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Foi - Page 540

  • Les 19 missionnaires belges assassinés à Kongolo en 1962 bientôt béatifiés ?

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    De Kerknet.be :

    19 missionnaires belges assassinés bientôt béatifiés ?

    Dans le diocèse congolais de Kongolo, une procédure de béatification a été engagée pour les pères assassinés le jour du Nouvel An 1962.

    19 missionnaires belges pourraient être béatifiés. Ce sont les "martyrs de Kongolo", qui ont été torturés et assassinés par l'armée gouvernementale le 1er janvier 1962 lors de la lutte pour l'indépendance du Katanga. Ils faisaient tous partie de la congrégation du Saint-Esprit ("spiritains"). Le 31 décembre 1961, ils ont été agressés par un groupe de soldats. Le lendemain, ils sont morts d'une mort atroce. Leurs corps mutilés ont été jetés dans la rivière.

    "A l'époque, notre congrégation à Rome avait immédiatement demandé la béatification, mais comme la raison de leur mort était trop difficile à comprendre, cela n'a pas été possible", a déclaré le père Joseph Burgraff à la Gazet van Antwerpen. Burgraff dirige le centre de Gentinnes où résident les spiritains. "Le pape François a changé la procédure en 2017. Pour être béatifié en tant que martyr, il n'est plus nécessaire d'être assassiné par haine de la foi. Les personnes qui sont restées au service de la population, même si elles savaient que leur vie était en danger, sont également éligibles. Toutefois, la procédure ne peut être démarrée qu'à partir de Kongolo. Mgr Ngoy, évêque de Kongolo, s'est récemment rendu à Gentinnes et entamera à nouveau la procédure de béatification. "

    Sur le mur de la chapelle de la mémoire en Brabant wallon, Gentinnes porte les noms des 217 spiritains assassinés au Congo. "Le martyre fait partie du fait d'être missionnaire", a déclaré Burgraff à Tertio il y a quelques années. "C'est une conséquence de notre fidélité à Jésus et au peuple."

  • Comme ma mère autrefois...

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    De Jean-Pierre Snyers :

    Comme ma mère autrefois...

    Mes yeux ne te contemplaient pas et mon esprit ne te saisissait pas, en ces neufs moi où tu me portas, endormi dans ta paix fragile.

    Je vivais, mère, au fond de ton être, ne connaissant de toi que les battements de ton coeur ou de furtives impressions par lesquelles je te devinais un peu. Mais ta présence me restait imprécise, au point que j'en doutais parfois. 

    Un jour, contre toute attente, quand vient mon heure de naître au temps, ton visage jusque là inconnu, doucement s'est penché sur moi.

    Alors, mes yeux se sont éclairés, j'ai vu avec éclat que je ne m'étais pas trompé, que ta vie timidement perçue était vraiment réalité...

    Vierge Marie, Mère du ciel, jamais je ne t'ai vue.Tu sais combien très pauvrement, malgré mes doutes et mes échecs, j'essaye de te deviner par ma prière indocile et les signes discrets que tu donnes.

    Mais un jour viendra, je le sais, quand sonnera l'heure de l'éternité, où je verrai ton visage. Telle ma mère autrefois, sur mon corps encore chaud, tendrement tu te pencheras et d'un sourire tu l'enveloppera. Alors, tremblant de joie je te dirai: Mère, dans ma nuit je te pressentais, mais aujourd'hui mes yeux te voient et mon coeur te reconnaît bien.

  • Binche : l'église du Saint-Sacrement est à vendre pour un euro

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    D'après le commentaire envoyé par un de nos lecteurs, l'information reprise ci-dessous serait déjà ancienne même si elle a été diffusée récemment sur C-News...

    Du site de C-News :

    UNE ÉGLISE BELGE À VENDRE POUR UN EURO

    L'église connaîtra dimanche 10 juin sa dernière messe. [capture d'écran Youtube ]

    Huit siècles après sa fondation, l'église du Saint-Sacrement de Binche, en Belgique, vit ses dernières heures comme lieu de culte. Mise en vente un euro, elle pourrait accueillir un hôtel ou des logements, si le propriétaire en a les moyens.

    Dressée en plein coeur de la ville médiévale située à une cinquantaine de kilomètres de Bruxelles, l'église connaîtra dimanche 10 juin sa dernière messe. Une «action de grâce» pour rendre hommage à toutes les communautés religieuses qui s'y sont succédé depuis sa fondation en 1186.

    «L'église a été donnée en 1976 à la paroisse par les soeurs de la congrégation du Très-Saint-Sacrement pour un franc belge symbolique lorsqu'elles ont quitté les lieux. Mais c'était un cadeau empoisonné», a expliqué à l'AFP le dynamique doyen local, Michel Diricq.

