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Eglise - Page 671

  • Le plus jeune prêtre flamand vient d'être ordonné à Roulers

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    D'Olaf Verwaeghe sur le site https://kw.be/nieuws. Un jeune prêtre qui déclare n'avoir aucun problème avec le célibat et dont l'ordination sera suivie de trois autres. Une année 2020 qui commence sous d'heureux auspices pour les catholiques du nord du pays...

    © Stefaan Beel 

    Birger (27 ans) est le plus jeune prêtre de Flandre occidentale

    Dimanche après-midi, Birger Dassonneville a été ordonné prêtre par l'évêque de Bruges Lode Aerts dans une église Saint-Michel (Roulers) bondée. Originaire de Heule, à 27 ans, il devient ainsi le plus jeune prêtre de Flandre occidentale. Plus tard cette année, trois autres confrères suivront : Dave Vannieuwenhuyse, Gildas Cambia et Christophe Ghesquière.

    La célébration a commencé dimanche après-midi à 14 h 30, mais à partir de 14 h, on cherchait déjà une place dans l'église Saint-Michel. Près de 1 500 fidèles, sympathisants, famille et amis de Birger Dassonneville étaient descendus à l'église de Roulers pour assister à l'ordination du 'Heulenaar' de 27 ans. Parmi eux, le maire de Roulers, Kris Declercq, et des délégations ecclésiastiques de Bruges, de Louvain, d'Oxford et même de Rome. La sœur de Birger, qui vit au Canada, était également venue en Belgique pour cette occasion spéciale. (...)

    Plusieurs fois pendant la célébration, des applaudissements sonores de plusieurs minutes ont été adressés au prêtre à peine âgé de 27 ans. Une première fois lorsque Philippe Hallein, directeur de la formation sacerdotale de Bruges, a fait l'éloge de Birger. "Nous avons appris à le connaître et à le voir devenir la personne qu'il est aujourd'hui. Sa foi a été purifiée et renforcée ces dernières années", a-t-il déclaré. "Malgré le fait que Birger n'ait pas été épargné par les épreuves. Les questions de santé de sa mère Carine et aussi la mort de son père Luc en 2018 l'ont marqué. Pourtant, il a continué à marcher sur le chemin du Christ. Et cela l'a renforcé en sa détermination."

    Larmes

    Un deuxième grand applaudissement a retenti lorsque Birger exprima publiquement sa décision: un quadruple "oui, me voici" en réponse aux questions de Mgr Aerts. Puis le Heulenaar s'est couché, aux pieds de l'évêque, durant la litanie des saints. Alors que les invocations se faisaient pendant quinze minutes, le candidat prêtre gardait le visage au sol. L'imposition des mains de tous les prêtres présents, le chant africain lors de la remise de l'étole et de la chasuble du prêtre se sont bien déroulés. Après quoi Birger est tombé dans les bras de sa famille. Un moment émouvant. Toutes les personnes présentes ont joint leurs mains pour le plus jeune prêtre de la province. Ici et là, même une larme a coulé.

    Dans ses remerciements à la fin de la célébration, Birger s'est adressé aux centaines de personnes dans l'église. "Je suis très heureux de vous voir ici si nombreux", a-t-il déclaré. "Dans ma recherche, vous jouez un rôle incroyablement important. Vous le voyez autour de vous: c'est ce que l'Eglise a de meilleur. "(...)

    Lundi soir à 18 h, au Bremstruik à Roulers, la toute première célébration aura lieu, présidée par Birger Dassonneville. Dimanche prochain, il y aura une autre célébration d'action de grâce dans l'église Saint-Eutrope à Heule.

    Birger Dassonneville (27 ans), fils de feu Luc Dassonneville et Carine Vandeghinste, a grandi avec deux frères et une sœur à Heule près de Courtrai. Après avoir terminé ses études secondaires à Spes Nostra à Heule, il s'est inscrit en 2010 pour une formation de prêtre de six ans au Grand Séminaire de Bruges. En 2016, il a été ordonné diacre par l'évêque Johan Bonny d'Anvers, après quoi il a obtenu une maîtrise en théologie à l'université pontificale de la Grégorienne à Rome. Là, il a même pu participer à une messe avec le pape François. Dimanche après-midi, son ordination a ensuite suivi dans la grande église Saint-Michel de Roulers, où il a effectué son stage l'année dernière. Désormais, le jeune prêtre dirigera les célébrations du week-end dans l'une des églises de Roulers, mais passera les deux prochaines années à Paris du lundi au jeudi pour poursuivre ses études.

