Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 341

  • Six religieux massacrés par les soldats de la Révolution vont être béatifiés

    IMPRIMER

    De Michel Janva sur le Salon Beige :

    Béatification de moines martyrs de la Révolution à l’abbaye cistercienne de Casamari

    En janvier 1799, Naples est occupée par les Français, en avril de la même année, l’armée révolutionnaire subit plusieurs défaites contre l’Autriche et cette circonstance conduit les troupes françaises à se diriger vers le nord. Dans la retraite, les Français ont commis toutes sortes de ravages et de meurtres, s’en prenant particulièrement aux églises et aux monastères. Les soldats français étaient imprégnés d’idées révolutionnaires, contraires à l’Église et à la foi chrétienne. Le 13 mai 1799, après avoir saccagé l’abbaye de Montecassino, vingt soldats sont entrés dans l’abbaye de Casamari à la recherche d’objets précieux à piller.

    Les Serviteurs de Dieu ont résisté avec un courage héroïque pour défendre l’Eucharistie, les vases sacrés et les vêtements de la profanation. Ils ont été tués avec férocité avec des coups de sabre et de baïonnette.

    • Siméon Cardon est né à Cambrai, il a fait sa profession religieuse le 4 août 1782, au monastère bénédictin de la Congrégation de San Mauro à Saint-Faron de Meaux. Pendant la Révolution française, il s’oppose publiquement à la Constitution civile du clergé et, en 1795, il doit fuir la France, se réfugiant à l’abbaye de Casamari. En 1798, Après avoir été trésorier, il est devenu prieur de l’abbaye. Il s’est distingué pour sa sainteté de vie et surtout pour sa charité envers les malades. Il mourut le 14 mai 1799, après avoir été abattu par des soldats français.
    • Domenico Maria Zawrel, né en 1725 à Cadovio (aujourd’hui République tchèque), est d’abord devenu religieux dominicain. Se sentant attiré par la vie monastique, en 1776, il demanda à entrer à l’abbaye de Casamari, faisant sa profession religieuse le 6 juin 1777. Il était apprécié pour sa vie de prière et pour sa sagesse. Il a été tué dans la nuit du 13 mai 1799.
    • Albertino Maria Maisonade, né à Bordeaux. En 1792, il entra à l’abbaye de Casamari, où il fit sa simple profession le 20 novembre 1793, comme moine choriste. Le 13 mai 1799, il fut tué de deux coups de pistolet, alors qu’il priait avec Domenico Zawrel.
    • Zosimo Maria Brambat, né à Milan, entra à l’abbaye de Casamari en 1792. Il fut admis au noviciat en 1794 et, le 20 novembre 1795, fit sa simple profession. Après avoir été attaqué et mortellement blessé le 13 mai 1799, il mourut trois jours plus tard, le 16 mai 1799, alors qu’il se rendait à Boville Ernica (Frosinone, Italie), souhaitant recevoir les derniers sacrements.
    • Modeste Maria Burgen, originaire de Bourgogne, avait été trappiste à l’abbaye des Sept-Fonti, qu’il a dû abandonner après le début de la Révolution française. Entré dans l’abbaye de Casamari en janvier 1796 en tant que novice, il prononce de simples vœux monastiques le 9 janvier 1797. Le 13 mai 1799, il est tué par des soldats français.
    • Mathurin Marie Pitri, né à Fontainebleau, est arrivé en Italie enrôlé, contre son gré, dans l’armée française. À Veroli, il a été hospitalisé pour une maladie grave et là, il dit à Simeone Cardon sa volonté de devenir moine cistercien s’il était guéri. Après la maladie, caché dans la maison du curé de l’hôpital de Veroli qui l’a accompagné à l’abbaye de Casamari, il a été accueilli en janvier 1799. Il a été abattu le 13 mai 1799.

    Alors que la plupart des moines essayaient de se sauver, les Serviteurs de Dieu ont résisté avec un courage héroïque pour défendre l’Eucharistie, les vases sacrés et les ornements de la profanation. Ils ont été tués avec férocité avec des coups de sabre et de baïonnette.

  • "Jésus, splendeur de Dieu et salut du monde" : quand Mgr Léonard nous offre une synthèse lumineuse de la Révélation chrétienne

    IMPRIMER

    jesus-splendeur-de-dieu-et-salut-du-monde

    Jésus, splendeur de Dieu et salut du monde
     
    Mgr André Léonard nous offre une synthèse lumineuse et accessible de la Révélation chrétienne, de la création jusqu'à la Parousie et à ce que l'on peut esquisser des fins dernières, remarquablement bien expliquées ici.

