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Foi - Page 636

  • Taybeh, dernier village chrétien de Palestine

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    Sur le site de l'Oeuvre d'Orient :

    « Taybeh, dernier village chrétien de Palestine » remporte le Prix littéraire 2016

    Le livre de F. Van Gaver et K. Maadi "Taybeh, dernier village chrétien de Palestine" remporte le Prix littéraire 2016 de l'Œuvre d'Orient.

    Le jury s’est réuni mardi 24 mai 2016 dans l’après-midi pour délibérer. Il récompense « le côté simple du livre, le témoignage chrétien mais aussi le témoignage humain, en plus de la dimension de l’espérance, car à une période où l’on parle des Chrétiens d’Orient comme des communautés qui vont disparaître ou qui partent, lorsque nous lisons ce livre nous voyons un village qui vit quotidiennement et qui prépare son avenir, il ne vit pas comme si c’était ses derniers jours« . Antoine Fleyfel, professeur de philosophie et théologie à l’Université catholique de Lille.

    Taybeh-dernier-village-chrétien-de-Palestine-livre-visuel-200x300.jpgTaybeh, environ 1 300 âmes, est un petit village à une trentaine de kilomètres au nord de Jérusalem, non loin de Ramallah, dans les fameux territoires palestiniens qui se trouvent de l’autre côté du Mur de séparation. Sa particularité ? C’est d’être le dernier village entièrement chrétien de Terre sainte. Un vestige vivant de cette Palestine chrétienne oubliée des médias comme des tour operator.

    Falk van Gaver y a passé deux ans. Avec Kassam Maaddi, jeune catholique de Taybeh, il en rapporte ces savoureuses chroniques du quotidien des Arabes chrétiens dont la vie se déroule entre société musulmane et occupation israélienne. Ni catastrophiste ni militant, ce récit nous entraîne au coeur d’une petite chrétienté enracinée et vivante qui espère contre tout espoir.

    Falk van Gaver, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, est journaliste, essayiste et écrivain-voyageur. Il réside actuellement en Polynésie.

    Kassam Maaddi, diplômé du Centre universitaire d’enseignement du journalisme de Strasbourg et de l’Université de Birzeit, est journaliste en Palestine et co-directeur du département du développement de la jeunesse de Caritas Jérusalem.

    Pour acheter ce livre: Procure

    Le prix académique a été décerné à « Oubliés de tous, les Assyro chaldéens du Caucase ». La fiche du livre

  • Solennité de la Fête-Dieu 2016 célébrée à Liège selon la forme extraordinaire du rite romain : l’évêque du diocèse souligne la richesse de la liturgie ancienne et la beauté des chants latins.

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    Mgr Delville.jpgA l’occasion de la Fête-Dieu 2016 à Liège, l’évêque du diocèse,  Mgr Jean-Pierre Delville, s’est rendu le samedi 28 mai à l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy, où il a célébré la Solennité de la Fête selon  la forme extraordinaire du rite romain. Plus de trois cents fidèles  ont pris part à cette messe festive que rehaussaient les chants grégoriens de la Schola  « Clamaverunt iusti » de Varsovie, dirigée par  Michal Slawecki, chef du chœur de l’université polonaise Cardinal Stefan Wyszyński . Son homologue du chœur universitaire de Liège, Patrick Wilwerth, lui fit écho à la tête de l’Ensemble  vocal liégeois« Praeludium » qui interpréta des motets polyphoniques anciens dédiés à l’Eucharistie. La célébration s’est terminée par la bénédiction du Saint-Sacrement et la vénération des reliques de sainte Julienne de Cornillon, suivies d’un vin d’honneur auquel  Mgr Delville a pris part en parcourant la foule des participants. Au cours de l’homélie de la messe, axée sur le thème de l’eucharistie miséricordieuse, l’évêque de Liège a bien voulu souligner en ces termes la pertinence de l’action entreprise par la communauté de l’église du Saint-Sacrement : « L’évangile de la multiplication des pains se termine par : « on ramassa les morceaux qui leur restaient : cela faisait douze paniers ». Douze: le chiffre des tribus d’Israël, le chiffre des disciples, le symbole de l’Église. C’est dans la communion ecclésiale que la communion au Christ donne ses fruits. Nous avons célébré ici dans cette église du Saint-Sacrement, où la communauté a voulu garder la richesse de la liturgie ancienne et la beauté des chants latins. Ainsi cette église est comme l’un des douze paniers qui composent l’Église et qui alimentent l’humanité ! »

    Voici le texte intégral de cette homélie :

    « Chers Frères et Sœurs,

    La Fête-Dieu de cette année est placée sous le signe de la miséricorde. Miséricorde signifie « avoir du cœur » pour celui qui est dans la misère ou la pauvreté « miséricorde ». Il s’agit de partager mes faibles moyens, mes propres pauvretés, avec celui qui est dans la difficulté et dans la faim.

