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Foi - Page 389

  • Causer une souffrance inutile aux animaux est contraire à la dignité humaine; l'éclairage de Marie Hendrickx

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    De zenit.org :

    Laudato si’: la souffrance des animaux, par Marie Hendrickx

    La sainteté, la réconciliation avec la nature et avec Dieu

    « Causer une souffrance inutile aux animaux est contraire à la dignité humaine », affirmait la théologienne belge Marie Hendricks dans un article publié par L’Osservatore Romano en italien en janvier 2001 et accessible ici en anglais sur le site de EWTN.

    Elle commentait en cela le Catéchisme de l’Eglise catholique. Un point important de ce Catéchisme aussi pour Joseph-Ratzinger Benoît XVI, ami des animaux depuis l’enfance: il en parle avec son biographe Peter Seewald…

    Elle souligne le lien entre la sainteté, la réconciliation avec la nature, de meilleures relations avec Dieu.

    Revenir sur cette réflexion bien en harmonie avec le « Temps de la Création », célébré du 1er septembre au 4 octobre 2020, et avec l’Année Laudato si’, est aussi une façon de rendre hommage à la théologienne, Auxiliaire de l’Apostolat, qui a travaillé dans l’équipe du cardinal Joseph Ratzinger à la Doctrine de la foi et nous a quittés le 16 août dernier à l’âge de 67 ans. Elle avait commencé sa formation universitaire par des études en communication, elle aurait pu être journaliste.

    La souffrance évitable

    Dans son article sur la souffrance des animaux, Marie Hendrickx explique notamment : « Il y a une souffrance qui frôle le mystère, le mystère de la présence du mal dans le monde. Cette souffrance est inévitable. Il y en a une autre qui appartient à la constitution de la création elle-même, qui peut être contrôlée. »

    « Dans le premier cas, explique la théologienne, la souffrance a été assumée par le Christ crucifié et il l’a transformée, en en faisant, pour lui et pour ceux qui le «suivent», le chemin qui mène à la vie en Dieu. »

    « Dans ce dernier cas, continue-t-elle, il est demandé à l’homme de ne pas la provoquer sans raison valable et de l’arrêter autant que possible. Ce devoir s’applique à chaque individu et aux autres avec qui l’individu est en contact. La prédication de Jésus et les écrits apostoliques sont pleins d’instructions de ce genre. Il suffit de citer la «règle d’or» proposée par Jésus, qui résume la loi et les prophètes: «Tout ce que vous voudriez que les hommes vous fassent, faites-leur» (Mt 7, 12; cf. Lc 6, 31; Rm 13, 8-10). »

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  • Covid-19 : pourquoi ils ne vont plus à la messe du dimanche ?

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    Déjà en chute constante depuis la crise ouverte de la foi qui a suivi le Concile Vatican II, l’assistance aux messes dominicales a-t-elle reçu le coup de grâce avec les célébrations virtuelles organisées durant l’interdit lié au confinement radical puis aux contraintes sanitaires (toujours en vigueur) édictées pour lutter contre la pandémie persistante du covid 19 ? Lu sur le site web du périodique « famille chrétienne » cet article réalisé par Hugues  Lefèbvre avec Guilhelm Dargnies :

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    « Avec la crise sanitaire, les catholiques iraient moins à la messe. Peur du virus ? Confort de la messe télévisée ? Découragement ou bien colère ? Enquête sur les raisons d’une désertion.

