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Eglise - Page 1197

  • Le P. Zanotti-Sorkine fait le plein aux Cordeliers à Fribourg

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    Prédication lors de sa messe en l’honneur de l’Adoration Perpétuelle :

     

  • Les « riches heures » du pape François en Terre Sainte

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    Elles seront placées sous le signe du dialogue interconvictionnel et de l’option préférentielle pour les pauvres. Lu sur le site de l’ Agence I.Media (extraits):

    « Le voyage du pape François en Terre Sainte, du 24 au 26 mai 2014, sera “très riche et très dense“, juge d’ores et déjà le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège (…).

    Le point culminant de ce 2e voyage du pape François hors d’Italie sera sa rencontre avec le patriarche de Constantinople Bartholomée 1er. Les 2 hommes participeront à Jérusalem, dans la basilique du Saint-Sépulcre, à une prière œcuménique : une grande nouveauté car une telle prière commune des différentes communautés dans un lieu saint de Jérusalem n’a jamais eu lieu.

    D’autres moments forts marqueront ce bref voyage ponctué de 14 discours ou homélies : la rencontre du pape avec des réfugiés syriens sur les rives jordaniennes du Jourdain et celle avec des réfugiés palestiniens à Bethléem. A Jérusalem, le pape François visitera notamment le mémorial de la Shoah Yad Vashem et s’entretiendra avec le grand mufti puis avec les 2 grands rabbins d’Israël (…).

    Le pape a choisi d’être accompagné par “deux amis“ argentins, le rabbin Abraham Skorka et l’imam Omar Abboud. Cette présence interreligieuse, a assuré le père Federico Lombardi, " est un message en soi ". Si l’imam Abboud intégrera la délégation dès l’arrivée du pape sur le sol jordanien, le rabbin Skorka les rejoindra le 25 mai à Bethléem, une fois terminé le Shabbat.

    3 journées intenses

    Le samedi 24 mai, à 8h15 (heure locale, GMT+2), le pape François quittera l’aéroport romain de Fiumicino à bord d’un avion de la compagnie Alitalia et arrivera à Amman, la capitale jordanienne, vers 13h (heure locale, GMT+3), où il sera tout d’abord reçu au Palais royal par le roi Abdallah II. Il célébrera ensuite la messe à 16h dans le grand stade de la ville Le soir, aux alentours de 19h, le pape François visitera le site du baptême du Seigneur, à Béthanie au-delà du Jourdain, pour une rencontre avec un groupe de réfugiés, notamment syriens, et des personnes handicapées.

    Le lendemain, dimanche 25 mai, le souverain pontife, accompagné de sa délégation, se rendra à bord d’un hélicoptère jordanien à Bethléem, où il arrivera un peu avant 9h30, après moins d’une heure de trajet. Il se rendra en premier lieu au Palais présidentiel pour rencontrer le président palestinien, Mahmoud Abbas, puis les autorités palestiniennes.

    Lors de cette visite de 6 heures en terres palestiniennes, le souverain pontife se rendra ensuite en papamobile sur la place de la Mangeoire pour présider, à 11h, l’un des moments-clefs de sa visite, la messe avec les chrétiens locaux, Puis le pape François déjeunera avec un groupe d’environ 25 personnes, composé exclusivement de familles palestiniennes en difficulté. Après un bref temps de repos, il ira se recueillir à 15h en privé dans la Grotte de la Nativité.

    Le souverain pontife rencontrera ensuite un groupe de quelque 300 enfants provenant des camps de réfugiés de Bethléem (…).

    Puis, à 16h, le pape François prendra à nouveau un hélicoptère jordanien pour rejoindre l’aéroport Ben Gourion de Tel Aviv(Israël). Il y sera accueilli par le président Shimon Peres avant d’être transféré, dans un hélicoptère israélien, jusqu’à un héliport situé derrière le Mont Scopus, à Jérusalem.

    Le premier rendez-vous du pape dans la ville sainte aura lieu à 18h15 à la Délégation apostolique à Jérusalem : il rencontrera en privé le patriarche Bartholomée 1er et signera avec lui une déclaration commune. Cette rencontre se déroulera là où eu lieu l’accolade historique entre Paul VI et le patriarche Athénagoras.

