retrouve dans les yeux qui regardent la personne malade. »

    • En Belgique toujours, les notions de « souffrances psychiques » ont été introduites dans la loi. Qui en est juge ? Et comment peut-on contrôler la réalité de ces souffrances ?

    C’est une vraie question. Cette souffrance est-elle passagère ? Est-elle définitive ? Comment le reconnaître ? Les Belges sont dans une situation particulière. Aujourd’hui, ils sont obligés de donner la mort à quiconque en exprime le souhait.

    Je ne dis pas qu’il faut laisser souffrir la personne et je suis d’ailleurs contre l’acharnement thérapeutique. J’estime qu’il faut abréger la souffrance, même si, parfois, cela doit réduire l’espérance de vie.

    • Y a-t-il un risque de voir une telle loi proposée un jour en France ?

    Proposée, oui. Votée, non. Pour l’instant, il y a une forme de consensus national qui affirme que la dignité de la personne doit être préservée. Pour l’instant…

  • Echos des European Encounters

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    Lu sur InfoCatho.be

    European Encounters, la foi au cœur de tous les débats…

    Du 11 au 13 octobre, ont eu lieu à Bruxelles, au Collège Saint Michel, les European Encounters. Une rencontre de jeunes adultes européens chrétiens actifs, centrée sur un constat… Le chrétien ne peut baser sa foi sur une intuition, la case intellectuelle est primordiale. Raison et Foi ont habité ce laboratoire de réflexions et d’échanges, durant trois jours intenses.

    Débats carrefours, apéros chrétiens, séances plénières… Les formats de la rencontre étaient multiples. « C’est le but », insiste Ludovic Goffinet porte-parole des European Encounters. « La rencontre est fondamentale dans cet événement ». Dans le cadre de l’année de la Foi, les European Encounters 2013 ont proposé, à partir de trois grands thèmes (Le Christ, avenir de l’Europe ; Le Christ dans la Cité ; Le Christ pour le monde), une compréhension renouvelée de l’actualité du Concile Vatican II.

    Les participants ont pu ainsi côtoyer d’importants acteurs de la société qui ont apporté leur témoignage de chrétien au cœur du monde scientifique, économique, politique, médiatique et culturel. Parmi eux, notamment, Mgr Léonard, l’archiduc d’Autriche Christian de Habsbourg, la directrice des programmes de la chaine de télévision KTO Philippine de Saint Pierre… mais également la présidente du Parti chrétien-démocrate français, Christine Boutin. Elle intervenait sur le thème « Une âme pour l’Europe », vendredi soir.

    Lire la suite et accéder aux entretiens sur InfoCatho.be

  • En Belgique, selon le réalisateur du film "l'euthanasie, jusqu'où", la pratique de l'euthanasie connaît des dérives

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    Lu sur La Croix :

    Pierre Barnérias : « En Belgique, l’euthanasie n’est pas exempte de dérives »

    Dans son film « L’euthanasie, jusqu’où ? », le réalisateur Pierre Barnérias (1) montre que le système de contrôle de l’euthanasie en Belgique – légale depuis dix ans – est lacunaire voire inexistant.

    • Pourquoi avez-vous décidé d’enquêter sur la pratique de l’euthanasie en Belgique ? 

    Le point de départ, c’est le travail que j’ai mené avec le réalisateur Frédéric Chaudier, qui a filmé pendant plus d’un an des patients hospitalisés en soins palliatifs à la maison médicale Jeanne-Garnier, à Paris. J’ai produit son documentaire, « Les yeux ouverts », sorti en 2010 au cinéma. 

    Fort de cette expérience, j’ai eu envie de savoir comment les choses se passaient dans des pays, comme la Belgique, ayant fait le choix d’autoriser l’euthanasie. J’ai commencé l’enquête sans aucun a priori, avec l’esprit ouvert et l’envie de comprendre. C’est alors que j’ai rencontré Marcel, un ancien syndicaliste belge plutôt favorable à l’euthanasie au départ. Cependant, après l’euthanasie de sa mère qui n’était pas malade, celui-ci s’est brutalement rendu compte qu’il n’y avait pas de contrôle, que l’euthanasie se pratiquait en dehors des critères fixés par la loi. Le constat était saisissant. 

    J’ai alors continué à enquêter, avec l’aide deux journalistes de talent, Anne-Laure Cahen et Clotilde Baste. Ce que nous montrons, c’est que dans ce pays, l’application de l’euthanasie n’est pas exempte de dérives.

