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Eglise - Page 1609

  • Les carmélites de Compiègne

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    carmelites_compiegne_a.jpgOn fête aujourd'hui les carmélites de Compiègne exécutées en raison de leur foi, sous la "glorieuse révolution française". Cet épisode a inspiré de nombreuses oeuvres dont "La dernière à l'échaufaud" de Gertrud von Le Fort ainsi que le fameux "Dialogue des Carmélites" de Bernanos, lui même transposé à l'opéra par Francis Poulenc.

    Evangile au Quotidien nous apprend qu'"en 1790, il y avait 21 sœurs au Carmel de Compiègne dont la plus âgée avait 75 ans et la plus jeune 26 ans. Chassées de leur Carmel en 1792, elles s'installèrent dans 3 maisons voisines. Lors d'une perquisition des révolutionnaires, ceux-ci trouvèrent des images du Sacré-Cœur (emblème vendéen et royaliste) ainsi que des lettres destinées à des prêtres réfractaires. Arrêtées, elles furent escortées jusqu'à Paris et là, jugées sommairement et guillotinées sur la Place du Trône (aujourd'hui, Place de la Nation). En montant sur l'échafaud, elles chantaient le Veni Creator et la mère supérieure donna la bénédiction à chacune avant d'être elle-même guillotinée. Seule une sœur en réchappa, absente le jour de l'arrestation, et publia un récit en 1836, basé sur de nombreux témoignages. Elles furent béatifiées le 27 mai 1906 par Pie X."

  • Le Grand-Duché de Luxembourg : pas un cadeau pour le nouvel archevêque...

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    Liberté Politique consacre une note au Luxembourg à l'occasion de la désignation du nouvel archevêque : "un nouvel archevêque sur fond d’assaut laïciste"

    Extrait :

    "...il y a donc au Luxembourg des liens forts entre la foi catholique, le pouvoir politique et les traditions populaires. Or depuis plusieurs années un processus de contestation est pourtant à l’œuvre, qui se donne pour objectif de déconfessionnaliser l’Etat. Un tel débat a ainsi été discuté à la Chambre des députés le 7 juin 2011, la Jeunesse Démocrate et Libérale (JDL) ayant à cette occasion exprimé le vœu de voir le Grand-Duché se laïciser, et « toutes les communautés cultuelles » devenir « autonomes par rapport à l’Etat et ainsi libres ».

    Concrètement, ce courant réclame la fin de la prise en charge des « traitements et pensions » des ministres du culte par l’Etat (article 106 de la Constitution), la suppression des cours de religion et de morale à l’école, ou encore l’abolition de l’entretien des lieux de culte. Certains députés ont aussi réclamé le mois dernier que désormais, le Te Deum auquel assiste la famille Grand-ducale chaque 23 juin soit retiré des célébrations officielles de la fête nationale. Et si l’idée n’a pas encore été concrétisée en 2011, rien ne dit qu’elle ne puisse pas faire son chemin.

    Si la pratique religieuse est en recul dans la population, comme dans la majorité de l’Europe, il est clair que la mutation du Luxembourg se joue particulièrement au niveau politique.

    Fonctionnant selon un modèle très comparable à celui de la Belgique, le pays compte traditionnellement trois forces principales, à savoir une droite chrétienne, un courant libéral (le PRV) d’inspiration philosophique proche des Lumières, et un courant socialiste. L’émergence des Verts, plus radicaux, a contribué depuis plusieurs années à accélérer le mouvement de laïcisation. Leur leader Jean Huss, cheville ouvrière de ce combat, avait déjà milité pour la dépénalisation de l’euthanasie, qui a été adoptée en 2009, sans que Jean-Claude Juncker, premier ministre chrétien social de centre-droit qui dirige le gouvernement luxembourgeois depuis 1995, n’y résiste.

