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Débats - Page 719

  • Castellucci à Rennes : une réaction catholique intelligente

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    Le blog « Salon Beige » a reproduit ce communiqué de la Paroisse Saint Germain de Rennes :

    "Depuis, quelques jours, l’organisation du spectacle/happening de Romero Castellucci a créé un profond malaise parmi les catholiques en France dans un contexte de cathophobie et de persécution des chrétiens dans de nombreux pays dans le monde. Après avoir fait scandale à Paris, le spectacle de Romero Castellucci « Sur le concept de visage du fils de Dieu » va faire l’objet de plusieurs représentations à Rennes. Au-delà de la réaction compréhensible de certains catholiques face à un spectacle qui outrage le visage du Christ, les catholiques de la Paroisse [diocésaine] Saint Germain de Rennes  souhaitent proposer une alternative artistique et culturelle à ce spectacle. C’est pour cette raison qu’ils invitent tous les catholiques - quels qu’ils soient - choqués par cette vision volontairement scatologique de la figure du Christ à une lecture/concert intitulée : « Méditation sur le visage du Christ » à partir de l'œuvre de Francis Jammes "le crucifix du poète", qui sera organisé le jeudi 10 novembre 2011 à 20 h 30 à l’église Saint Germain Place St Germain à Rennes à quelques minutes du TNB lieu du spectacle

    Cette lecture sera suivie d’une veillée de prière avec Salut du St Sacrement. Cette soirée culturelle gratuite et de prières est ouverte."  Ici : Castellucci à Rennes : alternative proposée par une paroisse catholique

    C’est en effet beaucoup mieux que de vociférer ou d’instrumentaliser des prières ostentatoires autour du théâtre qui accueille la pièce.

  • L'Eglise catholique, bouc émissaire de la RTBF

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    La RTBF programme ce jeudi une émission qui est déjà passée sur plusieurs antennes (notamment sur Arte) et qui met en cause le régime franquiste et surtout l'Eglise catholique. Il s'agit d'enfants qui ont d'abord été volés à leurs mères par l'Espagne du caudillo pour être confiés à des familles conformes à l'idéologie du régime; ensuite ces faits se seraient prolongés jusque dans les années '80, pour des raisons vénales, avec la complicité de membres du corps médical et de l'Eglise.

    Personne ne songera à nier les circonstances dramatiques de la Guerre Civile où les horreurs commises par l'aile fasciste du camp franquiste ont répondu aux crimes perpétrés par les "rouges", en particulier contre des prêtres, des religieux et des religieuses. Cette affaire des "enfants volés" où les chiffres avancés oscillent de 30.000 à 300.000 victimes a été fortement médiatisée par le juge Garzon qui apparaît, une nouvelle fois, dans la posture du "grand justicier".

    On remarquera que des crimes - parce que ce sont évidemment des crimes incontestables - analogues ont été commis dans de nombreux régimes totalitaires, en particulier dans les pays de l'Est au lendemain de la Libération, mais que cela n'intéresse pas les médias parce que cela ne permet pas de s'en prendre une fois de plus à l'Eglise catholique. C'est ainsi que l'opinion publique est progressivement conditionnée à n'avoir sur l'histoire qu'un regard borgne, oublieux de tous les crimes commis au nom de la Révolution (depuis septembre 1792 jusqu'à ceux pratiqués aujourd'hui en Chine ou en Corée du Nord), pour ne retenir que ceux dont des régimes "d'extrême droite" (fasciste, national-socialiste) se sont rendus coupables, en y associant, dès que l'occasion se présente, l'Eglise catholique.

