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Belgique - Page 329

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (15/3/2013) : levenshuis, Diane, euthanasie

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    Sommaire


  • Jean-Pierre Delville : le pape Bergoglio, un choix surprenant

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    Pour « La Libre », Christian Laporte a interrogé  Jean-Pierre Delville, professeur d’histoire du christianisme à la faculté de théologie de l’Université Catholique de Louvain. L’abbé Delville est proche de la Communauté Sant’Egidio et son nom a été cité (parmi d’autres possibles) pour succéder à l’évêque démissionnaire de Liège, Mgr Aloys Jousten (dont la succession est ouverte depuis novembre 2012 : Rome ayant l’habitude de se hâter lentement,  l’ « habemus episcopum » n’est attendu, dit-on, que pour l’été prochain). Extraits de l’interview :

    « L’on pourrait considérer au vu de ses premières prises de position que le nouveau Pape sera le souverain pontife de la rupture avec le passé, à l’image de certains de ses prédécesseurs. Le Pr Jean-Pierre Delville, spécialiste de l’Histoire de l’Eglise catholique ne partage cependant pas cette vision:

    "Je n’emploierais pas ce terme de rupture, explique l’historien de l’UCL. L’idée de la rupture renvoie trop aux débats qu’il y a eu à propos de Vatican II ».(…) Comme tous les catholiques du monde, Jean-Pierre Delville a évidemment été surpris par l’issue du conclave : "Beaucoup avaient considéré qu’il n’était plus suffisamment jeune pour occuper la fonction et voilà que l’on s’est inscrit totalement dans la continuité du conclave d’avril 2005."  (…)

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  • Mgr Danneels, grand électeur du pape François ?

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    Incontestablement, le cardinal Danneels est beaucoup plus joyeux qu’au lendemain de l’élection de Benoît XVI. C’est aujourd’hui dans « La Libre », sous la signature de Christian Laporte (extraits) :

    (…) Jeudi matin, comme il l’avait promis, le cardinal Danneels a rencontré la presse au Collège belge pour commenter l’issue du conclave. L’occasion de manifester sa réelle admiration pour le nouveau pape qui avait déjà émergé lors de celui d’avril 2005."Il était déjà dans la course » confirme  l’ancien archevêque de Malines-Bruxelles. (…). Godfried Danneels a aussi insisté sur le fait que le Pape "a la mentalité du terroir de l’Amérique latine et donc un grand souci de la justice sociale. Bref, il a un profil de bon pasteur" !

    Quant au choix de son nom, le cardinal y voit une claire filiation avec le message confié à François d’Assise, "à savoir de construire une nouvelle Eglise, ce qui dans son cas devait se comprendre au propre comme au figuré. Aux congrégations générales, les difficultés de l’Eglise ont souvent été évoquées dans les discussions pour la rebâtir et pour la renouveler " (…)  Et de se livrer encore à une autre confidence : "Je l’ai rencontré à la veille de son élection et lui ai demandé comment il se sentait. Il m’avait répondu que tout ce que Dieu attendait de lui était bon. Mais les défis de l’Eglise sont immenses." Pour ce qui est de "l’unité dans la diversité c’est bien parti mais ce serait bien qu’il favorise aussi une plus grande collégialité dans l’Eglise, notamment en s’entourant d’évêques qui pourraient le conseiller dans une formule de tournante".

    Le cardinal a ensuite répondu à diverses questions notamment sur sa présence près du Pape sur le balcon de Saint-Pierre. Avec l’humour qu’on lui connaît il a lancé : "Ne croyez surtout pas que je vais devenir son Secrétaire d’Etat ! " Quant à l’âge du Pape, ce n’est pas un problème "car les vieux peuvent encore faire quelque chose pour l’Eglise. Regardez-moi "

    Ici :"Un bon pasteur", selon Mgr Danneels

    Le cardinal est manifestement satisfait de « son »   conclave...

  • Bravo Christian !

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    La Libre a proposé à ses lecteurs de "chatter" avec Christian Laporte au sujet de l'élection du cardinal Bergoglio. La lecture de ce chat est instructive. Elle montre à quel point les gens se laissent formater sans même s'en rendre compte. La plupart des questions posées vont dans le même sens répercutant les accusations véhiculées dans les médias à propos de l'attitude supposée conciliante du nouveau pape à l'époque de la dictature de Videla. Le journaliste de La Libre, à l'égard duquel nous n'avons pas toujours été tendres, fait preuve ici d'un réel souci d'objectivité et d'honnêteté qui mérite d'être souligné ce qui ne veut pas dire que nous partagions toujours son sentiment.

    lire cet échange : http://www.lalibre.be/actu/international/article/803349/francois-pape-de-l-innovation-chattez-avec-christian-laporte.html#embed_pos1

  • Messe d'action de grâce nationale en Belgique pour le pape François

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    Ce mardi 19 mars 2013, une messe nationale d’action de grâce sera célébrée à la Cathédrale des Sts Michel et Gudule, à 19h00. Y participeront les évêques de Belgique et les Nonces apostoliques accrédités auprès de la Belgique et de l‘Union Européenne.