    Avec un parti démocrate-chrétien luxembourgeois qui peine à promouvoir une doctrine sociétale forte et conforme à ses racines, on assiste à un mouvement une fois de plus comparable au schéma belge, avec une « coalition violette », réunissant les libéraux, les socialistes et les verts, qui en quelques années, a fait de la Belgique l’un des pays les plus progressistes d’Europe, autorisant l’euthanasie mais aussi le mariage homosexuel. C’est, selon toute vraisemblance, le scénario que l’on commence à voir émerger au Luxembourg, où l’Eglise catholique va immanquablement subir dans les mois et années qui viennent de nouveaux assauts idéologiques et médiatiques. Il faudra du courage à Mgr Jean-Claude Hollerich, tout comme à la famille Grand-Ducale, et un renouveau de volonté et de proposition politique à la droite chrétienne, pour chacun à leur place mais ensemble, maintenir vivante une tradition au service de l’homme et du bien commun."

    http://www.libertepolitique.com/

  • Une ère de reniement sans précédent

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    Les affaires de pédophilie dont on reparle à propos de l'Irlande posent la question de la fidélité des prêtres et des religieux aux engagements qu'ils avaient pris, solennellement, devant Dieu, devant leurs supérieurs, et devant l'Eglise toute entière. Depuis le dernier concile, le nombre de défections et de retours à l'état laïc de gens qui avaient consacré leur vie au Christ et à l'Eglise est proprement hallucinant.

    Et que dire des liens du mariage où les consentements échangés, en prenant Dieu et les communautés à témoin, ne pèsent vraiment plus très lourd, quelles que soient les conséquences pour le (la) partenaire que l'on abandonne et pour les enfants condamnés à faire le deuil d'une relation dans laquelle s'enracine pourtant leur existence.

    On pourrait y ajouter les serments prêtés par les enseignants lors de leur engagement, par les officiers lors de leurs promotions, par les médecins qui ont prononcé le serment d'Hippocrate, par les prêtres qui ont prêté le serment anti-moderniste, par les fonctionnaires et les élus lors de leur accession à des postes à responsabilité, etc. "Verba volant", voilà comment se sont évaporées aussi les formules prononcées avec émotion lors des professions de foi ou à l'occasion des promesses scoutes.

    Paroles, paroles, paroles ? Pourtant, une parole d'engagement n'est pas un simple énoncé, comme le fait de constater qu'il fait beau ou que l'euro est en mauvaise posture; c'est proférer des mots qui ont une dimension "performative", qui équivalent à une véritable action résultant de notre détermination, engageant notre être tout entier, corps, coeur et esprit. Renier ces paroles, c'est se renier soi-même, c'est compromettre la confiance que l'on pourra nous faire désormais, c'est détériorer l'estime que les autres et que nous-mêmes pouvons avoir à notre propre égard.

    Si l'on considère que la fidélité à la parole donnée constitue le ciment d'une société, il n'y a guère lieu de s'étonner du degré de délabrement de la nôtre.

    Heureusement que Dieu, Lui, reste fidèle, et d'une miséricorde infinie...

  • C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices

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    C’est vrai que nous sommes prompts à souligner les erreurs ou les déficiences, croyant œuvrer pour le bien, ce qui est une approche très insuffisante pour le faire réellement advenir, tant pour les autres que pour nous-mêmes. Dans l’évangile d’aujourd’hui (St Matthieu, 12, 1-9) se trouve cette phrase que commente l’abbé Josep Ribot i Margarit (Tarragone, Espagne) : «C'est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices» :Aujourd'hui, le Seigneur se rapproche du semis de ta vie, pour cueillir les fruits de sainteté. Trouvera-t-Il quand Il viendra de la charité, de l'amour pour Dieu et pour autrui? Jésus, qui corrige la casuistique méticuleuse des rabbis, celle qui rendait insupportable la loi du repos sabbatique: devra-t-il te rappeler qu'Il est seulement intéressé à ton cœur, à ta capacité d'aimer?

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  • Une Eglise très chinoise

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    C’était prévu et l’agence Zenit le confirme aujourd’hui :  « Huit évêques reconnus par le Pape ont participé ce jeudi 14 juillet, au matin, à l’ordination annoncée du père Joseph Huan Bingzhang, comme évêque de Shantou, dans la province chinoise du Guangdong, malgré le sévère avertissement lancé par le Saint-Siège.

    Certains affirment avoir été contraints et forcés par le régime. La célébration était présidée par le président de l’Association patriotique chinoise, en présence de quelque 1.500 personnes et sous l’étroite surveillance de la police.

    Les sanctions prévues par le code de droit canon sont l’excommunication aussi bien pour celui qui reçoit l’ordination sans autorisation que pour ceux qui l’administrent. Mais le code prévoit aussi des circonstances atténuantes pour ceux qui subissent des pressions.

