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Foi - Page 632

  • Liège : adoration eucharistique dans le cadre du Festival « Venite adoremus » 2016

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    Du 10 au 18 novembre prochains à Liège, les adorations se succéderont à la cathédrale Saint-Paul, à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy), à la basilique de Chèvremont (crypte Corpus Christi) à l’église du Sacré-Cœur (Robermont) et à l’église des sts Victor et Léonard (Thier à Liège) :

    Affiche-festival venite adoremus2.jpg

    Affiche-festival venite adoremus.jpg

    Plus d’informations :

    www.veniteadoremus.be

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com/

    sursumcorda@skynet.be

    tel. 04.344.10.89

    JPSC

     

  • Bruxelles (UOPC), 17 novembre : présentation de "Mourir, c'est naître" par le Père Henri Boulad

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    Jeudi 17 novembre à 18H30

    à la Librairie UOPC

    Avenue Gustave Demey 14-16 - 1160 Bruxelles

    le Père Henri Boulad s.j.

    Philosophe, écrivain, éducateur

    Actuellement directeur du centre culturel jésuite d’Alexandrie 

    viendra présenter son livre

    « Mourir c’est naître »

    L’amour, la mort et l’au-delà

    Editions Médiaspaul 

    A la question : Pourquoi mourons-nous ?

    Henri Boulad offre une réponse apaisante et lumineuse: « Nous mourons parce que nous ne sommes pas encore advenus à nous-mêmes, aux autres, au monde, et à Dieu. Ces quatre aspects de la mort cachent quatre visages de la naissance »
    L’auteur traite aussi des questions qui intriguent la sensibilité moderne, comme la réincarnation, le jugement, la sexualité dans l’au-delà. Sa réflexion longuement mûrie nous convainc que nous n’avons pas à redouter la mort. Au contraire, nous pourrons dire avec Thérèse de Lisieux : 

    « je ne meurs pas, j’entre dans la Vie ».

     entrée gratuite  -  réservation souhaitée  -  event@uopc.be  -   02/663 00 40

  • Pape François : « Trump ? Je ne juge pas. Je me soucie seulement qu’il ne fasse pas souffrir les pauvres »

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    Le « Vatican Insider » a rendu compte du nouvel entretien que le pape François a accordé à l’ancien député socialiste italien Eugenio Scalfari, fondateur du quotidien de gauche « La Reppublica ». Isabelle Cousturié l’a traduit pour le site « Aleteia ». Extraits :   

     « Donald Trump ? « Je ne porte pas de jugement sur les personnes et sur les hommes politiques, je veux seulement comprendre si leurs manières de faire font souffrir les pauvres et les exclus », a déclaré le pape François dans un nouvel entretien avec Eugenio Scalfari, dans Repubblica, qui lui demandait son avis, à la veille des élections américaines, le 7 novembre dernier.

    Le Pape, rapporte le journaliste italien, a réaffirmé sa préoccupation majeure en ce moment : la situation des réfugiés et des migrants. « Parmi eux, il n’y a  « qu’une poignée de chrétiens », a-t-il dit, « mais cela ne change rien car c’est la souffrance de tous qui nous intéresse, leur détresse. Les causes sont nombreuses et nous faisons notre possible pour les éliminer ».

    Abattre les inégalités, une urgence

    Malheureusement, a poursuivi le Saint-Père, ces causes viennent souvent des populations mêmes qui « craignent de perdre leur emploi ou de voir leurs salaires diminuer ». L’argent est non seulement contre les immigrés et les réfugiés mais contre les pauvres, présents aussi dans les pays riches, et qui ont peur d’accueillir d’autres pauvres venant de l’extérieur. « C’est un cercle vicieux et ce cercle doit être brisé », estime le Pape, « nous devons abattre les murs qui nous divisent: tenter d’accroître le bien-être et le répandre ». Mais pour cela, a-t-il ajouté, « nous devons abattre des murs et jeter des ponts qui fassent diminuer ces inégalités, au profit de plus de liberté et plus de droits ». L’Eglise veut que ces inégalités – « le plus grand des maux de ce monde », a commenté le Saint-Père – soit combattues. Et d’insister : « C’est l’argent qui est responsable, qui crée ces inégalités, et il se dresse contre les mesures qui tentent d’aplanir le bien-être et de favoriser l’égalité ».

