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Débats - Page 714

  • Le Saint Suaire de Turin n'est pas un faux

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    sindovolto.jpgVatican Insider (La Stampa.it) a mis en ligne hier un article rendant compte des recherches menées par l'institut scientifique italien ENEA sur le Saint Suaire. Nous vous en donnons la traduction ci-dessous en vous priant d'excuser certaines approximations de cette traduction et de vous reporter à l'article en italien et à l'étude scientifique dont il rend compte.

    "Le Saint Suaire n’est pas un faux

    « Enea » a procédé à de nouvelles recherches sur le Saint Suaire conservé à Turin
    Marco Tosatti
    Rome

    Enea, l'Agence Nationale pour les Nouvelles Technologies, l'Energie et le développement économique durable, a publié un rapport portant sur cinq ans d'expériences menées dans le centre ENEA de Frascati sur la «coloration similaire à celle du linceul de tissus en lin obtenue par rayonnement ultraviolet ». Pour faire simple: on a essayé de comprendre comment s’est imprimée sur la toile de lin du Suaire de Turin cette image si particulière qui en constitue tout l’attrait, et de résoudre la question la plus importante et la plus radicale : «identifier les processus physiques et chimiques qui peuvent produire une coloration similaire à celle du Saint Suaire ».

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  • Mgr Harpigny : "on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus."

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    Dans le Vif, l'évêque de Tournai, Mgr Harpigny, répond aux questions d'Olivier Rogeau. Extrait :

    Le Vif/L'Express : Il y a quarante ans, votre diocèse comptait 1 200 prêtres, effectif qui a fondu comme neige au soleil. L'Eglise permettra-t-elle un jour à des hommes mariés d'accéder à la prêtrise ?

    Guy Harpigny : C'est vrai, il nous reste moins de 400 prêtres, dont 150 réellement encore en activité, pour s'occuper des 579 paroisses du diocèse. Le doyen d'Antoing est en charge, à lui seul, de 22 paroisses ! D'autres curés en ont près d'une vingtaine. Ici comme ailleurs en Belgique, l'âge moyen des prêtres dépasse 70 ans. Mais ce n'est pas en faisant de la retape, en recrutant des gens qui n'ont rien d'autre à faire, qu'on sauvera l'Eglise. On me dit qu'en Orient les prêtres peuvent être mariés. Et alors ? Moi, je ne suis pas évêque en Orient, mais à Tournai !

    Que dites vous aux prêtres qui, face au poids des ans, à la charge de travail et au scandale de la pédophile qui a éclaboussé l'Eglise se disent fatigués, démotivés, voire désespérés ?

    Ceux-là ont été formés dans les années cinquante à septante. Vatican II a apporté un souffle puissant dans le diocèse, mais on a cru qu'en annonçant l'Evangile d'une manière nouvelle, tout serait plus simple. Ce discours ne tient plus.

    Lire cette interview dans son intégralité : http://www.levif.be

  • BXL : l'église Sainte-Catherine : où en est-on ?

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    Sur le site des "Amis de l'Eglise Sainte-Catherine", on trouve cette communication :

    Une délégation des « Amis de Sainte Catherine » a été reçue le 16 novembre par Monseigneur Léonard

    Que ce soit du côté de la ville de Bruxelles ou de l'évêché il est répondu que rien n'est encore décidé. 

    Le 20 novembre à la fin de la célébration, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique de son déplacement à l'église des Riches Claires à partir du 31 décembre tandis que la communauté orthodoxe était enjointe de quitter l’église Sainte Catherine pour cette date ainsi qu'il avait été signifié antérieurement à son pasteur. Il ne lui a pas été proposé d'hébergement cultuel alternatif. 

    Le 4 décembre 2011, le doyen, Claude Castiau, a informé la communauté catholique des Riches-Claires que la paroisse Sainte-Catherine la rejoindrait à partir du 31 décembre 2011 et que son curé se voit attribué de nouvelles fonctions.

    Une délégation des " Amis de Sainte Catherine sera reçue le 14 décembre par Mgr. Kockerols.

    Un débat a eu lieu au Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale suite à une question au Ministre-Président, Charles Piqué.

    Nous vous tiendrons informés de la suite."

    Par ailleurs, un relais de prière et d'adoration eucharistique est proposé : s'inscrire ici : http://www.eglisesaintecatherinebruxelles.be/

  • Golgota Picnic : Radin Rue sort de sa réserve

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    Golgota Picnic : L’immonde insulte à la Foi

    www.radinrue.com le XI -XII - MMXI, 18h34 par : KM

    "Des milliers de catholiques réagissent à la pièce de théâtre obscène et diffamante du nom de Golgota Picnic.