    Dix ? Vingt ? Trente pour cent ? Impossible de dire précisément combien de catholiques ont cessé d’aller à la messe le dimanche depuis la crise du Covid-19. Dès le 15 août, Mgr Patrick Chauvet (*), recteur de la cathédrale de Paris, s’alarmait du fait que 30 % des fidèles n’étaient pas revenus sur les bancs des églises. Une situation propre à Paris et aux grandes métropoles françaises ? Peut-être. Certains citadins ont profité des possibilités de télétravail pour partir prendre l’air. « Chez nous, on observe une baisse d’affluence à la messe, mais c’est trompeur et temporaire », veut croire le Père Stanislas Lemerle, curé de la paroisse Saint-Ferdinand-des-Ternes, dans le 17e arrondissement de la capitale. « Beaucoup ne sont pas rentrés. Ils ont passé le confinement à la campagne, dans leur résidence secondaire. À partir du moment où les activités paroissiales reprendront, les gens reviendront. » Une baisse conjoncturelle donc, résultat d’un effet de vases communicants. À Vannes, par exemple, on n’a pas noté d’évolution particulière. « Il n’y a pas eu de moindre fréquentation. Les paroissiens étaient contents de revenir à l’église, las de regarder la messe à distance, sur leur écran», explique Léon Bridaux, diacre permanent à la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes, Saint-Pie-X et l’Île d’Arz. 

    Pourtant, en sondant plusieurs diocèses, ruraux notamment, beaucoup partagent le même constat. « Partout où je suis allé depuis le déconfinement, je note qu’un certain nombre de personnes, âgées surtout, ne sont pas revenues à la messe », s’inquiète Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban. « Les remontées de prêtres confirment cette impression. Les familles sont là, les jeunes aussi, mais une partie du public plus âgé est craintif à l’idée de se rendre à l’église à cause du virus. »

    «Nous ne sortons pas tant que le virus se promène»

    Même son de cloche dans le diocèse de Strasbourg. De nombreuses paroisses du doyenné de Masevaux connaissent par exemple une baisse de fréquentation des messes. Le Père Gérard Ballast évoque un certain état d’esprit : « Depuis le confinement, l’état physique de certaines personnes âgées s’est aggravé. Il y en a trois que je rencontre souvent, à qui j’ai proposé d’apporter la communion. Les deux dames m’ont dit : “Nous ne sortons pas tant que le virus se promène.” Animatrice en pastorale et bras droit du vicaire épiscopal du diocèse de Strasbourg, Véronique Lerch sillonne ce dernier depuis des années. « Dans la moitié des communautés de paroisses, il manque des fidèles. Il s’agit de personnes âgées mais, dans certaines communautés, les coopératrices de la pastorale m’indiquent qu’elles n’ont pas encore d’inscription pour la préparation des sacrements. C’est la première année qu’il en est ainsi. Il faut dire que nous n’avions pas pu lancer ces inscriptions au printemps, lors du confinement. On en subit aujourd’hui la conséquence. » Toujours dans ce diocèse de l’est de la France, région fortement touchée par la crise sanitaire, le Père Frédéric Flota confie que la moitié des enfants de chœur (sur une quinzaine) de la communauté de paroisses de la Haute-Doller n’est pas revenue servir la messe. « Ceux qui restent sont ceux dont les parents étaient pratiquants », explique-t-il. Que sont devenus les autres ?

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  • Attention aux faux contentements de soi : 26e dimanche du Temps ordinaire

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    Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21,28-32.

    En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple : 
    « Quel est votre avis ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne.” 
    Celui-ci répondit : “Je ne veux pas.” Mais ensuite, s’étant repenti, il y alla. 
    Puis le père alla trouver le second et lui parla de la même manière. Celui-ci répondit : “Oui, Seigneur !” et il n’y alla pas. 
    Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier. » Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. 
    Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole ; mais les publicains et les prostituées y ont cru. Tandis que vous, après avoir vu cela, vous ne vous êtes même pas repentis plus tard pour croire à sa parole. » 

    Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

    Prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour le 26e dimanche du Temps Ordinaire (archive du 25 septembre 2011) (Mt 21, 28-32)

    http://www.delamoureneclats.fr / http://www.unfeusurlaterre.org

    Voir aussi : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume des Cieux

  • Dimanche 27 septembre 2020…

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     Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21,28-32.

     Jésus disait aux chefs des prêtres et aux anciens : « Que pensez-vous de ceci ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : 'Mon enfant, va travailler aujourd'hui à ma vigne'.

     Celui-ci répondit : 'Je ne veux pas. ' Mais ensuite, s'étant repenti, il y alla.

