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Eglise - Page 1023

  • Le centième anniversaire de la mort du bienheureux Charles de Foucauld (1er décembre)

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    C'est aujourd'hui le centième anniversaire du martyre du Père Charles de Foucauld.

    (Source) Bienheureux Charles de Foucauld

    Ermite, prêtre, missionnaire (✝ 1916)

    Charles de Foucauld a été béatifié le 13 novembre 2005.
    Officier à la vie dissolue et scandaleuse, il se convertit à Paris. Il se fait moine puis ermite à Nazareth et enfin au Sahara. Sa vie  magnifique a suscité de nombreuses familles religieuses. 
    Centenaire Charles de Foucauld- Site internet du Centenaire de la mort de Charles de Foucauld
    - Ouverture internationale de l’année Charles de Foucauld, le 13 novembre 2015, 10ème anniversaire de la béatification de Charles de Foucauld
    Le 1er décembre 2016 nous fêterons le 100ème anniversaire de sa mort...
    - Année Charles de Foucauld 2015-2016
    - Recherche sur le site du diocèse de Viviers

    "Charles de Foucauld a eu une influence notable sur la spiritualité du XXe siècle et il reste, en ce début du troisième millénaire, une référence féconde, une invitation à un style de vie radicalement évangélique, et cela au-delà même de ceux qui appartiennent aux différents groupements dont sa famille spirituelle, nombreuse et diversifiée, est formée.

    Accueillir l'Évangile dans toute sa simplicité, évangéliser sans vouloir imposer, témoigner de Jésus dans le respect des autres expériences religieuses, réaffirmer le primat de la charité vécue dans la fraternité, voilà quelques-uns seulement des aspects les plus importants d'un précieux héritage qui nous incite à faire que notre vie consiste, comme celle du bienheureux Charles, à 'crier l'Évangile sur les toits… [à] crier que nous sommes à Jésus'" (source: site du Vatican, homélie de la messe de béatification)

    Charles de Foucauld (1858-1916)

    "Ordonné prêtre à 43 ans (1901), il partit au Sahara, d'abord à Beni-Abbès, puis à Tamanrasset parmi les Touaregs du Hoggar. Il voulait rejoindre ceux qui étaient le plus loin, 'les plus délaissés, les plus abandonnés'. Il voulait que chacun de ceux qui l'approchaient le considère comme un frère, 'le frère universel'. Il voulait 'crier l'Évangile par toute sa vie' dans un grand respect de la culture et de la foi de ceux au milieu desquels il vivait. 'Je voudrais être assez bon pour qu'on dise:  Si tel est le serviteur, comment donc est le Maître?'." (source: site du Vatican, biographie)

    - "Charles de Foucauld, une vie déroutante" (site de la Fraternité séculière)

    - "Charles de Foucauld (1858-1916), qui a longuement vécu dans le désert algérien, a été béatifié au Vatican, le 13 novembre 2005." (voir aussi le site internet de l'Église catholique en Algérie)

    - "Charles de Foucauld a été ordonné prêtre dans la chapelle du Grand Séminaire de Viviers, après avoir passé un an à la Trappe de Notre Dame des Neiges. Ainsi, il a été prêtre du diocèse de Viviers et rattaché à notre diocèse jusqu’à sa mort." (Le Père Charles de Foucauld - Un prêtre du Diocèse de Viviers - Église catholique en Ardèche)

    - Bienheureux Charles de Foucauld (1858 - 1916) La vie de Charles de Foucauld est marquée par la conversion et le désir d'aller vers les plus lointains. Il a été béatifié en 2005 par Benoît XVI. (Témoins - site de l'Église catholique en France)

    - La première et la plus sûre méthode pour découvrir et connaître Charles de Foucauld est de lire ses Ecrits et sa Correspondance. (diocèse de Lyon - témoins de la foi)

    - ...À Paris, guidé par l’abbé Huvelin, il retrouve Dieu à 28 ans. «Aussitôt que je crus qu’il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui»... (diocèse de Paris)

    Charles de Foucauld - diocèse d'Alger

    Mon Père,
    Je m’abandonne à Vous,
    faites de moi ce qu’il Vous plaira.
    Quoi que Vous fassiez de moi,
    je Vous remercie.
    Je suis prêt à tout, j’accepte tout.
    Pourvu que votre volonté se fasse en moi,
    en toutes vos créatures,
    je ne désire rien d’autre, mon Dieu.
    Je remets mon âme entre vos mains.
    Je Vous la donne, mon Dieu,
    avec tout l’amour de mon cœur,
    parce que je Vous aime,
    et que ce m’est un besoin d’amour
    de me donner,
    de me remettre entre vos mains
    sans mesure,
    avec une infinie confiance
    car Vous êtes mon Père.