    Il existe déjà un évêque de Shantou, nommé par le Pape et ordonné dans la clandestinité en 2006 (cf. Zenit du 13 juillet). Au cours des derniers mois, l’Association patriotique chinoise a recommencé à agir en toute autonomie par rapport au Saint-Siège »

    Ces cruelles déconvenues rappellent au Saint-Siège qu’il est difficile de négocier avec les idéologies inhumaines : en somme rien n’a changé depuis les années 1950. En son temps, ce n’est pas l’ « ostpolitik » de Paul VI qui a produit des résultats en Europe de l’Est mais l’implosion du système économique et social autarcique de l’empire soviétique. Les Occidentaux mercantiles, avides de « dialogue économique » pour tirer profit du  marché chinois, feraient bien de s’en souvenir aussi.

  • "Le tourment est indicible et l'humiliation totale", suite irlandaise

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    Ces mots, nous les empruntions au Cardinal Bagnasco, dans une note publiée ici le 24 mai dernier : (http://www.belgicatho.be/archive/2011/05/24/). Il nous faut malheureusement les appliquer à ces faits rapportés par nos confrères du blog "Osservatore Romano" qui publie aujourd'hui la note suivante sous le titre : "la désatreuse gestion de la crise des prédateurs sexuels par Mgr Magee" :

    "Nos confrères de « La Croix » nous informent de la publication hier d’un nouveau rapport relatif à la crise des abus sexuels commis par des clercs en Irlande. Ce rapport concerne notamment le diocèse de Coyne – il met en cause 19 prêtres ayant commis ces horreurs. Il met en particulier en cause la gestion laxiste de l’évêque, Mgr John Magee (qui avait démissionné en 2010). Pire encore, ce dernier, qui avait été secrétaire particulier de Paul VI, de Jean-Paul Ier et de Jean-Paul II, a reconnu avoir lui-même eu une « attitude inappropriée » avec un jeune homme désireux d’entrer au séminaire. Quand on pense que l’Irlande fut naguère « l’île des saints »…"

    Cet inventaire des horreurs commises par des gens consacrés sur des enfants n'en finira donc jamais? Et que dire de ces prélats gravement coupables de laxisme? L'Evangile évoque ceux qui scandalisent "un seul de ces petits" et le châtiment qui leur conviendrait: "Il vaudrait mieux qu'on lui mît une pierre de meule autour de son cou, et qu'il fût jeté dans la mer, plutôt que de scandaliser un seul de ces petits." (Luc 17, 2)

    Que ces scandales soient instrumentalisés contre l'Eglise par des médias hypocrites que l'immoralité ambiante n'embarrasse guère n'enlève rien à l'horreur objective de ces faits impardonnables. La honte et l'opprobre en rejaillissent sur nous tous, membres de l'Eglise, et nous avons cette impression de devoir boire jusqu'à la lie une coupe à laquelle nous n'aurions jamais voulu tremper les lèvres...

    Pour plus de précisions, voir ici : http://www.zenit.org/article-28492?l=french

  • Population : une curieuse dépêche de l'Agence Fides

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    Voici cette dépêche de l'Agence Fides, "Organe d'information des Oeuvres Pontificales Missionnaries depuis 1927", datée d'aujourd'hui :

    "La semaine prochaine sera célébrée la Journée mondiale de la Population. Selon l'ONU, au mois d'octobre, le nombre des habitants de la planète atteindra les 7 milliards. Les statistiques prévoient qu'au cours des dix prochaines années, certaines des nations les plus pauvres du monde verront leur population doubler, le seuil des 8 milliards d'êtres humains devant être atteint en 2025. A ce propos, vient d'être lancée la campagne « 7 milliards d'actions » ayant pour but de « faire prendre conscience de ce que veut dire vivre dans un monde ayant 7 milliards d'habitants et de commencer à prendre des mesures concernant des problématiques qui nous concernent tous » a déclaré le responsable exécutif du Fonds des Nations unies pour la Population (FNUAP), Babatunde Osotimehin, dans un communiqué diffusé par l'Inter Press Service.