     Abordant le second, le père lui dit la même chose. Celui-ci répondit : 'Oui, Seigneur ! et il n'y alla pas.

     Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier ». Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu.

     Car Jean Baptiste est venu à vous, vivant selon la justice, et vous n'avez pas cru à sa parole ; tandis que les publicains et les prostituées y ont cru. Mais vous, même après avoir vu cela, vous ne vous êtes pas repentis pour croire à sa parole.

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  • "Résurrection", la suite de "la Passion du Christ" de Mel Gibson, est en voie d'achèvement

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    Du Figaro :

    La suite de La Passion du Christ de Mel Gibson est en bonne voie

    Le réalisateur a envoyé le scénario de Résurrection à son acteur principal, Jim Caviezel, déjà interprète de Jésus il y a seize ans.

    Jim Caviezel et Mel Gibson devraient se retrouver pour le tournage de Résurrection, la suite très attendue de La Passion du Christ.
    Jim Caviezel et Mel Gibson devraient se retrouver pour le tournage de Résurrection, la suite très attendue de La Passion du Christ. Icon Productions

    Jim Caviezel a lâché le morceau dans le média américain Breitbart news, la semaine dernière : Mel Gibson lui aurait envoyé la «troisième ébauche» du scénario de Résurrection, la suite de La Passion du Christ. Déjà interprète du Christ dans le premier volet, l'acteur américain devrait lui aussi ressusciter avec ce qui sera, selon lui, «le plus grand film de l'histoire».

    Tombé du pinacle malgré le succès commercial immense de la Passion du Christ, Jim Caviezel avait, selon lui, été boycotté par Hollywood pour le caractère polémique du film de Mel Gibson. Ciblé pour sa violence et pour ce qui fut considéré par certains comme une incitation à l'antisémitisme, la Passion du Christ, n'en devint pas moins le film indépendant le plus rentable de tous les temps, avec 612 millions dollars de gains pour un budget de production estimé à 30 millions de dollars environ.

    À LIRE AUSSI : Mel Gibson: «La suite de La Passion du Christ ? La Résurrection»

    Seize ans après, Jim Caviezel semble davantage guidé par sa foi et par la dimension historique du rôle que par des questions d'argent. Très croyant, l'acteur avait exposé à Fox News, en mars 2020, l'importance d'un tel film selon lui : « Les films produits aujourd'hui appartiennent à l'univers Marvel. Vous verrez Superman mais vous ne verrez plus JésusJe me dois de jouer le plus grand super-héros de l'histoire».

    Une Ascension attendue au box-office ?

    La Passion du Christ s'était concentré sur les douze dernières heures de la vie de Jésus, de son arrestation au Jardin des Oliviers jusqu'à sa crucifixion. Résurrection, relatera la sortie du tombeau au troisième jour et dépeindra les événements qui suivirent.

    Trouvera-t-on, telles les femmes venues l'embaumer, le tombeau vide ? Ou verra-t-on, de l'intérieur, la lumière éblouir Jésus sortant de son tombeau ? Comme annoncé en 2016, le scénario a été confié à Randall Wallace, pour qui le thème est familier, puisqu'on doit à celui qui suivit des cours de religion à l'université de Duke, la réalisation de Et si le ciel existait ? Quatre ans après les premières révélations sur cette suite très attendue, Randall Wallace serait donc toujours «l'homme de la situation» pour Mel Gibson.

  • Pourquoi préférer l’usage du chant des textes de la liturgie à leur pure et simple récitation

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    D'Isidore de Kiev sur le site "Esprit de la Liturgie" :

    Pourquoi chanter à la Messe ?

    Ceux qui ont fait l’expérience de se rendre à une Messe célébrée dans un rite oriental (catholique ou non) auront remarqué que la liturgie y est intégralement chantée. On chante même les lectures, c’est dire ! Or, nous voyons rarement ce genre de choses dans nos paroisses. C’est même plutôt le contraire : même à la Messe du dimanche, nous récitons, sans chant, le signe de croix, les lectures, le Credo, les intentions de la prière universelle, voire le Notre Père. Pourtant, il ne devrait pas en être ainsi ; et ce qui est de facto propre aux orientaux sur ce point précis était commun à toutes les Eglises apostoliques… donc aussi à l’Eglise d’Occident, l’Eglise de Rome.