    Charles de Foucauld Supplication de Charles de Foucauld صلاة تسليم الذات

  • Soiron, 11 décembre : Concert de Noël avec le choeur Saint-Jo de Cheratte

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    RECTO CONCERT DU DIMANCHE 11 DÉCEMBRE 2016  16 H(2) (2).JPGLes Amis du Ban de Soiron ont le plaisir de vous inviter au

    CONCERT DE NOEL

    En l'église Saint-Roch de Soiron

    Le dimanche 11 décembre 2016 à 16h.

    Avec le concours

    du Choeur Saint-JO de Cheratte,

    sous la direction de Denise Wiliquet,

    accompagnement au clavier : Dominique Winandy,

    à l'orgue de Soiron : Pol Wers

    à la clarinette : Patrick Navette

    aux percussions : Joseph Nihant

    Une ambiance conviviale et un programme éclectique à souhait avec des pièces classiques, des extraits de musiques de film, des musiques du monde et des Noëls traditionnels.

    Entrée : 12€. (au profit de la restauration des orgues de Soiron)

     

     

  • Des cardinaux qui risqueraient de perdre leur chapeau

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    De Nicolas Senèze sur le site du journal La Croix :

    Le doyen de la Rote romaine menace les cardinaux frondeurs de perdre leur chapeau

    « Ce qu’ils ont fait est un scandale très grave qui pourrait conduire le Saint-Père à leur retirer le chapeau cardinalice », a estimé Mgr Pio Pinto, la plus haute autorité de l’Église en matière de nullités de mariage, à propos des cardinaux qui mettent en cause les dispositions d’Amoris laetitia. (voir ICI)

    Le doyen du tribunal de la Rote romaine a prévenu mardi 29 novembre les quatre cardinaux qui mettent en doute les dispositions d’Amoris laetitia contre le risque de se voir retirer le chapeau de cardinal.

    Le 14 novembre dernier, les cardinaux Walter Brandmüller, Raymond Burke, Carlo Caffarra et Joachim Meisner avaient rendu publics cinq « dubia »(« doutes ») à propos de l’exhortation apostolique Amoris laetitia et reprochant au pape de ne pas y avoir formellement répondu par « oui » ou « non ».

    Le lendemain, dans le National Catholic Register, le cardinal Burke menaçait le pape d’un « acte formel de correction » contre ce qu’il considère comme de« sérieuses erreurs » dans le texte papal.

    Ces quatre cardinaux mettent en question « deux Synodes des évêques sur le mariage et la famille. Pas un mais deux ! Un Synode ordinaire et un Synode extraordinaire. On ne peut pas mettre en doute l’action de l’Esprit Saint », a mis en garde Mgr Pio Pinto en marge d’un colloque sur les nouvelles règles pour les nullités de mariage organisé par la Conférence épiscopale espagnole à l’Université Saint-Damase de Madrid.

    « Quelle Église défendent ces cardinaux ? », s’est interrogé le doyen de la Rote pour qui « le pape est fidèle à la doctrine du Christ ».

    « Un scandale très grave »

    « Ce qu’ils ont fait est un scandale très grave qui pourrait conduire le Saint-Père à leur retirer le chapeau cardinalice comme cela est déjà arrivé à certains moments dans l’Église », a-t-il continué.

     

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  • France : le pape François invite les chrétiens à un débat sur les « valeurs » avec tous les hommes de bonne volonté

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    De Jean-Marie Guénois dans le « Figaro » de ce jour:

    « En recevant ce mercredi une large délégation d'élus de la région Auvergne Rhône-Alpes, le pape François a appelé la France à ne pas invoquer la liberté, l'égalité et la fraternité seulement « de façon incantatoire ».

    Un groupe de deux cents élus de la région Auvergne et Rhône-Alpes, conduit en pèlerinage à Rome par le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, a été reçu en audience particulière par le pape François ce mercredi matin.

    Dans une courte allocution, le Pape les a encouragés «dans un contexte international marqué par des frustrations et des peurs, intensifiées par les attentats et la violence aveugle qui ont si profondément meurtri votre pays» à «rechercher et développer le sens du bien commun et de l'intérêt général».

    Retrouver le sens du politique

    Reprenant le titre d'un document publié en octobre par les évêques de France François leur a souligné «la nécessité» de «retrouver le sens du politique» en particulier dans une société française «riche de diversité» mais à condition que «les valeurs républicaines de liberté, égalité, fraternité ne soient pas seulement brandies de manière incantatoire, mais soient approfondies et comprises en référence à leur vrai fondement, qui est transcendent».

    Pour le chef de l'Eglise catholique, c'est là «tout l'enjeu d'un véritable débat sur des valeurs» où «les chrétiens sont appelés à participer avec les croyants de toutes les religions et tous les hommes de bonne volonté».

    En conclusion, le Pape a poussé ces élus locaux et régionaux «à écouter plus particulièrement toutes les personnes en situation de précarité, sans oublier les migrants qui ont fui leurs pays à cause de la guerre, de la misère, de la violence».