    «Sans subsides, une paroisse comme la nôtre n'a pas les moyens de s'occuper de l'électricité, des assurances, de refaire la toiture, les vitraux ou les gouttières. Il faudrait au bas mot 100.000 euros. Nous avons donc décidé de la vendre, même pour un euro», a-t-il ajouté.

    «J'ai pleuré en apprenant la nouvelle, parce que toute ma vie, je suis venue dire ma prière ici», confie Marie-Ange Thauvoye, une fidèle paroissienne de 80 ans.

    «Je n'aimerais pas qu'on en fasse n'importe quoi, mais c'est un voeu pieux. Celui qui l'achètera pourra en faire un dancing et on n'aura rien à dire», regrette, plus fataliste, l'ancien curé des lieux, Jean-Pierre Marcq.

    L'actuel doyen espère lui aussi que le futur propriétaire «en fera bon usage», en précisant avoir déjà reçu des offres pour «toutes sortes de projets», dont des salles de spectacles, une bibliothèque, des lofts ou un hôtel. Il assure qu'il tranchera avant la fin de l'été.

    UN MARCHÉ COUVERT, UN HÔTEL DE LUXE  

    Si le sort de l'église a ému à Binche, son cas est loin d'être unique en Belgique ou en Europe.

    A Bruxelles, l'église Sainte-Catherine, en plein centre-ville, devrait être bientôt transformée en marché couvert, tandis qu'un bar-resto-discothèque branché, inspiré d'un exemple new-yorkais, a vu le jour en 2010 dans une église désaffectée du quartier d'Ixelles.

    Les futurs propriétaires de l'église de Binche pourront aussi s'inspirer d'un exemple venu de Flandre. A Malines, un hôtel cossu s'est ouvert en 2009 dans l'ancien couvent des Frères mineurs.

    «L'objectif, c'était de préserver un patrimoine culturel et religieux. C'est une église néogothique dans laquelle nous avons réussi à intégrer 56 chambres sur cinq étages», explique la gestionnaire du "Martin's Paterhof", Huguette Martin.

    L'église des Frères mineurs étant classée, les autorités belges ont «exigé le maintien notamment de la rosace à l'entrée, qui est absolument somptueuse, ou des vitraux, que nous avons préservés dans chacune des chambres».

    Selon la patronne de l'hôtel, «les anciens paroissiens sont enchantés de pouvoir venir y prendre un café et d'échanger leurs souvenirs de première communion ou de mariage...».

    PAS D'OPPOSITION DE PRINCIPE  

    L'Eglise catholique de Belgique, qui ne souhaite pas dévoiler le nombre d'églises qui pourraient subir le même sort, ne s'oppose pas par principe à leur reconversion.

    «Dans certains quartiers, qui ont par exemple aujourd'hui une majorité de population musulmane, il est assez compréhensible que les églises soient moins fréquentées, donc on va peut-être leur trouver une autre affectation», explique le porte-parole des évêques belges, le père Tomm Scholtes.

    «Si l'on en fait des bibliothèques, je le sens tout à fait bien. Mais une boîte de nuit ou quelque chose de tout à fait lucratif, ce serait moins heureux», ajoute-t-il.

  • Voir ou revoir la messe célébrée à Notre-Dame de Paris le 15 juin

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    et de Samuel Pruvot sur le site de Famille Chrétienne :

    Messe à Notre-Dame de Paris : le symbole d’une Église vivante qui avance parmi les ruines

    messe cathédrale notre-dame de Paris après l'incendie

    Messe célébrée à Notre-Dame de Paris le 15 juin 2019 - ©KTO TV

    Ces images resteront dans les annales. En France, on n’avait jamais vu un archevêque de Paris célébrer dans sa propre cathédrale comme dans un champ de bataille. Un casque blanc sur la tête. Avec aussi le « casque (invisible) du salut » dont parle saint Paul. Il a prié non loin des restes calcinés d’un incendie dont les images ont fait le tour du monde. Les fameuses poutres de l’époque de saint Louis entassées dans un noir amoncellement. Avec au-dessus d’elles un trou béant.

    La date n’était pas choisie au hasard. Dans le calendrier liturgique, la fête de la dédicace d’une cathédrale est une solennité. Elle rappelle le jour où une église, construite par la main des hommes, a été investie par Dieu. Depuis ce jour, la cathédrale a un parfum d’éternité plus fort que les cendres. Notre-Dame est pour toujours l’humble tabernacle d’une gloire indicible.