  • Sermon pour l'Epiphanie : "Chercher Dieu n'est pas facultatif"

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    Chercher Dieu n'est pas facultatif sur le blog de l'abbé Christophe Cossement (archive 2011) :

    (homélie de l’Épiphanie)

    Quelle ingéniosité dans les fêtes de Noël et de Nouvel An pour apporter de la lumière quand le jour baisse ! Maintenant les lumières sont éteintes, mais nous avons tant besoin de lumière. Ce n’est pas pour rien que Dieu se présente comme lumière qui vient sur le monde. Il correspond à un besoin réel de l’homme.

    Au point que des philosophes ont pu croire que Dieu était une projection de nos besoins. C’est une hypothèse que l’on ne pourra jamais écarter définitivement. Mais qui s’explique aussi si l’homme a un réel besoin du Dieu vrai et vivant, du Dieu qui est lumière. Dans le récit des mages, nous rencontrons tout homme qui cherche la lumière, qui la désire tellement qu’il est prêt à se confier à une étoile...

    Aujourd’hui il y a de fausses étoiles partout, qui mènent à des bergeries de mort, à la drogue, à la pornographie, au suicide des jeunes, à la violence de l’argent ou du fondamentalisme et, plus subtilement, aux ténèbres de l’égoïsme banal de nos sociétés comblées.

    Nous avons la grande mission de montrer l’étoile qui conduit au Christ ; et finalement de l’être nous-mêmes. Cette étoile elle se trouve dans la foi de l’Église, malgré ses péchés, dans les merveilles que la foi fait dans le cœur de ceux qui s’y livrent vraiment (quoi que c’est parfois difficile à voir, vu notre sale caractère, etc. Rappelez-vous l’histoire de la vieille religieuse acariâtre qui disait : vous imaginez ce que ce serait si je ne connaissais pas le Christ ?!!)

    La sensibilité à l’étoile, à la lumière, à Dieu qui est lumière, elle se trouve chez chacun, bien que souvent éteinte par un raisonnement faux selon lequel ce n’est pas important de se positionner en matière de foi car il y aurait une voie moyenne entre foi et non-foi, une voie neutre et on peut vivre en la suivant, en mettant entre parenthèse la question de Dieu, en vivant comme si Dieu n’existait pas.

    Il n’y a pas dans mon cœur une attente spéciale des ovnis ou du monstre du Loch Ness. Je peux vivre en me disant qu’il n’est pas important de tirer au clair le fait qu’ils existent ou n’existent pas. Mais il y a une attente spéciale de Dieu. Est-ce vrai ? Il suffit de regarder l’état de mon cœur lorsqu’il sombre dans l’insatisfaction, une vague colère, une vague rancune, tous signes qu’il est en panne de lumière divine. Il y a une attente spéciale de Dieu qui est lumière et je ne peux pas être neutre vis-à-vis de lui. Dès que je vis comme s’il n’existait pas, je me positionne. S’imaginer qu’il y a une voie neutre entre croire et ne pas croire, c’est s’imaginer qu’il y a une voie neutre entre voir et ne pas voir1.

    Au contraire la science nous fait nous poser la question en des termes abrupts, car elle montre un univers ordonné, organisé, où les lois de la nature sont compréhensibles et simples. Einstein était stupéfait de constater que la force de gravitation est fonction du carré de la distance (pas la distance exposant 2,0000004 ou quelque chose du genre, non ! 2, tout simplement). L’univers est mathématisable. Ce n’est pas banal ; il y a fort peu de chance qu’il l’ait été. Alors nous devons nous positionner sur son origine : est-ce possible que le hasard chaotique ait créé un univers compréhensible, ou devons-nous penser qu’une intelligence créatrice en est l’auteur ? Une intelligence créatrice avec laquelle notre propre intelligence a une parenté...

    « Nous, chrétiens, disons : “Je crois en Dieu le Père, Créateur du ciel et de la terre” — Je crois dans l’Esprit Créateur. Nous croyons qu’à l’origine, il y a le Verbe éternel, la Raison et non l’Irrationalité. Avec cette foi, nous n’avons pas besoin de nous cacher, nous ne devons pas avoir peur de nous trouver avec elle dans une impasse. Nous sommes heureux de pouvoir connaître Dieu ! Et nous nous efforçons de rendre accessible également aux autres la raison de la foi. »2

    C’est ce genre de recherche un peu intellectuelle qui amène les mages à la crèche de Bethléem. Avant cela ils sont passés par Jérusalem, par l’ouverture de la Bible, l’intérêt pour l’héritage de la foi d’Israël. Ils ont fait de la catéchèse ! Et ils peuvent arriver à Marie et Joseph, découvrir Dieu dans un petit enfant, et s’agenouiller devant lui. Ce n’est pas la suite logique ; cela demande d’avoir un cœur qui n’a pas les genoux trop raides, un cœur qui peut renoncer à l’orgueil de la raison et de l’auto-justification pour adorer, pour s’émerveiller de Dieu comme un enfant. Le Verbe par qui tout a été fait, venons l’adorer en descendant dans notre cœur, en retrouvant un regard émerveillé, en lui faisant l’offrande de nous-mêmes !