    S'appuyant sur les catégories classiques du beau, du bien et du vrai, il nous montre comment Jésus les transfigure dans sa Gloire, son Drame et sa Vérité. En 222 courts paragraphes, nourris de citations bibliques et de la grande « Trilogie » de Hans Urs von Balthasar, il nous donne à contempler Jésus manifestant Dieu et sa Gloire, bataillant pour nous et nous enrôlant par l'Esprit contre le mal, révélant ainsi le vrai projet et la logique divine : apporter le salut à notre monde parce qu'il l'aime.

    L'Esprit Saint nous conduit au Fils qui nous révèle la grâce et la bonté d'un Père qui n'est qu'amour.

    L'auteur : Né en 1940, Mgr André Léonard est archevêque émérite de Malines-Bruxelles. Il a publié de nombreux ouvrages de théologie ou de philosophie, qu'il a enseignée à l'université de Louvain. Il est une des voix les plus marquantes de l'Église catholique contemporaine.

    https://www.librairietequi.com/A-69803-jesus-splendeur-de-dieu-et-salut-du-monde.aspx

  • Les 94 ans de Benoît XVI

    IMPRIMER

    D'Agnès Pinard Legry sur Aleteia.org :

    Joyeux anniversaire Benoît XVI !

    BENEDICTUS XVI

    Mazur-catholicnews.org.uk-(CC BY-NC-SA 2.0)

    15/04/21

    Le pape émérite Benoît XVI fête ce vendredi 16 avril son 94e anniversaire. Une année éprouvante en raison de la pandémie, bien sûr, mais aussi de la perte de son frère, le père Gerog Ratzinger, dont il était proche.

    Une voix qui faiblit mais une lumière qui demeure. Benoît XVI fête ce vendredi 16 avril ses 94 ans. Une nouvelle année que le pape émérite a vécu depuis le monastère Mater Ecclesiae, au cœur du Vatican, où il réside depuis sa renonciation en 2013. Une année de prière, de contemplation mais aussi douloureuse, notamment avec la perte de son frère, le père Georg Ratzinger.

    Son déplacement en Allemagne, dans la ville de Ratisbonne, le 18 janvier 2020 afin de se rendre au chevet de son frère Georg, 96 ans, gravement malade, aura d’ailleurs surpris tout le monde. Trop affaibli, le pape émérite ne se rend pas à l’enterrement mais suit la messe via internet. Il demande par ailleurs à son secrétaire particulier de le représenter et de lire la lettre d’adieu à son frère lors de la célébration. « Béni sois-tu, cher Georg, pour tout ce que tu as fait, souffert et m’as donné ! », lit alors Mgr Gänswein.

    Par-delà les épreuves et les difficultés Benoît XVI, même au soir de sa vie, ne cesse d’offrir un bouleversant témoignage de foi. Lors de leur visite au pape émérite samedi 28 novembre au monastère Mater Ecclesiae, là où vit Benoît XVI, onze des treize nouveaux cardinaux présents ont été touchés par sa lumière et sa douceur. « Voir ce pasteur, cet homme, sur qui les années pèsent lourdement, mais en même temps lucide et souriant et avec le désir de communiquer l’expérience qu’il fait de l’Esprit, nous a beaucoup encouragés », a indiqué le cardinal maltais Mario Grech, présent lors de la visite, dans un entretien à Vatican News. « Il a essayé de nous encourager à aller de l’avant dans l’aventure avec le Seigneur ».

    Lire la suite

  • Un symposium sur le sacerdoce revisité à la sauce synodale

    IMPRIMER

    De Jeanne Smits sur son blog :

    Le cardinal Marc Ouellet prépare un symposium sur le sacerdoce revisité à la sauce synodale

    Synodalité, nouvelle approche des vocations au sein du « peuple de Dieu », réflexion sur le rôle des femmes dans l’Eglise et sur le célibat sacerdotal : lors d’un symposium sur le sacerdoce et les vocations à venir en février prochain au Vatican, aucun débat ne sera exclu. Et ce n’est pas forcément une bonne nouvelle, car ce que l’on sait de cet événement organisé par le cardinal Marc Ouellet, l’actuel préfet de la Congrégation pour les évêques, c’est qu’il entend revisiter la théologie du sacerdoce à l’aune de Vatican II, non sans s’appesantir sur le fameux « sacerdoce des baptisés » et la complémentarité des vocations dont le mariage ferait partie. Le tout en présence de plusieurs cardinaux et culminant dans un « envoi en mission » assuré par le pape François lui-même.
     