    ► À LIRE AUSSI : Reconstruction de Notre-Dame : comment l’Église monte la garde

    Mais qu’arrive-t-il quand ce tabernacle brûle et menace de s’effondrer sur lui-même ? Rien, pas même les pires catastrophes, ne peuvent altérer la présence de Dieu au milieu de nous. « La cathédrale est toujours vivante » a rappelé Mgr Michel Aupetit en ouvrant la célébration. Dieu reste à nos côtés au milieu des ruines, au cœur d’un chantier gigantesque. C’est d’ailleurs le sens originel de la fête de la dédicace dans la Bible. C’était en 165 avant notre ère. Juda Maccabée vainqueur des païens vient de reprendre la ville de Jérusalem. Sa première urgence consiste à purifier le Temple et à restaurer le culte.

    Cette messe avec le casque et la mitre est une parabole qui n’échappe pas aux catholiques. Le casque, c’est le symbole d’une Église de France qui ne tient plus vraiment debout. Les sociologues comme Yann Raison du Cleuziou ou Jérôme Fourquet ont dessiné, à grands traits, la possible disparition du catholicisme en France à l’horizon 2050. Ils ont mesuré son recul inédit depuis l’après-guerre. La mitre, c’est le signe d’une autorité apostolique qui ne redoute pas d’avancer au milieu des ruines. Les ruines engendrées par les abus dans l’Église évidemment mais aussi par la perte de ce que l’historien Guillaume Cuchet appelle le sens de l’eschatologie. Oui, les catholiques sont faits pour attendre le retour du Christ dans la gloire. Quand ils s’installent confortablement sur la terre et s’embourgeoisent avec des pensées mondaines, tout s’écroule. Les catholiques, frappés par les rhumatismes de l’âme, ne tiennent plus sur leurs pieds.

    ► À VOIR AUSSI : Vidéo – Suivez en direct sur KTO la première messe dans Notre-Dame de Paris depuis l'incendie

    Ce que Mgr Aupetit a fait aujourd’hui est une leçon magistrale. « Avons-nous honte du Christ et de la foi de nos ancêtres ? » a demandé l’archevêque sans langue de buis. « Peut-on séparer la culture et le culte ? Je le dis avec force : une culture sans culte devient une inculture ! » Et de fustiger « l’ignorance religieuse abyssale de nos contemporains au nom d’une laïcité qui exclut toute dimension religieuse visible. » Il a parlé au-delà du cercle trop étroit des fidèles assidus à la messe dominicale. « La dédicace veut dire consécration au culte divin. La raison profonde pour laquelle Notre-Dame a été construite, c’est pour manifester l’élan de l’homme vers Dieu. » C’est avec raison que l’archevêque de Paris a évoqué « l’enthousiasme des ouvriers » qui s’affairent pour la remettre d’aplomb. Mgr Aupetit a parlé à ces millions de Français émus aux larmes le jour de l'incendie de Notre-Dame. Dans les flammes, ils ont retrouvé confusément leur baptême et ce feu de l’Esprit qui ne s’éteint pas malgré le climat hostile de la sécularisation. Ne croyons pas que Notre-Dame vivra sans les chrétiens. Ne croyons pas aux valeurs chrétiennes qui, sans le Christ, deviennent vite folles, comme le dit le prophète Chesterton. 

    « Cette cathédrale est née de l’espérance chrétienne. Elle a été construite en se projetant sur plusieurs générations, un esprit de communion qui dépasse chacun. Il ne s’agit pas de laisser un nom mais d’œuvre pour le service de tous. C’est le futur qui se construit toujours. » Un futur qui ne peut se bâtir sans la foi : « Il y a une pierre angulaire qui est le Christ. Si nous retirons cette pierre, la cathédrale serait une coquille vide, un corps sans âme. »

    Homélie prononcée par Mgr Michel Aupetit

    Dédicace vient de dédicatio qui signifie consécration. La dédicace est la consécration d’une église au culte divin. Ce que nous célébrons par la dédicace chaque année, c’est la raison profonde pour laquelle la cathédrale Notre-Dame a été édifiée : manifester l’élan de l’homme vers Dieu.

    La cathédrale est née de la foi de nos aïeux. Elle manifeste la confiance en la bonté du Christ, son amour plus fort que la haine, de sa vie plus forte que la mort ainsi que la tendresse de nos parents pour la Vierge Marie, sa mère, qu’il nous a confiée comme son bien le plus précieux juste avant de mourir sur la croix.

    Cette cathédrale est née de l’espérance chrétienne qui perçoit bien au-delà d’une petite vie personnelle centrée sur soi pour entrer dans un projet magnifique au service de tous, en se projetant bien au-delà d’une seule génération.