    1cf. Robert Spaemann, Réflexions sur la leçon de Ratisbonne du pape Benoît XVI, in Dieu sauve la raison, DDB 2008, p.131

    2Benoît XVI, Homélie à Ratisbonne, sur l’Islinger Feld, 12 septembre 2006

  • Pourquoi y a-t-il plusieurs dates pour l’Épiphanie ?

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    Lu sur le site du journal « La Croix » (archive, adapté pour 2020) :

    dyn003_original_310_352_gif_2573108_bc4deea8c323272ab1e2e44.gifC’est le lundi 6 janvier que tombe la fête de l’Épiphanie. Dans les églises, elle est pourtant célébrée ce dimanche 5 janvier. Trois questions pour mieux pour comprendre.

    1/QUEL JOUR TOMBE L’ÉPIPHANIE?

    Pour l’Église catholique, « l’Épiphanie est célébrée le 6 janvier », ainsi que le soulignent les Normes universelles de l’année liturgique et du calendrier (§37) annexées au Missel romain. Ce principe connaît toutefois des exceptions, en particulier dans les pays où le 6 janvier n’est pas un jour chômé, permettant ainsi aux fidèles de se rendre à la messe. Dans ces pays, l’Épiphanie est alors fixée « au dimanche inclus dans la période du 2 au 8 janvier ».

    C’est le cas en France qui connaît d’ailleurs cette exception depuis 1802 : le Concordat n’ayant conservé que quatre fêtes chômées (Noël, Ascension, Assomption, Toussaint), les autres fêtes de précepte avaient été déplacées au « dimanche le plus proche » par un indult du cardinal Caprara, légat du pape Pie VII.

    2/ D’OÙ VIENT L’ÉPIPHANIE?

    La fête de l’Épiphanie naît dans l’Orient chrétien où elle se développe parallèlement à celle de Noël en Occident, où elle est rapprochée de la fête païenne de Sol Invictus (du « Soleil invaincu »). La date du 6 janvier correspond d’ailleurs à celle de Sol Invictus en Égypte et en Arabie, où le calendrier lunaire en usage accusait un décalage de 12 jours avec le calendrier solaire des Romains.

    En Occident, cette fête est alors christianisée, rassemblant en un même événement les premières manifestations publiques de Jésus (c’est l’étymologie d’Épiphanie, du grec phaïnô, « faire apparaître ») : l’adoration par les mages, le baptême au Jourdain et les Noces de Cana.

    L’Épiphanie arrive en Occident vers 350 (elle est déjà fêtée à Lutèce en 361). À Rome, sa célébration insiste déjà plus sur l’adoration des mages, la célébration du baptême étant renvoyée, dès le VIIIe siècle, au dimanche suivant.

    La distinction entre l’Épiphanie et le Baptême ne sera toutefois entérinée qu’en 1570 par le Concile de Trente et ce n’est qu’après Vatican II qu’une véritable fête du Baptême sera instituée, en général le dimanche suivant l’Épiphanie. Quant aux Noces de Cana, elles sont marquées dans la liturgie le 7 janvier et le deuxième dimanche de l’année C (ce sera ainsi le cas le 17 janvier prochain).

    En Orient, l’Épiphanie (ou Théophanie) connaît une évolution inverse avec l’importation, au IVe siècle, de la fête de Noël à laquelle va se rattacher l’adoration des mages : l’Épiphanie se recentre alors davantage sur le baptême. Aujourd’hui encore, c’est d’ailleurs par une bénédiction des eaux que la fête est le plus souvent marquée chez les orthodoxes.

    3/ POURQUOI LES ROIS ET LA GALETTE?

    C’est Tertullien (vers 200) qui, le premier, a donné le titre de rois aux mages venus visiter Jésus à Bethléem. Leur nombre de trois rappelle les trois continents d’où ils étaient censés provenir, et leurs cadeaux soulignent que le Christ est à la fois roi (or), dieu (encens) et homme mortel (myrrhe), comme le décrira saint Ambroise de Milan au IVe siècle. Quant à leurs noms, Gaspard, Melchior et Balthazar, ils apparaissent pour la première fois dans un manuscrit du VIe siècle.