    Pour François, poursuit le journaliste italien, ces inégalités encouragent « les déplacements de tant de peuples d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre ». Et ces peuples, relève-t-il, après deux, trois, ou quatre générations, « s’intègrent et leur diversité tend à disparaître totalement ». Le Pape est d’accord pour définir un tel processus « un processus de métissage », mais loin de lui l’idée d’une société de type marxiste: « Au contraire, j’ai toujours dit que ces sont les communistes qui pensent comme les chrétiens. Le Seigneur a toujours parlé d’une société où les décideurs seraient les pauvres, les vulnérables, les exclus. Pas les démagogues, pas les Barrabas, mais le peuple, les pauvres, qu’ils croient en Dieu et en sa transcendance ou pas. C’est eux que nous devons aider pour obtenir cette égalité et cette liberté » […]

    Lire l’article complet ici :  Pape François : « Trump ? Je ne juge pas. Je me soucie seulement qu’il ne fasse pas souffrir les pauvres »

    Pour une vision beaucoup plus profonde et religieuse des drames du monde d'aujourd'hui, il peut être très utile de (re) écouter la magistrale conférence donnée par le Cardinal Ratzinger à Notre-Dame de Paris en 2001   Cliquer ici.

    JPSC

     

  • Des prêtres pour les diocèses de demain

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    JPSC

  • De mystérieux phénomènes auraient accompagné l'ouverture du tombeau du Christ

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    De Sylvain Dorient sur aleteia.org :

    Mystère autour de l’ouverture du tombeau du Christ

    "Odeur suave" et "perturbations électromagnétiques" ont étonné les observateurs de cet événement historique.

    Les 26, 27 et 28 octobre 2016 la dalle de marbre qui couvre le tombeau du Christ a été repoussée. Une poignée de scientifiques et de religieux a eu accès au lieu, et plusieurs rumeurs ont immédiatement couru. Premièrement, une « odeur suave » aurait été sentie, émanant du tombeau, rappelant les manifestations olfactives associées à certains saints. Deuxièmement, des instruments de mesure employés par des scientifiques aurait été troublés par des perturbations électromagnétiques. Ils cessaient de fonctionner, ou fonctionnaient mal, aussitôt qu’ils étaient placés à la verticale de la pierre sur laquelle aurait reposé le corps du Christ.

    Marie Armelle Beaulieu, rédactrice en chef de Terre Sainte Magazine, a elle-même bénéficié de l’autorisation de se rendre sur les lieux, et se montre circonspecte quant à la rumeur associée à « l’odeur suave ». Relevant qu’une odeur est facile à suggérer, elle constate qu’elle n’a rien senti de particulier pour sa part. Par ailleurs, lors de la dernière ouverture, partielle, réalisée par l’architecte Nikolaos Komnenos en 1809, le chroniqueur de l’époque fait lui aussi mention d’une « odeur suave ». Les personnes qui s’intéressent au tombeau du Saint Sépulcre connaissent ce texte, et elles ont pu s’auto-suggérer le parfum.

    Perturbations électromagnétiques

    La journaliste se montre, en revanche, bien moins dubitative en ce qui concerne les perturbations électromagnétiques enregistrées par les instruments des scientifiques. Ce phénomène lui a été confirmé par l’un des scientifiques qui a été autorisé à accéder au tombeau. Il a ensuite été signalé par la directrice des travaux, Antonia Moropoulou elle-même, que l’on imagine mal mettre en péril sa réputation pour un « coup de pub ». Plus troublant encore, la journaliste relève la surprise des scientifiques lors de l’ouverture de la dalle : ils s’attendaient à ce que le tombeau soit bien plus bas qu’il ne l’est. En cause, les sondages réalisés précédemment aux instruments… qui semblent avoir été faussés par une perturbation électromagnétique.