    Le texte qui va suivre a été écrit par M. Peter Kwasniewski, théologien américain et grand défenseur de la forme extraordinaire du rite romain. Dans cet article, publié sur le site américain « New Liturgical Movement » et traduit par nos soins, il défend l’usage du chant des textes de la liturgie à l’encontre de leur pure et simple récitation.

    Avant de vous laisser découvrir sa prose, nous précisons que nous ne sommes pas nécessairement d’accord avec tous les propos tenus par M. Kwasniewski. Celui-ci a notamment attaqué la forme ordinaire du rite romain d’une manière que nous ne partageons pas le moins du monde.

    Enfin, selon l’usage d’un vénérable site internet, nous nous autorisons des commentaires [placés entre crochets et en rouge].

    Pourquoi chanter les textes liturgiques ?

    L’on constate que toutes les religions du monde comportent le chant de textes sacrés [C’est là un fait indubitable et pratiquement universel que toutes les religions comportent le chant de leurs textes sacrés]. Une convergence aussi surprenante indique qu’il y a une connexion naturelle entre le culte du divin et le chant des textes impliqués dans les rites, à savoir, une connexion basée sur la nature de l’homme, du chant et de la parole.

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  • Le Grand Bonheur de Nicolas Diat

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    Du site des Editions Fayard :

    Le grand bonheur

    NICOLAS DIAT

    Le grand bonheur

     
    Dans un récit exceptionnel, l’écrivain Nicolas Diat pousse les portes de l’abbaye bénédictine de Fontgombault pour faire découvrir la vie de ses soixante moines, et nous aider à comprendre le mystère du bonheur si doux qui les habite.  
     
    «  Venez, et voyez Fontgombault. Oh, il ne se passera rien de spectaculaire. Mais nos cœurs se réchaufferont. Une petite grâce mystérieuse soufflera. Nous regarderons la lumière traverser l’abbatiale, les arbres des vergers danser dans le vent, les moines marcher au loin, vers les coteaux. Les notes grégoriennes s’élèveront dans les hauteurs mystiques. Nous serons des enfants subjugués par les processions splendides. Nous resterons silencieux. Et nous verrons le beau, le merveilleux, le doux sourire des moines.  »
    C’est par ces mots que Nicolas Diat ouvre Le Grand Bonheur. Ce livre est une invitation à la joie, une invitation à nous faire découvrir la vie des moines pour nous aider à comprendre la paix qui les habite.
    Nous pénétrons dans un monde intemporel, une cité interdite, une société idéale. Pendant une année, nous suivons les bénédictins d’un monastère perdu du Bas-Berry, de la ferme au réfectoire, des ateliers d’art aux salles de classe, de l’infirmerie à l’hôtellerie, de l’imprimerie à la bibliothèque, de l’église au cloître, de la sacristie au scriptorium.
    Ces existences confinées, que l’on pourrait imaginer monotones, sont en réalité extraordinairement riches.  
    Transportés à Fontgombault par la plume évocatrice et délicate de Nicolas Diat, nous ne serons plus tout à fait les mêmes en refermant ce livre, et les portes de l’abbaye.
      