    La galette trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique, célébrées au moment du solstice d’hiver et qui se terminaient par la fête deSol Invictus. Lors de ces fêtes païennes, les Romains avaient l’habitude d’inverser les rôles (ainsi entre maîtres et esclaves) et utilisaient la fève d’un gâteau pour désigner le « Prince des Saturnales » qui voyait tous ses désirs exaucés le temps d’une journée. La coutume voulait que le plus jeune de la maisonnée se place sous la table et nomme le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service.

    En Orient, lors de la fête de saint Basile, le 1er  janvier, la tradition est aussi de placer une pièce d’or dans le gâteau de Saint-Basile (Vassilopita).

    Nicolas Senèze »

    Ref. Pourquoi y a-t-il plusieurs dates pour l’Épiphanie ?

    Le calendrier liturgique traditionnel de l’Eglise latine fixe aussi la fête de l’Epiphanie au 6 janvier. Dans les pays où le jour de la fête n’est plus chômé (il l’est encore dans plusieurs Länder allemands, en Italie, en Espagne ou au Portugal), la célébration de la solennité de la fête peut être reportée aux messes du dimanche qui suit. Le samedi 11 janvier 2020, Liège fête les rois à l'église du Saint-Sacrement à 17h00...

    JPSC

  • Quand les évêques promeuvent une journée de l'enfant à naître

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    En Grèce, dimanche dernier (29 décembre), c'était la première célébration du "jour de l'enfant à naître". C'est le 9 juillet que le Saint-Synode (assemblée des évêques de Grèce) avait pris la décision de fixer un jour de l'enfant à naître, en prenant officiellement position contre l'avortement.

    Le Saint Synode de l'Église de Grèce a présenté dans une circulaire le dimanche après la naissance du Christ comme jour pour protéger le nouveau-né" :

    "Nous exhortons tous les citoyens de notre pays à participer activement à cette journée dont l'institution débute. Chaque être humain, dès le premier moment de sa fécondation, "au moment de la conception", est unique, sans précédent et digne de toute protection.

    Son droit à la vie doit être non négociable. Mais les crimes qui ont lieu dans notre pays sont bien connus de tous, avec des fleuves de sang innocent et sans défense qui coulent chaque jour. Le fait n'est pas seulement une catastrophe nationale, mais, plus important encore, un péché brutal devant le Dieu vivant. Aujourd'hui (...), tous les Grecs, nous devons nous repentir devant le Dieu saint et pleurer les plus de 300 000 enfants qui sont tués chaque année en Grèce.

    Avec notre repentance, nous attirerons la miséricorde de Dieu. Nous nous associons tous au deuil national et au repentir de cette pandémie et prions pour que cette horrible impasse se termine."

  • Liège : fêtez les Rois le samedi 11 janvier prochain à 17 heures à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Une manifestation ouverte à tous. Entrée libre.

    epiphanie2020.jpg

    La Solennité de l’Epiphanie organisée à Liège le samedi 11 janvier prochain à 17 heures en l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132), est une fête familiale, avec la procession à la crèche, le partage de la galette des rois et l’échange des vœux pour l’an nouveau au cours d’une réception clôturant la célébration. La messe sera animée par les membres du chœur de chambre liégeois  « Praeludium » dirigé par Patrick Wilwerth ainsi que le chœur grégorien de Gand « Schola feminea trunchiniensis » placé sous la direction de Peter Canniere.

    Au programme : les chants grégoriens de la Fête, une messe baroque et des motets polyphoniques pour le temps de la Nativité ainsi que des noëls interprétés à l’orgue.

    Fondé en 1994 par Patrick Wilwerth, le chœur de chambre Praeludium est un ensemble vocal de haut niveau dont la plupart des membres sont issus des académies de musique de la région liégeoise. Son répertoire va de la musique ancienne à  la musique contemporaine. Patrick Wilwerth est aussi directeur artistique du chœur universitaire de Liège et professeur d’orgue au conservatoire de Verviers

    La Schola Trunchiniensis est un Ensemble vocal féminin formé au Centre Grégorien de Tronchiennes (Gand) sous la direction de Peter Canniere, qui est également directeur artistique du Gregoriaans Koor van Leuven.

    Autour de la crèche 

    Petits et grands découvriront aussi une centaine de jolis santons liégeois

    habillés à l’ancienne

    pour illustrer en quinze tableaux les récits de l’enfance de Jésus :

    affiche_santons.jpg

    Tous renseignements:

    portable 0470 94 70 05 ou email abbedor@gmail.com 

    ________________________________

    Sursum Corda asbl, Association pour la sauvegarde de l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, 132 à Liège. Siège social : Rue Vinâve d’île, 20 bte 64. Tel. 04.344.10.89.