    Lire la suite sur aleteia.org

  • Quelques principes fondamentaux de l’œcuménisme catholique

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    Du Père Simon Noël, sur son blog :

    Œcuménisme catholique

    Dans cet article, je voudrais vous présenter quelques principes fondamentaux de l’œcuménisme catholique. Le Christ a prié pour l'unité de tous ceux qui croiraient en lui en faisant dépendre d'une certaine manière la conversion du monde de cette unité:  Ce n'est pas seulement pour eux que je prie, mais aussi pour ceux qui croiront en moi par leur parole, pour que tous soient un. De même que toi, Père, tu es en moi et moi en toi, qu'eux aussi soient en nous, afin que le monde croie que tu m'as envoyé (Jn 17, 20-21).

    La Sainte Trinité est le modèle et la source de l'unité de l'Eglise. Soloviev disait que tant que dure la division de l'Eglise, les âmes sont certes sauvées, car la grâce ne cesse d'agir. Mais le monde n'est pas sauvé, car la division des chrétiens est un scandale pour la foi et empêche la conversion du monde.

  • Chrétiens crétins ? « Comment croire les fariboles de ces gens-là ? »

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    Les éditions Mols annoncent :

    Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie du nouveau livre de François-Xavier Nève :

    Chrétiens crétins ?
    « Comment croire les fariboles de ces gens-là ? »

    François-Xavier Nève,

    Philippe SOLLERS a déclaré début 2016 lors d’un entretien au Point : « Dieu […] n’existe pas, sauf pour des abrutis fanatiques… » Autrement dit : il resterait quelques débiles pour croire à leur illusion.

    Aujourd’hui, autour de nous, il est de bon ton de donner le coup de pied de l’âne aux chrétiens. Le dernier carré de « crétins », assommés par le renoncement des clercs et le triomphe des sciences et des techniques, semble incapable de réagir. À bon compte, on passe pour un esprit fort, libre et scientifique.

    François-Xavier Nève démontre ici qu’il ne faut pas identifier foi chrétienne et inculture scientifique.

    Souvent l’espérance chrétienne grince ou coince parce qu’on n’en connaît pas le contenu ou qu’on le comprend de travers. L’auteur éclaircit le problème de la souffrance et l’horreur de la mort, trous noirs les plus fréquents. Il montre que le big bang et l’Évolution rendent l’Histoire naturelle chaque jour plus compatible avec l’Histoire sainte. Il explique le Credo, les fameux dogmes chrétiens, ridiculisés parce que méconnus, la trinité, l’immaculée conception, la naissance virginale de Jésus, les miracles et la Résurrection dans le cadre de l’ensemble de nos connaissances en ce début du XXIe siècle.

    L’auteur, très documenté, argumente avec force et virtuosité, sans oublier chaleur et joie de vivre, humour et originalité.

    Éditions Mols : Collection Autres Regards • 155 x 240 cm • 384 pages • 26 € • ISBN 978-2-87402-199-2 • En librairie : 15 octobre 2016 (France : 27 octobre 2016)

    François-Xavier NÈVE est un scientifique. Spécialiste de phonologie et de linguistique, il a publié des centaines d’écrits de recherche et de vulgarisation scientifique, y compris en astrophysique et en biologie.

    www.editions-mols.eu

  • Jésus a-t-il eu des frères ?

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    De l'abbé Patrick Pégourier sur le site de l'Opus Dei (France) :

    La fratrie de Jésus (1)

    Jésus a-t-il eu des petits frères, des demi-frères ou seulement des cousins ? Question qui alimente régulièrement de nombreux débats et des interprétations diverses, souvent erronées. La première partie de cet article traite de la réponse aux deux premières questions.

    Depuis les origines, c’est un thème qui a alimenté de nombreux débats et des interprétations diverses souvent erronées qui s’inscrivent en faux contre la foi de l’Église [1].