    Nicolas Diat est écrivain et éditeur.  Il est l’auteur d’un livre de référence sur le pontificat de Benoît XVI,  L’Homme qui ne voulait pas être pape (Albin Michel, 2014  ; Pluriel, 2018), d’Un temps pour mourir (Fayard, 2018  ; Pluriel, 2019  ; Prix du cardinal Lustiger, Grand Prix de l’Académie française), et co-auteur, avec le cardinal Robert Sarah, de Dieu ou rien (Fayard, 2015  ; Pluriel, 2016),  La Force du silence (Fayard, 2016  ; Pluriel, 2017  ; Prix Spiritualités d’aujourd’hui du Centre méditerranéen de littérature) et Le soir approche et déjà le jour baisse (Fayard, 2019  ; Pluriel, 2020). Ses livres, qui ont été des succès de librairie, ont reçu un accueil critique formidable et sont traduits dans de nombreux pays.
  • Pour mieux comprendre et mieux vivre la messe : le MOOC de la messe à partir du 28 septembre

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    Le MOOC (Massive Open Online Course) de la messe

    Mieux comprendre et mieux vivre la messe

     

    Le MOOC de la messe commence lundi 28 septembre 2020. À bientôt !


    À propos de ce MOOC


    C'est la première formation digitale entièrement gratuite sur la messe !

    Pourquoi aller à la messe ? Quelle est la signification des gestes, les rites ? Quel est le sens des lectures ? Lit-on les mêmes textes dans le monde entier ? C'est quoi la présence réelle ? Qu'est ce que cela veut dire "un mémorial" ? Pourquoi la messe est-elle une action de grâce ? Si pour vous aussi tout cela n'est pas très clair... ce MOOC est fait pour vous !

    Plus besoin de se déplacer, on peut suivre le MOOC du fond de son canapé ! Il suffit d’une connexion Internet, d’une tablette ou d’un ordinateur. C’est ouvert à tous, c’est facile d'accès et c'est intuitif. Nul besoin d'être technicien, nul besoin d'être théologien : le MOOC est accessible à tous, il suffit d'une connexion internet !


    Comment ça fonctionne ?


    Chaque semaine sont mis en ligne : 3 vidéos d'environ 7 minutes chacune, des documents pour aller plus loin, des prières, un travail dirigé à faire seul ou en groupe et un quiz.

    • Quand vous voulez : Ce cours est accessible 24h sur 24 pendant plusieurs mois : cela permet à chacun de suivre le MOOC à son rythme, à l'heure qui lui convient le mieux. Il est toujours possible de revenir sur une séquence précédente que ce soit pour la rattraper, parce qu'on a été absent ou pour l'approfondir. Les contenus restent en ligne jusqu’au 3 janvier 2021 et sont entièrement téléchargeables.
    • Avec qui vous voulez : Seul à son rythme, à deux ou en équipe pour se motiver et partager.
    • Comme vous voulez : Vous avez peu de temps ? Visionnez les 3 vidéos mises en ligne chaque semaine et faites le quiz, cela ne vous prendra pas plus de 30 minutes. Vous voulez approfondir ? De nombreuses ressources, des prières, des travaux dirigés, etc. vous permettront d'aller plus loin.

    Ce cours est interactif : grâce au forum vous pourrez poser des questions aux intervenants, échanger et partager avec la communauté des participants. Vous y apprendrez beaucoup, dans une ambiance conviviale.

    N’hésitez pas à suivre ce MOOC à plusieurs, il est aussi conçu pour cela !


    Quel est le programme ?


    6 semaines pour mieux comprendre et mieux vivre la messe.

    I/ Dieu nous invite pour se donner à nous.
    Semaine 1 : Heureux les invités !
    Semaine 2 : Le Christ nous donne sa vie et son corps pour notre salut

    II/ L'accueillir et participer à son sacrifice.
    Semaine 3 : Accueillir le Seigneur de tout son cœur
    Semaine 4 : Participer à son offrande par le don de nous-même

    III/ Renouvelés et transformés par le Christ pour la mission.
    Semaine 5 : La communion au Christ source de la communauté
    Semaine 6 : Pour la gloire de Dieu et le salut du monde

    Une attestation de réussite peut être délivrée à l'issue de la formation, si le participant a obtenu la moyenne à chaque quiz. Elle lui sera envoyée par la poste.

    https://mooc.lemoocdelamesse.fr/courses/course-v1:MOOC+Messe+2020/about

  • Chine : l'Eglise catholique officielle théoriquement reconnue par l'Etat mais persécutée dans les faits

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    De YANG XIANGWEN sur Bitter Winter :

    Eglise catholique officielle : Approuvée par l'État, mais persécutée

    09/22/2020

    Le fait de rejoindre l'Association catholique patriotique chinoise ne signifie pas que les persécutions prennent fin : les lieux reconnnus par l'État sont également harcelés, indûment contrôlés et fermés.