    Notre amie du site Benoît-et-moi, que nous avons alertée, consacre à cette question une page bien documentée à consulter ici : http://benoit-et-moi.fr/

  • Pie XII aurait sauvé des juifs sous l'habit franciscain

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    Dans "la matinale chrétienne" de ce 9 novembre, Natalia Trouiller rapporte ce nouveau témoignage en faveur de l'action de Pie XII pour porter secours à la communauté juive :

    "C'est ce qu'affirme Gary Krupp, un juif new-yorkais fondateur de Pave the Way, une fondation de recherche historique qui veut réhabiliter Pie XII, pontife dont une légende tenace en Occident affirme qu'il n'a jamais rien fait pour tenter de sauver les juifs de la barbarie nazie. Il s'appuie sur la lettre d'une femme vivant dans le nord de l'Italie, qui raconte comment, avec son oncle, sa mère et quelques autres membres de sa famille elle a été reçue en audience par le pape. "Son oncle a immédiatement regardé le pape et lui a dit: 'vous étiez habillé en franciscain', puis regardant le secrétaire d'Etat Mgr Montini (futur Paul VI): 'et vous en simple prêtre. Vous m'avez sorti du ghetto et conduit au Vatican'. Montini a immédiatement dit: 'Silence, ne parlez jamais de cette histoire'". Sur son site internet, la fondation Pave the Way a mis en ligne plus de 46.000 pages de documentation qui accrédite la thèse de l'historien juif Pinchas Lapide, selon lequel les actions directes de Pie XII et du Vatican auraient permis de sauver 897.000 juifs pendant la guerre."

  • Neutralité ou pluralisme : un cycle de rencontres organisé à l’Université de Liège

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    photos_services_admissions_place_du_xx_aout.jpgA l’initiative du groupe de réflexion « Ethique sociale », l’Union des Etudiants Catholiques de Liège organise à l’Université de Liège un cycle de « lunch-débats » sur le thème « Neutralité ou Pluralisme ». Entre liberté des consciences et marché libre de la pensée, quelle est la place légitime des religions et des idéologies dans l’espace public ? Entre neutralité et pluralisme, quelle doit être l’attitude des institutions de l’Etat ? Ce thème soulève beaucoup de questions de principe ou d’actualité auxquelles seront appelés à répondre huit orateurs spécialisés :

    • Mercredi 23 novembre 2011 : Les catholiques et la vie politique : présentation du Chanoine Éric de Beukelaer, Doyen de l’Unité pastorale « Rive Gauche » de Liège, auteur du livre « Credo politique »
    • Lundi 5 décembre 2011 : Humanisme, Libéralisme et socialisme : présentation de Laurent de Briey, professeur au Département des sciences politiques des Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur, Directeur du CEPESS  - Centre d'études politiques, économique set sociales à Bruxelles
    • Mercredi 25 janvier 2012 : Questions et compatibilité entre Christianisme et Franc-maçonnerie: présentation de Philippe DEITZ, ancien fonctionnaire public et membre de la Grande Loge Régulière de Belgique (GLRB).
    • Mardi 28 février 2012 (date à confirmer) : le laicisme et laicité dans les institutions de l’Union Européenne : présentation de Mario MAURO, député au Parlement européen, membre de la Commission des affaires étrangères
    • Mardi 27 mars 2012 : Politique et Religion dans la pensée grecque : présentation de André MOTTE, professeur ém. à l’Université de Liège, président du Groupe universitaire de contact (FNRS) pour l’étude de la religion grecque
    • Mercredi 25 avril 2012 : Neutralité ou pluralisme dans l’espace public : présentation de Francis Delpérée, sénateur, professeur ém. de droit constitutionnel à la Faculté de droit de l'Université Catholique de Louvain (UCL) 
    • Mardi 29 mai 2012 : Religions et État et dans l’Islam : présentation de Vincent LEGRAND, professeur à  la Faculté des sciences économiques, sociales, politiques de l’Université Catholique de Louvain (UCL), ancien chargé de cours au Centre interdisciplinaire d'étude des religions et de la laïcité de l’ULB à Bruxelle
    • Mardi 27 juin 2012 : la religion en droit comparé à l'aube du XXIe siècle : présentation de Louis-Léon Christians, professeur de droit des religions à la Faculté de Théologie de l’Université Catholique de Louvain (UCL), Vice-Président de l’Institut de recherche Religions, Spiritualités, Cultures, Sociétés.