    E-mail : sursumcorda@skynet.be. Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    L'ASBL Sursum Corda, propriétaire de l'église du Saint-Sacrement (Boulevard d'Avroy à Liège), va lancer cette année 2020 d'importants travaux de restauration sur ce bel édifice du XVIII° siècle. 

    Restauration_depliant - Copie.jpgFaire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement ?  Pour contribuer à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire un don fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.  

    Pour en savoir plus sur les enjeux de cette importante opération, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?  

     Visionner la video diffusée sur youtube pour promouvoir la restauration du bâtiment ? cliquez ici: https://www.youtube.com/watch?v=viKf2ESmNCQ&t=13s 

    Tous renseignements : Tel. 04 344 10 89.

    JPSC

  • Le pape invite les médecins à "tendre constamment à la dignité et à la vie de la personne, sans jamais céder à des actes de nature euthanasiste"

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    De Vatican News :

    Journée du malade: le Pape invite à se mettre sous le regard de Jésus

    Ce vendredi 3 janvier 2020 a été rendu public du message du Pape François pour la 28e Journée mondiale du malade, prévue le 11 février prochain, centré sur les paroles de Jésus : «venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau et je vous soulagerai» (Mt 11, 28) ; un message dans lequel le Saint-Père rappelle notamment que le droit à la vie est le «vrai droit humain». Il y met aussi en garde contre les manipulations politiques de l'assistance médicale.

    Ces paroles de Jésus expriment sa solidarité avec l’humanité souffrante et affligée ; il pose sur elle son regard d’amour qui accueille, et invite chacun à entrer dans sa vie pour faire une expérience de tendresse. «Il n’impose pas de lois à ceux qui vivent l’angoisse de leur propre situation de fragilité, de douleur et de faiblesse, mais il offre sa miséricorde, c’est-à-dire sa personne qui les réconforte», affirme le Pape en préambule de ce message. Le Fils de Dieu nourrit ses sentiments «parce qu’il s’est fait faible lui-même» et a reçu à son tour le réconfort du Père.

    Les formes de souffrance sont diverses et nombreuses, -maladies incurables et chroniques, pathologies psychiques, handicaps, maladies de l’enfance et de la vieillesse-, et l’on ressent souvent dans ces circonstances un manque d’humanité, note le Pape, qui appelle en conséquence à personnaliser l’approche à l’égard du malade. Celui-ci, atteint dans son intégrité physique, mais aussi dans son intellect, son affectivité, ses relations, a non seulement besoin de thérapie, mais aussi de sollicitude, d’amour. Il s’agit donc, bien sûr, de le soigner mais surtout d’en «prendre soin», pour viser une «guérison humaine intégrale».

    Jésus porte son regard sur les personnes en souffrance

    Aux malades, le Pape rappelle que leur souffrance les place parmi les «fatigués et opprimés» qui «attirent le regard de Jésus». «C’est de là que vient la lumière pour vos moments d’obscurité, l’espérance pour votre réconfort», leur assure-t-il. «Certes, poursuit-il, le Christ ne nous  a pas donné de recettes, mais, par sa passion, sa mort et sa résurrection, il nous libère de l’oppression du mal».

    Pour ses frères et sœurs malades, l’Église désire être ce lieu de réconfort, ce havre de soutien, cette auberge du Bon samaritain qu’est le Christ. «Dans cette maison, vous pourrez rencontrer des personnes qui, guéries par la miséricorde de Dieu dans leur fragilité, sauront vous aider à porter la croix en faisant de leurs propres blessures des ouvertures par lesquelles regarder l’horizon au-delà de la maladie et recevoir la lumière et l’air pour votre vie». C’est dans cette œuvre de réconfort qu’agit le personnel de santé, composé «d’hommes et de femmes avec leurs fragilités et leurs maladies», précise François.

    C’est d’ailleurs à ce personnel soignant que le Pape s’adresse ensuite, leur soulignant que le substantif «personne» prime toujours sur l’adjectif «malade». A l’aune de cette considération fondamentale, le Pape met en exergue l’objectif  premier de leur action : «tendre constamment à la dignité et à la vie de la personne, sans jamais céder à des actes de nature euthanasiste, de suicide assisté ou de suppression de la vie, pas même quand le stade de la maladie est irréversible».

    La dimension transcendante donne au soin son sens ultime

    «Dans l’expérience de la limite et même de l’échec possible de la science médicale face à des cas cliniques toujours plus problématiques et à des diagnostics funestes, vous êtes appelés à vous ouvrir à la dimension transcendante, qui peut vous offrir le sens plénier de votre profession», affirme encore le Pape, qui rappelle que la vie appartient à Dieu, et que, partant, son caractère sacré et inviolable ne saurait être remis en question.