    Le sens de la politique, pour le Pape, étant de «contribuer à l'édification d'une société plus juste et plus humaine, d'une société accueillante et fraternelle».

    Ref. Le pape François appelle la France à approfondir ses valeurs républicaines

    A propos des discours sur les « valeurs », relire la Lettre à un jeune de Mgr Léonard.

    JPSC

  • Ordinariats pour les Anglicans: une réception mitigée

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    AUMass-elevation.jpgCes uniates d’un nouveau genre sont perçus par les milieux « conciliaires » comme une variante des communautés traditionalistes (photo ci-contre: célébration dans un ordinariat) existant au sein de l’Eglise latine et traités comme tels, souvent avec la même réserve. Un article rédigé  par Paul de Petiville pour l’ « Homme Nouveau » :

    « La constitution Anglicanorum Coetibus a désormais près de sept ans. En promulguant cette constitution, l’objectif de Benoît XVI était de répondre au souhait de certains anglicans de rejoindre l’Église catholique en les intégrant dans des Ordinariats qui seraient créés pour l’occasion. Un certain nombre d’Ordinariats ont donc été créés dans l’ensemble du monde anglophone pour accueillir toutes les communautés qui souhaitaient réintégrer l’Église. En Angleterre, c’est l’Ordinariat Notre Dame de Walsingham qui a été créé en 2011. Cet Ordinariat regroupe à la fois des prêtres et des fidèles de la Traditional Anglican Communion mais également de simples pasteurs anglicans qui sont scandalisés par l’évolution de l’Église d’Angleterre. Ce phénomène d’uniatisme à l’anglaise n’a pas été sans créer de nombreux remous. Du côté anglican, on met les prêtres et les fidèles à la porte des églises. Mais du côté catholique, l’accueil n’est pas été toujours à la hauteur des enjeux. Deux églises ont été données à l’Ordinariat à Londres. Un certain nombre de prêtres étant mariés et ayant une famille, ceux-ci ont accepté de se voir intégrés dans l’église catholique locale mais en abandonnant leurs traditions et leur troupeau. D’autres ont dû acheter des églises en faisant appel à la générosité des fidèles. Enfin certains ont trouvé accueil au sein d’une paroisse existante et peuvent célébrer la messe selon l’usage anglican traditionnel. Ces possibilités de messes sont malheureusement offertes au compte-gouttes. À Birmingham, c’est le premier dimanche du mois qu’est célébrée une telle messe, à Édimbourg le troisième dimanche du mois, à Manchester le quatrième dimanche, etc. Dans certains cas, il n’y a pas de messes le dimanche mais une seule messe le samedi soir. Comme on le voit, l’accueil en milieu catholique ressemble un peu à la manière dont le motu proprio a été appliqué par les évêques en 1988. À partir de 2014, l’Ordinariat a lancé une série de journées portes ouvertes (« exploration days ») visant à faire connaître celui-ci auprès des anglicans. L’ensemble des paroisses ont été mobilisées à chaque fois, les formats variant d’un endroit à l’autre : concert de chant sacré, conférence, visite, service liturgique etc.

    Nous sommes allés interroger le Père John Maunder qui dessert la paroisse Sainte Agathe à Porsmouth.

    Votre paroisse est la première à avoir existé après la mise en place de l’Ordinariat. Pouvez-vous nous expliquer ?

    Père John Maunder : Les débuts ont été un peu compliqués. Cette église était à l’origine une église anglicane qui a été fermée en 1954, en raison du réaménagement du quartier en partie bombardé pendant la Seconde Guerre mondiale. L’église a été classée par le gouvernement comme monument historique, ce qui nous a permis de débuter en 1968 une longue campagne de sauvetage. Pendant ce temps l’Église d’Angleterre continuait son processus de « modernisation » qui la distingue aujourd’hui de moins en moins d’une simple Église protestante. Dans les débuts, l’église d’Angleterre déclarait n’être séparée de l’Église catholique que pour des raisons politiques et non pour des motifs touchant la foi. Ce n’est plus vrai aujourd’hui. Quand la première femme fut ordonnée diacre, j’ai quitté l’Église d’Angleterre pour rejoindre la TAC (Traditional Anglican Communion). À l’époque nous étions présents à Winchester, qui est à une cinquantaine de kilomètres d’ici. Puis l’église de Portsmouth après de nombreux travaux devint disponible et nous nous y installâmes en 1998. Quand Benoît XVI proposa aux anglicans de rentrer dans l’Église catholique tout en gardant leurs propres traditions, nous avons décidé d’accepter. À l’époque, je ne pensais pas que je finirai prêtre catholique. Nous avons donc postulé afin d’être ordonnés en tant que prêtres catholiques et, à ma grande surprise mais aussi à ma grande joie, ma demande fut reçue. Pour nous il y eut peu de changements. Nous avons l’habitude d’utiliser le missel anglais qui est la traduction du missel romain en anglais. Nous avons donc conservé notre rituel suivant en cela la proposition de Benoît XVI de garder nos propres traditions. Jamais Rome ne nous a demandé de célébrer en habit polyester face au peuple. Certains parmi nous ont décidé à la dernière minute de ne pas répondre à l’appel du pape mais la majorité l’a fait. Nous sommes maintenant rejoints par des fidèles catholiques qui préfèrent notre rituel au rite ordinaire latin que l’on trouve dans la plupart des églises du diocèse de Portsmouth. Nous commençons à célébrer des messes en rite romain extraordinaire – aucune messe de ce type n’est permise dans le diocèse -- et la première a eu lieu le 12 août. Pour certaines fêtes solennelles comme la sainte Agathe, la patronne de notre paroisse, la moitié de la messe est en latin. Le reste du temps, la liturgie de l’Ordinariat est en anglais. 