    Ce cycle est organisé avec le concours du forum de conférences « Calpurnia ».

    Les rencontres ont lieu aux dates indiquées ci-dessus, de 18h15 à 20h. Elles se tiennent à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale). Horaire : apéritif d’accueil à 18h15 ; exposé suivi du lunch-débat: de 18h30 à 20h. P.A.F. : 10 € par réunion. Inscription obligatoire trois jours à l’avance.

    Renseignements et inscriptions : e-mail : à info@ethiquesociale.org

    téléphone : 04.253.25.15 ou 04.344.10.89  portable : 0475.83.61.61

    Pour s’inscrire à la rencontre du 23 novembre 2011 animée par le chanoine Éric de Beukelaer, RSVP le 18 novembre au plus tard.

  • Tintin est un "héros catholique" (Denis Tillinac)

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    Catho.be s'est fait écho, hier, d'un article de l’ (7 novembre) qui fait longuement l’analyse du film « Les Aventures de – Le secret de la Licorne ».

    "Un bel hommage du journal du Vatican au réalisateur Steven Spielberg, et au personnage hautement célèbre d’Hergé,

    "Tintin est un « héros catholique ». Tel sont les termes que l’écrivain français Denis Tillinac emploie pour décrire le jeune reporter belge, dans un article repris par l’Osservatore Romano.

    C’est un symbole de l’ »humanisme chrétien », analyse le journaliste Antonio Carriero.

    Voir la suite ici : http://info.catho.be/

    Il est clair, n'en déplaise aux esprits grincheux qui ont vu dans cet article une tentative de "récupération" par le Vatican du phénomène Tintin, que Hergé et son héros ont participé à ce beau moment de la bande dessinée belge inspirée par le catholicisme, à une époque où celui-ci n'était pas ostracisé quotidiennement par les médias comme c'est le cas aujourd'hui.

  • De Duve philosophe ?

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    L’éminent prix Nobel de médecine Christian de Duve (94 ans) serait-il un nouveau Pic de la Mirandole ? Non sans doute. Il n’empêche.  Après s’être épanché voici peu dans les colonnes du journal « Le Soir » à l’occasion de la sortie de son nouvel opuscule « De Jésus à Jésus en passant par Darwin » (92 page parues chez Odile Jacob), le voici qui récidive en réponse aux questions du « Vif /l’Express » sur la biologie, la philosophie, la théologie, l’ecclésiologie, quoi encore ? « Eh quoi, ça n’suffit pas » comme le chante un air d’opéra bouffe d’Emmanuel Chabrier…

    Extrait de l’interview :

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  • Une déclaration surprenante de Michel Onfray

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    A propos de la pièce de Castellucci, lors de l'émission de Laurent Ruquier ("on n'est pas couché") :

    "J'ai écrit le traité d'athéologie donc je peux en parler. On fait de moi un athée radical, mais je trouve que ce n'est pas bien de provoquer les chrétiens comme ça. Je ne suis pas pour l'insulte, le mépris. Je pense que cette espèce de mise en scène où l'on envoie des grenades ou des matières fécales sur le visage du Christ, ce n'est pas nécessaire. C'est une provocation un peu facile. On peut provoquer sans insulter les gens".

    cité par l'abbé G. de Tanoüarn ici : http://ab2t.blogspot.com/2011/11/leveque-le-ministre-le-journaliste-et.html

  • Une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu"

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    Sur le site de l'Homme Nouveau, le Père Michel Viot propose une lecture théologique de la pièce "Sur le concept du visage de Dieu" :