    Elle est née aussi de la charité, puisque ouverte à tous, elle est le refuge des pauvres et des exclus qui trouvaient là leur protection. D’ailleurs, l’Hôtel-Dieu, qui fût toujours associé à la cathédrale, était le signe de cet accueil inconditionnel des pauvres et des malades.

    Avons-nous honte de la foi de nos ancêtres ? Avons-nous honte du Christ ?
    Oui, cette cathédrale est un lieu de culte, c’est sa finalité propre et unique. Il n’y a pas de touristes à Notre-Dame, car ce terme est souvent péjoratif et ne fait pas droit à ce mystère qui pousse l’humanité à venir chercher un au-delà de soi. Ce bien cultuel, cette richesse spirituelle, ne peuvent être réduits à un bien patrimonial. Cette cathédrale, œuvre commune au service de tous, n’est que le reflet des pierres vivantes que sont tous ceux qui y pénètrent.

    Peut-on vraiment par ignorance ou par idéologie séparer la culture et de culte ? L’étymologie elle-même montre le lien fort qui existe entre les deux. Je le dis avec force : une culture sans culte devient une inculture. Il n’est qu’à voir l’ignorance religieuse abyssale de nos contemporains en raison de l’exclusion de la notion divine et du Nom même de Dieu dans la sphère publique en invoquant une laïcité qui exclut toute dimension spirituelle visible.

    Comme tout édifice, la cathédrale comprend une pierre angulaire qui porte l’ensemble du bâtiment. Cette pierre angulaire, c’est le Christ. Si nous retirions cette pierre, cette cathédrale s’effondrerait. Elle serait une coquille vide, un écrin sans bijou, un squelette sans vie, un corps sans âme.

    La cathédrale est le fruit du génie humain, c’est le chef-d’œuvre de l’homme. La personne humaine est le fruit du génie divin. C’est le chef-d’œuvre de Dieu.
    Quand les deux se rejoignent en la personne de Jésus Christ, vrai Dieu et vrai homme, s’accomplit alors véritablement l’Alliance entre le transcendant et l’immanent (Ciel et terre). C’est ici et maintenant dans cette cathédrale, à chacune de nos eucharisties célébrées, que se réalise cette Alliance, quand la chair du Christ partagée par tous, nous ouvre à la vie éternelle. 
    C’est peu de dire que nous sommes heureux de célébrer cette messe pour rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à l’homme sa vocation sublime.

  • Michel Gabriel Raphaël et les Autres; Récits des créatures célestes

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    Le nouveau livre d’Arnaud Dumouch 
     
    Michel Gabriel Raphaël
    et les Autres
            Récits des créatures célestes 
     
    d'Arnaud DUMOUCH 

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    Arnaud Dumouch, agrégé en théologie, est le recteur De l'Institut Docteur Angélique, un institut de philosophie et de théologie catholique sur Internet avec plus de 39 000 abonnés.

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  • Missa Gloria tibi Trinitas (John Taverner, 1490-1545)

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    JPSC

  • Franco Zeffirelli est mort

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    "J'ai peur de mourir. Je suis un croyant et je prie beaucoup " (Zeffirelli dans une de ses dernières interviews)

    "Dans ses films, il a montré la beauté du christianisme, comme l'Église l'a toujours fait dans l'art et la liturgie..." (NBQ)

    De Jean-Baptiste Garat sur le site du Figaro :

    Le metteur en scène et réalisateur Franco Zeffirelli est mort à 96 ans

    Le metteur en scène et réalisateur Franco Zeffirelli est mort à 96 ans

    DISPARITION - L’homme de théâtre et de cinéma est décédé à Rome. Il avait épaulé Lucchino Visconti pour le tournage du Guépard, avant de devenir célèbre pour ses productions d’opéras et pour ses films inspirés de la littérature anglaise.

    Le monde de la culture italienne vient de perdre son plus grand dandy. Le réalisateur et metteur en scène Franco Zeffirelli est mort à l’âge de 96 ans samedi dans sa résidence de Rome. Le cinéaste «s’est éteint sereinement après une longue maladie, qui s’était aggravée ces derniers mois», annoncent les médias italiens citant des sources familiales de Zeffirelli.

    » LIRE AUSSI - Le cinéaste Franco Zeffirelli, descendant de Léonard de Vinci

    «Je n’aurais jamais voulu que ce jour arrive. Franco Zeffirelli est parti ce matin. Un des plus grands hommes de la culture mondiale. Nous nous joignons à la douleur de ses proches. Adieu, cher Maître, Florence ne t’oubliera jamais», a écrit sur Twitter Dario Nardella, le maire de Florence, ville natale du maître.