    En outre, « nous devons nous engager pour l'avenir avec les jeunes, promouvoir les droits des adolescents et des femmes, sauvegarder les ressources naturelles desquelles nous dépendons tous » a-t-il ajouté. Il est prévu que cette augmentation aura un effet dévastateur sur environ 215 millions de femmes qui voudraient avoir accès aux services sanitaires en matière de « santé reproductive » et de « planification familiale » mais qui n'en auront pas la possibilité. Actuellement, les cinq pays les plus peuplés sont la Chine populaire (1,3 milliards d'habitants), l'Inde (1,2 milliards), les Etats-Unis (310,2 millions), l'Indonésie (242,9 millions) et le Brésil (201,1 millions).

    Une nouvelle recherche intitulée « La multiplication démographique de l'Afrique » relève que la population de ce continent a plus que triplé au cours de la seconde moitié du XX° siècle, passant de 230 à 811 millions de personnes. Le Nigeria, qui est le pays le plus peuplé d'Afrique, avec 158 millions d'habitants, arrivera à 730 millions d'habitants d'ici la fin du siècle, dépassant à lui seul l'ensemble de la population européenne, qui devrait quant à elle compter 675 millions de personnes. Actuellement, le Nigeria est la seule nation africaine ayant une population dépassant les 100 millions d'habitants mais il est prévu que ce seuil soit également atteint par la République démocratique du Congo, l'Egypte, l'Ethiopie, le Kenya, le Malawi, le Niger, le Soudan, la Tanzanie, l'Ouganda et la Zambie. (AP) (Agence Fides 14/07/2011)

    Sans entrer dans la discussion sur les perspectives d'accroissement démographique brandies par l'ONU, relevant de la politique de l'épouvantail, et qui mériteraient d'être analysées de plus près, il est curieux de voir Fides reproduire sans broncher les propos du responsable du FNUAP évoquant "215 millions de femmes qui voudraient avoir accès aux services sanitaires en matière de « santé reproductive » et de « planification familiale » mais qui n'en auront pas la possibilité."

    Sont-ce les 215 millions de femmes en question qui voudraient avoir accès à ces services ou sont-ce les lobbies de l'ONU qui voudraient le leur imposer, en sachant bien que derrière ces termes de "santé reproductive", il s'agit notamment de permettre et d'élargir le recours à l'avortement? Cela s'accompagne généralement de recommandations destinées à bannir les "discriminations basées sur l'identité sexuelle" pour combattre les dispositifs légaux existant dans les pays où l'on privilégie encore les unions hétérosexuelles et qui interdisent le "mariage" homosexuel et/ou l'adoption d'enfants par des couples de même sexe.

  • Les droits des personnes homosexuelles et la liberté de l'Eglise

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    Sur son blog, Jeanne Smits intitule une note (12 juillet) : 

    Quand l'ONU défend les droits gays, elle cherche à restreindre la liberté de l'Eglise

    "Tel est l'avis de Mgr Silvano Tomaso, représentant du Saint-Siège auprès du Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève, à propos de la récente résolution sur « l'orientation sexuelle et l'identité de genre » (voir ici le résumé du Salon beige). Pour l'archevêque, elle s'inscrit dans la cadre d'une politique générale de restriction de la liberté de l'Eglise."

    Voir la suite ici : Quand l'ONU...

    Voilà bien le péril que représente cette référence aux "Droits de l'Homme" (dont ne se privent pourtant pas certains milieux catholiques) dont le contenu n'est pas écrit une fois pour toutes mais est susceptible de modifications, d'ajouts, etc. On le voit bien avec l'enfant à naître qui ne bénéficie pas de protection au nom de ces droits; on le voit avec cette insistance sur les droits des personnes homosexuelles qui conduira bientôt à traîner devant les tribunaux ceux qui défendent la règle du mariage (par définition hétérosexuel), etc. La relativité de ces droits, susceptibles de redéfinitions sous l'action de lobbies, particulièrement aux Nations Unies, est évidente, et les conflits entre, d'une part, les partisans de ces droits à géométrie variable et, d'autre part, les tenants d'une loi naturelle immuable conforme à la vérité de l'homme apparaissent comme inévitables.

  • Vous avez dit : "14 juillet"?

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    "En septembre 2011 paraîtra le nouveau livre de Reynald Secher intitulé “Vendée, du génocide au mémoricide“. Alors que bon nombre de gens fêtent le 14 Juillet et  “respectent” les traditionnelles célébrations autour de la révolution française, voilà un livre qui pourrait jeter un nouveau pavé dans la marre, 25 ans après la parution de La Vendée vengée : le génocide franco-français (du même auteur) ."

