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Eglise - Page 1121

  • Les cathos, première cible religieuse de Charlie Hebdo

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    Lu ICI :

    Non, l'islam n'est pas l'obsession de Charlie Hebdo. Sur 523 numéros publiés entre janvier 2005 et janvier 2015, seuls sept ont consacré leur une à la religion musulmane, soulignent deux sociologues, Jean-François Mignot et Céline Goffette, dans une étude publiée dans Le Monde (accès payant). Certes, "les unes de Charlie Hebdo ne résument pas, à elles seules, le journal", concèdent les deux chercheurs, mais "elles en sont toutefois la vitrine, que même des non-lecteurs peuvent voir en devanture des kiosques".

    Verdict : si la politique est, sans surprise, la thématique phare de l'hebdomadaire (près de deux couvertures sur trois), la religion, elle, n'apparaît en une qu'à 38 reprises, soit dans seulement 7% des cas. Autrement dit, elle n'est en couverture qu'une fois tous les trois mois et demi.

    Les cathos, premières cibles religieuses de "Charlie"

    Surtout, parmi ces 38 unes se moquant des religions, seules sept sont consacrées à l'islam, quand 21 se moquent de la religion catholique. Concrètement, observent Jean-François Mignot et Céline Goffette, cela signifie qu'au total, "entre 2005 et 2015, seulement 1,3% des unes se sont moquées principalement des musulmans".

  • De plus en plus de chrétiens condamnés à mort au Pakistan; le témoignage saisissant d'Hanna

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    Alors que l'on recense au Pakistan de plus en plus de chrétiens condamnés à mort pour blasphème, Hanna, une chrétienne pakistanaise, a accepté de témoigner. Elle exprime avec courage sa fidélité au Christ et à l’Église, sous couvert de l’anonymat pour ne pas mettre sa vie en péril.

    C'est ici, sur le site de Famille Chrétienne

  • Comprendre le Pape François

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    I-Grande-153107-comprendre-le-pape-francois.net.jpgComprendre le Pape François
    L'itinéraire d'un homme qui veut changer l'Eglise et le monde

     

    Depuis les premiers instants de son pontificat, le pape François étonne, bouscule, ravit ou agace. Il n'agit pas comme le chef d'une institution hiérarchique, change les habitudes. Andrea Riccardi pose un regard large et profond sur l'homme et ses actes.Un témoignge et une analyse exceptionnels. 

    Sommaire : 1) retour sur la démission de Benoît XVI - 2) Un pape surprenant - 3) La diplomatie d'un Pape non diplomatique : culture de la rencontre et de l'amitié - 3) « Comme j'aimerais une Église pauvre et pour les pauvres » - 4) Face à la globalisation, habiter la terre dans l'espérance - 5) Le Pape du bout du monde, la révolte de l'Esprit ou comment sortir de la crise de l'Église    

    A propos de l'auteur :   

    Andrea Riccardi, historien, est une personnalité religieuse et politique italienne. Il est entre autres le fondateur de la Communauté de Sant'Egidio, née en 1968. Il a été, de 2011 à 2013, ministre de la Coopération internationale et de l'Intégration. Depuis 2013, il préside "Choix citoyen pour l'Italie", le nouveau parti de Mario Monti.

  • Que faire quand la foi chrétienne s'en va ?

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    Deux congrès pour agir face à l'abandon de la foi chrétienne

    Sous le patronage du Conseil pontifical pour la culture

    Source : Zenit.org (Anne Kurian - 24 février 2015)

    La semaine prochaine, Rome sera l'hôte de deux congrès pour agir face à la désertion dans l’Église et à l'abandon de la pratique religieuse catholique : le congrès international « Renouveler l’Église à l'âge séculier » (« Renewing the Church in a Secular Age ») qui aura lieu les 4-5 mars 2015 sous le patronage du Conseil pontifical pour la culture ; et l'événement « La place et le temps » (“La piazza e il tempio”) organisé par le Parvis des Gentils le 6 mars.

    Ces deux événements se pencheront notamment sur les questions : « Pourquoi, malgré le besoin croissant de spiritualité, de nombreuses personnes en recherche abandonnent l’Église ? Comment l’Église peut-elle, en un monde de spiritualité plurielles, être un guide moral pour aujourd’hui ? Quelles sont les responsabilités pastorales que le magistère est appelé à assumer ? »

    Le congrès international est organisé par le « Council for Research in Values and Philosophy » (RVP) et par l'Université pontificale grégorienne. Ce projet est né en 2009 après un dialogue public entre le cardinal Francis George (Chicago) et le philosophe canadien Charles Taylor -auteur de l'essai « L'Âge séculier » - reconnu comme l'un des plus grands théoriciens du multiculturalisme et du communautarisme.