    Dans un premier temps, Radin rue s’est refusé de communiquer sur cette pièce théâtrale sans aucun intérêt et dont le talent aussi bien des artistes sur scène que du réalisateur restera aux oubliettes de l’histoire. Aussi nous ne souhaitions pas mettre d’avantage en lumière cette farce soit disant intellectuelle qui sent la recherche du scandale en s’attaquant à ceux qui ne risquent pas de se faire exploser dans la salle en kamikaze.

    Face aux chrétiens choqués et blessés dans leur foi, des activistes de gauche, qui se prétendent défenseurs de la"liberté de création" se sont mobilisés ce dimanche pour une contre manifestation dans les rues de Paris. 4500 catholiques, plus particulièrement liée à la sensibilité traditionaliste ont manifestés donc en partant de la place de l’Alma (VIIIe arrondissement) et se dirigeant vers le théâtre du Rond-Point où se joue cette pièce blasphématoire écrite par l’Argentin Rodrigo Garcia.

    Les contre manifestants au petit nombre de 200 scandaient pour leur part des profanations de gauches, parmi eux une grande majorité représentait une branche de communistes révolutionnaires. Ils ont défilé de la place Saint-Michel (Ve arrondissement) jusqu’à Jussieu. Il étaient soutenus par le syndicat Sud, le NPA et le PCF.

    La pièce en question est blasphématoire. Pour ceux qui ne le reconnaissent pas, il faut se demander comment auraient-ils réagit si on faisait, comme cela est fait dans cette pièce pour le Christ, couler de la merde sur le visage de De Gaulle, de Victor Hugo ou d’un autre personnage qui a fondé notre culture.

    "Ce spectacle est une injure au Christ. Les scènes et les dialogues sont viscéralement antichrétiens, sordides, pervers et humiliants, les évangiles y sont présentés de façon ordurière", précise Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas qui est un des organismes à l’initiative des manifestations et des protestations contre cette pièce de théâtre insupportable.

    Les gauchistes se sont rapidement dispersés sous des bannières aux revendications d’un autre âge. Les catholiques pour leur part ne baissent pas la garde.

    radinrue.com"

  • Relire Vatican II

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    Nous avions fait part ici  de notre perplexité à la lecture, dans l’Osservatore Romano, de la prose embarrassée de Mgr Ocariz (Vicaire Général de l’Opus Dei), l’un des « négociateurs » du Saint-Siège avec la Fraternité Saint-Pie X au sujet de  l’interprétation des actes du concile Vatican II

     Dans le journal Présent de ce vendredi 9 décembre, Jean Madiran revient sur le point de vue de la partie que l’on n’ose qualifier d’adverse :

     « Sans prétendre intervenir dans les négociations doctrinales entre la FSSPX et le cardinal Levada, ni même les commenter, on peut s’arrêter à quelques observations générales sur l’état de l’Eglise, formulées par Mgr Bernard Fellay dans sa grande interview du vingt-huit novembre.

     

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  • Benoît XVI expose le dogme du péché originel

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    4328_benoit-xvi_440x260.jpgLe mystère de l’Immaculée Conception de Marie que nous célébrons le 8 décembre  nous rappelle deux vérités fondamentales de notre foi: d’abord le péché originel, puis la victoire qu’a remportée sur lui la grâce du Christ, victoire qui resplendit de façon sublime en Marie la très sainte. La fête du  dogme de Marie préservée de toute inclination au mal est  l’occasion de revenir sur son corollaire : celui du péché originel. Pour Benoît XVI, ce dogme du péché originel, l’un des plus négligé et nié aujourd’hui, est d’une « évidence écrasante »: sans lui, a-t-il dit, la rédemption chrétienne "perdrait sa base"  Voici un large extrait de sa catéchèse sur ce point :

     « Il suffit de regarder autour de nous et surtout en nous. L’expérience du mal est si concrète qu’elle s’impose d’elle-même et nous amène à nous demander: d’où vient le mal? Pour un croyant, en particulier, la question va encore plus loin: si Dieu, qui est la Bonté absolue, a tout créé, d’où vient le mal? A cette question fondamentale, qui interpelle chaque génération humaine, les premières pages de la Bible (Genèse 1-3) répondent justement par le récit de la création et de la chute de nos premiers parents. Dieu a tout créé pour l’existence, il a notamment créé l’homme à son image. Il n’a pas créé la mort, elle est entrée dans le monde à cause de la jalousie du diable qui, révolté contre Dieu, a aussi entraîné les hommes dans le piège en les incitant à la révolte (cf. Sagesse 1, 13-14; 2, 23-24). C’est le drame de la liberté, que Dieu accepte jusqu’au bout par amour, mais en promettant que le fils d’une femme écrasera la tête à l’antique serpent (Genèse 3, 15).  (…)