    Le cardinal Marc Ouellet, qui semble devoir être remplacé à la tête de la Congrégation pour les évêques d’ici au mois de juin, n’en est pas moins très proche du pape, et il restera, on le comprend, à un poste clef du dispositif actuellement déployé à Rome en vue d’un renouveau généralisé, et qui pourrait bien culminer à l’automne 2022 avec le synode des évêques sur la synodalité. Ces réformes que tout annonce (en particulier le synode pour les jeunes qui avait pour leitmotiv incongru cette même « synodalité », et le synode pan-amazonien) font l’objet de travaux convergents.
     
    Le Symposium pour une théologie fondamentale du sacerdoce a été présenté lundi à la Salle de Presse du Vatican par le cardinal Ouellet et il vise notamment à examiner la relation entre le sacerdoce ordonné et le sacerdoce des fidèles, comme l’indique Michael Haynes dans un article de LifeSiteNews dont je vais m’inspirer assez largement en traduisant librement plusieurs passages de ses propos.
     
  • Il y a deux ans, Notre-Dame...

    IMPRIMER

    Notre dame de paris images libres de droit, photos de Notre dame de paris |  Depositphotos

    L'éditorial de Guillaume Goubert sur le site du journal La Croix :

    Notre-Dame de Paris, notre cœur

    Deux ans après le drame, l’intérêt pour Notre-Dame de Paris continue de surprendre tous ceux qui œuvrent à sa restauration.

    Deux ans après, le mystère demeure. Comment un pays sécularisé comme le nôtre a-t-il pu être si profondément touché par l’incendie qui a frappé la cathédrale de Paris ? D’une certaine façon, la question se pose aujourd’hui avec plus d’acuité encore. Car les images de Notre-Dame en feu sidéraient et bouleversaient dans l’instant même. On aurait pu parier que la marée de l’émotion connaîtrait tôt ou tard son reflux. Tel n’a pas été le cas. Deux ans après, l’immense chantier de l’île de la Cité bénéficie toujours d’une très vive attention. Comment cela peut-il s’expliquer ?

    Le chantier, sans aucun doute, est passionnant et même fascinant. On a tremblé encore longtemps après la nuit terrible du 15 avril 2019. Il a fallu des mois de labeur pour conjurer les risques d’effondrement du grand vaisseau gothique puis pour démanteler la masse tordue par les flammes de l’échafaudage situé à la croisée du transept. Pour mener à bien cette tâche, des trésors d’habileté ont été déployés par les ouvriers cordistes ou par les ingénieurs en restauration. Les cintres de bois déployés pour soutenir provisoirement la voûte sont si beaux qu’on les regrettera sans doute le jour où ils seront démontés.

    Cela, pour autant, ne dit pas tout de la ferveur qui entoure Notre-Dame. En la voyant vaciller dans les flammes, les Français de toutes convictions ont senti remuer au fond d’eux-mêmes quelque chose d’unique venu du plus loin de notre histoire. « Un monde qui n’avait qu’à moitié disparu et dont on ressentait encore, au loin, les pulsations du cœur secret », selon l’écrivain François Sureau dans un texte donné à La Croix le lendemain du drame. C’est ce cœur qui est en train, jour après jour, de renaître et qu’il appartiendra aux catholiques, le jour venu, d’ouvrir tout grand à leurs contemporains.

    Lire la suite

  • Le pape critique ces catholiques qui veulent réformer l'Eglise mais qui ne prient pas

    IMPRIMER

    De Famille Chrétienne :

    Le pape critique ceux qui veulent réformer l'Église mais ne prient pas

  • Le schisme en Allemagne ? En fait, il a déjà commencé !

    IMPRIMER

    De Franca Giansoldati sur le site du Messaggero :

    Cardinal Brandmuller : "Ils veulent le sacerdoce féminin, le schisme en Allemagne a déjà commencé".