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  • Cuba : un espace de liberté pour l’Eglise catholique, après la mort de Fidel Castro ?

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    Après la mort de Fidel Castro, les responsables de l’Église catholique à Cuba espèrent que leurs demandes pourront aboutir en matière d’éducation, dans le champ des médias, la construction d’églises et l’accueil de prêtres étrangers. Mais en quoi Raul diffère-t-il de son frère ? Soixante pourcents des Cubains sont baptisés, mais la pratique religieuse ne dépasse plus deux pourcents. Un article de Claire Lesegretain sur le site de « La Croix » :

    « La mort de Fidel Castro va-t-elle changer quelque chose pour l’Église catholique à Cuba ? Pas fondamentalement dans la mesure où une évolution est déjà en cours depuis que son demi-frère Raul est au pouvoir (1). Toutefois, les attentes des catholiques sont grandes, quelques jours après la mort du « Lider Maximo » : ouvrir des établissements privés, avoir ses propres médias, faire venir des prêtres de l’étranger et construire des églises, en particulier.

    Ainsi, dans le domaine éducatif, « la dernière déclaration qui a fait du bruit ici, c’est quand Mgr Juan Garcia a exprimé récemment le désir de l’Église de participer à l’éducation », rappelle le Français Alban-Marie du Cosquer, frère de Saint-Jean et curé à Sancti Spiritus, capitale de la province du même nom, au centre de l’île cubaine. Son prédécesseur à la tête du diocèse, le cardinal Jaime Ortega, n’avait jamais demandé publiquement de pouvoir ouvrir des établissements scolaires. Ce qui fait dire au frère Alban-Marie que c’est la « première fois » que cela est réclamé explicitement par l’archevêque de La Havane… depuis 70 ans. Le frère de Saint-Jean, qui a par ailleurs fondé un groupe musical chrétien cubain « Acrisolada » (2), se demande « comment les choses vont évoluer ».

    Pas d’écoles catholiques

     En 1961 en effet, après la tentative de débarquement dans la baie des Cochons de centaines d’exilés cubains – soutenus par les États-Unis –, parmi lesquels trois prêtres, le dictateur Fidel Castro fit interdire toutes les écoles catholiques. L’année précédente, alors que les évêques appuyaient les réformes sociales mais rejetaient le virage marxiste du régime, il avait fait fermer les journaux catholiques.

    Or l’Église catholique attend depuis longtemps de pouvoir rouvrir des écoles et y enseigner la religion chrétienne. « C’est une de nos plus grandes attentes », souligne le religieux français. Une demande qui « apparaît comme la plus difficile à satisfaire, surtout dans la période actuelle », selon Janette Habel, chercheuse à l’Institut des hautes études de l’Amérique latine. « Le gouvernement cubain ne veut pas d’enseignement privé, de quelque nature qu’il soit », insiste la chercheuse.

    L’Église cubaine souhaiterait aussi posséder ses propres médias, sites Web et radios, même si quelques journaux chrétiens de qualité existent déjà, tels Espacio laical. Longtemps parrainée par Carlos Manuel de Cespedes (l’ancien secrétaire général de la conférence des évêques de Cuba, décédé en 2014), cette revue a été, selon Janette Habel, « une des seules publications indépendantes du gouvernement ».

    Les prêtres à Cuba sont moins surveillés désormais, parce que, comme le disait en septembre 2015 le P. José Conrado Rodriguez, curé de la paroisse Saint-François à Trinidad, « le clergé catholique est davantage toléré ». Pourtant, celui-ci reste confronté à toutes sortes de difficultés administratives…

    Toujours plein de formalités

    Ainsi, faire venir de l’étranger des bibles, des livres de chants ou des manuels de catéchisme reste très compliqué. « Il y a toujours plein de formalités », raconte encore le frère Alban-Marie à propos d’un arrivage de missels et de calendriers qui ont été vérifiés « carton par carton ».