    1. le Christ a-t-il eu des frères de sang ? Autrement dit, Marie sa mère a-t-elle donné naissance après la sienne, à d’autres enfants, des enfants biologiques de Joseph ? Diverses citations du Nouveau Testament pourraient le faire croire :

    a) à Bethléem, Marie mit au monde son fils premier-né [2]. Cela sous-entend-il qu’il y en eut d’autres par la suite ? 

    Non, car :

    - souvent, dans la Sainte Écriture, le premier homme qui naît est ainsi désigné, qu’il soit suivi ou non d’autres enfants [3].

    - néanmoins, ce sens est passé dans le langage profane, comme le prouve une épitaphe sépulcrale du Ve siècle avant notre ère, découverte en1922 dans la nécropole juive de Tell-el-Jeduieh (Égypte), qui indique que la défunte, une certaine Arsinoé, mourut dans les douleurs de l’enfantement de son fils premier né.

    - la Loi conférait des droits spécifiques au premier-né mais ordonnait son rachat au cours du mois suivant sa naissance [4]: ce serait un commandement absurde si ceux-ci ne pouvaient lui être attribués tant que ses frères ne seraient pas nés [5].

    - en outre, cette indication de Luc revêt un profond sens théologique : elle prépare la présentation de Jésus au Temple où, uni au sacrifice prescrit par Moïse, il va être racheté pour être consacré au Seigneur [6] et ainsi, lui, le premier-né par la grâce, va assumer le rôle de chef de file de l’humanité dans la nouvelle économie du Salut [7]. Saint Paul donne de l’amplitude à cette pensée : premier selon la dignité, le Christ est, depuis qu’il est ressuscité, premier-né de façon nouvelle ; « le concept de la primogéniture acquiert une dimension cosmique. Fils incarné, il est, pour ainsi dire, la première idée de Dieu et précède toute création, laquelle est ordonnée en vue de lui et à partir de lui. Avec cela, il est aussi principe et fin de la nouvelle création qui a commencé avec la Résurrection » [8].

    - enfin, ce caractère de premier-né du Christ souligne la virginité perpétuelle de Marie, comme l’affirment la Tradition chrétienne, le Magistère de l’Église [9], … et la Vierge elle-même [10] : la conception et la naissance de Jésus ont été miraculeuses et Marie est restée vierge dans le prolongement de son fiat, pour signifier qu’elle est la parfaite complice de Dieu dans son dessein de Salut. Elle est l’épouse du Saint-Esprit, un jardin bien clos, ma sœur, ma fiancée, un jardin bien clos, une source scellée [11]. Que Marie soit la Toujours-vierge est un dogme de foi [12] et saint Augustin le résume dans une formule concise devenue classique : Virgo concepit, virgo peperit, virgo permansit. 

    Lire la suite sur le site de l'Opus Dei (France)

     
     
  • Les insuffisances du rituel du baptême

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    Du Père Jean-Régis Fropo sur le site du bimensuel L'Homme Nouveau

    Nouveau Rituel du baptême : le cri d’alarme d’un exorciste

    Dans son ministère de prêtre exorciste le Père Jean-Régis Fropo a fait un double constat : le Rituel du baptême des petits enfants de 1970 a été tant expurgé qu’il ne combat pas l’influence démoniaque pouvant opérer dès la naissance et même dans la vie intra-utérine, comme les sept exemples qu’il donne le montrent.

    J’ai été prêtre exorciste dans le diocèse de Fréjus-Toulon (Mgr Dominique Rey) de 2005 à 2014 et j’ai reçu des centaines de personnes en souffrances diverses et pour des causes souvent mélangées, psychologiques et maléfiques. Plusieurs cas rencontrés dans mon ministère en France et à l’étranger m’ont alerté sur la question du Rituel utilisé lors du baptême des petits enfants. Ces cas sont les suivants.