    4 avril 2021

    "Le schisme en Allemagne ? En fait, il a déjà commencé. Techniquement, on peut parler de schisme lorsqu'un processus est en cours qui conduit au détachement de la communion hiérarchique, du Pape". Le cardinal Walter Brandmuller, président émérite du Comité pontifical des sciences historiques, grand connaisseur de la dynamique de l'Église, a peu de doutes sur ce qui se passe. "Le schisme, en termes simples, est le refus de la communion hiérarchique à l'évêque ou au pape, quelque chose qui se passe sous nos yeux, il suffit de voir même les déclarations ou les prises de position de nombreux évêques allemands".

    Depuis longtemps, des appels ont été lancés en faveur de réformes substantielles, par exemple sur le front du célibat des prêtres, de l'ordination des femmes et aussi, dernièrement, de la bénédiction des couples homosexuels...

    " La demande la plus pressante de ces réformes vient avant tout des responsables du catholicisme organisé, des mouvements, du Comité central des catholiques allemands, qui dépendent alors pour la grande majorité des structures ecclésiastiques car, ne l'oublions pas, l'Église catholique est le deuxième employeur après l'État en Allemagne. Pour en revenir au schisme, il faut faire attention à ne pas confondre deux aspects, le schisme et la dissension sur le plan doctrinal par rapport à la doctrine, car dans ce cas nous avons affaire à une hérésie. Dans le cas de l'Allemagne, nous avons ces deux aspects".

    Peut-être que ce n'est qu'une phase de crise passagère.....

    "La situation en Allemagne est à mon avis compromise car non seulement il y a un refus de la communion hiérarchique, mais il y a aussi des dissensions au niveau du magistère. Il peut parfois y avoir des désaccords qui n'impliquent pas nécessairement un schisme. Ce cas, cependant, est entièrement nouveau et, à mon avis, inquiétant".

    La distance avec Rome pourrait-elle être encore amplifiée ?

    "Comme je l'ai dit : dans ce cas, nous avons également un désaccord au niveau dogmatique sur les vérités de la foi. Ce qui implique le crime d'hérésie. Ce qui se passe en Allemagne est à la fois un schisme et une hérésie du point de vue dogmatique".

    Lire la suite

  • Ne pas confondre carême et ramadan

    IMPRIMER

    D'Annie Laurent ("petite feuille verte") (archive 9 mars 2013) :

    PFV n°9 : Le carême et le ramadan

    Dans l’Islam, le culte comporte cinq prescriptions que l’on appelle « piliers » : la profession de foi (chahâda), la prière rituelle (salât), l’aumône légale (zakat), le jeûne du Ramadan (sawm) et le pèlerinage à La Mecque (hajj).

    Le sens du mot « Ramadan »

    « Ramadan », mot dont l’étymologie évoque la chaleur brûlante, est le nom d’un mois sacré, le neuvième de l’année lunaire musulmane, durant lequel « le Coran fut descendu, comme guidance pour les hommes » (Coran 2, 185).

    Un jeûne obligatoire

    Pour le Coran, la prescription du jeûne durant le mois de Ramadan émane de Dieu Lui-même qui énonce aussi deux cas d’exemption, les voyageurs et les malades, quitte à eux de rattraper les jours perdus (2, 183-185). La tradition a étendu ces dispenses aux femmes enceintes (astreintes elles aussi au « rattrapage ») et aux enfants jusqu’à leur puberté.

    Les règles du jeûne

    Le Dieu du Coran précise les modalités de ce jeûne : « Mangez et buvez jusqu’à ce que se distingue pour vous le fil blanc du fil noir, à l’aube. Ensuite, faites jeûne complet jusqu’à la nuit » (Coran 2, 187). Il s’agit, du lever au coucher du soleil, de s’abstenir de toute consommation de nourriture et de boisson, y compris de la moindre goutte d’eau, de tabac et de relations sexuelles, sous peine de « rupture illicite du jeûne ». Même le fait d’avaler la salive est interdit. Dans certains pays musulmans, pendant le Ramadan, les dentistes ne travaillent que la nuit, afin d’éviter ce risque à leurs patients. Les cafés et restaurants sont fermés pendant la journée.

    La rupture légale du jeûne

    Dès le coucher du soleil, tous les interdits cessent. Les musulmans se retrouvent alors pour « rompre le jeûne » autour d’un repas festif, l’iftar, auquel ils convient leurs parents, leurs proches et leurs amis (y compris des non musulmans). La fête peut durer tard dans la nuit, la nourriture est souvent abondante et comporte des mets de choix. Les musulmans prennent par ailleurs une collation tôt le matin, avant le lever du jour.