    Ainsi à la dernière cène (1 Cor 11,23-26), face à la souffrance et à la mort, Jésus partage le pain et le vin. Face à la pauvreté de sa vie, à l’échec apparent de sa mission, face à la pauvreté des disciples qui vont se sentir abandonnés, Jésus ne baisse pas les bras, il ne tombe pas dans la déprime, encore moins dans la fuite. Il partage le peu qu’il a, le pain et le vin, en disant qu’ils sont son corps et son sang. Ils représentent une vie fragile, une vie qui va être enlevée. Mais ils représentent en même temps un partage de cette vie : prenez et mangez-en, buvez-en tous : ceci est mon corps, ceci est mon sang, dit Jésus. C’est comme à la multiplication des pains, qui avait commencé avec 5 pains et 2 poissons pour 5000 hommes : la pauvreté des moyens, quand elle est partagée, devient source de vie et de salut (Lc 7,11-17). Le corps et le sang du Christ, donnés en communion, nous associent à sa vie, à sa mort et à sa résurrection. Notre pauvreté est dépassée, nous sommes rassasiés, comme la foule au désert ; nous recevons une vie nouvelle, par notre communion à la pauvreté du Christ.

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  • L'homélie du pape pour la Fête-Dieu

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    L'homélie prononcée par le pape François lors de la célébration de la Fête-Dieu, le jeudi 26 mai, au Latran à Rome (source) :

    « Faites cela en mémoire de moi » (1Co 11, 24.25)

    Par deux fois, l’Apôtre Paul, écrivant à la communauté de Corinthe, rapporte de commandement de Jésus dans le récit de l’institution de l’Eucharistie. C’est le témoignage le plus ancien sur les paroles du Christ lors de la Dernière Cène.

    « Faites cela ». C’est-à-dire prenez le pain, rendez grâce et rompez-le ; prenez le calice, rendez grâce et distribuez-le. Jésus commande de répéter le geste par lequel il a institué le mémorial de sa Pâque, au moyen duquel il nous a donné son Corps et son Sang. Et ce geste est parvenu jusqu’à nous : c’est le “faire” l’Eucharistie, qui a toujours Jésus comme sujet, mais qui se réalise à travers nos pauvres mains ointes d’Esprit Saint.

    « Faites cela ». Déjà précédemment Jésus avait demandé aux disciples de “faire” ce qu’il avait déjà clair dans son esprit, en obéissance à la volonté du Père. Nous venons de l’entendre dans l’Évangile. Devant les foules fatiguées et affamées, Jésus dit aux disciples : « Donnez-leur vous-mêmes à manger » (Lc 9, 13). En réalité c’est Jésus qui bénit et rompt les pains jusqu’à rassasier tous ces gens, mais les cinq pains et les deux poissons ont été offerts par les disciples, et Jésus voulait précisément ceci : qu’au lieu de congédier la foule, ils mettent à sa disposition le peu qu’ils avaient. Et ensuite, il y a un autre geste : les morceaux de pain, rompus par les mains saintes et vénérables du Seigneur, passent dans les pauvres mains des disciples, qui les distribuent aux gens. Cela aussi c’est “faire” avec Jésus, c’est “donner à manger” avec lui. Il est clair que ce miracle ne veut pas seulement rassasier la faim d’un jour, mais il est signe de ce que le Christ entend accomplir pour le salut de toute l’humanité en donnant sa chair et son sang (cf. Jn 6, 48-58). Et cependant il faut toujours passer par ces deux petits gestes : offrir le peu de pains et de poissons que nous avons ; recevoir le pain rompu des mains de Jésus et le distribuer à tous.

    Rompre : c’est l’autre parole qui explique le sens du « faites cela en mémoire de moi ». Jésus s’est rompu, il se rompt pour nous. Et il nous demande de nous donner, de nous rompre pour les autres. Justement ce “rompre le pain” est devenu l’icône, le signe de reconnaissance du Christ et des chrétiens. Rappelons-nous Emmaüs : ils le reconnurent « à la fraction du pain » (Lc 24, 35). Rappelons-nous la première communauté de Jérusalem : « Ils étaient assidus […] à la fraction du pain » (Ac 2, 42). C’est l’Eucharistie, qui devient depuis le commencement le centre et la forme de la vie de l’Eglise. Mais pensons aussi à tous les saints et saintes – célèbres ou anonymes – qui se sont « rompus » eux-mêmes, leur propre vie, pour “donner à manger” à leurs frères. Que de mamans, que de papas, avec le pain quotidien, coupé sur la table de la maison, ont rompu leur cœur pour faire grandir leurs enfants, et les faire bien grandir ! Que de chrétiens, comme citoyens responsables, ont rompu leur propre vie pour défendre la dignité de tous, spécialement des plus pauvres, des exclus et des discriminés ! Où trouvent-ils la force pour faire tout cela ? Justement dans l’Eucharistie : dans la puissance d’amour du Seigneur ressuscité, qui aujourd’hui aussi rompt le pain pour nous et répète : « Faites cela en mémoire de moi ».