    Les prêtres qui souhaitent concélébrer sont invités à apporter leur aube et une étole blanche (sacristie dans la chapelle Notre-Dame à gauche du chœur).

    Le communiqué des évêques de Belgique

    Les évêques de Belgique ont appris avec émotion et avec joie l’élection du cardinal Bergoglio, archévêque de Buenos Aires et Président de la Conférence épiscopale de l’Argentine. Le conclave, d’à peine deux jours, a montré que les cardinaux électeurs ont rapidement choisi le successeur du pape émérite Benoît XVI.

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  • La désinformation ertébéenne à l'oeuvre

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    Un ami nous écrit :

    "Mercredi soir déjà, après l'élection du pape, la RTBf a interviewé A.-J. Léonard. Celui-ci a avoué ne pas connaître le cardinal Bergoglio. Le journaliste de Brigode  s'est emparé de cet aveu et a demandé (je reconstitue de mémoire): "connaissant l'humour d'A.J. Léonard, n'est-ce pas une manière de prendre ses distances vis-à-vis du nouveau pape"? Onctueux, avec un bon sourire, l'incontournable Gabriel Ringlet avoue ne pas savoir mais...

    Jeudi soir, le même de Brigode introduit un reportage où l'on reprend la partie "intéressante" de la veille à laquelle on juxtapose l'interview de Mgr Léonard réalisée lors de l'élection de Benoît XVI. On souligne le constraste. Pour Benoît XVI: "je le connais, je me réjouis"; pour François: "je ne le connais pas", - "Qui souhaitiez-vous ?" -"Un pape plus jeune." Et la journaliste en voix off : "Joseph Ratzinger avait 78 ans".

    Autre  manipulation du sieur de Brigode: à l'évocation du passé "trouble" de Bergoglio, il lance un reportage d'une autre journaliste qui nuance l'accusation: "certains disent que", "il aurait". De Brigode reprend la parole et introduit un reportage sur la dictature argentine en escamotant  les nuances de sa collègue...

    Par contre, mercredi soir, lors du "12 minutes" vers 22h30, la journaliste passe toute l'interview de Mgr Léonard,  (à 20h, elle était tronquée) et son seul invité, prof à l'Ulb, du centre d'étude des religions, qui avait parlé de Benoît XVI, lors de sa démission, avec beaucoup de respect et même en avouant son admiration pour le philosophe, commente la nouvelle élection avec le même respect tout en soulignant in fine et brièvement qu'il ne partage pas les vues de François sur l'homosexualité.

    L'ULBiste est apparu bien plus honnête que Gabriel Ringlet interviewé en long et en large (pas en profondeur, évidemment, il n'en a pas) par la RTBf. Ringlet n'a pas dit qu'il représentait son église à lui. C'est pourtant bien ce qu'il a fait et ce soir-là et sur RTL radio le lendemain matin. Ce type fait des ravages comme son copain de Brigode. Il suffit d'entendre parler les gens pour en prendre la mesure..."

    Il nous semble que Natalia Trouiller pèche par optimisme en évoquant un "état de grâce" au lendemain de l'élection pontificale....

  • Liège, 19 mars : Les Droits de l'Homme au défi des progrès scientifiques et médicaux

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    Cercle universitaire L'Union Royale          Groupe de Réflexion sur l'éthique sociale

    des étudiants catholiques de Liège
     
    Avec le concours du forum de conférences "Calpurnia"
     
    Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège, avec le concours du forum de conférences Calpurnia.

    Cette rencontre sera animée par Vincenzo d'ORIO, Bernard ARS et Paolo SIMONI. Elle aura lieu le mardi 19 mars 2013 à 18H00 dans les conditions indiquées ci-dessous.

                                                                           

    Cycle de Débats 

    LES DROITS DE L'HOMME EN PERIL

     Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

        Mardi 19 mars 2013 à 18h00 

     

      Les Droits de l'Homme au défi des Progrès Scientifiques et  Medicaux  

        

    Un dialogue entre  

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      Vincenzo d'ORIO,  Doyen de la Faculté de Médecine de l'Université de Liège, et Bernard ARS, Président de la Société Médicale Belge de Saint-Luc. 