    C'est sur NP et on y trouve une interview de R. Secher en ligne.

    A lire également, cet ouvrage de Jean DUMONT, La Révolution française ou les prodiges du sacrilège (Criterion, 1984) où l'historien démontre clairement que la première cible de la Révolution fut l'Eglise. En effet, dès le départ, c'est elle qui fut victime de spoliations (nationalisation des biens du Clergé), ensuite, de contraintes (constitution civile du clergé, suppression des ordres religieux), finalement, de persécution ouverte : déportation des prêtres réfractaires, exécutions, imposition de nouveaux cultes (de la Raison, de l'Etre Suprême), désaffectation des édifices religieux, destruction des symboles chrétiens)...

    La Révolution française ne fut pas seulement un bouleversement politique, elle fut la première de ces grandes révolutions culturelles (comme celle de 1917 en Russie ou celle de Mao en Chine) visant à "déprogrammer" toute la culture chrétienne enracinée depuis plus de 1500 ans. Ainsi, on ne pouvait plus donner de prénoms chrétiens aux nouveaux-nés, les localités portant des noms d'origine chrétienne furent rebaptisées, le calendrier chrétien fut remplacé par un calendrier républicain d'où disparaissaient toutes les fêtes chrétiennes et même le comput des années à partir de la naissance du Christ.

    Bien sûr, Napoléon abolit tout cela en signant le Concordat avec l'Eglise, mais qui peut dire que les semences révolutionnaires de haine du christianisme et de totalitarisme laïciste ne portent pas leurs fruits aujourd'hui?

  • Rencontre d'Assise : les déclarations se multiplient

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    Il est curieux de constater l'empressement d'un certain nombre de personnalités à voler au secours de l'initiative assez controversée de la prochaine rencontre interreligieuse d'Assise. Aujourd'hui, c'est Maria Voce, présidente des Focolari, précédemment, c'était le cardinal Levada et bien d'autres.

    Pour notre part, nous sommes plutôt attentistes, voire réservés, mais nous ne voulons pas faire de mauvais esprit. Nous sommes assez sensibles aux arguments de ceux qui craignent que ce type de rencontres comporte pas mal de risques : confusions, ambiguïtés, syncrétisme, etc.(ICI, par exemple)

    Cependant, nous voulons croire que Benoît XVI a pris la mesure de tous ces dangers et que, l'Esprit Saint aidant, le résultat pourrait nous surprendre positivement. Espérons.

  • Des trésors cachés sur l'action du pape Pie XII

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    Quand justice sera-t-elle enfin rendue à ce grand pape calomnié? Il semble qu'il faudra encore patienter trois ou quatre ans... Quand on pense à la rapidité avec laquelle la cause de certains de ses successeurs avance, on peut s'interroger sur la lenteur de ce processus.

    "Les Archives secrètes du Vatican vont publier d’ici trois ou quatre ans, des trésors cachés, dont des documents sur l’action du pape Pie XII pendant la seconde guerre mondiale.

    C’est Mgr Sergio Pagano, préfet des Archives secrètes qui l’a annoncé, lors de la présentation au Vatican de l’exposition « Lux in Arcana » organisée au Capitole sur ces Archives (cf. Zenit du 5 juillet 2011), en même temps que des documents choc sur le massacre des Arméniens et d’autres importants documents historiques.

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  • "Being catholics in China"

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    "L'Agence Fides a estimé nécessaire d'instituer le blog « Being catholics in China » en tant que moyen d'information et de formation destiné aux catholiques chinois de ce grand continent. Il s'agit d'un moment favorable de l'Esprit qui réclame une lecture attentive de la situation afin que l'Eglise, qui est chez elle dans toutes les nations et dans toutes les cultures, puisse exercer librement la mission qui lui a été confiée par le Christ. C'est pourquoi, au travers du blog, il sera possible de dialoguer et d'interpeller ceux qui sont chargés de coordonner l'activité d'évangélisation sur les questions qui concernent la Chine. Ce blog entend en outre constituer un instrument d'unité de l'Eglise en Chine avec toutes les Eglises du monde et avec l'Eglise universelle." (Agence Fides 13/07/2011)
    Adresse du blog
    http://catholicsinchina.blogspot.com