    Lire la suite sur le site de l'Homme Nouveau

  • Les morts ressusciteront; homélie pour le 32e dimanche du temps ordinaire

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    Fonctionnaires de Dieu : les sadducéens (Lc 20, 27-38) / Michel-Marie Zanotti-Sorkine

    Prédication pour le 32e dimanche du temps ordinaire (archive du 10 novembre 2013) par le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine (Lc 20, 27-38) en lien avec celle du 6 novembre 2016.

     
  • La Communauté Saint-Martin : 40 ans d’existence dans l’autre périphérie

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     La Communauté Saint-Martin est une association de prêtres et de diacres séculiers vivant leur apostolat en commun au service des diocèses. Elle compte aujourd’hui 94 prêtres et diacres, et plus de 100 séminaristes (2016). Elle fut fondée par l’abbé Jean-François Guérin en 1976.. Elle fête aujourd’hui ses 40 ans d’existence. Malgré plusieurs demandes de  groupes de fidèles, les portes des diocèses belges leur restent fermées.

     

    JPSC

  • Lourdes : les évêques de France se penchent sur le déclin des vocations

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    D'Isabelle Demangeat et Claire Lesegretain sur le site web du journal La Croix :

    Comment favoriser les vocations sacerdotales diocésaines

    L’Assemblée plénière de novembre des évêques s’ouvre vendredi 4 novembre, à Lourdes, par une journée d’étude et de travail autour des vocations sacerdotales diocésaines.

    Ils tenteront de trouver des solutions pour changer l’image du prêtre diocésain, perçu comme isolé et écrasé par les tâches administratives.

    C’est un peu le leitmotiv ecclésial qui pique le cœur de l’Église française et inquiète les fidèles. Comme le montre la baisse, constante, du nombre d’ordinands – ils étaient une centaine en 2016, 120 en 2015, 140 en 2014 –, il y a de moins en moins de prêtres en France. Et de moins en moins de candidats au sacerdoce. Alors qu’en 2000, 976 séminaristes se préparaient à la prêtrise, ils n’étaient ainsi plus que 756 en 2007 et 653 en 2015 (1).

    À elle seule, cette situation ne justifie-t-elle pas que les évêques, réunis à Lourdes à partir de ce matin pour leur Assemblée plénière, se penchent, une journée durant, sur les vocations sacerdotales diocésaines ? Trois ans après avoir abordé « de manière franche » la question sensible des séminaires…

    Une baisse corrélée à l’effondrement de la pratique

    Pourtant, certains relativisent d’emblée ce tableau qui peut paraître bien sombre. Car cette baisse est corrélée à l’effondrement de la pratique en France. « Il y a largement assez de prêtres en regard du nombre de communautés, relève le P. Nicolas de Brémond d’Ars, prêtre du diocèse de Paris, sociologue et chercheur associé au Centre d’études interdisciplinaires des faits religieux. C’est Dieu qui envoie les prêtres dont on a besoin. S’il n’y en a pas, c’est peut-être que Dieu n’en envoie pas. »

    Or, des appels, il y en a. C’est ce que montrait l’enquête menée, en décembre 2015, par OpinionWay pour la Conférence des religieux et religieuses de France (Corref). Elle révélait ainsi que 10 % des Français ont déjà pensé à la vie religieuse. Un chiffre qui s’élève à 15 % chez les 18-24 ans et à 14 % chez les 25-34 ans. Même s’ils ne concernent pas directement les vocations sacerdotales, ces chiffres conduisent Sœur Nathalie Becquart, directrice du Service national pour l’évangélisation des jeunes et pour les vocations (Snejv), à dire que la crise que traverse l’Église en France n’est pas « une crise de l’appel ni même des vocations » mais bien une « crise de la réponse ».

    Mais alors pourquoi cette crise de la réponse ? Quels sont les obstacles, les réticences, les peurs, qui paralyseraient les candidats à s’engager dans la voie de la prêtrise ? Et, surtout, que faire pour encourager ces derniers et les conforter dans un tel engagement ?

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