    Quant à l’accès à la propriété pour l’Église, c’est là aussi toujours très long et très complexe. Depuis la construction à La Havane du séminaire interdiocésain Saint-Charles et Saint-Ambroise, inauguré en novembre 2010, un seul permis de construire a été accordé, cette année, pour une église, en banlieue de la capitale. « Ce sont de toutes petites avancées, très, très lentes », conclut le frère Alban-Marie.

    L’Église pallie les carences gouvernementales

    Pour autant, le rôle de l’Église est implicitement reconnu dans tous les secteurs sociaux, notamment auprès des personnes âgées (le vieillissement de la population est un phénomène majeur dans ce pays de 11,2 millions d’habitants où le taux de natalité est l’un des plus bas du continent sud-américain), des personnes handicapées et des personnes à la rue. « Faute de moyens, surtout depuis les années 1990, l’État castriste s’est désengagé du service aux personnes », estimait en 2015 Maritza Sanchez, directrice de la Caritas Cubana. Et c’est donc principalement l’Église qui pallie les carences gouvernementales.

    > Lire : À Cuba, l’espoir de l’Église catholique

    Ces catholiques engagés minoritaires (même si plus de 60 % des Cubains sont baptisés, à peine 2 % d’entre eux sont des pratiquants réguliers) savent qu’ils peuvent être inquiétés à tout moment par la police castriste sous n’importe quel prétexte. D’où cette extrême prudence dans leurs propos et ce souci d’exemplarité qu’il leur faut afficher, afin de ne jamais provoquer le moindre soupçon de déloyauté à l’égard du régime, dans un pays où paradoxes et incohérences sont nombreux. »

    Ref. A Cuba, l’Église catholique attend des assouplissements

    JPSC

  • La distance entre la Chine et le Saint-Siège reste grande

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    Voir l'émission sur KTO.TV :

  • France : le président de la conférence épiscopale en appelle à François Hollande

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    Du Figaro.fr :

    IVG/délit d'entrave: Mgr Pontier saisit Hollande

    Le président de la Conférence des évêques de France, Mgr Georges Pontier, en a appelé directement à François Hollande pour qu'il fasse échec à la création d'un délit d'entrave numérique à l'IVG, en dénonçant une atteinte "grave" aux libertés, dans une lettre publiée ce lundi soir.

    La proposition de loi pour élargir le délit d'entrave à l'interruption volontaire de grossesse aux sites internet diffusant des informations "biaisées" sur l'avortement, soutenue par la ministre des Familles Laurence Rossignol, doit être débattue jeudi à l'Assemblée.

    Ce texte provoque une vive opposition dans les milieux catholiques et les rangs d'une partie de la droite parlementaire. Il a nourri un clash entre députés LR et PS la semaine dernière en commission, au détour de l'évocation par un socialiste de la polémique sur l'IVG entre Alain Juppé et François Fillon.

    Vent debout, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, a dit ne pas comprendre "l'obsession qui pousse le gouvernement à choisir le point précis de l'avortement comme point d'intervention plutôt que les sites de radicalisation terroriste".

    Dans un courrier adressé au président Hollande transmis à l'AFP, Mgr Pontier estime lui aussi que la proposition de loi "constituerait, malgré ce qu'affirment ses dépositaires, un précédent grave de limitation de la liberté d'expression sur internet", qui "ne peut être à plusieurs vitesses suivant les sujets".

    "Une limitation d'autant plus grave qu'elle touche à des questions de liberté de conscience. Cela me semble être une atteinte très grave aux principes de la démocratie", martèle l'archevêque de Marseille. Qui s'interroge: "Le moindre encouragement à garder son enfant peut-il être qualifié sans outrance de +pression psychologique et morale+?"

    "Ces questions mériteraient pour le moins, comme cela a été le cas sur la fin de vie, un vrai débat parlementaire et citoyen", conclut le président de la CEF, qui "ose espérer" que François Hollande ne laissera "pas une telle mesure arriver à son terme".

  • L'Eglise à Bruxelles, fidèle à sa mission, une lettre pastorale de Mgr Kockerols

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    De catho-bruxelles.be, une missive du Vicaire Général de Bruxelles où il s'agit notamment de rassurer ceux qu'inquiétait le projet de fermeture de nombreuses églises dans la capitale:

    LETTRE PASTORALE DE MGR JEAN KOCKEROLS | L’EGLISE À BRUXELLES, FIDÈLE À SA MISSION

    lettre-pastorale-2016-couverture

    C’est le 1er dimanche de l’Avent que Mgr Jean Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles, a choisi pour nous proposer sa lettre pastorale intitulée L’Eglise dans la ville, fidèle à sa mission. Une lettre teintée d’espérance et d’appels au service. Comme un souffle dynamique et engageant pour ouvrir cette nouvelle année pastorale.