    Puisse aussi le geste de la procession eucharistique, que nous allons accomplir dans peu de temps, répondre à ce mandat de Jésus. Un geste pour faire mémoire de Lui ; un geste pour donner à manger à la foule d’aujourd’hui ; un geste pour rompre notre foi et notre vie comme signe de l’amour du Christ pour cette ville et pour le monde entier.

  • Liège, samedi 28 mai 2016 à 18h00 : Solennité de la Fête-Dieu célébrée par Mgr Delville à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132)

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    Schola gregoriana "Clamaverunt Iusti" de Varsovie:

    Voir aussi : Liège, samedi 28 mai 2016 à 18h00 : Solennité de la Fête-Dieu célébrée par Mgr Delville à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132) et

    Michal Slawecki à Liège pour la célébration de la Fête-Dieu 2016

    JPSC

  • Dimanche 29 mai – Fête Dieu – Procession du Saint sacrement à Bruxelles

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    Lu sur le site des paroissiens de l’église Sainte Catherine à Bruxelles

    Ce dimanche 29/05/16 une procession du Saint Sacrement partira vers 19h15 de l’église des Carmes à Bruxelles (avenue de la Toison d’Or – Métro lignes 2 et 6 – arrêt Louise) à l’église Saint Jacques sur Coudenberg (place Royale – tram 92)

     Comme en 2015:

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    JPSC

  • Beuzet, dimanche 26 juin : Marche vers la Chapelle Saint-Pierre

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    cliquer sur l'annonce pour agrandir

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  • Célébration de la Fête-Dieu à Liège ce jeudi 26 mai

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    JEUDI  26 MAI 2016

    Basilique Saint-Martin

    Image procession

    9h30 : Office des Laudes

    10h00 à 18h00 : Prière et adoration du Saint-Sacrement

    19H00 : EUCHARISTIE FESTIVE

    présidée par Mgr Jean-Pierre DELVILLE, Evêque de Liège

    avec les chorales de l’Unité Pastorale St-Martin.

    20H15 : PROCESSION SOLENNELLE

    21H15 : ARRIVEE A LA CATHEDRALE

    (+ verre de l’amitié)

    Parking jusque minuit à l’Institut St-Laurent, rue St-Laurent, 29

    Voiturettes prévues durant la procession pour personnes à mobilité réduite et bénévoles pour les guider. Car prévu à la cathédrale vers 22h30 pour le retour au parking St-Laurent

    Editeur responsable : Eric de Beukelaer, Pastorale urbaine,e.debeukelaer@catho.be

  • Bruxelles, 29 mai : procession de la Fête-Dieu

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    procession_fête_dieu.jpg

  • Cardinal Sarah : comment remettre Dieu au cœur de la liturgie

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    messe de saint grégoire.jpgLe cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, appelle à une grande réflexion sur l’eucharistie. Et invite prêtres et fidèles à se tourner vers l’Orient, le Christ. Alors que nous nous apprêtons à célébrer la Solennité du Corps et du Sang du Christ réellement présent dans l’Eucharistie, une fête instituée à Liège dès 1246 à l’instigation de sainte Julienne de Cornillon, il n’est pas inopportun de reproduire ci-après l’interview exclusive que le cardinal Robert Sarah  vient d’accorder à Aymeric Pourbaix, rédacteur en chef du magazine « Famille chrétienne » sur la célébration de ce Sacrement des sacrements :   

    « Il y a quelques semaines, vous avez émis le souhait de voir « remis au centre le sacrement des sacrements », c’est-à-dire l’eucharistie. Pour quelle raison ? 

    Je souhaite engager une grande réflexion sur cette question, afin de remettre l’eucharistie au centre de notre vie. Je constate que beaucoup de nos liturgies deviennent des spectacles. Souvent, le prêtre ne célèbre plus l’amour du Christ à travers son sacrifice, mais une rencontre entre amis, un repas convivial, un moment fraternel. En cherchant à inventer des liturgies créatives ou festives, nous courons le risque d’un culte trop humain, à la hauteur de nos désirs et des modes du moment. Peu à peu, les fidèles s’éloignent de ce qui nous donne la Vie. Pour les chrétiens, l’eucharistie, c’est une question de vie ou de mort ! 