    "Une pièce de théâtre dont le titre est "Sur le concept du visage du fils de Dieu" a été jouée au Théâtre de la Ville à Paris. Un très beau portrait du Christ d'Antonello da Messina trônait dans le fond de la scène. L'auteur Roméo Castellucci veut donc nous parler de Jésus. Soit! Mais voilà que ce qui se passe sur scène crée la perturbation. Les perturbateurs sont qualifiés d'extrémistes catholiques par les voix qui ont le moyen de se faire entendre. Pour d'autres, plus modestes dans leurs pouvoirs, il ne s'agit que de catholiques de diverses sensibilités. Je me garderai de trancher cette question, n'ayant pas l'autorité nécessaire pour cela. De même que je ne donnerai aucun qualificatif à cette pièce de théâtre, des voix épiscopales s'étant prononcées. L'une d'entre elles conseille à juste titre de se reporter aux propos mêmes de l'auteur sur sa pièce pour comprendre ce qu'il a voulu dire. Je m'empresse donc de suivre ce conseil me limitant à ce qui nous est dit de Jésus Christ. Je ne me permettrais pas d'ajouter quoi que ce soit à une parole d'évêque, surtout quand elle est estimée. Je veux simplement attirer l'attention sur un point qui ne me semble pas assez exploré, en me disant que si Dieu a bien voulu parler à un prophète (Balaam) par une ânesse, il peut aussi passer par l'intermédiaire d'un curé pour attirer l'attention épiscopale sur un point de théologie."

    Lire la suite ici : http://www.hommenouveau.fr/index.php?id_billet=308

  • Une conférence à Bruxelles, le 8 novembre, sur la nouvelle christianophobie

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    Conférence-débat

     « La nouvelle christianophobie : jusqu'où, jusqu'à quand ? »

     par Alexandre Del Valle

        le mardi 8 novembre prochain à 18 h 30
    au siège de la Fédération Pro Europa Christiana,
    49 rue du Taciturne, 1000 Bruxelles

    Titulaire de deux DEA – Histoire militaire-sécurité-défense et Histoire des doctrines et des institutions politiques – et diplômé des Sciences politiques, Alexandre Del Valle enseigne la géopolitique et les relations internationales aux Universités de Rome et de Metz ; il est aussi chercheur associé à l'Institut Choiseul et éditorialiste à France Soir.

    Écrivain et conférencier, Alexandre Del Valle est devenu un des meilleurs experts des questions liées à l'affaiblissement des démocraties et au renforcement de l'islamisme, dans des livres tels que Le Totalitarisme islamiste à l'assaut des démocraties (2002), La Turquie dans l'Europe : un cheval de Troie islamiste ? (2004), Le Dilemme turc, ou les vrais enjeux de la candidature d'Ankara (2006), Rouge - Brun - Vert (2008).

    Lors de sa conférence, il nous parlera de son dernier ouvrage Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd'hui (2011). En l'écoutant vous connaîtrez les quatre principaux vecteurs de la nouvelle christianophobie qui vit, actuellement, une dramatique recrudescence.

    Veuillez confirmer votre participation par message téléphoné au 02 2310 944 ou par email : europachristiana@gmail.com (RSVP jusqu'au 4 novembre 2011)

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  • Destructeur, l'amour du "Metal" ?

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    "Il y a 6 ans je me suis converti à la religion catholique et j'ai pris conscience de la violence de la haine qu'inspiraient certains groupes de Métal. Ils sont capable juste avec leurs musique de détruire un jeune non-averti en le plongeant dans une culture de mort, et le mener petit à petit vers la pornographie, les drogues, la perversion, la dépression, la haine de l'autre, le suicide...

    J'ai baigné dans cette culture pendant des années et j'ai été détruit au plus profond de mon être. Le souvenir de cette souffrance est encore présent en moi et on n'imagine pas à quel point l'amour du Métal peut être destructeur. On ne voit pas la chose venir et un jour la destruction est si complète qu'il ne reste que le suicide. La foi catholique et ma conversion m'ont permis de sortir de cet engrenage et de tout reconstruire.