    L’enjeu ? «  Beaucoup de gens, note Benoît XVI, pensent que, à la lumière de l'histoire de l'évolution, il n'y a plus de place pour la doctrine d'un premier péché qui se serait ensuite répandu dans toute l'histoire de l'humanité. Dès lors, la question de la Rédemption et du Rédempteur perdrait aussi son fondement. (…) » 

    « On ne peut donc pas nier le pouvoir du mal dans le cœur humain et dans l'histoire humaine. La question est: comment ce mal s'explique-t-il ?" Voici:

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  • Le "K" de la K.U.L. devrait disparaître bientôt

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    imgres-8.jpegParue dans le Standaard, l'information a été relayée hier par Jeanne Smits sur son blog. Précisons qu'il s'agit pour l'instant de la K.U.L. et pas (encore?) de l'U.C.L. Cela devrait clarifier les choses et dispenser l'Eglise de donner un aval implicite à des discours et des pratiques éloignés de ses positions.

    "...l'affaire semble déjà jouée. Selon le recteur Mark Waer il y a déjà un « consensus » en ce sens « à 80 % » : « Cela permettra de prévenir des difficultés à l'étranger ou le mot catholic a une connotation négative : “Faire partie de l'institution Eglise.” » Pour de Standaard, quotidien flamand, cela rime à l'étranger avec conservatisme, soumission servile vis-à-vis de Rome, et jure avec la liberté de la recherche scientifique. ...

    Ce dont l'université de Louvain se défend : n'y fait-on pas de recherche sur les cellules souches embryonnaires et des fécondations in vitro ? (On pourrait ajouter des déclarations favorables à l'euthanasie…) ...

    On ne dirait plus « K.U. Leuven » mais « KU Leuven », sans signification particulière. D'autre part Mgr Léonard, archevêque de Bruxelles-Namur, perdrait la présidence de l'université qui lui revient de droit au profit d'un laïque, tout en conservant son titre honorifique de grand chancelier de l'institution. Selon le quotidien catholique néerlandais Katholiek Nieuwsblad c'est même là l'objectif principal de la manœuvre."

  • Un nouveau Bernanos ?

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    jacques%20de%20guillebon.jpgA propos des manifestations contre la pièce de Castellucci « Sur le concept du visage du fils de Dieu », Jacques de Guillebon (photo), par ailleurs directeur-délégué du mensuel « La Nef », écrit sur le site « Nouvelles de France » (extraits) :

    « Je lis dans Nouvelles de France un admirable imbécile se réclamant de la « frange conservatrice » du monde catholique glorifier en ces termes la mort ignominieuse du Christ sur la Croix pour l’opposer à la merde de Castellucci : « Quand on voit un homme transpercé par une arme – une lance ou un revolver – on fronce les sourcils de douleur car on a attenté à sa vie. Quand on voit un homme couvert de sécrétions – salivaires, biliaires ou fécales – on se gausse car il se détériore lui-même ». On ne saurait trop conseiller à ce grand théologien d’inviter maintenant Jean-Luc Romero à participer à ses manifestations, et tous ceux qui sont certains comme lui qu’une vie dans laquelle on se chie dessus ne mérite pas d’être vécue (…).

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  • "Un pontificat sous les attaques": un entretien avec les auteurs

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    Les auteurs de "Benoît XVI, un pontificat sous les attaques", Paolo Rodari et Andrea Tornielli, s'entretiennent avec Aymeric Pourbaix sur le site de Famille Chrétienne :

    "Ces attaques sont-elles vraiment une caractéristique du pontificat de Benoît XVI ?

    Ce qui impressionne le plus concernant ce pontificat, c’est la série des attaques très rapprochées en 2009 et 2010, et la succession de « crises » médiatiques qui ont suivi, amplifiées par l’administration parfois hésitante de la Curie romaine. C’est la grande différence, pour ce qui concerne le pape actuel : ces attaques se sont transformées en crises, car les rouages de la « machine » et du gouvernement curial n’ont pas toujours fonctionné correctement." ...

    lire la suite ici : http://www.famillechretienne.fr

  • Personnes divorcées et remariées : Benoît XVI ouvrirait-il l'accès à la communion dans certains cas ?