    • Qu’avez-vous découvert en particulier ? 

    Le point central, c’est l’absence de contrôle effectif des euthanasies pratiquées, en dépit de la commission fédérale. Certains témoins, dont l’un apparaît dans le film, vont jusqu’à faire état d’homicides déguisés en euthanasie ! Des infirmières parlent à visage découvert des dérives auxquelles elles ont assisté… 

    Je ne prétends pas trancher le débat, dire s’il faut ou non légaliser l’aide active à mourir, mon film est simplement un éclairage de ce qui se passe aujourd’hui dans un pays ayant fait ce choix et où, manifestement, tout ne va pas bien. 

    J’espère qu’il va donner matière à réfléchir : sur ce que veut dire la « liberté » de mourir lorsque l’on n’a aucune réponse à sa souffrance ou encore sur la place du médecin qui soigne mais peut aussi donner la mort…

    • Pourquoi diffuser votre travail sur Internet et pas à la télévision ? 

    Aucune chaîne de télévision n’a accepté de diffuser le film, donc de le financer. Nous avons travaillé pendant deux ans, avec très peu de moyens, sans pouvoir aller aussi loin dans l’enquête que nous l’aurions voulu. 

    Malgré ces conditions précaires, nous avons été jusqu’au bout parce que nous avions la conviction qu’il y avait là un vrai sujet. J’avoue que l’absence de répondant du côté des diffuseurs me laisse perplexe.

    RECUEILLI PAR MARINE LAMOUREUX

    (1) Pierre Barnérias a 48 ans. Pendant 23 ans, il a travaillé pour de nombreuses chaînes de télévision, d’abord comme journaliste puis comme JRI (journaliste reporter d’images), France 2, France 3, TV5 monde, TF1, etc.

  • Diocèse de Tournai, 29 octobre : journée des acolytes

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  • Sur Euthanasie Stop (16/10/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 16/10/2013

     

    Un documentaire censuré par toutes les chaînes

    Publié par Michel JANVA (Journaliste)

    Lire « Un documentaire censuré par toutes les chaînes »

     

     

    L'euthanasie n'est pas la solution !

    Publié par Francesca SIGNORE (Juriste)

    Lire « L'euthanasie n'est pas la solution ! »

     

    Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient

    Publié par Dominique BASTIN (Employée)

    Lire « Papa a eu peur que les médecins l'euthanasient »

     

    L'amour jusqu'au bout...

    Publié par Marie-Anne SCHNACKERS (Pédagogue)

    Lire « L'amour jusqu'au bout... »

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :
     

    "mensen" met een warm hart...

    Publié par Philip PINTELON (Ambtenaar)

    Lire « "mensen" met een warm hart... »

     
     

    Hedonistisme?

    Publié par Marc VANHOUTTE (Gepensionnerde, Heverlee)

    Lire « Hedonistisme? »

  • Christine Boutin revient sur son agression à Bruxelles

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    Christine Boutin a été agressée en même temps que Mgr Léonard le vendredi 11 octobre dernier. Elle revient sur ces évènements dans un entretien avec Jeanne Coral sur Boulevard Voltaire :

    • Vous vous êtes fait enlacer vendredi dernier en Belgique par quatre femmes seins nus alors que vous interveniez au sein d’une rencontre européenne des jeunes actifs catholiques. Vous êtes restée très calme, apparemment… Pourtant, ça doit être surprenant ?

    Effectivement, je ne m’y attendais pas du tout. Je n’avais pas jugé nécessaire que les organisateurs mettent en place des mesures de sécurité particulières. Des femmes et des hommes, une vingtaine de personnes au total, sont entrés dans la salle en criant notamment « caca boutin », ce qui relève d’un niveau intellectuel proche de la maternelle.

    J’ai bien entendu été surprise – puis j’ai maintenant de l’expérience, j’ai souvent été agressée et, en général, j’arrive à me contrôler –, mais cette fois, chose incroyable, j’ai eu la sensation d’avoir été inondée d’une véritable douche de paix, une paix très profonde qui explique mon calme.

    • Juste à côté de vous, l’archevêque de Malines-Bruxelles André-Joseph Léonard a, lui, été la cible de l’entarteur Noël Godin. Ce dernier a affirmé que « cette action, qui a été un succès, visait les anti-homosexuels, anti-avortements et était dirigée contre l’intégrisme catholique ». Vous vous sentez visée ?