    Depuis des années, les églises catholiques non enregistrées de toute la Chine subissent des pressions pour rejoindre l'Association catholique patriotique chinoise gérée par le gouvernement, avec des menaces et des intimidations, mais aussi la promesse d'une paix de l'esprit et d'un culte sans entrave tant qu'elles sont sous le contrôle de l'État. Mais la réalité est loin de là : de nombreux lieux de culte enregistrés sont harcelés et intimidés, quel que soit leur statut officiel.

    Le gouvernement du comté de Linyi à Dezhou, une ville au niveau de la préfecture dans la province orientale du Shandong, a fermé en juin deux églises affiliées à la CPCA (Eglise patriotique reconnue), affirmant que "peu de membres de la congrégation assistent aux rassemblements".

    Le 6 juin, toutes les croix, les autres symboles religieux et les bancs ont été retirés de l'église du village de Wangdangjia. Le panneau "Église catholique" au-dessus de son entrée a été recouvert de planches de bois. L'église catholique de la ruelle de Cuijia fut bientôt fermée de la même manière.

    Le 19 mai, les autorités locales ont ordonné de retirer la croix et la statue de la Vierge Marie qui se trouvaient au sommet de l'église catholique du village de Wuqiu, dans la ville de Jinling, administrée par le comté de Lanling de la ville de Linyi, au niveau de la préfecture, parce qu'elles "étaient plus hautes que le bâtiment du comité de village".

    Le 10 novembre dernier, le gouvernement du comté de Tancheng s'est rendu dans une église catholique enregistrée pour démolir son clocher, une statue de Jésus et un pilier en ciment sur lequel se trouvait la croix précédemment enlevée. Ils ont déclaré que de telles structures religieuses n'étaient pas autorisées. L'église rectifiée ressemble maintenant à un bâtiment résidentiel ordinaire.

    Les lieux catholiques enregistrés sont également supprimés dans la province de Hebei, dans le nord du pays. Une église catholique du village de Zhangmengtun, dans la ville de Dingzhou, ouverte en 2017 avec l'approbation du gouvernement, a été construite dans le style occidental. Le 2 juin, les autorités municipales sont venues fermer l'église. Ils ont d'abord détruit certains des piliers de style roman de l'église, enlevé tous les symboles religieux à l'intérieur et à l'extérieur de l'église, y compris l'autel et le podium, les bancs et les images des 14 stations du chemin de croix, une colombe ornementale sur le toit de l'église, et repeint les symboles de la croix sur des tuiles de céramique.

    À la mi-mai, des fonctionnaires du United Front Work Department et d'autres institutions de l'État, accompagnés de la Brigade de sécurité nationale et de policiers, sont venus superviser le retrait de cinq croix d'une église catholique du comté de Julu, administré par la ville de Xingtai au niveau de la préfecture. Le panneau en caractères chinois indiquant "Église catholique" a également été retiré de ce lieu de 83 ans, approuvé par l'État.

    Le diacre d'une autre église de Hebei, dont la croix a été retirée, et une caméra de surveillance installée à l'entrée en juillet, a expliqué que l'église avait rejoint le CPCA, espérant être laissée en paix en organisant des cultes. "Mais la situation a changé, et les églises enregistrées sont parfois plus harcelées que les non enregistrées. Elles se font également retirer leurs croix", a déclaré le diacre. "Le gouvernement est encore plus confiant dans le contrôle des églises enregistrées. Si nous avions su cela à l'avance, nous n'aurions pas adhéré à la CPCA".