    En mettant ses pas dans ceux de ses prédécesseurs, Mgr Kockerols nous rappelle dès les premières lignes du document que l’Eglise n’a jamais sa raison d’être en elle-même : elle annonce et réconcilie, au service de tous. En soulignant l’incroyable diversité de l’Eglise à Bruxelles, Mgr Kockerols nous en montre les richesses et la vitalité : s’ils sont moins nombreux que dans le passé, les chrétiens aujourd’hui prennent néanmoins de plus en plus à cœur leur mission d’annoncer l’Evangile. […] Un des beaux fruits en est le nombre croissant de personnes adultes qui demandent le baptême ou la confirmation […] Au-delà des préjugés ou des généralisations, à y regarder de plus près, l’Eglise à Bruxelles est bien vivante. On ne peut que s’en réjouir et s’en émerveiller ! Mgr Kockerols souligne par ailleurs les communautés dites d’origine étrangère comme une des sources indéniables de revitalisation de l’Eglise, tout en invitant les fidèles à visiter et à découvrir ces communautés souvent proches.

    La lettre offre ensuite un chapitre consacré à l’unité pastorale des différentes composantes de l’Eglise, ainsi qu’aux différents types de lieux dans lesquels elle s’épanouit. Avec cette lettre pastorale, Mgr Kockerols conforte la nécessaire dynamique des unités pastorales mise en place par son prédécesseur à Bruxelles, Mgr De Kesel. Elle représente le pendant francophone à la lettre Kerk in stad, getuigt van hoop (avril 2014).

    RETROUVEZ ICI (OU EN CLIQUANT SUR L’IMAGE) LE TEXTE COMPLET DE CETTE LETTRE PASTORALE.

    L’Eglise à Bruxelles, fidèle à sa mission.

    • Le texte complet de cette Lettre pastorale est disponible en papier auprès de votre Unité pastorale.
    • Elle est disponible sur demande au Centre pastoral, 14 rue de la Linière, 1060 Bruxelles. commu@catho-bruxelles.be – 02/533.29.11
    • Il est par ailleurs téléchargeable sur cette page, dont le lien rapide est www.catho-bruxelles.be/lettrepastorale
    • Cette lettre s’accompagne d’une Note de politique générale (bilingue), disponible ici.
  • "Kazakhgate" : l'Ordre de Malte injustement attaqué

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    De Jean-Jacques Durré sur cathobel.be :

    Quand l’Ordre de Malte est injustement attaqué

    Il ne se passe un jour sans que de nouvelles « révélations » aient lieu dans le dossier surnommé « kazakhgate ». Avec son lot aussi de désinformations. C’est le cas, entre autres, à propos de l’, injustement cité. Mais, lorsqu’on veut créer un écran de fumée, pour certains, hélas, tous les moyens sont bons.

    Chaque jour, les médias parlent de ce qu’on appelle désormais le dossier « kazakhgate ». Le propos n’est pas de revenir sur les éléments de celui-ci qui, dans les semaines qui viennent, connaîtra sans nul doute de nouveaux développements et de nouvelles surprises. Mais de ce type d’affaires, il est malheureusement fréquent que pour créer un écran de fumée, certains citent des personnes ou organisations respectables. Dans le cas présent, la fondation Prince et Princesse Alexandre de Belgique a fait l’objet de ce genre d’attaques. La Princesse Léa, veuve du prince Alexandre, a démenti les « accusations » faites à son encontre. C’est le cas aussi de l’Ordre de Malte, mis en cause sans raison, sur la base de rumeurs qui se contredisent. Bref, certains en profitent pour écrire ou dire n’importe quoi, notamment certains journalistes qui ont vrai plaisir à pouvoir tenter de « mouiller » l’Eglise et se qui s’y rapporte.

    Au service des plus fragiles

    L’Ordre Souverain Militaire Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem de Rhodes et de Malte – dont la devise est « Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum » (« Protection de la foi et service des pauvres ») – est l’une des plus anciennes institutions de la chrétienté, présente en Palestine dès les années 1050. L’Ordre de Malte est un ordre religieux depuis 1113, date à laquelle il fut reconnu par le pape Pascal II. En tant que tel, il est donc lié au Saint-Siège, mais demeure indépendant par son statut de sujet de droit international public. Ordre religieux laïc donc, il puise ses origines dans la tradition militaire ainsi que dans celle de la chevalerie et de la noblesse.

    Aujourd’hui, la mission de l’Ordre se concrétise au quotidien par le travail bénévole effectué dans le domaine de l’aide humanitaire et médico-sociale au profit des déshérités et des malades dans un esprit de charité chrétienne. Si l’Ordre de Malte est une institution religieuse, elle est aussi une association de droit international public, reconnue comme état souverain par plus de 100 pays dont la moitié des états membres de l’Union européenne et par l’Union européenne elle-même. A ce titre l’Ordre siège comme observateur dans diverses institutions internationales, parmi lesquelles les Nations Unies et le Conseil de l’Europe.