    Comment remettre Dieu au centre ? 

    La liturgie est la porte de notre union à Dieu. Si les célébrations eucharistiques se transforment en autocélébrations humaines, le péril est immense, car Dieu disparaît. Il faut commencer par replacer Dieu au centre de la liturgie. Si l’homme en est le centre, l’Église devient une société purement humaine, une simple ONG, comme l’a dit le pape François. Si, à l’inverse, Dieu est au cœur de la liturgie, alors l’Église retrouvera sa vigueur et sa sève ! « Dans notre rapport avec la liturgie se joue le destin de la foi et de l’Église », écrivait de manière prophétique le cardinal Joseph Ratzinger.

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  • Le témoignage du plus grand prédicateur évangélique scandinave passé au catholicisme

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    Sur KTO TV :

    De passage à Paris à l'occasion de la sortie de son livre " De la megachurch à l'Église catholique " issu d'entretiens avec le journaliste Henrik Lindell, Ulf Ekman vient partager son parcours de foi, pour le moins original, dans " Un coeur qui écoute ". Ulf Ekman, qui fut le plus grand prédicateur évangélique scandinave choisit finalement en 2014 de rallier l'Église catholique ! Il explique comment et pourquoi il a pris une telle décision. Un témoignage inédit et exclusif.

  • Michal Slawecki à Liège pour la célébration de la Fête-Dieu 2016

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    clamaveruntIusti.jpgSamedi prochain 28 mai à 18 heures, l’Ensemble vocal « Clamaverunt Iusti » de Varsovie dirigé par Michal Slawecki apportera son concours à la messe traditionnelle de la Fête-Dieu célébrée par  Mgr Jean-Pierre Delville en l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy à Liège.

    Chef de différents chœurs grégoriens, Michal Slawecki contribue largement à la renaissance du plain-chant dans son pays, après l’avoir étudié en Italie, notamment avec Nino Albarosa et Alberto Turco. Mais il est aussi compositeur, car sa passion pour le chant grégorien va de pair avec un vif intérêt pour la musique contemporaine. Il est aussi professeur à l’Académie de musique Frédéric Chopin. Jacques Zeegers l’a rencontré pour la revue « Canticum novum », lors de son passage au Festival international de Chant grégorien à Watou en Flandre occidentale. Extraits de l’interview.

    « Comment avez-vous découvert le chant grégorien ? Comment l’avez-vous appris ? Qui sont vos maîtres ?

    J’ai découvert le chant grégorien au lycée musical des Pères Salésiens. C’était une école où l’on étudiait l’orgue d’église. Nous avions comme enseignants des prêtres préconciliaires. C’était en 1955. En 2001, j’ai été admis à l’Université qui s’appelait à l’époque Académie de musique Frédéric Chopin à Varsovie où j’ai commencé l’étude de la musique sacrée. J’y ai étudié le chant, l’orgue et la direction de chœur. Le grégorien était une matière obligatoire. Là, j’ai rencontré un professeur, le Père Kazimierz  Szymonik, qui avait étudié avec Marie-Claire Billecocq, spécialiste des neumes, ayant collaboré avec Dom Cardine à la préparation du Graduel Triplex. Ce fut ma première approche. Puis, j’ai entamé des études supérieures de composition. J’ai eu l’occasion de suivre le cycle Erasmus en Italie pendant un an à l’Aquila. J’y ai étudié la composition avec Alessandro Sbordoni qui avait lui-même appris le chant grégorien avec Nino Albarosa. De là, je me rendais chaque semaine à l’Institut pontifical de musique sacrée à Rome où mon maître était Alberto Turco. A Crémone, j’ai travaillé aussi avec Albarosa et Johannes –Berchmans Göschl. Voilà mes trois maîtres.

    Pourquoi aimez-vous le chant grégorien ?

    […] A travers cette musique, qui n’est pas seulement la musique mais aussi la proclamation de la Parole, nous sommes à même d’entrer dans une grande histoire, une histoire très riche. Déjà au concile de Trente, on évoquait la grandeur de la forme musicale où le chant constituait vraiment le rite. Ce qui me plait dans le chant grégorien, c’est que j’y trouve trois choses : l’amour de la musique, l’amour de la langue latine et l’amour de la Bible. Ces trois facteurs mis ensemble suscitent en moi l’amour du chant grégorien.

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  • La fin des chrétiens d'Orient?

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