    Elizabeth Taylor, Richard Burton, Glenn Close, Fanny Ardant

    Il y a environ une semaine, lui qui souffrait depuis longtemps d'une pneumonie avait reçu les derniers sacrements, rapportent les médias italiens citant la famille. Franco Zeffirelli, après les funérailles dont la date et le lieu restent à définir, reposera dans le cimetière des Portes Saintes de Florence. Une chapelle ardente sera installée lundi au Capitole, colline de Rome où se trouve la mairie.

    Réalisateur, scénariste, producteur, Franco Zeffirelli a signé une vingtaine de longs-métrages. Il était le chantre d’un cinéma d’esthète étudié auprès de son maître Luchino Visconti et inspiré des chefs-d’œuvre de la littérature anglaise. Son film le plus célèbre, Roméo et Juliette (1968), est d’ailleurs une adaptation de Shakespeare, auquel il a aussi emprunté Hamlet (1992, avec Mel Gibson et Glenn Close) et La Mégère apprivoisée (1967, avec Elizabeth Taylor et Richard Burton). Anobli par la reine d'Angleterre (le seul en Italie dans de cas), il avait été nommé à deux reprises aux Oscars: comme metteur en scène pour Roméo et Juliette et comme décorateur pour La Traviata. Dans un autre registre, il signa, à la fin des années 1970, une adaptation de la vie du Christ pour la télévision italienne. Après plusieurs années d'absence, il revient sur les plateaux avec Jane Eyre, adapté du roman de Jane Austen (1996, avec Charlotte Gainsbourg), puis Un thé avec Mussolini (2001).

    Le metteur en scène de Callas, Sutherland et Domingo

    Zeffirelli était également très connu des amateurs d’opéras pour ses mises en scène opulentes, dignes des superproductions d’Hollywood. Beaucoup de ses créations lyriques sont toujours à l’affiche aujourd’hui. Le Metropolitan Opera a une nouvelle fois programmé la saison prochaine son Turandot. Mais aussi sa Bohème, qui a été montée sur quasiment toutes les scènes du monde. En avril dernier, l’Opéra de Vienne avait ainsi donné la 437e représentation de cette mise en scène du célèbre opéra de Puccini que Zeffirelli avait créée en 1963.

    Son style peut paraître aujourd’hui conventionnel et sa direction très littérale ; ce qui explique son succès toujours aussi grand auprès du public américain, par exemple, plus conservateur que les amateurs européens. Mais il faut se souvenir combien Zeffirelli a bousculé les habitudes des spectateurs et des scènes lyriques, il y a maintenant plus de 60 ans. Très attaché aux détails, au point de signer souvent les décors et les costumes en plus de la direction, il était très exigeant avec les chanteurs. Il se battait avec eux pour qu’ils oublient la gestuelle et les mimiques classiques, travaillait chaque geste, chaque regard pour qu’ils incarnent leurs rôles au-delà du chant.

    Sa rencontre avec Maria Callas, qui s’est transformée en amitié, fera des étincelles. Il accompagna la diva dans une Traviata phénoménale qui paracheva le statut de superstar de la soprano. À Paris, il monta pour elle sa dernière Norma de Bellini. Et il signa la mise en scène de Tosca de Puccini, travail resté célèbre car il s’agit de l’une des seules traces vidéos qui reste de l’art de la diva sur scène. Des années plus tard, le réalisateur rendait hommage à la diva en tournant Callas Forever, avec Fanny Ardant dans le rôle-titre.

    Son parcours le mena également à travailler avec Joan Sutherland pour lui offrir l’un de ses plus beaux rôles: Lucia di Lammermoor. Et, naturellement, quand vint la mode des films d’opéra au début des années 1980, les producteurs se tournèrent vers Zeffirelli pour qu’il réalise quelques superproductions avec le ténor star de l’époque: Placido Domingo.

    Sa dernière œuvre du metteur en scène, un rêve nourri depuis plus de dix ans, aura été la mise en scène d'une nouvelle Traviata qui ouvrira la saison du festival d'opéra dans les Arènes du Vérone le 21 juin. A 96 ans, il projetait encore un Rigoletto dont les débuts étaient prévus pour le 17 septembre 2020 au sultanat d'Oman, avec l'Opéra Royal de Mascate. Au cinéma, il ambitionnait encore de tourner un film sur L’Enfer de Dante ou une saga sur la dynastie des Médicis, deux projets confrontés à des coûts de production incommensurables.

    Profondément attaché à Florence, sa ville natale, Franco Zeffirelli avait réalisé en 1966 le film-documentaire Per Firenze dans lequel il décrivait avec émotion l'inondation historique qui avait frappé la cité la même année et qui avait détérioré nombre de ses richesses artistiques. Ce film pour lequel l'acteur Richard Burton avait prêté sa voix avait permis de recueillir vingt millions de dollars pour les travaux de restauration et de reconstruction.