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    Sandro Magister, sur Chiesa.espresso.repubblica.it, soulève cette question en se référant à un essai du cardinal Ratzinger rédigé en 1998 et qui vient d'être publié dans l'Osservatore Romano du 30 novembre:

    "Au cours du récent voyage de Benoît XVI en Allemagne, beaucoup de gens ont attendu du pape des "ouvertures" vis-à-vis des catholiques divorcés et remariés : avec l'atténuation, sinon la suppression, de l’interdiction qui leur est faite de recevoir la communion.

    Une telle attente a été exprimée par le président de la république fédérale d’Allemagne lui-même, Christian Wulff – il est catholique et remarié – dans le discours de bienvenue officiel qu’il a adressé au pape lorsque celui-ci est arrivé à Berlin.

    Toutefois le pape Joseph Ratzinger n’a rien dit à ce sujet pendant les quatre jours de son voyage en Allemagne, ni même après.

    Mais, on le sait, cette question lui tient grandement à cœur. Il en a parlé à plusieurs reprises dans le passé et il a dit : "le problème est très difficile et doit être encore approfondi".

    Le 30 novembre dernier, Benoît XVI est revenu sur la question d’une manière indirecte : en faisant publier à nouveau, dans "L'Osservatore Romano", un essai "peu connu" qu’il avait rédigé en 1998 et qui a été enrichi d’une note dans laquelle sont repris les propos qu’il avait tenus sur ce sujet, le 25 juillet 2005, au clergé du diocèse d’Aoste.

    Cette note est importante. Parce qu’elle concerne justement un point sur lequel Benoît XVI considère qu’il est possible de créer une ouverture dans l’interdiction générale de communier..."

    Lire la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350098?fr=y

    L'integralité de l'essai est ici :  http://www.osservatoreromano.va/

  • Jésus, pourtant, se taisait (Jesus autem tacebat)

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    En France, deux spectacles programmés depuis plusieurs semaines ont soulevé l'indignation de nombreux croyants qui ont répondu à des appels à la mobilisation venant de mouvements appartenant le plus souvent à la mouvance traditionaliste. Il en résulte que ces spectacles ont fait le plein chaque soir, à Paris et dans plusieurs grandes villes de France. S'ils avaient été ignorés, auraient-ils eu tant de succès ? Il en résulte également que les catholiques - et même les évêques - se sont divisés sur la façon de répondre à ce qu'ils considèrent être des provocations et des outrages à l'égard de leur foi et, en particulier, de la personne du Christ. La polémique a fait rage sur divers blogs et sites opposant les tenants d'une ligne dure et ceux qui pensent qu'il y a d'autres moyens pour protester que de recourir à des manifestations qui génèrent l'incompréhension et le rejet de ceux que les médias présentent comme des intégristes, des fondamentalistes, des ultras, etc.

    Le Christ outragé et insulté se taisait. Devons-nous agir autrement que lui? Ne faut-il pas se méfier de mouvements qui exploitent l'indignation pour entretenir un activisme aux accents parfois douteux? Ici en Belgique, ne savons-nous pas que, sous la bannière du rexisme, des tribuns ont autrefois enflammé des foules au nom du Christ Roi et qu'ils ont dévoyé leurs adeptes en les égarant dans le fascisme et la collaboration ouverte avec le nazisme?

    Ces temps d'apostasie ressemblent étrangement au Vendredi Saint. Le cortège des faux témoins qui veulent en finir avec le christianisme n'arrête pas de grossir. Les insultes et les crachats pleuvent, dans ces spectacles notamment. Face à cela, l'archevêque de Paris a appelé ses fidèles à prier à Notre-Dame, en méditant les souffrances du Christ et en vénérant les reliques de la Passion. Sans doute est-ce cela qu'il faut faire pour agir en conformité avec l'exemple de Celui dont nous nous réclamons.

  • Un décryptage de Twilight

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    Liberté politique publie, sur son nouveau site multimédia, un décryptage en trois parties de la série Twilight. Les deux premières sont accessibles ici et ici:

    Présentation :

    "L’heure est à la loi des séries. Après Harry Potter, (cf. notre série d’été) le nouveau succès plébiscité par les adolescent(e)s donne toujours dans le fantastique mais dans un genre radicalement différent  :  vampirique. Twilight, les romans puis les films, nouveau phénomène culturel, est si important qu’il en devient prescripteur. On ne compte plus les déclinaisons d’histoires d’amour entre humaine et vampire destinées au jeune public. Pour certains, cette nouvelle série est un conte moderne à mi-chemin entre La Belle et la Bête et Roméo et Juliette. Innocent, voire même moral parce que les héros y pratiquent l’abstinence avant le mariage. Pour d’autres, ces apparences de vertus ne servent qu’à mieux dissimuler une vision biaisée de la réalité. Décryptage d’un phénomène culturel et adolescent."