    Mieux encore, elle doit toujours être accueillie, servie et protégée, de la naissance à la mort. «C’est à la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, l’objection de conscience est pour vous le choix nécessaire pour rester cohérents au “oui” à la vie et à la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animé par la charité chrétienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain : le droit à la vie».

    Refuser toute manipulation politique de la médecine

    Le Saint-Père observe enfin que certains contextes de guerre ou de violences favorisent les attaques contre les structures de santé assistant les malades ; dans d’autres situations, «le pouvoir politique aussi prétend manipuler l’assistance médicale en sa faveur, limitant la juste autonomie de la profession sanitaire». En réalité, juge-t-il, «attaquer ceux qui se consacrent au service des membres souffrants du corps social ne profite à personne».

    Et de conclure en lançant un appel aux institutions sanitaires et aux gouvernants de tous les pays du monde «afin qu’ils ne négligent pas la justice sociale au profit de l’aspect économique. Je souhaite qu’en conjuguant les principes de solidarité et de subsidiarité, il soit possible de coopérer pour que tous aient accès aux soins appropriés pour sauvegarder et retrouver la santé». Le Pape n’oublie pas les volontaires qui se mettent aux services des malades, et qui reflètent par leurs gestes de proximité, «l’image du bon Samaritain».

  • RDC: l’archevêque de Kinshasa pour l’arrêt de l’arrivée de ressortissants de pays voisins

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    Lu ce jour sur le site de la Libre Afrique : 

    Fridolin-Ambongo-678x381.jpg"L’archevêque de Kinshasa, Mgr Fridolin Ambongo, a appelé vendredi les autorités congolaises à convaincre les dirigeants de trois pays voisins « d’arrêter de déverser » leurs ressortissants dans l’Est troublé de la République démocratique du Congo (RDC), affirmant que le pays ‘est en danger'. « Il appartient au gouvernement d’assumer ses responsabilités pour convaincre » par les voies diplomatiques « les pays voisins particulièrement l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi d’arrêter de déverser (leurs) populations au Congo », a déclaré le cardinal Ambongo lors d’une conférence de presse à Kinshasa.

    Les Congolais d’origine rwandaise ou ougandaise qui sont là depuis des années, « personne ne peut contester leur nationalité congolaise. Ce qui fait problème, c’est le déversement des autres qui arrivent, et on essaie de les faire passer comme des Congolais », a affirmé le prélat.

    « Le cas le plus criant [est celui des] immigrés rwandais qui ont été chassés de la Tanzanie il y a quelques années et on a fini par les déverser au Congo » créant un « sentiment de frustration, de colère » ce qui, selon l’archevêque, « confirme qu’il y a un plan de balkanisation derrière » ces actes.

    « On ne peut pas fêter l’an 1 de l’alternance démocratique au pouvoir critiquable, pendant que dans l’est de la RDC les gens meurent », a-t-il dit en référence à la date du 24 janvier, qui marquera le premier anniversaire de l’arrivée au pouvoir du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui a succédé au président Joseph Kabila au terme d’élections contestées.

    Mgr Ambongo a effectué une visite la semaine dernière dans la région de Beni-Butembo dans la province du Nord-Kivu, zone en proie aux violences depuis 25 ans.

    « La situation de la population est dramatique. A cause de l’insécurité, la population a dû abandonner champs, villages, maisons, plantations », a détaillé le prélat.

    Plus de 200 civils ont été tués les deux derniers mois dans cette région au cours de massacres attribués aux ADF, plus d’un millier depuis octobre 2014.

    « Il faut une prise de conscience au niveau national sur le fait que notre pays est en guerre, que le pays est en danger », a insisté le prélat, appelant ses compatriotes à soutenir les militaires congolais qui se battent contre des dizaines de groupes armés locaux et étrangers.

    Parmi ces derniers, se trouvent les milices ougandaises des Forces démocratiques alliées (ADF), les Forces démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) et les rebelles burundais des Forces nationales de Libération (FNL).

    Fin décembre, l’ancien Premier ministre devenu opposant Adolphe Muzito avait appelé Kinshasa à « faire la guerre au Rwanda » et même à « l’annexer » pour rétablir la paix dans l’est congolais.

    La RDC entretient des relations difficiles avec ses voisins du Rwanda et de l’Ouganda notamment. Kinshasa accuse ces deux pays de vouloir la déstabiliser, quand ces derniers considèrent la RDC comme une base arrière de milices hostiles à leurs régimes."