    Franco Zeffirelli avait aussi installé dans le centre historique de Florence sa fondation dont il voulait qu'elle rende son oeuvre accessible au plus grand nombre. Dans cette espace baroque de 4.000 mètres carrés, que lui avait offert la ville pour ses 92 ans, le maestro avait entreposé ses innombrables collections: des milliers de croquis, épreuves préparatoires pour ses somptueux décors d'opéra, affichettes de la vingtaine de films qu'il a tournés au cours de sa longue carrière. Une précieuse bibliothèque y contenait plus de 10.000 volumes consacrés à l'art, l'histoire, la littérature et le spectacle.

    La rédaction vous conseille

  • Notre-Dame de Paris : l'Eglise monte la garde

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    De Hugues Lefèvre sur le site de Famille Chrétienne :

    Reconstruction de Notre-Dame : comment l’Église monte la garde

    MAGAZINE – Le diocèse de Paris ne veut pas être évincé des réflexions sur la future rénovation de la cathédrale. Deux mois après le drame, il fait le nécessaire pour y parvenir.

    Une loi contestée

    Dès le 24 avril, un texte pour la restauration de la cathédrale était présenté à l’Assemblée nationale.
    • Au Sénat, le texte a été retoqué, les élus fustigeant le principe d’une loi d’exception rédigée dans la précipitation.
    • Le 4 juin,la commission mixte paritaire n’est pas parvenue à élaborer un texte commun aux deux chambres. La loi ne devrait pas être adoptée avant fin juillet.

    « J’ai été bouleversé par ce que vous venez de nous dire. » Scène inattendue sous les ors du Sénat où Pierre Ouzoulias, sénateur communiste des Hauts-de-Seine et archéologue, n’y est pas allé par quatre chemins pour saluer l’intervention du dominicain et historien Yves Combeau. Le prêtre venait alors de prendre la parole lors d’une table ronde sur les apports des sciences et des technologies à la restauration de Notre-Dame de Paris. Son propos d’historien et d’homme d’Église a fait mouche. L’élu communiste, précisant qu’il est athée, a confessé être d’accord avec le dominicain : la reconstruction de Notre-Dame ne sera réussie que si une réelle attention est accordée aux dimensions cultuelle et spirituelle de l’édifice.

    De belles paroles ? La présence à cette audition du Père Combeau, ancien élève de l’École nationale des chartes, n’est pas qu’une simple question d’affichage. Elle est le fruit d’une volonté, notamment de Cédric Villani, le député La République en marche, à l’initiative de la table ronde. « Il a insisté pour qu’un ecclésiastique soit présent », confirme Olivier de Châlus, ingénieur en bâtiment et historien, qui a aidé à l’organisation de cette rencontre. Lui connaît parfaitement Notre-Dame de Paris : il réalise actuellement sa thèse sur l’organisation de son chantier médiéval et était responsable des guides de la cathédrale au moment du drame. « Cédric Villani ne croit pas en Dieu, mais il a conscience de l’importance de ne pas exclure l’Église de l’immense réflexion qui s’ouvre. »

    « L’Église a bien joué »

    Alors que certains s’inquiètent que l’Église puisse être écartée du chantier du siècle par pur laïcisme, elle est pour l’instant considérée et écoutée. Elle parvient à se faire entendre en étant aux bons endroits, aux bons moments, avec les bonnes personnes, comme au Sénat. « L’Église a bien joué », confirme une source du ministère de la Culture qui explique qu’en n’entrant pas directement dans le débat sur la loi sur la rénovation de la cathédrale et sur la création d’un établissement public associé, elle a fait preuve d’intelligence. « Mgr Aupetit est un pragmatique. Sur la question du futur établissement public, il ne s’est pas posé la question de savoir si c’était l’instance la plus pertinente ou pas. Ce qui lui importait, c’était que l’Église y soit associée en tant qu’affectataire des lieux. C’est ce qu’il a obtenu », raconte ce bon connaisseur du dossier. « En revanche, poursuit-il, s’il est une institution qui a été mise sur la touche, c’est bien le ministère de la Culture avec le vote de cette loi stupide et la création de cet établissement dont personne n’avait besoin ! »

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  • Jésus, oui ! L'Eglise, non !