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  • Inde : quand les hindouistes s'en prennent à Mère Teresa

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    Les hindouistes du RSS mettent en cause Mère Teresa, l’épiscopat catholique réagitLes hindouistes du RSS mettent en cause Mère Teresa, l’épiscopat catholique réagit (source)

    « L’œuvre réalisée par Mère Teresa aurait pu être bonne, mais elle était menée dans un but précis : convertir au christianisme les personnes à qui elle venait en aide. » Tels sont les propos qu’a tenus Mohan Bhagwat, chef du Rashtriya Swayamsevak Sangh (RSS - Corps national des volontaires), le 23 février dernier au Rajasthan. Des propos mettant en cause la fondatrice ...

  • Le Sacrement de Pénitence dans tous ses états

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    Pour commencer le Carême, quoi de mieux que de parler du sacrement de réconciliation ? N'est-ce pas en effet à la pénitence que nous sommes invités en ce début du mois de mars ? Ce sacrement, appelé aussi bien " confession ", que " sacrement de pénitence " ou " de réconciliation " relève d'une démarche personnelle qui ne semble pas toujours évidente. Alors, faut-il se confesser ? Y a-t-il des raisons particulières à recevoir ce sacrement même si on " se sent bien " dans sa vie et que notre conscience ne semble pas troublée plus que d'ordinaire ? L’an dernier à pareille époque, le père François Potez, curé de Notre-Dame-du-Travail à Paris et le père Arnaud Toury, délégué diocésain à la Pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Reims apportaient un éclairage selon le cœur et l’esprit. C’est à (re)voir ci-dessous. JPSC :

     

    Source: KTO Le sacrement de réconciliation

  • Le suicide religieux assisté

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    Mary Eberstadt sur le site « didoc.be » :

    41UnWv+7DNL._UY250_.jpg« Dans un des chapitres du livre How the West Really Lost God: A New Theory of Secularization (Comment le monde occidental a vraiment perdu Dieu : une nouvelle théorie de la sécularisation), Mary Eberstadt explique que le déclin des églises protestantes les plus anciennes d’Europe et des Etats-Unis est lié aux changements doctrinaux qu’elles ont opérés dans les domaines concernant la contraception, le divorce, l’avortement et l’homosexualité. Ce qui a contribué à son tour à la fragilisation de la famille en Occident. Nous avons sélectionné quelques paragraphes de cet ouvrage :

    (…) Ces efforts réformistes ont peu à peu contribué à un dénouement inattendu : ils ont affaibli au propre comme au figuré la famille naturelle, les fondations sur lesquelles étaient basées ces mêmes églises. Dans leur zèle pour attirer les individus qui souhaitaient un relâchement de la doctrine chrétienne, les églises ont progressivement oublié d’assurer leurs arrières : les familles saines dont les membres devaient se reproduire, au sens littéral, mais aussi dans le sens figuré, celui de transmettre la religion. Ici nous voyons à nouveau l’effet puissant de la double hélice famille et foi.

    (…) Depuis le début, le christianisme soutient un code moral, un code sexuel strict comparé aux autres religions (…) La surprise historique n’est donc pas tant que les réformistes s’efforcent de le rendre plus supportable, mais bien que le code soit resté intact, si longtemps, au centre de la chrétienté : plus ou moins jusqu’à la réforme. C’est alors que le clergé commença à détricoter la moralité sexuelle : cela remonte à des siècles, bien avant la révolution sexuelle, et en tirant particulièrement sur le fil du divorce.

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  • "Prêtre avant tout", l'abbé Franz Stock mort le 24 février 1948

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    http://laurentius-media.gloria.tv/7o/mediafile-404413-1-sd.mp4?upstream=justina-media.gloria.tv%2ff&sum=GYG1fDh8-lPSVwAVlQIsUA&due=1424807856

    Prêtre de la paroisse catholique allemande et aumônier des prisons de Paris sous l'occupation allemande, " Franz Stock symbolise la preuve de l'amour plus fort que le mal, plus fort que la haine, l'ultime espérance d'une humanité capable d'aimer par-dessus les frontières ", selon René Closset. Franz Stock sera sa vie durant, comme l'écrit Jean-Pierre Guérend, " amoureux de la France et fidèle à son pays ". Il sera amené à assister de nombreux prisonniers et à accompagner plus d'un millier de condamnés à mort au peloton d'exécution. Ce programme, tourné sur les lieux mêmes où il naquit en 1904, vécut et mourut en février 1948, retrace le parcours de cet être exceptionnel qui se disait " prêtre avant tout, ne répondant qu'à une seule question : a-t-il besoin de moi ? ". Franz Stock, c'est aussi un site : " le Séminaire des barbelés ", véritable lieu de mémoire auquel il se consacra de 1945 à 1947 à la formation des séminaristes allemands. Témoignage de la réconciliation franco-allemande, une consécration pour Franz Stock qui y laissa sa vie. Un film réalisé par Janine Isnard. Une coproduction Cat Productions et KTO - 2010.

  • La confession des péchés, pour quoi faire ?