    Ref. RDC: l’archevêque de Kinshasa pour l’arrêt de l’arrivée de ressortissants de pays voisins

    Jadis, entre le Rwanda, le Burundi et l’Est du Congo (Kivu et Ituri) les frontières étaient déjà  peu visibles quoique sous le contrôle tutélaire de la Belgique : elles sont devenues perméables depuis que l’autorité de l’administration coloniale belge s’est  effondrée,  dans les années 1960, livrant de vastes territoires transfrontaliers à l’anarchie, l’instabilité et d’incessantes guérillas tribales (plus qu’idéologiques ou religieuses) que ni l’ONUC (depuis 1960 jusqu’en 1964), ni la MONUC (créée en 1996) ni la MONUSCO (depuis 2010) onusiennes, ni (moins encore) les « forces » armées des pays riverains des Grands Lacs n’ont jamais réussi à juguler.  Is fecit cui prodest : le mal vient de ceux à qui il profiteet ceux-ci ont manifestement encore de beaux jours devant eux : dans l’Est africain comme au Conseil de sécurité de l’Onu.….

    JPSC

  • Verviers, 6 janvier (20H00) : Veillée pour la Vie à l'église Notre-Dame des Récollets

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  • Une année de l'Eucharistie pour renouveler et renforcer la foi

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    ADORATION EUCHARISTIQUE (SA VALEUR)

    De Vatican News :

    Le cardinal O’Malley annonce une année de l’Eucharistie dans le diocèse de Boston

    Pour l’archevêque de Boston, cette année a doit avoir pour principal objectif «d’aider les gens à mieux comprendre l’Eucharistie».

    Dans une lettre adressée à l’ensemble de l’archidiocèse, le cardinal Seàn Patrick O’Malley parle de sa propre expérience de l’Eucharistie, qu’il a découvert enfant, grâce à l’enseignement de ses parents. «Ils nous faisaient bien comprendre que c’était ce pour quoi nous allions à la messe, afin de participer à la même Eucharistie que le Christ partagea avec ses apôtres le soir de la dernière Cène, avant de souffrir et de mourir pour nous», écrit-il. Le cardinal américain évoque ses souvenirs personnels de dévotion eucharistique, comme les processions du Saint Sacrement, l’adoration, ou encore les hymnes apprises en espagnol et portugais durant la période du séminaire, disant encore espérer que ces dévotions puissent faire partie intégrante de la vie des paroisses de l’archidiocèse.

    Une exigence

    Le cardinal rappelle qu’une récente étude du Pew Research Center, publiée cet été, montrait que seul un tiers des catholiques américains croyait à la doctrine de l’Église sur l’Eucharistie et à la transsubstantiation. La convocation de cette année répond donc à une exigence. «J’espère et je prie que, grâce à cette initiative spirituelle, nous puissions inviter et encourager nos frères et sœurs à trouver la consolation du Seigneur à travers la participation à la célébration eucharistique, et d’autres prières devant le Saint Sacrement». «Comme catholiques, écrit encore le cardinal O’Malley, c’est dans l’Eucharistie que nous apprenons notre identité, que nous découvrons qui nous sommes, pourquoi nous sommes ici et ce qu’est notre mission en tant que disciples du Christ».

    Renouveler et renforcer la foi

    «En cette année de l’Eucharistie, nous avons tous l’opportunité  de renouveler et renforcer notre foi et notre proximité avec Dieu», affirme le cardinal, évoquant les temps difficiles vécus par l’Église et les fidèles.

    Et de conclure sa lettre, en rappelant que «nos vies sont un don de l'amour gratuit de Dieu, et l'Eucharistie est le symbole le plus profond de son amour pour nous. Jésus vient à nous dans l'humilité, dans la petitesse, de sorte que personne ne doit avoir peur ou être incertain de son acceptation».

  • Espagne : de sombres perspectives ?

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    Lu sur kath.net :

    Formation du gouvernement espagnol - Les catholiques tirent la sonnette d'alarme

     
     
     
     
     
    La coalition de gauche proposée est toute récente, mais elle suscite déjà de grandes inquiétudes: l'avortement et l'euthanasie vont-ils augmenter, y aura-t-il davantage d'idéologie de genre, va-t-on exproprier des biens de l'Eglise?

    Madrid (kath.net/pl) / Les dirigeants des deux partis PSOE (socialistes) et Podemos (extrême gauche) ont approuvé un programme de base pour une éventuelle coalition de gauche pour former un gouvernement espagnol. Cependant, ces deux partis ont encore besoin d'un autre parti dans leur coalition pour pouvoir gouverner, et il n'est pas certain qu'un autre parti puisse être trouvé.

    Les parents, les enseignants et les écoles catholiques tirent déjà l'alarme. Cette coalition pourrait signifier que l'avortement et l'euthanasie seraient légalisés dans une plus large mesure qu'auparavant, que l'idéologie de genre recevrait plus de place, que les chrétiens catholiques seraient attaqués dans divers domaines. Il pourrait même y avoir une expropriation des biens de l'Eglise.