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    D'Aline Lizotte sur Smart Reading Press :

    UN NOUVEAU CHRISTIANISME DE LA POSTMODERNITÉ

    L'Église et la postmodernité
    «Confrontés à la modernité, les chrétiens sont déstabilisés. Que valent leurs dogmes à la lumière de la raison ? […] Mais, à son tour, le rêve moderne est en crise, entre les effets destructeurs de la mondialisation libérale, la hantise du terrorisme islamiste, la perte de confiance dans les responsables politiques et la montée des populismes. Le projet d’émancipation porté par les Lumières, dont on attendait tant, a dégénéré en fantasme de toute-puissance. […] Une identité chrétienne est à reconstruire», constate le sociologue Philippe d’Iribarne dans son dernier livre. Aline Lizotte nous propose son analyse de la thèse qu’il présente : il faut détruire l’obligation de la Vérité pour proclamer la Charité, et ainsi adapter le christianisme à la postmodernité.

    Philippe d’Iribarne1 vient de publier, aux éditions Gallimard, un nouveau livre intitulé Chrétien et moderne. Philippe d’Iribarne est un sociologue, dont les recherches portent sur la rencontre entre la modernité et la diversité des cultures et des religions. Il est notamment l’auteur de Penser la diversité du monde (Seuil, 2008) et de L’envers du moderne (CNRS Éditions, 2012). Il a récemment publié L’islam devant la démocratie (Gallimard, 2013).

    La pensée de Philippe d’Iribarne est à la fois intéressante et inquiétante. Intéressante parce que, dans le parcours qu’il trace du christianisme et de ce qu’il appelle son pouvoir «d’habiter l’humanité», depuis sa fondation jusqu’à la modernité, on trouve une certaine ressemblance avec la vérité du christianisme. Inquiétante, parce que l’auteur, qui cite l’Évangile à moult reprises, se démarque profondément de l’Église, principalement de l’Église catholique qu’il accuserait presque d’avoir «figé», sinon «trahi» la pensée profonde de Jésus.

    JÉSUS, OUI ! L’ÉGLISE, NON !

    Iribarne illustre bien cette mentalité d’un certain nombre de penseurs modernes qui sont en empathie avec l’idéal culturel et humain de l’enseignement du Christ, mais qui récusent à l’Église le droit d’en être l’unique représentante : Jésus, oui ! L’Église, non ! L’ouvrage s’ouvre sur un bon nombre de phrases tirées des Évangiles et présentées selon un lien propre à l’auteur, qui met en évidence la force du Christ permettant à l’homme d’«oser penser par lui-même». À la limite, Emmanuel Kant deviendrait le meilleur disciple du Christ.

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  • "Coming out" : quand un musulman converti au catholicisme témoigne sur scène

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    Du site de France Catholique :

    Musulman converti au catholicisme, Mehdi Djaadi témoigne sur scène

    Ce samedi 15 juin à Paris, pour une date unique, Mehdi Djaadi accomplira sur scène son « coming-out » catholique. Une démarche courageuse, pleine de souffle et d’humour, à ne manquer sous aucun prétexte.

    « Coming-out ». D’emblée, le titre du spectacle de Mehdi Djaadi interpelle. Car la déclaration publique à laquelle il se livre n’est pas celle qu’exige notre époque des personnes homosexuelles. A bien des égards, elle est bien plus intempestive et, disons-le, risquée. Né musulman, ce comédien qui a rencontré le Christ en passant par la case du protestantisme, est désormais un catholique passionné. Et il a à cœur de le proclamer.

    Repéré au cinéma ou à la télévision dans plusieurs succès récents, comme La Prière de Cédric Kahn ou encore la série Hippocrate sur Canal+, sélectionné parmi les révélations des César 2016, Mehdi Djaadi a voulu livrer au public le récit de son « odyssée spirituelle » qui l’a conduit jusqu’à l’Église et à Dieu. Son propos est dénué de toute ambiguïté, « Coming-out » est un one-man-show, « corrosif, subversif (ou plus exactement contre-subversif), rempli d’humour, et plus encore porteur d’espérance ». Espérance pour les musulmans de France en particulier dont seule la conversion, estime-t-il, sera porteuse d’un « avenir radieux ».

    De l’école coranique à l’Église

    Élevé à Saint-Étienne (Loire) dans une famille d’origine algérienne, Mehdi Djaadi allait à l’école privée catholique en semaine et à l’école coranique le week-end. Habité par les préoccupations religieuses, il s’éloigne pourtant de l’islam et bascule dans la délinquance. Il découvre le christianisme grâce à un pasteur évangélique qui lui remet une Bible, avant d’évoluer progressivement vers le catholicisme et de demander le baptême. Au-delà de sa rencontre avec le Christ qui surpasse tout, Mehdi Djaadi aime aussi à dire qu’en « ouvrant la porte du catholicisme, (il a) ouvert la porte de la France ». Y compris du point de vue gastronomique : « J’ai pris 15 kilos en devenant catholique » déclara-t-il un jour devant un public hilare.