    C’est le qualificatif qu’a utilisé ce monsieur. Mais je crois que ce qui s’est passé – d’une extrême violence — est révélateur d’un véritable bouleversement de notre société. Nous sommes aujourd’hui entrés dans un combat qui n’est pas d’ordre politique mais d’ordre spirituel. Désormais, la vraie question qui est posée aux Français, c’est celle de la construction, ou non, d’une société sans Dieu. Madame Taubira nous a bien dit qu’elle souhaitait un changement de civilisation. Ce changement de civilisation est en réalité la proposition qui est faite aux Français par le gouvernement actuel, qui est la construction d’une telle société.

    Ces femmes nues, qui s’appelaient autrefois « Femen », ont changé de nom. Elles s’appellent désormais les « Liliths ». « Lilith » est une référence diabolique, tout simplement. Ce changement n’est pas neutre. J’affirme aujourd’hui avec force que nous sommes face à un combat spirituel qui va se traduire politiquement. Le positionnement qui nous est demandé n’est plus un positionnement droite/gauche. Il s’agit de savoir si nous voulons une société avec une transcendance ou sans transcendance.

    • Pourquoi, selon vous, votre message est-il si mal interprété ?

    Je ne sais pas s’il est mal interprété. Les « Liliths » et tout le courant de pensée que représentent ces femmes ont parfaitement compris ce que je représente. Je refuse la construction d’une société sans Dieu.

    • On oppose toujours les actions, un peu spectaculaires, des Femen à l’action plus « pacifique » des Veilleurs. N’auriez-vous pas intérêt à changer de registre et à faire davantage parler de vous ?

    Je ne cherche pas à faire parler de moi. J’essaie simplement de vivre ma foi en vérité. En revanche, les idées que je porte et les questions que je pose sont beaucoup plus importantes. Et il se trouve que mon engagement politique me permet d’avoir une parole et de dire les choses. Être catholique, c’est être profondément libre. Mais pour être libre, encore faut-il avoir la connaissance des enjeux. Or, en tant que femme politique, j’ai un regard depuis trente ans sur ce qu’il se passe dans notre pays, et je sais qu’aujourd’hui, la question qui est posée est bien celle de la transcendance de notre société.

  • Liège, 17 octobre : Nightfever à Liège avec la participation de Mgr Delville

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    Église ouverte – Cœur ouvert (Diocèse de Liège)

    La « Nightfever » arrive à Liège : soirée de rencontre, de chants et de prière pour tous, le jeudi 17 octobre à Saint-Jean !

    Pour la première soirée, le jeudi 17 octobre 2013, notre évêque sera avec nous :
    19h30 : Eucharistie présidée par Mgr Jean-Pierre Delville
    20h30-22h30 : soirée de prière, adoration, rencontre,...
    et à 21h : Témoignage de notre évêque

    Nightfever, c’est quoi ? (extraits du site http://www.nightfeverliege.be/cest-quoi/)

    Nightfever est organisé par de jeunes chrétiens dont la foi est centrale dans leur vie et qui aspirent à créer des liens entre les individus, les paroisses et les communautés. Grâce à notre initiative, nous aimerions aborder les jeunes qui sont restés loin de l’Église et de les rapprocher à nouveau de la foi. Tout devrait se passer sans aucune obligation, comme il est dit dans l’évangile de Jean Venez et voyez (Jn 1,46). Nightfever est un réseau international (www.nightfever.org) qui collabore avec de nombreuses paroisses et communautés chrétiennes.

    L’origine de Nightfever date de 2005, à Cologne, après les JMJ qui s’y étaient déroulées durant l’été.

    À Liège, les initiateurs de Nightfever sont :

    Communauté du chemin Neuf
    Dominicains de Liège / Projet Logos
    Communauté de l’Emmanuel
    Fraternité de Tibériade
    Frères et soeurs de St Jean 
    Diocèse de Liège & service diocésain des jeunes liège
    Les Jésuites de Belgique
    Salésiens de Belgique
    Medias catholiques belges francophones
    Saint Lambert
    Notre Dame des Ponts 
    Communauté Annonciation

    Plus d’info ? Venez voir ;-) mais aussi via info@nightfeverliege.be et www.nightfeverliege.be ou encore via Facebook !