    Aujourd'hui, je suis marié, j'ai deux enfants de 1 et 2 ans et je travaille comme Ingénieur."

    Ce témoignage, reproduit par "le Barde" ici, suscite de graves questions au sujet de certaines formes de "culture jeune". Il figure dans la conclusion d'une réflexion menée en dix étapes et dont on trouvera le "fil" ici : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • "Christianophobie" : la culture polémique

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    Sur "Liberté politique",  Thierry Boutet et Antoine Besson reviennent avec un certain bon sens sur les débats suscités par la programmation, au Théâtre de la Ville de Paris, de la pièce de Castellucci :

    "Depuis quelques semaines l’art déchaîne à nouveau les passions, y compris religieuses! La pièce de Romeo Castellucci « Sur le concept de visage du fils de Dieu » est jouée au 104 (théâtre de la Ville de Paris) et suscite une forte polémique sur le thème de la christianophobie.

    Les protagonistes en sont nombreux. Il y a les comédiens. Ceux qui manifestent, armés d’œufs, d’huile ou de banderoles et  imposent leurs convictions et leurs jugements sans rien écouter d’autre que leurs propres cris. Il y a les priants amassés devant le théâtre ; ils implorent et chantent le Dieu outragé. Il y a aussi les intellectuels qui sermonent, aplaudissent, raisonnent et font la morale aux autres. Enfin, il y a les autres, qui ne s’intéressent que de très loin à la polémique, haussent les épaules ou cherchent à s’y retrouver au milieu de cette cacophonie..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

  • "L'esprit d'Assise" ou comment certains médias ou hommes d’Eglise prennent des libertés avec ce que le pape n’a pas dit

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    L'expression connaît un vif succès dans les médias et elle est le mantra des franciscains et de la Communauté de Sant'Egidio. Mais les autorités du Vatican ne la répètent plus. Et Benoît XVI encore moins.

    Source : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350057?fr=y

    Aldo Maria Valli, journaliste vaticaniste à la télévision d’état italienne, a écrit dans le quotidien "Europa" que c’est avec la première rencontre d’Assise, en 1986, qu’est "né 'l’esprit d’Assise', qui est ensuite devenu une expression, jugée très belle par certains et dévastatrice par d’autres".

    À l’occasion du "pèlerinage" par lequel Benoît XVI a voulu célébrer le vingt-cinquième anniversaire de cet événement, l’expression "l’esprit d’Assise" a été évoquée de manière répétée et emphatique dans les médias.

    Beaucoup de personnalités l’ont fait. On peut citer, à titre d’exemple : le prieur du monastère de Bose, Enzo Bianchi, dans "La Stampa" ; le président de la Communauté de Sant’Egidio, Marco Impagliazzo, dans un éditorial publié en première page du quotidien des évêques d’Italie, "Avvenire" ; le fondateur de cette même communauté, Andrea Riccardi, dans le "Corriere della Sera" et dans "Famiglia Cristiana", qui est le plus diffusé des hebdomadaires catholiques italiens ; le sous-secrétaire du conseil pontifical pour les communications sociales, Angelo Scelzo, dans le "Mattino" ; le cardinal Roger Etchegaray, principal organisateur de la rencontre de 1986, en présentant un ouvrage écrit par Sant’Egidio et intitulé précisément "Lo spirito di Assisi” [L’esprit d’Assise] ; les moines franciscains et l’évêque d’Assise ; le quotidien catholique français "La Croix" ; le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée Ier, au cours de l’événement lui-même...

    L’allégresse médiatique à propos de “l’esprit d’Assise” s’est fait sentir même dans les chroniques publiées par "L'Osservatore Romano" ou diffusées par Radio Vatican. Mais pas dans les éditoriaux écrits par les directeurs de ces deux médias du Saint-Siège, Giovanni Maria Vian et le père Federico Lombardi.

    Ce silence de leur part est-il dû au hasard ou bien est-ce le fruit d’une volonté précise ?

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