    Attention, il n’y a qu’une seule date – ce samedi 15 juin - pour assister à ce spectacle. L’entrée est libre, mais la générosité est de mise puisque tous les dons sont destinés à la paroisse du Cœur Eucharistique (Paris 20e) et au conseil Saint Louis Martin des Chevaliers de Colomb qui lui est rattaché. L’année dernière, une quinzaine de jeunes avaient ainsi pu partir à la découverte du Puy-du-Fou.

    « Coming Out », samedi 15 juin, 20H00, salle Montbeillard – 22, rue du lieutenant Chauré ou 13, rue Alphonse Penaud – 75020 Paris. Métro : Porte de Bagnolet.

  • "Je te prends par la main" : déclaration des évêques belges sur l'accompagnement pastoral de fin de vie

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    Du site du diocèse de Liège :

    NOUVELLE DÉCLARATION DES ÉVÊQUES DE BELGIQUE SUR L’ACCOMPAGNEMENT PASTORAL DE FIN DE VIE : ‘JE TE PRENDS PAR LA MAIN’

    S’il est une certitude dans la vie de tout être humain, c’est la fin irrévocable de notre existence terrestre. Dans leur nouvelle déclaration ‘Je te prends par la main. Accompagnement pastoral de fin de vie.’ qui parait aujourd’hui, les évêques de Belgique veulent offrir des orientations évangéliques à tous ceux qui vont à la rencontre de personnes âgées et malades, en particulier aux agents pastoraux. Dans la ligne de la tradition biblique, la conviction fondamentale des évêques est que personne ne doit être abandonné.

    L’adieu à la vie comporte de nombreuses facettes : pouvoir lâcher prise, faire le point sur sa vie, avoir besoin de réconciliation et de réconfort. Une pastorale d’inspiration chrétienne peut être un soutien car elle permet de rencontrer les grandes questions existentielles, comme l’écrivent les évêques dans leur brochure d’une vingtaine de pages. Par-dessus tout, l’aumônier s’efforcera de susciter des liens avec d’autres et quand le mourant y est ouvert, aussi avec Dieu ‘qui est un allié dans notre fragilité, même s’Il est aussi un mystère insondable’. 

    Rites et sacrements

    Les rites gardent ici toute leur importance. Ils aident à exprimer l’inexprimable. Les évêques demandent que l’aumônier essaie de respecter cette demande, sans perdre la spécificité propre des sacrements et rites chrétiens. En ce qui concerne spécifiquement le sacrement des malades, les évêques demandent qu’il soit administré au début du processus de la maladie ou à un moment important de celui-ci, et non aux moments ultimes qui précèdent la mort. Le sacrement des malades est le sacrement pour les personnes gravement malades ou fortement affaiblies par l’âge et non le sacrement des mourants.

    Aspirer à la mort

    La base de l’accompagnement pastoral est l’écoute et la présence empathique de l’aumônier. Ceci n’est pas évident, surtout dans les situations d’impuissance, quand les gens disent aspirer à la mort. ‘Dans ce cas également, nous devons rester présents lors de conversations avec les personnes qui envisagent l’euthanasie ‘, écrivent les évêques. Mais, ils ajoutent immédiatement ‘cela n’implique en aucun cas une approbation de l’euthanasie. Pour l’aumônier, cela peut engendrer une tension qui n’est pas facile à vivre.’ Néanmoins, il est toujours possible de prier pour – et, si possible, aussi avec – cette personne. Car ‘si grande que soit notre impuissance humaine, nous confions toujours notre prochain à Celui qui est source de toute vie et dont la miséricorde ne connaît pas de limites’.

    Selon nos évêques, le terme de ‘souffrances insupportables’ qu’on entend de plus en plus souvent, doit conduire à s’interroger de manière critique sur le fait de savoir si nous consacrons une attention suffisante aux personnes vulnérables. Cela signifie, selon les évêques, un appel à la vigilance et à la recherche de moyens nouveaux et créatifs pour aider les plus vulnérables, lancé aux communautés de foi locales, aux prêtres, aux diacres, aux agents pastoraux et aux bénévoles.

    La dernière partie de Je te prends par la main traite de la foi en la résurrection qui, souligne-t-on, n’est jamais une évidence et ne nie en rien la gravité de la mort. Elle aborde la contribution que le ministre des funérailles peut apporter dans les jours qui suivent immédiatement la mort, en particulier lors de la préparation des obsèques religieuses.

    Je te prends par la main – Accompagnement pastoral de fin de vie peut être commandé sous forme de brochure chez Licap, E-mail : commandes@halex.be. Coût : 3,75 euros. Egalement disponible en néérlandais et allemand!

    S.I.P.I. – Bruxelles, mercredi 12 juin 2019.