    Puis, à 19h, c’est au Saint-Sépulcre que se déroulera le point central de la visite : une prière œcuménique en présence du patriarche de Constantinople et des chefs des autres Eglises de Jérusalem (…).

    Le lendemain matin, lundi 26 mai, le pape François ira tout d’abord à 8h15 sur l’Esplanade des mosquées, où il rencontrera le grand mufti, avant de se rendre au Mur occidental, où il devrait glisser entre les pierres une prière personnelle. Puis le pape se rendra au cimetière national israélien du Mont Herzl, point le plus haut de la ville. Lors de cette étape inscrite depuis peu dans le protocole des visites de chefs d’Etat, le pape déposera une couronne dans le cimetière, haut lieu du sionisme, où sont enterrés plusieurs premiers ministres et présidents comme Levi Eshkol, Golda Meir ou Yitzhak Rabin.

    A 10h, le souverain pontife arrivera au mémorial de la Shoah Yad Vashem où il prononcera un discours sur l’Holocauste. Puis il rendra visite aux 2 grands rabbins d’Israël, près de la Grande synagogue de Jérusalem. Le pontife sera ensuite reçu à 11h45 au Palais présidentiel par le président Shimon Peres, avec qui il plantera un olivier, symbole de la paix. Il s’entretiendra ensuite en privé avec le premier ministre Benyamin Netanyahou, au Notre Dame Center.

    Après le déjeuner, le pape rencontrera une dernière fois le patriarche de Constantinople, à 15h30, cette fois-ci près de l’église orthodoxe du Mont des Oliviers (…).

    A 16h, il présidera une célébration dans la basilique des Nations, à Gethsémani. Après cela, pour la dernière étape de sa visite, le pape François célèbrera de façon exceptionnelle la messe au Cénacle (...). 

    Le pape François décollera pour Rome de l’aéroport Ben Gourion à 20h15. Il est attendu un peu moins de 4 heures plus tard à l’aéroport de Rome-Ciampino. Une fois encore, à l'aller comme au retour, le pape François pourrait prendre la parole devant les journalistes qui l’accompagnent. »

     JPSC

  • Annuaire statistique de l’Eglise catholique : tout va bien.

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    Selon le site web français « Radio Notre-Dame »

    « L'Eglise continue d'attirer toujours plus de fidèles à elle.

    14 millions de catholiques supplémentaires entre 2011 et 2012

    Avec près de 14 millions de personnes supplémentaires, le nombre de catholiques dans le monde continue d'augmenter. Ces derniers sont passés de 1,214 milliard à 1,228 milliard entre 2011 et 2012, soit une augmentation de 1,15 %. A première vue cela paraît peu, mais si l'on met ce chiffre en parallèle avec l'augmentation de la population mondiale, soit 1,1 %, on se rend compte que le nombre de catholiques dans le monde augmente parallèlement à celui de la population mondiale.

    16 millions de baptêmes célébrés

    L'Annuaire statistique de l'Eglise précise également qu'au cours de l'année 2012, ce sont pas moins de 16 millions de baptêmes d'enfants et d'adultes qui ont été célébrés, ce qui est de bon augure pour les résultats futurs. Actuellement, on estime que la proportion de catholiques dans le monde se situe autour de 17,5 %.

    Le nombre de prêtres augmente en Asie et en Afrique

    Le continent américain reste sans conteste le continent le plus catholique au monde avec plus de 63 % de la population. Les catholiques sont en revanche ultra minoritaires en Asie où ils ne représentent que 3,2 % de la population. En ce qui concerne le nombre de prêtres, ils étaient 414 313 fin décembre 2012, un nombre en augmentation en Afrique et en Asie. »

    Ici : Le nombre de catholiques en augmentation dans le monde

    Les chiffres sont bonnes filles : on peut leur faire dire ce que l’on veut. Mais, derrière ceux-ci,, se cache une réalité : la perte du sens de la foi, même dans de grands pays catholiques d’Amérique du Sud (Brésil, Argentine) ou d’Océanie (Philippines). Sans parler de l’Europe  dont il n’est évidemment pas question dans l'analyse des statistiques par le Dr. Coué…