  • Rejet du document des évêques allemands sur l'intercommunion

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    De Claire Lesegretain sur le site du journal La Croix :

    Le Vatican rejette le document des évêques allemands sur l’intercommunion

    Les faits 

    Après examen du texte « Ensemble à la table du Seigneur » envoyé au Vatican par les évêques allemands le 20 mai, la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) explique que l’intercommunion pratiquée avec les protestants « ouvrirait de nouvelles divisions dans le dialogue œcuménique avec les Églises orthodoxes » et que « le lien étroit entre l’Eucharistie et l’Église » est trop ignoré.

    Le Vatican rejette le document des évêques allemands sur l’intercommunion

    Le 20 mai, la Conférence épiscopale allemande (DBK) avait envoyé au Vatican le texte « Ensemble à la table du Seigneur », publié par le Groupe d’étude œcuménique des théologiens protestants et catholiques (ÖAK) en septembre 2019.CHRISTIAN DITSCH/DPA/MAXPPP

    C’est un nouveau refus que les évêques allemands viennent de recevoir de la part du Vatican, à la suite de leur demande de pouvoir pratiquer l’intercommunion entre catholiques et protestants.

    Le 20 mai, la Conférence épiscopale allemande (DBK) avait envoyé au Vatican le texte « Ensemble à la table du Seigneur », publié par le Groupe d’étude œcuménique des théologiens protestants et catholiques (ÖAK) en septembre 2019. Ce texte de 57 pages prône « l’hospitalité eucharistique réciproque » entre catholiques et protestants, sur la base d’accords œcuméniques antérieurs sur l’Eucharistie et le ministère.

    Quatre mois plus tard, la réponse de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) est arrivée, sous forme d’un courrier daté du 18 septembre adressé à Mgr Georg Bätzing, évêque de Limbourg sur-la-Lahn et président de la DBK. Mgr Bätzing, qui a participé à la rédaction du texte de l’ÖAK, a récemment annoncé que l’hospitalité sacramentelle mutuelle serait appliquée au 3e Kirchentag œcuménique prévu à Francfort en 2021.

    Quatre pages de note doctrinale

    Cette lettre signée par le cardinal Luis Ladaria, préfet de la CDF, et Mgr Giacomo Morandi, secrétaire de cette même Congrégation, est accompagnée d’une note doctrinale de quatre pages. « La question de l’unité de l’Eucharistie et de l’Église, dans laquelle l’Eucharistie présuppose et réalise l’unité avec la communion de l’Église et sa foi avec le pape et les évêques, est sous-estimée dans ce document », peut-on lire dans la lettre de la CDF.

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  • Tout homme politique catholique ou religieux qui promeut activement l'avortement et l'euthanasie n'est "pas éligible"

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    Le cardinal Müller est interviewé par Edward Pentin sur le National Catholic Register

    Le cardinal Müller se penche sur la politique américaine, les élections de 2020 et la conscience catholique

    Le préfet émérite de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi déclare au NCR que l'Église catholique ne doit pas seulement exiger la liberté de religion, mais qu'elle doit aussi exiger et promouvoir une politique avec une assise morale.

    23 septembre 2020

    Le cardinal Gerhard Müller exhorte les électeurs catholiques américains à "tester les esprits pour voir s'ils viennent de Dieu" alors qu'ils se préparent à aller aux urnes le 3 novembre.

    Dans une interview exclusive accordée au Register le 22 septembre, le préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi ne soutient explicitement aucun candidat, mais il est clair pour lui que tout homme politique catholique ou religieux qui promeut activement l'avortement et l'euthanasie n'est "pas éligible".

    Le cardinal se demande également s'il donnerait la Sainte Communion à l'ancien vice-président Joe Biden, qui soutient la légalisation de l'avortement et le "mariage" homosexuel, et si un catholique peut voter en bonne conscience pour le président Donald Trump. Il critique également certains médias de l'Eglise qui ont un préjugé "idéologique" contre la "droite religieuse américaine".