    Lire la suite

  • Pourquoi l'Eglise ne peut pas autoriser la bénédiction des unions homosexuelles

    IMPRIMER

    Du père Xavier Dijon s.J. dans la Libre :

    L'Église doit-elle bénir les unions homosexuelles? Non, pour Xavier Dijon, prêtre jésuite et auteur de "La Raison du corps" aux éditions Bruylant.

    "L’Église considère que l’union homosexuelle n’est pas en tant que telle un chemin de sainteté. Mais attention, cela ne veut pas dire que les personnes homosexuelles ne peuvent pas devenir saintes : un homosexuel qui soigne son compagnon malade durant des mois est plus saint que moi."

    Le 15 mars dernier, la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), qui a pour mission, à Rome, de "protéger et promouvoir la foi catholique", publiait une note rappelant ce qui fut toujours la position de l’Église : elle ne bénit pas d’unions homosexuelles car elles ne sont pas "ordonnées au dessein" de Dieu, au contraire "de l’union d’un homme et d’une femme, ouverte en soi à la transmission de la vie". Comment pouvez-vous nous aider à comprendre la position du Vatican ?

    Une bénédiction est un acte qui engage l’Église, car elle donne à travers lui un signe de la grâce de Dieu. L’Église bénit donc des réalités qui sont bonnes : le repas, ou une maison par exemple. Dans la mesure où l’union homosexuelle - au jugement de l’Église et indépendamment des intentions subjectives des deux partenaires - ne correspond pas au plan de Dieu qui a créé l’être humain homme et femme, il est difficile de bénir cette réalité-là. Mais attention, on peut certainement bénir une personne homosexuelle, et le refus de la bénédiction de l’union comme telle n’est en rien un jugement porté sur ces personnes.

    Les personnes homosexuelles n’ont pas choisi leur homosexualité. Tout en disant que l’Église ne les marie pas, ne peut-elle pas, au moins, bénir leur union en reconnaissant que celle-ci peut être un chemin de bonheur et de sainteté ?

    La sainteté n’est pas seulement une affaire de bonnes intentions subjectives, et il y a selon l’Église une contradiction objective entre l’union homosexuelle et ce que Dieu révèle de lui-même et de nous dans la Bible. Cela ne veut pas dire que les personnes homosexuelles ne peuvent pas devenir saintes, mais que leur union n’est pas en tant que telle un chemin de sainteté.

    Lire la suite

  • La 12e Veillée de prière pour la Vie ce lundi sur KTO

    IMPRIMER

    La 12e Veillée de prière pour la Vie ce lundi sur KTO

    10/04/2021

    La Veillée de prière pour la Vie en présence des évêques d'Île-de-France a lieu ce lundi 12 avril, à 19h30. En raison de la crise sanitaire, l'événement, se tiendra à huis-clos. Il sera retransmis sur KTO, YouTube et Facebook.

    Les évêques d'Île-de-France se rassemblent à l'église Saint-Sulpice ce lundi 12 avril pour la Veillée de prière pour la Vie. Au-delà des moments propices à la prière, quatre personnes viendront témoigner de leur expérience de la crise sanitaire. Leur témoignage est suivi d'une adoration, d'une prière des évêques et d'une prière d’intercession et d’engagement. La veillée est commentée par Philippine de Saint Pierre.

    La Veillée de prière pour la Vie n'avait pas eu lieu l'an passé en raison du premier confinement. Cette année, le contexte sanitaire ne permet toujours pas aux fidèles d'y assister. Cependant, il est possible de déposer en ligne une intention de prière via ce formulaire.

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du 11 avril 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du dimanche « in albis » (1er dimanche après Pâques) :

    IMPRIMER

    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens (L. Schyns, G. Lahaye) : Aspersion d’eau bénite « Vidi aquam », Propre de la messe « Quasimodo » », Kyriale de la messe I (Xe s.), credo I (XIe s.), antienne mariale « Regina Caeli » (XIIe s.)

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici : https://youtu.be/i2_k7OP36Ds

    in albis 2009_04_638.jpgCe Dimanche s’appelle « Quasimodo », tiré des premiers mots de l’Introït de la messe du jour: « quasimodo geniti infantes », (comme des enfants nouveaux nés ayez soif d’un lait spirituel très pur…») ou dimanche « in Albis », car les chrétiens néophytes, accueillis en ce jour où s’achève l’octave de la fête de Pâques, venaient alors déposer le vêtement blanc de leur baptême pascal de nouveaux-nés à la vie en Dieu .

    Lire la suite