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    La confession des péchés (source)

    SOMMAIRE

    Catéchèse du pape François sur le sacrement de la Réconciliation

  • La gestation pour autrui (GPA) : une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l'U.E.

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    COMECE Press 23/02/2015

    La gestation pour autrui: une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l’UE

     

    unknownLa gestation pour autrui est un sujet de préoccupation croissant dans le débat politique et juridique à travers toute l’Union européenne. Dans ce contexte, le Groupe de travail de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) sur l’éthique dans la recherche et les soins de santé a publié un “Avis sur la gestation pour autrui: la question de sa régulation au niveau européen et international” qui est présenté ce lundi 23 février au Parlement européen lors d’un conférence sous le patronage de l’eurodéputé Miroslav Mikolasik.

     

    L’avis explique pourquoi toutes formes de gestation pour autrui constituent une atteinte grave à la dignité humaine de ceux qui sont impliqués dans cet échange ; en particulier le fait  que cette pratique instrumentalise la mère porteuse (souvent piégée dans la pauvreté et trafiquée sans scrupules) et traite l’enfant comme un objet. C’est pourquoi on ne peut en aucune circonstance consentir à une telle pratique. Tout en prenant en considération les compétences de l’Union européenne en la matière, l’avis recommande, comme une première étape envisageable, d’évaluer la faisabilité du refus de transcrire les certificats de naissance établis dans les pays de naissance. Cela permettrait de juguler une pratique qui, comme l’avis le démontre dans une argumentation en 3 étapes, va à l’encontre des valeurs fondamentales auxquelles adhère l’Union européenne.

     

    Télécharger le texte de l'avis en pdf

  • La 1ère icône des 21 martyrs coptes de Libye

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    Vu sur le « Forum catholique » (JPSC)

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    commentaires de Marie-Gabrielle Leblanc

     Remarquez les détails : la plage sur laquelle ils ont été martyrisés avec la mer derrière. Tous les visages ressemblent à Jésus, dont ils ont prononcé le nom jusqu'à leur dernier souffle. L'unique Soudanais n'est pas oublié au centre. Les tuniques oranges rappellent la combinaison orange que les terroristes islamistes mettent à leurs victimes avant de les décapiter. Ils ont par-dessus l'étole rouge du martyre, proche de l'étole des diacres coptes, portée ici également par les anges et par le Christ. Remarquez la pluie de couronnes que les anges leur remettent.

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    Lire également : les 21 martyrs coptes sont un trait d'unité entre les chrétiens

  • François : un malaise ?

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    Le philosophe Thibaud Collin, sur politiquemagazine.fr s'interroge :

    Un malaise François ?

    Alors même que les foules et les médias acclament le pape François, une quantité non négligeable de catholiques formés sous les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI sont désorientés par ses premiers dix-huit mois comme évêque de Rome. Qu’en est-il de ce malaise ?

    Les médias friands de petites phrases, de postures photogéniques mais aussi de tout ce qui peut apparaître en rupture avec le passé ont réservé au nouveau pape un accueil triomphal. L’exemple type est la manière dont étaient relayés ses propos concernant les personnes homosexuelles tenus lors de son retour des JMJ : « Qui suis-je pour juger ? » Cette question, souvent sortie de son contexte, a fait le tour du monde et est devenue le symbole d’un pape qui serait enfin devenu cool. De même, le Synode sur la famille d’octobre 2014 a été perçu par beaucoup comme un moment où certaines questions taboues pouvaient enfin être de nouveau discutées. Comme si l’ère Humanae Vitae était enfin achevée et que la hiérarchie écoutait enfin les demandes et les besoins, pour ne pas dire les exigences, de la base. Derrière tout cela, se profile le débat récurrent depuis le début du Concile (mais en réalité bien antérieur) sur la manière dont l’église doit se situer face au monde moderne.

    Un « Vatican III » ?

    Le pape François renouerait-il avec « l’esprit du concile Vatican II » ? Certains observateurs n’ont pas craint de parler de « Vatican III » pour caractériser le dernier synode sur la famille tant la liberté des débats aussi bien dans la forme que sur le fond apparaissait inédite dans ce genre d’enceintes. Le pape François a exhorté les pères synodaux à parler avec franchise comme s’il souhaitait crever un abcès, celui de l’incompréhension de l’enseignement moral de l’église par une partie importante des hommes d’aujourd’hui. Mais en demandant au cardinal Kasper d’ouvrir les réflexions du consistoire de février 2014, consacrées à la famille, le pape François a semblé envoyer un signal à tous ceux qui critiquent la doctrine catholique sur la sexualité, le mariage et la famille. En effet, le cardinal Kasper s’est opposé à saint Jean-Paul II sur ces sujets, cherchant à ouvrir des voies « pastorales » afin, d’après lui, d’arrêter l’hémorragie des fidèles décontenancés par ce qui leur apparaît comme du rigorisme d’un autre âge.

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