    Les commentaires du cardinal Müller font suite à une interview qu'il a donnée au début du mois à Raymond Arroyo de l'émission The World Over de EWTN, dans laquelle il a exhorté les électeurs à "rechercher des candidats qui sont en faveur de la vie" - un principe, a-t-il dit, qui est une "base" et ajoutant que "l'on ne peut pas dire que la justice sociale est plus importante que la vie". Le cardinal a également déclaré qu'il était "impossible" d'assimiler le soutien à la peine de mort et à l'environnement au soutien à l'avortement.

    Parlant de la responsabilité de tout citoyen dans un État pluraliste, le cardinal allemand a déclaré : "Je ne soutiens pas un candidat en Allemagne parce qu'il est catholique, mais parce qu'il a une bonne compréhension de la vie et des droits de l'homme. Il est préférable de voter pour un bon protestant que pour un mauvais catholique". "Nous devons juger en fonction de ce qu'ils font, pas seulement en fonction de leurs paroles... en fonction des fruits", a-t-il déclaré.

    Votre Éminence, quelles sont vos vues générales en tant qu'observateur des prochaines élections présidentielles américaines ?

    Les États-Unis sont le premier pays de l'Occident. Ils défendent la démocratie et l'État de droit, contrairement à tous ces États où les droits de l'homme sont foulés aux pieds par un régime dictatorial ou une oligarchie idéologique. Si tous les Américains respectent leur Constitution et si les millions de chrétiens et de religieux qui y vivent donnent l'exemple du respect de leurs concitoyens et de la charité, l'Amérique peut remplir sa mission politique dans la politique internationale et orienter sa vie intérieure vers le bien commun (bonum commune). Le pays a besoin d'une réconciliation intérieure.

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  • Pandémie : à Petit Hallet (Hannut), le 25 septembre : Vénération de la Croix et prière pour les demandeurs d'emploi et les créateurs d'entreprise

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    De l'abbé Marie-Pravin Ertz, vicaire à l'UP Notre-Dame des Champs – Hannut :
     
    Vénération de la Croix et prière pour les demandeurs d'emploi et les créateurs d'entreprise

            Incroyable pandémie qui ne fait pratiquement plus de morts depuis le mois de juin, en Europe comme au Canada ! Voyez plutôt :
     
    Pr Toussaint (France) : https://www.youtube.com/watch?v=413PqjIMNWQ
    Pr Rosenberg (canada) : https://www.youtube.com/watch?v=tpWHuy2aMOY
    une 20taine de médecins belges témoignent (belgique) : https://www.youtube.com/watch?v=a7di65CV6Oc
     
    Toutes ces personnes, professionnelles de la santé, sont-elles toutes inconscientes? Complotistes ? Nazis ?
     
            Au nom de la Science on trouve des mesures sanitaires radicalement différentes d'un pays à l'autre : pour les uns il faut confiner et porter le masque même en rue (sauf pour fumer ! Il est permis de mourir du cancer du poumon, mais il est interdit de mourir du covid !), pour les autres, toutes ces mesures sont inutiles ! Que penser ? La Science est-elle à ce point différente d'un pays à l'autre ? Est-elle si peu objective ? Ou le virus s'est-il arrêté à la frontière nord de notre pays, épuisé par sa course ?

    Par contre, ce que l'on sait avec certitude, c'est que :

    des milliers de personnes ont perdu leur emploi,
    des milliers de familles ont sombré dans la pauvreté,
    des milliers d'enfants grandissent dans l'angoisse
    des milliers de jeunes sont dans l'incertitude quant à leurs études et à leur futur métier.
    Ce carnage se passe devant nos yeux sans aucune réaction de la population et dans une soumission inquiétante...
     
            Ce vendredi, à Petit-Hallet (18h30), lors de la Vénération de la Croix, nous prierons pour tous ceux et celles qui cherchent un emploi ou qui veulent créer une entreprise. Nous nous associerons à la prière de la Vierge Marie et de saint Joseph pour chacun d'eux et pour leur famille. Nous sommes sûrs qu'ils trouveront une issue heureuse à leur recherche (comme plusieurs témoignages l'ont confirmé).