    Les élections législatives espagnoles du 10 novembre 2019 n'ont pas abouti à une majorité claire. Le PSOE socialiste est sorti des élections comme le parti le plus fort, ayant remporté 28%, le Partido Popular chrétien-démocrate 20,8%. Podemos a gagné 12,86% et était ainsi derrière le VOX national conservateur (15%). La formation du gouvernement est considérée comme difficile.

  • Comment les catholiques ont édifié une civilisation

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    De Michel Janva sur le site du Salon Beige :

    Comment les catholiques ont bâti une civilisation

    « Je suis heureux de recommander le livre de William Slattery […] sur l’éthos de l’héroïsme et du génie qui a inspiré les bâtisseurs de la civilisation chrétienne – et qui peut inspirer les bâtisseurs d’une autre culture chrétienne à l’avenir, que ce soit en Afrique, en Asie, en Europe ou aux Amériques. » Cardinal Robert Sarah.

    L’ouvrage analyse le rôle de la religion catholique dans la construction de la civilisation occidentale d’une manière originale – non à travers le prisme d’un christianisme abstrait mais par le biais de personnalités catholiques concrètes, hommes et femmes ayant incarné la vision catholique de Dieu et de l’homme, du temps et de l’éternité, dans un contexte incertain et souvent tragique.

    Livre d’histoire à l’érudition impeccable, mais aussi livre traversé d’un véritable souffle épique, il rend toute leur vie, leur génie et leur fougue à des figures de pionniers qui surent poser les fondations d’un nouvel ordre sociopolitique qui devait leur survivre pendant des siècles. Ce faisant, il balaye le large spectre de ce que l’Occident leur doit encore aujourd’hui, de son idéal éducatif à son architecture, de sa musique à sa vision de l’économie – leur chef-d’œuvre étant sans doute un art inédit de l’amour.

    À l’heure où le catholicisme semble être entré, en Occident, dans un irrémédiable déclin, Comment les catholiques ont bâti une civilisation permet de reprendre toute la mesure de sa fécondité – passée et actuelle.

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  • Les 1600 ans de la naissance de sainte Geneviève (fêtée le 3 janvier)

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    On fête, cette année, le seize centième anniversaire de la naissance de sainte Geneviève. Il fait l'objet de célébrations, tout au long de l'année 2020, dans le diocèse de Paris : https://www.paris.catholique.fr/annee-sainte-genevieve-1600-ans.html 

    Du site de l'Eglise catholique à Paris :

    Sainte Geneviève

    Geneviève est née vers 420, au village de Nanterre, de parents chrétiens, agriculteurs aisés. Elle fut remarquée à l’âge de 7 ans par saint Germain d’Auxerre qui passait dans la région, et lui remit une médaille marquée d’une croix et la bénit.

    Sa piété était connue de tout le voisinage. A 15 ans, elle obtint de l’évêque de Paris de se consacrer au Seigneur et reçut le voile des vierges. Ses parents étant morts, elle vint vivre à Paris, mais fut persécutée par des gens qui la prenaient pour folle.

    Elle avait une grande dévotion pour saint Denis et obtint la construction d’une basilique sur son tombeau. Elle venait souvent y prier. Une nuit, le cierge qui éclairait sa route fut éteint par le vent, Geneviève le prit, et il se ralluma : cette scène est souvent représentée avec sa dimension symbolique : c’est la lumière de la foi qu’un démon éteint et qu’un ange rallume.

    En 451, les armées d’Attila envahissent la France. Par sa prière, Geneviève persuade les Parisiens de ne pas fuir, car les Huns ne vont pas attaquer Paris. En effet, ils se dirigent vers Orléans et seront vaincus aux Champs Catalauniques. Geneviève est alors considérée comme la patronne et protectrice de Paris. Elle sauva la ville une nouvelle fois quand les armées franques en avaient bloqué tous les accès. Geneviève fréta une flottille de bateaux, remonta la Seine et l’Aube jusqu’à Arcis, et revint avec onze bateaux de nourriture qu’elle distribua aux pauvres en priorité. Geneviève est souvent représentée en bergère, symboliquement elle guide son troupeau de Paris.

    À partir de 481, Geneviève entretint de bonnes relations avec le roi Clovis et la reine Clotilde. Elle mourut vers 500. Clovis et Clotilde firent élever une église sur son tombeau, ce qui donna le nom à la colline “Mont sainte Geneviève”. Ses reliques étaient portées en procession lorsqu’un malheur menaçait Paris. Ses restes furent brulés en place de Grève en 1793 par les révolutionnaires.