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     Le débat sera modéré par Paolo SIMONI, Professeur à la Faculté de Médecine de l'Université de Liège 

      

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org  

    RSVP  avant le 16 mars  2013      

     

    e-mail : info@ethiquesociale.org internet :  http://www.ethiquesociale.org/

    tél : 04.344.10.89

  • BXL, 22 mars : Le Mystère du Salut à la Cambre en création mondiale

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    cliquer sur l'image pour accéder au site officiel

  • Election du pape François : réactions de Mgr Léonard et du Chanoine de Beukelaer

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    Selon  des propos rapportés par l’hebdomadaire « Le Vif », Mgr André-Joseph Léonard a déclaré ne pas connaître  personnellement le nouveau pape : son nom avait déjà été cité lors du dernier conclave, lors de l'élection du pape Benoît XVI mais cette élection est une surprise totale. Sa réaction est donc mesurée :

    « Pour l'archevêque, qui s'est exprimé au cours d'une conférence de presse à malines, mercredi soir, le fait que le nouveau pape vienne d'Amérique latine est une "bonne idée". "C'est la première fois que le continent offre un pape. L'Amérique latine est un continent important". La rapidité du choix a moins surpris Mgr Léonard. "Le fait que cela s'est passé si vite, montre qu'il y avait un certain consensus. Et c'est important", a-t-il indiqué. Ce choix est-il le bon? "Je suppose que oui", déclare Mgr Léonard. "Il a tout de même obtenu deux tiers des voix", précise l'archevêque qui juge très positif le choix du nom. "François est le saint le plus célèbre dans le monde". »

    Ici :L'élection de Bergoglio, une surprise totale pour Mgr Léonard

    Eric de Beukelaer, ancien porte-parole des évêques de Belgique et Curé-Doyen de Liège (rive gauche) interrogé par le journal « Le Soir », estime, lui que l’ élection du cardinal Bergoglio n’est qu’une demi-surprise  «  parce que son nom a été beaucoup cité lors du précédent conclave, en 2005, quand le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, a été élu. Mais lors de ce conclave, il était moins cité. C’est sans doute lié à son âge (76 ans) ! ». A propos du choix d’un nom de règne inusité  «  on peut se dire que le nouveau pape veut opérer un recentrage sur l’Évangile. François d’Assise, c’est l’homme qui a voulu, au 13e siècle, remettre l’Évangile au centre de l’action de l’Église. C’est donc sans doute une façon de dire qu’il va ramener au Christ, à de la simplicité et à de la proximité avec le peuple ». Sa première apparition publique fut très simple et même bonhomme : « Avant de donner la bénédiction à tous, il a demandé au Seigneur de le bénir lui, façon de rappeler que le pape n’est qu’un serviteur du Christ parmi d’autres. ». A propos du choix d’un sud-américain, Eric de Beukelaer cite le cardinal Danneels : « On n’élira pas un continent, on choisira l’homme qui correspond », mais évidemment, ajoute-t-il, « choisir un homme émanant du sud, c’est puissant ». Ce nouveau pape rompt-il avec l’Eglise incarnée par Benoît XVI ? « Je ne dirais pas ça. Il y a sans doute une alternance, mais on le souligne peu souvent : c’est souvent le cas dans l’Eglise. Paul VI était un grand intellectuel (passons Jean-Paul Ier, disparu très vite), Jean-Paul II était lui un pape charismatique et voyageur. Benoit XVI était effectivement un pape théologien et avec François Ier on a, apparemment, un pape qui a plutôt une figure de pasteur »

    Ici : «Choisir un pape émanant du sud, c’est puissant»

    Tout donne à penser que ce pape s’éloignera de la figure traditionnelle du « souverain pontife », mais cela c’est pour le style. Sur le fond, « c’est à voir », comme on dit à la télé…

  • Belgique francophone : trois constitutionnalistes donnent leur feu vert aux cours de philo

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    Lu sur l’ « Vers l’Avenir » de ce mercredi 13 mars

     « Les cours de philos pour les petits belges francophone c’est un vieux et épineux débat. Une sorte de monstre du Loch Ness de notre enseignement.

    Hier, trois constitutionnalistes ont bravé les tempêtes de neige pour venir expliquer en commission que ce projet n’était pourtant pas aussi mort-né qu’on le croyait. Christian Behrendt (ULg), Hugues Dumont (St Louis) et Marc Uyttendaele (ULB) ont estimé que la constitution permettait de créer un cours de « philosophie, citoyenneté et histoire culturelle des religions » dans l’enseignement secondaire. Ils ont même dit qu’il existait « une immense marge de manœuvre » et ont déclaré que le « Parlement devait dès lors prendre ses responsabilités ». Le professeur Dumont a encouragé les députés à agir. « La voie est ouverte, avancez, cessez de vous barricader sur vos piliers ».