    Actif dans 120 pays, l’Ordre compte 135.00 membres et plus de 100.000 bénévoles et salariés dont une majorité de médecins. L’Association belge des membres de l’Ordre de Malte, qui regroupe les membres de l’Ordre en Belgique, est une association sans but lucratif, fondée en 1930. Elle compte 286 membres, quelque 800 bénévoles et 7 employés équivalents temps plein. Sa mission est d’assister sur l’ensemble du territoire belge, sans distinction d’origine ou de conviction, les personnes les plus démunies ou étant en situation de précarité sociale, morale, mentale et/ou physique et notamment les personnes handicapées, les personnes âgées, les mineurs d’âge protégés et les indigents, y compris les malades, sans-abris, réfugiés et immigrés. L’Association belge de l’Ordre de Malte consacre ses activités dans différents domaines suivants, outre la formation et l’accompagnement de ses membres et bénévoles au niveau spirituel, notamment les centres d’accueil de jour « Les « Fontaines », pour personnes sans-abris à Bruxelles, Liège et Gand; les camps d’enfants du juge et d’enfants handicapés et l’assistance aux seniors et aux handicapés dans des activités diverses, tels des soins, de l’accompagnement et du soutien, des pèlerinages, etc.. Elle collecte aussi des vêtements, des matériels et équipements en faveur des plus démunis, y compris les réfugiés et forme de volontaires à l’assistance aux personnes précitées et de membres des professions médicales et paramédicales à l’éducation sanitaire propre aux activités de l’association.

    Des contacts au plus haut niveau

    Dans ce dossier « kazakhgate », il n’a pas été difficile à ceux qui voulaient créer le doute, de citer l’Ordre de Malte. En effet, par son rôle et son statut, il entretient des relations officielles avec plusieurs gouvernements, dont le gouvernement belge et ce, depuis le milieu des années 1980. Et donc, dans le cadre de leurs relations normales avec les instances publiques du monde entier, tant le gouvernement de l’Ordre – basé à Rome – que l’Association belge, ont été en contact avec de nombreux responsables politiques belges dans l’exercice de leurs compétences. Parmi ceux-ci, forcément, Armand De Decker, en sa qualité à l’époque de ministre de la Coopération au Développement et , ministre des Affaires étrangères.

    Dans un communiqué, l’Association belge rappelle que ses comptes annuels sont audités, déposés au greffe du tribunal et publiés par la Banque Nationale de Belgique. Conformément à la législation. l’Association belge précise qu’elle est financée essentiellement par des dons provenant de ses membres et de sympathisants, de fondations publiques et privées, ainsi que par des subventions dédiées à des activités précises, telles « Les Fontaines ». Elle est bénéficiaire de label AERF (Association pour une éthique dans les récoltes des fonds) et bénéficie de la déductibilité fiscale.

    Par le biais de son ASBL liée « Order of Malta Belgium International Aid » (MBI), l’Association belge reçoit diverses subventions de l’Etat Belge depuis 2006. « MBI a utilisé ces subventions exclusivement pour les projets humanitaires d’infrastructures hospitalières et médicales qu’elle soutient au Congo (à Kinshasa et au Sud-Kivu) et en Palestine. L’ensemble des subventions allouées de 2006 (donc bien avant les faits auxquels la presse fait écho) à 2016 à MBI par le gouvernement belge s’élève à 1.479.802 €. Elles ont été intégralement consacrées aux projets humanitaires précités. Plus de 95% de ces dépenses ont été approuvés par les instances de contrôle ad hoc du SPF Affaires étrangères et Coopération au Développement, le solde concernant un projet en phase de finalisation dont le rapport final doit encore être déposé. Nous sommes extrêmement reconnaissants au gouvernement belge de son important soutien, sans lequel nos plus importants projets humanitaires n’auraient pu voir le jour », précise le communiqué, qui ajoute que les quatre cinquièmes de ces subventions ont été alloués en 2006 et en 2007 respectivement pour la rénovation de la maternité d’un hôpital à Bethléem (750.000 €) et pour la réhabilitation d’un hôpital au Sud-Kivu (450.000 €).

    Faut-il préciser qu’après avoir été cité dans le dossier « kazakhgate », l’Ordre de Malte et l’Association belge ont effectué des vérifications approfondies? Les deux institutions confirment, n’avoir jamais effectué, ni l’une ni l’autre, de versement de au profit de fondations de la Princesse Léa de Belgique.

    Lire le communiqué de l’Ordre de Malte

  • France: Que pèsent vraiment les réseaux de la Manif pour tous ?