    JPSC

  • Les vieux débats de Vatican II sur la collégialité sont de retour

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    jpg_1350796.jpgUne ère que l’on croyait close après Paul VI refait surface un demi-siècle plus loin, sous le règne d’un pape considéré comme « révolutionnaire ». Confondant peut-être l’image et la réalité, d’aucuns ressortent les vieilles lunes du tiroir, en proposant que le synode des évêques soit l’organe suprême de gouvernement de l’Église, une sorte de "concile permanent". Mais Vatican II avait exclu cette éventualité. Les cardinaux Müller et Ruini, d'accord avec Ratzinger cardinal et pape, expliquent pourquoi : à lire sur le site « Chiesa » de Sandro Magister. Extraits :

    Les deux synodes qui sont programmés l’un pour le mois d’octobre de cette année et l’autre pour celui de l’année prochaine suscitent une attente fébrile non seulement en raison de la question qui va y être discutée – la famille et en particulier la "vexata quæstio" de l’accès des divorcés remariés à la communion – mais aussi en raison des prévisions qui concernent leur fonctionnement (…)..

    Dans la ligne de l’intention manifestée par François d’associer à la primauté papale en ce qui concerne le gouvernement de l’Église une collégialité épiscopale plus réelle.

    Les propositions de renforcement de l'institution synodale qui ont été faites par Enrico Morini dans la revue "Il Regno", par exemple, sont emblématiques de cette attente. Morini enseigne l’histoire et les institutions de l’Église orthodoxe à l'université d’état de Bologne et à la faculté de théologie d'Émilie-Romagne et il est président de la commission du diocèse de Bologne pour l'œcuménisme :

    La proposition de Morini se présente sous la forme suivante :

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  • Qui suis-je pour juger ?

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    Cette petite phrase du pape François, sans doute mal comprise mais déclinée ensuite sur tous les tons, fait aujourd’hui le tour du monde.

    Dans son livre d’entretiens avec Peter Seewald, « Voici quel est notre Dieu » (Plon/Mame, 2001), le cardinal Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, remet les idées en place :

    « -Peter Seewald : Jésus a dit un jour, du haut de la montagne : « Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés, car du jugement dont vous jugez, on vous jugera, et de la mesure dont vous mesurez, on usera pour vous ! » (Mt 7, 1-2). C’est vite dit, mais ne nous faut-il pas aussi juger ?

     « -Joseph Ratzinger : C’est incontestable. Jésus lui-même, selon Matthieu 18, a défini la règle de la communauté : il dit de prendre le frère entre quatre yeux et de le corriger ; s’il n’écoute pas, qu’on le fasse dans un cercle plus étendu, et ainsi de suite. Des règles, en particulier des règles juridiques, sont nécessaires à l’homme. Il s’agit ici d’une autre dimension : nous n’avons pas à nous instituer juges du monde entier, mais il nous faut respecter aussi, en jugeant, le mystère de l’autre. Même lorsque la justice, pour maintenir l’ordre, doit juger, elle ne condamne pas la personne, mais certains de ses actes en essayant de trouver la réponse adéquate ; nous devrions en tout cas respecter le mystère du non-dit dont Dieu seul est juge.

    Le deuxième membre de ce précepte présuppose que nous ne devons pas oublier que nous aussi nous serons jugés de la même manière que nous avons jugé. C’est une invitation à garder la juste mesure, de connaître les bonnes limites, de faire preuve du vrai respect envers l’autre. Jésus nous fournit donc  une règle intérieure pour juger quand cela s’avère indispensable. Elle consiste à reconnaître sans cesse cette dernière instance ».

     JPSC 

  • Ne désacralisons pas nos églises !

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    Les amis de l’église Sainte-Catherine à Bruxelles ne désarment pas :

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    « Chers amis,

     Pour vous remercier de votre soutien et engagement à nos côtés

    Pour la joie de mieux se connaître et de « fraterniser »

    Pour faire le point de la situation actuelle et discerner quid pour la suite,

    Pour vous partager un nouveau grand projet

    … et surtout, pour rendre grâce à Dieu et tout remettre en Lui,

    Nous vous invitons à une 

    rencontre fraternelle 

    dimanche 25 mai 

    Lieu :

    Maison Saint-Nicolas*

    Place Saint-Nicolas, 28

    1120 Bruxelles 

    Horaire :

    12 h : Célébration Eucharistique

    13 h : Buffet convivial (mise en commun de nos préparations diverses**)

    14h : Partage communautaire

    16h (Pour ceux qui le veulent/peuvent) Chapelet mensuel pour la Belgique, à la crypte royale de ND de Laeken (5 minutes en voiture ; 10 min en vélo) avec l’équipe porteuse de ce projet 

    A la joie de vous y retrouver tous ! 