    Le député MR, Richard Miller, n’est pas peu fier de voir ainsi validé «son» projet de cours de philos. «Mon projet est de réussir le vivre-ensemble de personnes de convictions différentes. Un enseignement obligatoire, dispensé à tous les enfants, et favorisant la connaissance et le respect mutuel est essentiel», souligne Miller. Mais il craint pourtant toujours que le débat n’aboutisse pas. Car la mise en œuvre de ce cours est complexe, eu égard à notre système d’enseignement organisé en réseaux et… désargenté.

    Pour Marc Uyttendaele, dans l’enseignement organisé par la Fédération, le législateur communautaire peut rendre facultatif le cours de religion. La Flandre a clairement choisi cette option, a-t-il fait observer.

    Pour l’enseignement libre subventionné, imposer un cours de philo en remplacement de celui de religion est cependant impossible, a indiqué Hugues Dumont, évoquant toutefois la possibilité de conditionner le subventionnement d’un établissement à l’introduction d’un tel cours.

    Évidemment, et hélas, les moyens budgétaires ne permettent pas de créer un nouveau cours au-delà de la grille horaire actuelle, regrette-t-on chez la ministre de l’enseignement Marie-Dominique Simonet (cdH). Celle-ci a proposé en 2012 que ce cours de philo soit donné par les professeurs de religion déjà en place, moyennant certains aménagements.

    Les avis restent divergents sur la possibilité pour un prof de religion de donner un cours de philosophie. Hugues Dumont n’y voit pas d’objection majeure et envisage un régime transitoire, le temps que l’enseignant acquière la formation et le titre adéquats. Marc Uyttendaele craint dans ce cas un manque d’apparence d’impartialité. »

    Réf. Trois constitutionnalistes donnent leur feu vert aux co... - lavenir.net

    Cette affaire n’en est pas à son premier rebondissement et celui-ci n’est sûrement pas le dernier.

    Il est exact que la Flandre a effectivement accepté que des parents de l’enseignement officiel puissent faire « objection de conscience » à l’ensemble des cours de religion et de morale, mais la raison en est que, en Flandre, on estime le cours de morale insuffisamment neutre : il ne s’agit donc pas de rendre ces cours facultatifs, contrairement à ce qu’on pourrait croire en lisant l’article, mais d’acter l’absence d’un cours subsidiaire réellement neutre. Reste alors la question du financement d’un tel cours.

    Dans l’enseignement libre catholique, la question de la neutralité ne se pose évidemment pas (ce serait plutôt celle du contenu du cours de religion et de la qualité catholique des maîtres) ; quant à y ajouter (et non substituer évidemment) un cours de « philosophie citoyenne », c’est là aussi une question de financement.

    La Communauté française de Belgique aurait-elle des subsides à jeter par portes et fenêtres ?  

    JPS

     

  • Quand Philippe Nemo a les honneurs du Soir

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    Nous avions attiré l'attention de nos visiteurs sur la parution d'un livre libérateur publié par Philippe Nemo et intitulé "La belle mort de l'athéisme moderne" (P.U.F.). Aujourd'hui, le Soir (en page 13) publie une interview peu banale de ce philosophe qui soutient dans son livre que l'athéisme est en train de mourir philosophiquement, que l'illusion d'un savoir scientifique qui expliquerait tout est définitivement abandonnée, que le christianisme est "le seul à receler la vérité qui importe le plus à la vie humaine", que la laïcité militante est devenue une contre-religion qui a colonisé l'Etat… Nous en passons et des meilleures ! A ne pas manquer, en tout cas.

  • Liège, 23 mars : la passion selon Péguy à la cathédrale

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    La Passion selon Charles Péguy

    Cathédrale Saint-Paul à Liège 
    Samedi 23 mars à 17h

    Récitant : Jacques Jonkers


    Improvisations à l’orgue : Thierry Chleide


    Une sélection d’extraits du Mystère de la charité de Jeanne d’Arc abordant plus précisément la Passion du Christ nous invite à rencontrer tant la richesse du style inimitable de Péguy que la vue aujourd'hui toujours aussi singulière qu'il nous propose de cet épisode capital des Évangiles.


    Cette singularité caractérisée non seulement par la présentation de l'homme crucifié par les doutes de son humanité, mais aussi par une approche des souffrances de sa mère, approche que tout coeur et que tout esprit ne sauraient que comprendre et que partager.


    En première partie: la chorale des Valeureux Liégeois, sous la direction de Christine Solhosse.
     


    Prix d’entrée : 7€.
    Au profit de la Cathédrale de Liège.