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    La percée de François Fillon au premier tour de la primaire de la droite a mis en lumière toute une génération de jeunes catholiques, « pas nécessairement plus nombreux qu'en 2013, mais plus formés politiquement ». Le magazine « La Vie » (filiale du groupe "Le Monde") sort ses pincettes pour saisir le phénomène avec une analyse signée Pascale Tournier :

    « Difficile d’avoir une meilleure pub. En début de semaine, Alain Juppé a rappelé qu’il était plus proche du pape François que de la Manif pour tous. Sur les réseaux sociaux, on pouvait lire en cascade des tweets associant le « tsunami Fillon » à « la Manif pour tous ». Pas de doute, le mouvement qui a défilé en masse dans la rue en 2013 contre la loi Taubira s’est invité dans la primaire de la droite et du centre. Mais quelle est la réalité de cette mouvance que le politologue Gaël Brustier qualifiait de « mai 68 à l’envers » ?

     Plus qu’un bloc uniforme, se cachent derrière cette expression de nombreux jeunes chrétiens engagés tous azimuts dans le monde politique, associatif et médiatique, que leurs aînés avaient souvent déserté. « Si la Manif pour tous a réussi à montrer un visage uni, elle s’est ensuite développée de façon éparpillée. Chacun choisissant sa chapelle », souligne Guillaume Bernard, maître de conférences à l’Institut catholique d’études supérieures (ICES).

    C’est le soutien à François Fillon de Sens Commun, issu des rangs de la Manif pour tous et arrimé au parti Les Républicains, qui a remis en septembre les projecteurs sur les tenants de cette France « réac » pour ses détracteurs. Présidé aujourd’hui par Christophe Billan, le mouvement a toujours voulu peser à l’intérieur des Républicains. Avec ses 9000 adhérents, c’est une vraie force militante réunissant aujourd’hui plus de 250 élus municipaux, 22 élus départementaux et régionaux et des secrétaires nationaux LR comme la normalienne Madeleine de Jessey, co-fondatrice des Veilleurs, qui a enflammé les meetings de François Fillon avec son charme évanescent. Contrairement au Parti chrétien démocrate (PCD), les militants ne mettent pas leur chrétienté en oriflamme. Mais ils promeuvent les valeurs de l’État fort, la famille, la dignité de la fonction politique et l’écologie intégrale. Avec pour mascottes le Général de Gaulle, Philippe Séguin et, donc, désormais François Fillon.

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  • Oecuménisme: un protestant à la tête de l’édition argentine de l’Osservatore Romano

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    Lu sur le site « diakonos.be » :

    « Le Pape a nommé son ami Marcelo Figueroa,  Argentin comme lui, à la tête de la nouvelle édition hebdomadaire de l'Osservatore Romano créée spécialement pour les lecteurs argentins. Il l'a également nommé dans l'équipe de rédaction de la version principale de l'Osservatore. Figueroa est pasteur de l'Eglise presbytérienne et il a dirigé pendant 25 ans la Société biblique d'Argentine. C'est également un ami personnel de Jorge Maria Bergoglio qui lui avait d'ailleurs demandé de l'accompagner lors de son récent voyage en Suède pour fêter les 500 ans de la Réforme et avec lequel il entretient une correspondance suivie.

    Voici un extrait d'un article paru le 8 novembre dans l'Osservatore romano dans lequel il s'entretient avec Lucetta Scaraffia, l'une des éditorialistes de ce journal qui lui dit:

    "Aujourd'hui, de nombreux points de divergences qui avaient provoqué la scission de l'Eglise n'ont plus de raison d'être: la question du salut - seulement par la grâce ou à travers les oeuvres et la médiation du clergé comme le voulait l'Eglise catholique - ne tourmente plus personne. Tout comme les indulgences qui ont disparu de notre paysage, même l'au-delà semble aujourd'hui s'être estompé depuis des décennies. Pourquoi alors encore se chamailler sur tout cela? Et comment pouvons-nous nous disputer sur la question du libre accès aux textes sacrés alors que même les catholiques ont pris l'habitude de lire la bible dans l'édition de leur choix au sein de groupes de lecture et de commentaire très animés? Il reste bien sûr des questions théologiques encore ouvertes comme la question des sacrements - dont les luthériens ont réduit le nombre - mais il s'agit là de questions qui ne touchent pas beaucoup les fidèles".

    Sandro Magister rappelle que cet article est paru sur le journal officiel du Vatican et non dans un quotidien laïc et qu'il a été rédigé conjointement avec M. Figueroa qui l'approuvait entièrement. »

    Sources: Osservatore Romano, Sandro Magister (Settimo Cielo, la Repubblica).

    http://www.osservatoreromano.va/…/la-sfida-ecumenica-latino…

    Ref. LE PAPE NOMME UN PROTESTANT À LA TÊTE DE L'OSSERVATORE ROMANO ARGENTIN

     JPSC