    Pour les Amis de Sainte-Catherine et Amis des églises 

    Véronique et Pierre Hargot 

    PS : Réponse vivement souhaitée

    * : la Maison Saint-Nicolas est la maison communautaire de la Fraternité de quartier que nous avons fondé il y a 25 ans. Cfr www.fraternitesaintnicolas.be

    La messe y est célébrée plusieurs fois par semaine à défaut de pouvoir la célébrer dans l’église désacralisée qui lui fait face… Merci pour votre indulgence devant la pauvreté des lieux…

    ** : des plats en suffisance seront préparés pour ceux qui n’auront pas le temps de les préparer.

    Dans ce cas, signalez le nous si possible.


     Tel : +32 2 268 74 93

    GSM : +32 478 31 33 45

  • Vatican II béatifié

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    De Jean-Pierre Denis sur le site de l’hebdomadaire « La Vie » :

    Le pape Paul VI sera donc béatifié en octobre prochain. Encore un ! sera-t-on tenté de dire. La liste des pontifes du XXe siècle reconnus saints ou bienheureux commence à devenir impressionnante et un tantinet hétéroclite. On y trouve deux figures aussi différentes que celles de Pie X et de Jean XXIII, sans compter, bien sûr, Jean Paul II. On pourrait presque ajouter Pie XII, qui n’est pas encore élevé sur les autels, mais demeure assis sur un étrange strapontin : il fut déclaré vénérable par Benoît XVI, avant que le dossier de béatification ne soit gelé en raison des polémiques récurrentes sur son attitude durant la Seconde Guerre mondiale. Bref, comptez : il ne reste que Benoît XV, Pie XI et Jean Paul Ier. Encore pourrait-on certainement trouver bien des raisons de béatifier ces derniers. Benoît XV, pape prophétique mais incompris, ne tenta-t-il pas en vain d’empêcher le suicide de l’Europe, il y a tout juste 100 ans ?

    Pas besoin d’être Luther ou Calvin pour voir ce qu’une canonisation érigée en système peut avoir de problématique. On a un peu perdu de vue, en la circonstance, la critique d’une Église « autocentrée » qui est censée être la marque de fabrique du pape François. Si tout chrétien a vocation à la sainteté, tous les papes sont-ils pour autant des saints ? Chaque cas se trouvera sans doute justifié ou justifiable, mais au bout du compte, on risque de finir par idolâtrer une fonction, glissant subrepticement du spirituel vers l’institutionnel. Il ne faudrait pas que l’on aboutisse à une situation où ce ne sont plus des hommes, mais la papauté en elle-même qui est canonisée… par elle-même.

    Un procès en béatification ne vaut pas jugement historique mais n’y échappe jamais complètement. Or le bilan de Paul VI reste difficile à faire de manière dépassionnée. Risquons quelques lignes. L’échec de l’encyclique Humanae vitae condamnant la pilule en 1968 rend un peu étrange la béatification de ce pape à l’occasion du synode sur la famille. En revanche, la profonde crise qu’a connue l’Église catholique en Europe après l’enthousiasme conciliaire peut difficilement lui être imputée : on n’accuse pas un capitaine d’avoir tenu la barre en traversant la zone de tempête. De l’Onu à Jérusalem, Paul VI se fit aussi, avec la force que l’on sait, le héraut de la paix, du développement de tout l’homme, et de la réconciliation entre chrétiens. Quant à son zèle missionnaire, bien avant la vague de la nouvelle évangélisation, il ne fait aucun doute.