  • Bulletin de l'IEB - 16 octobre 2013 - Cordon ombilical / Souffrance psychique / euthanasie

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    header_fr.jpgSommaire

  • A Liège : une académie pour entrepreneurs sociaux

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    Lu sur la Libre du lundi 15 octobre cet article qui rend compte d'une initiative visant à concilier l'économique et le social :

    L’académie pour entrepreneurs sociaux (BOUTSEN BRUNO)

    ECONOMIE - Entrepreneuriat

    Business et social : deux termes qui, a priori, ne vont pas vraiment ensemble. Mais, depuis plusieurs années, il est un secteur qui a, pour ainsi dire, le vent en poupe en Belgique, à savoir l’économie dite sociale. Bien entendu, ce secteur est à la croisée du marchand et du non-marchand et il recouvre de multiples formes, ce qui le rend donc parfois difficile à cerner pour le commun des mortels. Compte tenu d’une multiplication constatée des initiatives en la matière et du poids économique de l’économie sociale, qui représenterait entre 250 000 et 300 000 travailleurs et environ 15 000 entreprises, le Centre d’économie sociale de l’Université de Liège (ULg) vient de porter sur les fonts baptismaux une Académie. Dédiée aux entrepreneurs sociaux et conçue comme une plate-forme, cette dernière a été lancée officiellement, mercredi dernier, par le Centre d’économie sociale de l’ULg, fondé en 1993 par le Professeur Jacques Defourny et qui constitue, aujourd’hui, le plus important centre de recherches existant au sein de l’Alma Mater liégeoise. Ainsi qu’expliqué par Sybille Mertens et Benjamin Huybrechts, professeurs aux HEC et coordinateurs du projet, la structure créée correspond à un besoin de fédération et de structuration du secteur et son but est de rassembler les activités de formation, de soutien et de mise en réseau des entrepreneurs sociaux développés par le Centre ad hoc.

    Lire la suite sur le site de lalibre.be

  • Bruxelles : les Veilleurs se mobilisent contre l'euthanasie

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    Pour ceux qui le peuvent et le souhaitent, rendez vous ce soir à 19h devant le Sénat pour "veiller debout" contre l'extension de la loi de l'euthanasie aux mineurs et aux déments.

    (Tous les dimanches à 16h00 et les mardis à 19h00).

    https://www.facebook.com/events/533982063354279/?source=1

    http://www.jeunespourlavie.org/4/post/2013/10/veilleurs-debout-maintenir-la-contestation-contre-leuthanasie.html

  • Liège. Reconstitution de la Cathédrale Saint Lambert sur vidéo

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    A l'occasion de son 10e anniversaire, l'archéoforum de la place Saint-Lambert à Liège se modernise. Vous pourrez dorénavant découvrir le site accompagné d'un Ipad qui vous délivrera des textes, commentaires, photos, films, et reconstitutions 3D. Vous pourrez notamment découvrir la reconstitution de la cathédrale St Lambert. Découvrez les premières images ci-dessus.

    Les vestiges de quatre églises dédiées à saint Lambert ont été découverts lors des fouilles archéologiques. La 1ère  église a été construite au début du 8e siècle, après la mort de saint Lambert. La 2e a été bâtie à la fin du 8e siècle. Lorsque Liège devient l’évêché. La 3e église a vu le jour aux environs de l’an mil, à l’initiative du prince-évêque Notger. En 1185, la 4e a été reconstruite suite à un incendie.

    Deux tours jumelles, appelées aussi tours de sable, sont construites de part et d’autre de l’extrémité occidentale au milieu du 14e siècle. Une 3e tour sera ajoutée au sud-est. Elle abrite les cloches, dont la fameuse " Copareye ".

    La cathédrale, appartenant au gothique français, avait des dimensions relativement modestes. L’édifice mesurait 96m sur 40m. Les tours jumelles atteignaient 60m, et la flèche de la grande tour orientale culminait à 130m.

    Suite à l’embrasement révolutionnaire français arrivé à Liège, l’édifice de la cathédrale est démoli en 1794. Une destruction qui durera jusqu’en 1827 et le nivellement complet du site. Ce n’est qu’en 1907 que les fondations de la cathédrale ont été mises au jour. Ce sera le commencement de la redécouverte du passé millénaire de la cité…

    Réf. Liège.  Reconstitution de la Cathédrale St Lambert sur vidéo. Merci au correspondant et ami qui a attiré notre attention sur ce document.

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