    Mais la béatification annoncée souligne un paradoxe qui est peut-être la marque de fabrique de François l’Argentin, dont on sait qu’il se dit « un peu rusé ». La multiplication des hommages rendus à ses prédécesseurs revient à banaliser la canonisation de Jean Paul II pour, en quelque sorte, réhabiliter la période qui l’a précédé et qui a fait l’objet de très nombreuses critiques sous son règne et celui de son successeur. Cela ne peut avoir échappé au pape jésuite. François « canonise » finalement Vatican II dans sa totalité – ce concile que Paul VI a parachevé, dont il a promulgué les principales constitutions et dont il a assuré la mise en œuvre. Personne n’est d’ailleurs plus détesté par les intégristes que le successeur de Jean XXIII, poursuivi à titre posthume par une haine obsessionnelle, pour son missel comme pour sa théologie. Sa béatification marque donc une forme de rupture avec Benoît XVI sur un point important : la priorité donnée à la réconciliation avec la Fraternité Saint-Pie-X. Même si Mgr Fellay, le supérieur de cette communauté dissidente, a été récemment reçu à la Casa Santa Marta, le pontificat du pape François lui fait en réalité horreur et la béatification de Paul VI n’arrangera certainement pas les choses.

    Réf : Vatican II béatifié

    Comment  lutter contre l’instrumentalisation de la reconnaissance et du culte  des  saints ?  Elle est beaucoup plus gênante que l’inflation et la banalisation de cette pratique traditionnelle dans l’Eglise catholique romaine. JPSC

  • Les parents divorcés ne sont plus seuls dans l’Église

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    Sur le site de « Famille Chrétienne" »

    « Est-ce que l’expression « parent seul(e) » après une séparation ou un divorce est encore adaptée dans l’Église ? Plus vraiment.

    De nouvelles propositions d’accueil et d’accompagnement à la fois humain et spirituel se multiplient. Certes, elles sont sans doute encore trop peu nombreuses, mais des retraites spécifiques sont proposées par des communautés telles que Cana, l’Emmanuel, les Béatitudes, le Foyer de Charité de Combs-la-Ville…

    Que ce soit lors d’une session d’été ou d’un simple week-end, chaque séjour offre l’occasion de déposer son fardeau, de s’apaiser pour se reconstruire auprès du Seigneur. Une condition indispensable pour continuer à tenir son rôle de parents, d’éducateur. Parfois les enfants y ont une place de choix, et eux aussi en ont grand besoin.

    Il ne s’agit pas de « sessions-sparadraps », mais d’un vrai chemin de résurrection et d’appel à la conversion proposé en ces lieux, dans une fidélité à l’Évangile et au magistère de l’Église. Elles inaugurent déjà ce que le pape François appelle de ses vœux car il en sent l’urgence : une meilleure pastorale des personnes divorcées. Et ça, ça vaut le coup de le faire savoir !

    Bénédicte Drouin »

    Aujourd’hui à Rome, le Père Éric Jacquinet, 48 ans, a eu en charge d’accompagner des...

    À Paray-le-Monial, depuis maintenant cinq ans, un parcours spécial pour les personnes divorcées...

    Nul n’est exclu, l’Église propose un chemin de sainteté pour chacun. C’est là...

    La pastorale des échecs conjugaux constitue de nos jours un grand défi pour l'Église. Tout...

     Ref. Les parents divorcés ne sont plus seuls dans l’Église

    Mieux que de focaliser sur la revendication d’un « droit » à l’eucharistie pour les divorcés-remariés…

    JPSC

  • "Toi, Joseph de Nazareth", un livre du Frère Marc de Tibériade

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    Pour qui souhaiterait plus d'information concernant la Fraternité de Tibériade:
    http://www.youtube.com/watch?v=Z_ZmQfbeGL4

  • Le pape rappelle le caractère inviolable de la vie humaine à l'ONU

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org (12 mai) :

    Le pape François rappelle le caractère "inviolable" de la vie humaine devant l'ONU

     Le 9 mai, à Rome, devant le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, et les membres du Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination (CCS), le pape François a rappelé le caractère "inviolable" de la vie de chaque frère, "depuis sa conception jusqu'à son terme naturel". 

    Prenant la parole en premier, le Secrétaire général de l'ONU a rendu hommage au pape argentin pour son engagement personnel "pour éradiquer la pauvreté" et "pour la dignité humaine". En réponse, le pape François a remercié tous les membres de l'ONU, "principaux responsables du système international, pour les grands efforts accomplis en faveur, [notamment] [...] du respect de la dignité humaine, de la protection de la personne"Il les a ensuite fortement appelés à "s'opposer à l'économie de l'exclusion, à la culture du rebut et à la culture de mort, qui, malheureusement, pourrait devenir une mentalité passivement acceptée". 

    Le même week-end, le pape François a apporté son soutien à la Marche pour la vie qui s'est déroulée au Canada et plaidé pour que " 'le droit inviolable à la vie de chaque personne' reçoive 'la protection légale adéquate' ". 

     AFP 9/05/2014 - Lifesitenews (Stefano Gennarini) 09/05/2014 - Zenit.org 09/05/2014
  • Fraternité Saint Pie X-pape François : salutations distinguées…

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    Lu sur le blog « Salon beige » :

     « Précision de Dici, organe d'informations de la FSSPX, sur la rencontre entre le pape et Mgr Fellay :

    "Le 13 décembre 2013, Mgr Fellay et ses assistants se sont rendus à Rome, à la demande de la Commission Ecclesia Dei, pour une rencontre informelle.

     A l’issue de cet entretien, Mgr Guido Pozzo, secrétaire de la Commission, a invité ses interlocuteurs à déjeuner à la salle à manger de la Maison Sainte-Marthe où ils ont été rejoints par Mgr Augustine Di Noia, secrétaire-adjoint de la Congrégation de la foi. C’est dans ce vaste réfectoire que le pape prend quotidiennement ses repas, à l’écart des autres convives.

    Mgr Pozzo a tenu à présenter Mgr Fellay au pape au moment où celui-ci quittait la salle à manger. Il y eut un bref échange où François a dit à Mgr Fellay, selon la formule de politesse habituelle, « enchanté de faire votre connaissance » ; à quoi Mgr Fellay a répondu qu’il priait beaucoup, et le pape lui a demandé de prier pour lui. Telle fut cette « rencontre » qui a duré quelques secondes."

    Réf. La FSSPX confirme la brève rencontre entre le pape et Mgr Fellay

    JPSC

  • Accès des divorcés-remariés à la communion: une lettre du Bangladesh

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    Un ami missionnaire au Bangladesh écrit à Sandro Magister. Son auteur est un missionnaire de l’Institut Pontifical pour les Missions Étrangères de Milan. Il écrit: "Si l’on avance dans la voie tracée par le cardinal Kasper, les dégâts vont être importants" . Publication sur le site « Chiesa »

     « Carlo Buzzi, 71 ans, originaire du diocèse de Milan, est en mission au Bangladesh sans interruption depuis 1975, en tant que membre de l’Institut Pontifical pour les Missions Étrangères.

    Pendant plusieurs années, il a peiné, tout seul, sans parvenir à réaliser une seule conversion. Puis le temps des premiers baptêmes est venu et ensuite les premières familles catholiques se sont constituées. Une goutte d’eau dans une mer de musulmans.

    Il s’est toujours montré très actif en faveur des plus pauvres. Par exemple en faveur des populations tribales, dont il s’est fait l’avocat, gratuitement, pour qu’elles parviennent à récupérer les terres dont elles avaient été illégalement dépouillées. Il a subi la bastonnade et on lui a jeté des pierres, il a affronté l’adversité, il a parcouru plusieurs centaines de kilomètres en moto pour se rendre dans les villages les plus reculés. Il a été s’installer aux côtés des populations tribales et des intouchables venus d'Inde pour travailler, en tant que manœuvres, à la construction d’un pont sur le Brahmapoutre, et auxquels s’opposaient les musulmans locaux. Il a construit des écoles, des dispensaires, des églises. Il les a reconstruites lorsqu’elles ont été détruites.

    Mais l'annonce de l’Évangile est toujours au centre de sa mission. Un Évangile prêché et vécu dans les formes les plus essentielles, les plus authentiques, sans compromis.

    On peut s’en rendre compte en lisant la lettre ci-dessous, qu’il a écrite au responsable de ce site web, dont il a été le camarade d’école lorsqu’ils étaient enfants, dans un petit village de Lombardie.

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